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L'Évangile selon Satan
L'Évangile selon Satan
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Pour ma part, j'ai adoré. Les personnages, l'histoire, l'ambiance, tout est parfaitement décrit par l'auteur qui maîtrise parfaitement son sujet.
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L'Évangile selon Satan
Le roman est construit en alternance de chapitres entre le présent de Peter qui s'effondre, celui de Wendy qui s' enfonce dans la routine de son couple et ses 3 enfants, et le séjour des six à Rédemption vingt ans avant. Quand je dis séjour, il faut comprendre survie. C'est poignant, c'est dure et en même temps plein de tendresse,et de compensions. On s'attache à ces enfants que la vie n'a pas épargnés, et on finit par pardonner (presque) les horreurs qu'ils peuvent commettre aujourd'hui.
Graham est formidable car le récit qui démarre d'entrée de jeu de façon percutant, il démarre avec Peter à San Francisco qui s'inquiète du big one et s'accélère au fil des pages. Ensuite les chapitres qui alternent, sont des paragraphes, et plus on avance et plus ils sont courts! C'est percutent . Lecteurs du soir, (dont je suis) méfiez-vous, car une nuit blanche vous attend.
On sait par le résumé, de la couverture même qu'un des six n'a pas oublié...mais qui? Pourquoi dans le présent ne suit-on que Peter et Wendy, alors que les six ont chacun une sacrée présence dans le passé.
Ils ont oublié quoi les cinq autres? Le pacte, oui, mais quel est-il ce pacte? On attend la révélation d'une page à l'autre... Bravo Mr. Graham vous avez fait un chef d’œuvre.
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L'Évangile selon Satan
L'Évangile selon Satan
L'Évangile selon Satan
J'avais été un peu déçue par "Ces lieux sont morts" mais pas du tout par celui-ci!
L'Évangile selon Satan
Au premier abord, ce qui m'a surprise, c'est la ressemblance entre ce récit et "Ça" de Stephen King. On retrouve l'alternance passé/présent, une bande de jeunes soudés contre une terreur commune, la recherche de ce passé oublié pour Peter. Cependant, ce roman se démarque, certes, et nous offre une histoire plaisante malgré quelques points négatifs.
Tout d'abord, le récit: ce dernier reste captivant, tout du moins, la partie dans l'enfance. Si on peut rapidement se lasser de la chasse de Peter au présent, l'auteur parvient pourtant à laisser planer le suspense jusqu'au bout sur ce qui s'est passé à Rédemption, et cette curiosité nous rend avide de tourner rapidement les pages.
En effet, ce camp de redressement est totalement ignoble, et au fur et à mesure que l'histoire avance, on découvre de plus en plus une horreur sans nom. Régi par la peur et la violence, on fait face à l’ignominie humaine dans toute sa splendeur, qui ne provient pas seulement d'adultes en quête de pouvoir sur des enfants, mais également d'enfants qui profitent du système pour diverses raisons.
Si cette partie là est la plus convaincante du récit, la partie "adulte" m'a quelque peu laissée sur ma faim. Entre les zones d'ombre sur la vie de Peter (et pourquoi est-il ainsi?), la réalité sur la mort de sa famille qui m'a déçue, les autres personnages qui ne sont que des faire-valoir, on peut se demander pourquoi le récit ne s'est pas focalisé seulement sur les enfants perdus à Rédemption.
Du côté des personnages, je n'ai pas réussi à me sentir proche d'eux. Chacun à son propre caractère, mais au-delà de ça aucune réelle sympathie ne se dégageait d'eux, notamment Peter adulte. Il est difficile de bien le cerner, et notamment de bien le comprendre. Présenté avec une certaine peur au début du roman, qui donne l'impression d'être importante pour la suite, elle disparaît néanmoins rapidement. Son mal être semble se noyer sous la vengeance, et la fin donne l'impression que sa famille s'estompe bien rapidement de son esprit.
Quant aux enfants, on se prend de pitié pour eux, mais guère plus.
L'écriture de Patrick Graham est agréable, et il parvient à nous ancrer dans son récit sans nous faire tomber dans une lourdeur teintée de descriptions trop longues. On suit avec plaisir sa plume, qui nous entraîne vers un dénouement surprenant.
Au final, ce roman est prenant pour sa quête de vérité, et malgré des aspects négatifs, il n'en reste pas moins captivant.
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J'ai aimé plonger dans cet univers particulier et plein de rebondissements.
Je le conseil vivement.
L'Évangile selon Satan
L'Évangile selon Satan
La mère supérieure Yseult le sent, le malheur est là. Et la suite des événements lui donne raison. Entre les confidences de la sœur avant de mourir, mais aussi la possession post mortem dont elle est victime, et qui laisse des traces de pas bien réelles sur le sol de la cellule, tout le prouve. La Bête est dans leurs murs. Que cherche-t-elle ? La mère Yseult va en avoir un aperçu avec le contenu du sac de la sœur défunte : le crâne encore ceint de la couronne d'épines du Christ et l'évangile selon Satan.
L'horreur va alors se déchaîner au couvent.
Les Etats-Unis, de nos jours. Nous faisons la connaissance de Marie Parks, profileuse au FBI qui, depuis un accident ayant coûté la vie à sa famille et l'ayant laissé plusieurs mois dans le coma, est sujette à d'atroces visions chaque nuit. Toutes les nuits, dans son sommeil, son cerveau lui fait vivre les derniers instants des victimes de tueurs en série. Elle ne s'endort plus qu'à coup de somnifères et de gin pour espérer quelques heures de répit et de repos. Pour ne pas devenir folle, Marie décide de faire faire des analyses. Et le verdict tombe : syndrome médiumnique réactionnel. Bouleversé par le traumatisme qu'il a subi, son cerveau s'est réfugié dans le coma pour se reconstruire. Et lors de ces réparations, il a réactivé des connections cérébrales interrompues. Elle peut dorénavant faire fonctionner une partie de son cerveau inexploitée par la majorité des hommes. Le résultat en est ces visions d'horreur, ces meurtres passés ou présents, ces tortures et sévices vécus par les victimes.
En peu de temps, Marie va apprendre à les sélectionner et ainsi faire arrêter de nombreux tueurs en série.
C'est lors d'une de ses pauses entre deux enquêtes, alors qu'elle retourne dans sa ville d'enfance, qu'elle va à nouveau faire face à l'horreur. Cette fois-ci, elle va toucher ses proches et sa motivation n'en sera que plus grande de chasser et arrêter ce tueur. Car celui-ci a déjà fait quatre victimes et une cinquième est portée disparue. Il fait partie des cross killers, de ceux qui ne sont motivés par rien d'autre qu'eux mêmes. Pas de passé douloureux ou violent en déclencheur, juste une folie reconnue et assumée qu'ils projettent dans leurs actes d'une cruauté gratuite et jouissive.
Marie va devoir le poursuivre jusque dans les entrailles de la terre, dans la crypte souterraine d'une vieille église au fond des bois. Elle va le trouver ou peut-être est-ce lui qui la trouve en premier.
De chasseur, elle devient proie, puis victime jusqu'à l'arrivée des renforts. Voilà c'est fini, il est mort !
Mais est-ce vraiment le cas ? Une petite voix au fond de Marie lui souffle que non. Et la suite va hélas lui donner raison.
Alors que l'autopsie de Caleb, le voyageur, va laisser apercevoir des éléments troublants et improbables, un secret vient d'être révélé à Rome, de l'autre côté de l'océan. Nous suivons alors le périple du père Carzo, exorciste de l'église. Lui aussi poursuit une cible, une âme damnée, un démon aux multiples noms qui prend possession d'âmes égarées. Tout comme Marie, le père Carzo se retrouve face au voyageur, et comme elle, cette rencontre ne le laissera pas indemne. Car il semble l'attendre, comme Caleb semblait attendre Marie. L'histoire de l'évangile de Satan refait surface. Et nos deux héros, sans le savoir voient leurs chemins se rapprocher inexorablement jusqu'à ne plus faire qu'un, vers le même but : éradiquer le Mal.
Vous ne pouvez sortir indemne de la lecture de ce roman. Les scènes de tortureS sont suffisamment imagées pour marquer les esprits et cependant décrites de façon simple et sans fioritures. C'est peut être justement pourquoi ça interpelle. Votre imagination fait le reste. Le doute peut parfois vous traverser aussi car certains éléments semblent presque réels.
Cette lecture fait frissonner et en même temps, vous ne pouvez le lâcher, malgré l'angoisse croissante.
Cette lecture est passionnante et en même temps dérangeante, tant certaines situations peuvent paraître réelles. Les secrets de l'Eglise, les manuscrits apocryphes, les miracles vrais ou faux, tout cela ressort régulièrement des placards et apparaît dans les journaux. Alors quand un auteur comme Graham reprend le sujet, le développe et le martyrise en lui donnant comme acteur principal un tueur en série, multirécidiviste malgré ses nombreuses morts, le frisson est garanti.
Que vous soyez croyant ou non, cette lecture est perturbante car elle amène à se poser des questions. Et si c'était vrai ? Si tout cela n'était qu'une vaste supercherie pour donner un but aux hommes ? Le mal est là, il n'y a qu'à regarder les journaux ou écouter les informations pour s'en rendre compte. Notre monde deviendrait-il fou ? Ce livre et d'autres de ce genre semblent nous conforter dans cette idée. Et puis, vous faites une pause, vous regardez autour de vous et le calme revient. Car rien n'est jamais sombre et là où existent les ténèbres, la lumière y est aussi.
Patrick Graham a presque réussi à vous convaincre. Et c'est ce qui rend ce roman si captivant, si addictif, si dérangeant aussi.
Vous vous y plongez comme un passager du Titanic, sans savoir si vous en ressortirez indemne.
L'Évangile selon Satan
Mais j'ai trouvé qu'il perdait de peps au fil de ma lecture.
Bilan pas très convaincu moyen dirai-je.
Ces lieux sont morts