Paul A. Garance
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Note moyenne : 10/10Nombre d'évaluations : 1
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Bon. C’est le livre de Paul (mon mari) et j’ai été sa toute première lectrice.
J’ai vu sa première écriture. Mais je l’ai également vue réécrite, modifiée à nouveau… Bref, un accouchement long et difficile et je suis très fière qu’aujourd’hui enfin il soit dans les kiosques virtuelles d’ebooks.
L’histoire de ce petit Lucas et de Samuel, un duo détonnant, est une aventure palpitante.
A vous de voir un peu les coulisses de ce livre.
Lorsque j’ai connu Paul, il y a maintenant 7 ans (et oui déjà mon coeur), il naviguait depuis déjà près de 3 ans dans cette aventure. Il avait alors ouvert un site sur un jeu virtuelle. Le site de son monde de centaures.
Il avait fait ainsi vivre virtuellement ses lois, sa communauté, sa population, ses inventions, sa culture …
Son appartement avait des trésors. Des cahiers à droite à gauche, remplis de croquis, d’idées jetées à la va-vite puis reprises et travaillées.
« Un fouilli ordonné ».
Au début je me disais « c’est un super hobby ».
Mais voilà que quelques années plus tard je lis enfin le premier chapitre. Je plonge enfin dans son monde.
Et J’ADORE ! Mais je suis surtout surprise. Je ne m’attendais pas à une qualité pareille. Je ne m’imaginais pas lui dire : » je veux la suite ! », et à le penser réellement.
Et encore moins le pousser à se faire éditer.
Le monde de l’édition est dure aujourd’hui pour un nouvel auteur. Voilà deux ans que mon mari lutte. Mais je suis sa première fan et je l’ai soutenu et encouragé dans ses doutes.
Je savais qu’un jour son histoire serait publiée. Je suis très fière de lui, de son rêve abouti, de sa nouvelle aventure…
Et je ne veux lui dire qu’une chose: Bon, chéri, magne-toi de finir d’écrire la suite !!!
Afficher en entierQue dire ? Je vais essayer d’être la plus neutre possible. En effet, vous savez, pour la plupart d’entre vous, que c’est l’œuvre de mon mari. Donc, je sais que mon avis va être lu en diagonale en pensant que je ne suis pas réaliste dans mes propos, mais je vous invite à le parcourir afin de partager mes impressions.
Toujours est-il que je vois dans ce deuxième tome le style évoluer et l’imagination de l’auteur s’enflammer, alors que la fin du premier tome nous laissait déjà en haleine. Je peux vous promettre que j’ai poussé l’auteur pour enfin lire ce qu’il mijotait depuis si longtemps pour ses personnages auxquels j’étais déjà bien attachée.
Côté histoire, préparez-vous à avoir des sueurs froides tout au long de l’histoire. Il ne les cajole pas et leur fait subir moult tourments ! Dès que vous commencez, vous allez de surprise en surprise… Que dis-je ? D’étonnement en étonnement ! Je ne savais pas que cet homme qui partage ma vie pouvait avoir une imagination poussée à son extrême. Et il l’a maniée avec souplesse et agilité et surtout dans un but bien précis. L’histoire est vraiment bien ficelée : chaque chose, même négative, aboutit sur un nouveau rebondissement, et le tout dans un but toujours bien précis. Bref, une histoire qui m’a coupé le souffle ! Et occasionné quelques bleus à mon mari sur lequel je me vengeais au fur et à mesure de mon avancée ^^ (Oh! qu’il est agréable d’avoir l’auteur sous la main pour se venger de ce qu’il nous fait subir :-p ).
Les personnages: J’étais ravie de retrouver Lucas, Samuel et Alfred ou encore Noxa et Clementine. J’ai été agréablement surprise par certains personnages que j’ai détestés dans le premier tome, et j’en ai détesté de nouveaux. Si comme moi vous étiez déjà attaché au trio du premier tome, vous allez éprouver en même temps qu’eux leurs épreuves dans ce tome-ci. Lucas est toujours autant brave et courageux, mais l’auteur va nous en faire voir un peu plus du petit garçon sensible qu’il est. Il va casser un peu sa carapace pour la réinvestir de plus belle, ce qui va nous faire s’attacher d’autant plus à ce petit homme bien courageux. Samuel a changé après ses premières aventures : il a toujours ce côté coincé, mais n’hésite plus à exprimer ce qu’il ressent et à foncer dans cette nouvelle aventure, et enfin il va se lâcher sur ses sentiments (et ça !! ça fait du bien). Alfred m’a déjà un peu irrité dans son côté scientifique fou qui est aveuglé par son travail et ne regarde jamais le mal qu’il pourrait provoquer, mais il a bon cœur et cela le sauve à nos yeux. Dans ce tome-ci, hé bien, il ne changera pas, mais on découvrira une pointe de remords qui nous fera ouvrir les yeux à nous aussi. Et puis, il y a d’autres personnages plus attachants que détestables. Un panel complet qui nourrit parfaitement le mystère jusqu’au bout.
L‘écriture: Le premier tome était déjà très bon pour un premier roman, mais dans ce dernier tome, nous voyons un style pur et bien affiné, une écriture vraiment agréable et qui nous transporte aisément dans cet univers poussé à la pointe du style Steampunk. Un style toujours autant présent et qui colle à merveille avec l’histoire et l’univers créé. Avant tout, il y a des morales qui, même dans notre époque actuelle, sont d’actualité : à nous d’ouvrir les yeux !
En gros, une saga « coup de cœur », une pépite que je vous conjure de déguster également. Une ambiance électrique et envoûtante en même temps. Une histoire prenante et époustouflante. Bref, une merveille qui me pousse dans une frustration énorme auprès des maisons d’édition qui, trop bornées par leur « ligne éditoriale » ou leur « part du marché », ne prennent pas la peine de regarder ce qu’on leur propose de NOUVEAU.
Chère maisons d’édition, je sais que vous êtes envahies de manuscrits au point de sélectionner au pif dans un premier temps, puis de ne lire que la 4e de couverture dans un second temps. Pour beaucoup, le fantastique doit absolument parler de crocs de vampires et de poils de loup-garou qui crient « A bas les sorcières! ». Mais je vous dis simplement que parfois, et parce que vous ne leur accordez pas assez de temps sous prétexte que ces auteurs sont inconnus, vous passez à côté de petits trésors comme cette saga. Je l’imagine tellement bien, jusqu’à nos écrans de cinéma, avec cet univers enfin différent de tout ce qu’on peut lire et relire. On avale du vampire depuis la folie « Twilight », on digère des sorcières depuis notre cher « Harry », et même si j’adore la Dystopie on ne mange plus que cela depuis « Hunger game ». Alors réinventez un peu ! Laissez l’opportunité aux jeunes auteurs de vous faire découvrir de nouvelles recettes savoureuses avec des centaures ou autres créatures mythiques. Arrêtez de vouloir à tout prix formater les auteurs, et tout comme JK Rowlings, Suzanne Collins et Stephenie Meyer, vous pourriez découvrir de nouvelles muses.
Afficher en entierTout d’abord, je remercie Livraddict (pour le partenariat, ça fait plaisir) ainsi que les Editions Callisto et l’auteur, Paul A. Garance pour l’envoi (et la dédicace!) de ce deuxième tome.
J’ai commencé cette saga avec de gros doutes. Je ne suis pas friande d’auteurs français mais là, le point de vue principal est celui d’un homme et j’ai bien souvent du mal à m’identifier au personnage quand celui-ci est masculin. Cependant, ce fut une belle découverte. La mythologie, l’univers est super bien développé. Bien sûr, je ne voudrais pas vivre dans leur monde mais vivre les aventures de Samuel m’a fait voyager bien que ce monde soit imaginaire et que je sois au fin fond de mon lit pour lire le livre.
La fin du premier tome m’avait donné envie de lire à tout prix le second. En effet, à la fin du premier tome, on se demande encore pleins de choses. Comment la grande rage a-t-elle fait son apparition ? Que va devenir Skïr ? Les deux livres sont de véritables page-turner, j’avais absolument envie de connaître la fin ! De savoir comment l’auteur allait conclure sa saga. Dans ce deuxième tome, nous reprenons là où les aventures de Samuel Becki, de son oncle ainsi que de son élève, Lucas, s’étaient arrêtées. Ils rentrent enfin après un an d’absence. Et bien des choses ont changé notamment l’avènement au pouvoir des Méca et le silence des Bios. La paranoïa, la crainte de l’animal est encore plus présente qu’auparavant. Tout ceci menant à la chasse aux centaures, rendus responsables des attaques des animaux. Nos héros sont alors repartis pour retourner sur l’île aux centaures. Mais là-bas aussi, beaucoup de choses ont changé.
Leur monde est vraiment cruel, comme l’atteste le traitement vis-à-vis de mère de Lucas. Ou bien la décision de tuer les centaures… J’avais vraiment envie de rager et de crier ! Raah. Et donc je me suis demandée si notre monde à nous, n’était pas comme ça aussi. On détruit la nature, on maltraite les animaux, etc. J’imagine que l’auteur s’est inspiré de notre monde actuel et de nos méfaits pour construire le sien. Donc voilà, cette saga m’a fait beaucoup réfléchir. On découvre par ailleurs que la plupart du temps, quand l’Homme découvre quelque chose, il le détruit aussitôt. Le livre le montre bien : les centaures utilisent des armes introduites par les humains pour tuer ceux qui sont du côté des humains. Alors qu’ils étaient un peuple pacifique, qui ne mettait à mort que rarement ! Il y a aussi une référence au fanatisme religieux qui manipule les disciples et pire, qui manipule des Empires.
L’auteur ne nous épargne rien et fait mourir certains personnages que j’aimais beaucoup à la G.R.R Martin. Vers la fin du livre, tout s’accélère, on apprend enfin la vérité sur la Grande Rage et un dernier combat entre la nature et les hommes commence.
En conclusion, c’est une magnifique découverte que je recommande à tous ceux qui recherchent une saga fantasy originale. Et puisque c’est un auteur français, il n’y a pas de traduction pour déformer ses propos, donc l’écriture est de qualité et est très agréable à lire.
Afficher en entierhttps://fantasybooksaddict.blogspot.com/2020/02/le-cycle-des-centaures-tome-1-paul.html
Je dois dire que cette duologie est dans ma pal depuis un bon moment. Il était donc plus que temps de l'en sortir.
Bien que la première partie soit assez longue à se mettre en place, j'ai été conquise par l'originalité de l'univers. En effet, on se retrouve dans un monde où les animaux se sont ligués contre l'humanité dans le but de l'exterminer. A travers les aventures de Samuel, qui part à la recherche de son oncle car celui-ci pourrait avoir des éléments de réponses qui permettraient de mettre fin à cette guerre, l'auteur nous fait passer des messages sur la préservation de la nature.
De plus, il y intègre la mythologie des centaures, assez peu utilisée en littérature, et se l'approprie parfaitement tout en y ajoutant sa patte. Effectivement, même si dans un premier temps, il nous les dépeint comme intelligents mais terriblement cruels, ensuite, il met en lumière la hiérarchisation des groupes de centaures, leur histoire et plus largement leur culture.
On découvre alors Samuel, un personnage intelligent mais timide et peu enclin à l'aventure, préférant son confort, son quotidien. J'avoue que j'ai eu du mal avec son caractère d'autant plus que l'auteur a fait le choix d'écrire à la troisième personne, cela ne nous le rend donc pas plus attachant étant donné que nous n'avons pas son ressenti.
Nous avons également de nombreux personnages secondaires qui gravitent autour de lui et qui vont le seconder dans sa quête. Ils sont très différents les uns des autres, et bien que parfois, on arrive à les trouver attachants, on ne peut s'empêcher de se demander si on peut réellement se fier à eux...
Pour conclure, l'univers m'a beaucoup plu mais ce premier tome reste assez introductif et manque donc d'un peu de rythme ! De plus, je n'ai pas réussi à accrocher aux personnages. Pourtant, la fin me donne envie de voir ce qu'il va se passer dans le second opus.
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Booxmaker : 2 livres
Biographie
Tout d’abord, bonjour et bienvenue sur ce site.
Qui suis-je ? Un écrivain d’une trentaine d’années, tout frais. Vivant à la campagne sur la pointe bretonne, je suis constamment entouré d’enfants et d’adolescents dans une grande maison.
Webmestre de métier, j’ai de nombreuses passions (théâtre, photographie, infographisme, bénévolat auprès de personnes handicapées, etc.) mais il en est une qui les relie toutes : l’écriture. Par la magie des mots, je crée des personnages, des images, du rêve, tout en véhiculant des messages de tolérance qui me tiennent à coeur.
Je suis un éternel rêveur et j’écris depuis que je suis en âge de le faire. Théâtre, bandes-dessinées, nouvelles, poèmes… J’ai notamment beaucoup écrit sur Internet en créant des sites internet de pays imaginaires, dont l’un m’a inspiré mon premier roman.
J’ai également eu une période d’écriture de scénarios pour court-métrage, en en réalisant moi-même quelques uns. Deux années consécutives, j’ai obtenu le 4ème prix du Concours Oxford – Les Lutins du court-métrage, dont l’objectif était d’écrire un scénario sur un thème donné.
Depuis un peu moins de 5 ans maintenant, je me lance dans la belle aventure de l’écriture de romans et d’albums, notamment dans le cadre du « Tandem Jeunesse », une initiative originale sur internet qui réunit auteurs et illustrateurs.
En décembre 2012, les éditions Booxmaker s’enthousiasment pour mon premier roman et décident de l’éditer en ebook. Un premier pas franchi, consécration de plusieurs années de travail et de 4-5 versions de mon manuscrit, ainsi que la revanche d’une vingtaine de lettre de refus. Mais, semble-t-il, cette épreuve digne des fourches caudines est obligatoire dans le monde de l’édition… La persévérance est l’une des vertus essentielles de tout écrivain.
Et maintenant, les dés sont jetés !
http://www.paul-a-garance.fr
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