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Séverine est née Caroline Rémy en 1855. Durant ses premières années elle voit son père, inspecteur des nourrices, se battre contre ce qui alors semblait une fatalité : le décès de nombreux nouveaux-nés, faute d’hygiène ou de soins. Un combat inégal, car souvent il se fait sans soutien de sa hiérarchie. Une expérience qui va marquer durablement la jeune fille et la pousser à s’engager pour les plus démunis, même si c’est la rencontre avec Jules Vallès qui va décider de son existence.
Lors d’un séjour à Bruxelles, elle croise l’homme dont elle admire les idées et le parcours. Il va l’encourager à travailler à ses côtés.
Mais ses parents ne l’entendent pas de cette oreille. Aussi courageuse qu’entêtée, elle décide alors de mettre fin à ses jours. Une tentative de suicide manquée, mais une liberté gagnée. Ses parents ne s’opposent plus à ce qu’elle soit journaliste, mieux son second mari, Adrien Guebhard, va mettre une partie de sa fortune dans la création du quotidien Le Cri du peuple.
Qu’il me soit ici permis de passer sur l’épisode pourtant très traumatisant de son premier mariage avec Antoine-Henri Montrobert et du désir de vengeance qui l’avait habitée alors pour en venir au vrai thème du livre, la passion dévorante de Séverine pour son métier. Un engagement qui se fera aux dépens de sa famille : « Caroline s’intéresserait à ses fils quand ceux-ci seraient en âge de raisonner. Adrien l’avait bien compris. Peut-être serait-il trop tard. Peut-être serait-ce leur tout de la tenir à distance. Il lui reviendrait, alors, de leur faire comprendre qu’elle les avait toujours aimés – à sa manière, comme ses parents l’avaient aimée à la leur. »
Les pages qui racontent les débuts du quotidien, la chasse aux informations et les rencontres avec les Zola, Richepin, Pissarro, Manet, Cézanne, celles qui décrivent les durs combats à mener aussi bien contre les autorités en tout genre que celles menées en interne pour faire admettre la ligne ouverte à tous les socialismes du journal sont passionnantes et débouchent sur ce qu’aujourd’hui on appellerait un scoop : le reportage que Séverine entreprend après l’incendie du théâtre de l’Opéra-Comique et qui conduira à un procès retentissant.
On retrouve ici l’esprit de La Part des flammes de Gaëlle Nohant et cet engagement total qui finit par user et détruire. Sans oublier les préjugés liés à son sexe et qui font qu’ « une femme doit toujours en faire plus pour être reconnue à sa valeur. »
Quelle vie ! Quelle épopée ! Quel combat !
https://collectiondelivres.wordpress.com/2015/12/09/je-meurs-de-ce-qui-vous-fait-vivre/
Je meurs de ce qui vous fait vivre
L'abbaye aux loups
L'abbaye aux loups
Parceque tout en écrivant un roman de Science Fiction, Mary décide de laisser tout facilité de côté. Ainsi, elle s'exprime par le biais de Lionel Verley, un homme qui va tout d'abord commencer par fréquenter la haute de l'époque et puis, doucement, la peste va faire son entrer, et n'en laisser plus qu'un. Ce qui impressionne dans ce dernier Homme, c'est qu'il prend les atours de la littérature classique pour la détourner, la pervertir presque, oubliant ce qu'on en attend habituellement pour en livrer une vraie histoire proche de ses personnages, tous autant qu'ils sont, pour ensuite mieux les faire disparaitre... un à un... Un roman bien plus sombre qu'il n'y parait.
Le Dernier Homme
Je me suis beaucoup attachée aux personnages de Caribert (un homme d'église bon et généreux, l'exact opposé d'Otton) Bohémond, Geoffroy et bien sûr à celui d'Isabelle, j'ai aimé sa force de caractère, sa générosité et sa fidélité à son mari malgré l'émoi que provoque en elle le personnage mystérieux et envoûtant de Wulff
Toujours à la fin du livre, je dois avouer que l'auteur m'a bien eu car je n'ai absolument pas vu venir le retournement de situation
Pour une première découverte de l'écriture de Paul Couturiau j'ai été plus que satisfaite et je lirai très certainement d'autres ouvrages de cet auteur, un jour 😉
L'abbaye aux loups
L'insurgée
Le Dernier Homme
Je meurs de ce qui vous fait vivre
on se retrouve confronté à la lèpre, et à la peur de l'étranger.
Toujours d'actualité, avec nous notre virus. A part qu'avant quand les personnes avaient la lèpre ils étaient mis à l'écart et laisser à la grâce de dieu sans soin.
L'abbaye aux loups
Le Dernier Homme
L'abbaye aux loups
Et pourtant , c'est un bon roman. L'intrigue est bien menée et le thème de la maltraitance psychologique et physique est bien traité .
Le personnage principal , Bernard m'a touché. Son histoire est émouvante.
J'ai hâte de rencontrer Paul Couturiau et de lui dire tout le bien que je pense de son livre et de son écriture
Ce feu qui me dévore
#Virginie
Ce feu qui me dévore
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2018/03/les-amis-cest-des-ennuis.html
Ce feu qui me dévore
Les silences de Margaret