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Toutes les séries de Paul Couturiau

59 livres
30 lecteurs

Tous les livres de Paul Couturiau

A travers le destin d'êtres tourmentés, Cent Ans avant de nous séparer révèle comment la France s'est peu à peu engagée dans l'aventure indochinoise à la fin du XVIIIesiècle. 1789. Deux frères que tout oppose, hormis le goût de l'aventure, s'enrôlent dans la révolution de Cochinchine. L'un, le père Olivier de Clairmont, est plus empressé à séduire les belles qu'à convertir les païens. A Saigon, une voyante lui prédit pourtant qu'une femme lui apportera la rédemption. L'autre, le capitaine de corvette Gabriel, participe activement avec d'autres Français, à la reconquête du pays pour le compte du roi Nguyên Anh. Mais la fin de la guerre ne marque pas pour autant le retour de la paix intérieure. Au sein même du palais, des dissensions annoncent les troubles à venir. Dans le cœur des deux frères, une envoûtante musicienne aveugle a déjà semé le trouble... Cent ans avant de nous séparer est un sublime hommage à la terre, la culture, les coutumes séculaires et les hommes d'un pays appelé aujourd'hui le Vietnam.

1886. A Hanoi, un couple de Français découvre la magie d'un pays mais tombe dans la spirale de l'enfer à la suite d'un meurtre inexpliqué…

Victor et Nicole Grossmeyer, Français audacieux, partent vers ce territoire plein de promesses qu'est le Tonkin. Victor se dit avocat d'affaires ; Nicole ouvre une école pour les petits Annamites. L'avenir semble prometteur pour eux, autour de leurs amis : Raoul, homme d'affaires, son épouse Clara, comédienne, leur fille Catherine, et Hoc, enseignant vietnamien dans l'école de Nicole. Hélas, les apparences sont trompeuses. En effet, chacun joue un rôle trouble, et la Triade, la mafia chinoise, n'est pas loin. L'enfer se déchaîne pour les Grossmeyer le jour où la jeune Catherine est retrouvée assassinée. Victor voit aussitôt resurgir les terribles fantômes de son passé.

A travers la renaissance d'un couple, c'est à la naissance de la Hanoi française que l'on assiste dans ce superbe roman. Le lecteur, entraîné dans les rues d'une ville en pleine métamorphose, avec ses petits métiers millénaires, ses pagodes et ses traditions, se laissera envoûter par le charme sensuel d'un certain parfum d'ylang-ylang.

Au début des années cinquante, à Paris, Maurice Chatrian est attiré par la une d'un quotidien. A Saigon, l'explosion d'une grenade a semé la désolation à la terrasse d'un café. Sur la photo qui illustre l'article, une jeune femme fixe l'objectif, les yeux hagards. C'est le coup de foudre. Pour elle, Chatrian va tout quitter, sans laisser d'adresse.

Dans sa quête, il fera des rencontres suspectes, qui lui vaudront d'être pris pour un agent secret. Lui qui ne se sent pas concerné par le conflit indochinois jouera le jeu dans l'espoir de retrouver son «inconnue de Saigon». Quand il la découvrira enfin, il s'apercevra qu'on ne peut impunément demeurer indifférent face à l'enfer.

Un grand roman d'amour marqué par la découverte d'un pays et doublé d'une réflexion sur la guerre, où tous les coups sont permis et où les intérêts politiques des deux camps priment sur le respect d'un peuple

Un superbe roman d'aventures et d'exotisme dans lequel se dévoilent toutes les richesses de la culture et de la civilisation chinoises.

1793. L'Angleterre cherche à s'ouvrir les portes de la Chine, l'Empire le plus fermé du monde. Le roi George III envoie une ambassade solennelle au Fils du Ciel en vue d'obtenir de lui d'importants avantages économiques. Le jeune musicien Thomas Charles Perkins, promis à une brillante carrière mais blessé dans son amour pour la jolie Grace, décide de participer à l'aventure afin de découvrir la musique de ce peuple chinois qui le fascine. Manipulé par ses amis, plongé malgré lui au cœur d'une lutte dont il ignore l'ampleur, le jeune homme est recueilli par la troupe du Paravent de soie rouge. Là, il va rencontrer la belle et farouche Zhang...

Avec l'aide de ses amis de la troupe de théâtre du paravent de soie rouge et le soutient occulte du futur empereur Jiaging, le musicien britannique Thomas Charles Perkins et la belle Zhang s'efforcent de faire obstacle aux menées de leur ennemi, Andy McCarthy, près à tout pour atteindre celui dont il a juré la perte. Les deux amants oeuvrent dans l'ombre pour le bien de l'empire. Parviendront-ils, tout en préservant leur amour, à s'acquitter de leur mission ? L'enjeu économique étant trop important pour les britanniques, et la Chine devenue plus ferme, la guerre de l'opium semble inévitable...

A la fin du XIXe siècle, en Indochine, une jeune Française fait l'apprentissage de la vie et de l'amour.

Hanoi, 1891. Laure de Cirey est à la tête d'une florissante entreprise de soieries. Mère d'une petite fille prénommée Alexandra, elle vit, sans se soucier des médisances, avec un jeune Annamite, Vinh, dans sa propriété au bord du fleuve Rouge. Mais Laure cache un lourd secret qu'elle partage avec l'énigmatique docteur Varney. Lorsque sa vie est subitement bouleversée par une série d'évènements dramatiques, Laure se retrouve au pied du mur. Devra-t-elle révéler son secret ? Aidée de sa meilleure amie, la Russe Marouchka, de la sage Phuoc et du négociant français Marchenoir, la jeune femme va recouvrer toute sa combativité pour venir à bout des embûches du destin...

A travers le spectaculaire destin de Catherine, Paul Couturiau raconte San Francisco, de sa naissance, marquée par la ruée vers l’or, jusqu’au tremblement de terre de 1906. Au début du XIXe siècle, Catherine Tourneur, une jeune Française, part à la conquête de l’Ouest américain, paradis rêvé des chercheurs d’or, mais c’est l’en fer qui l’y attend… Au terme d’une terrible traversée de l’Amérique, Catherine a tout perdu. Son époux a été assassiné et leur nouveau-né, enlevé. Comment cette femme brisée, à l’allure misérable, deviendra-t-elle la puissante patronne d’un grand organe de presse et se hissera-t-elle au plus haut de la société californienne ? Animée du seul désir de retrouver son fils et de venger son mari, Catherine évolue parmi les fermiers, les chercheurs d’or sans scrupules, dans une ville de poussière qui deviendra San Francisco et qui, pour l’heure, n’obéit qu’à une loi : celle du plus fort.

Au XIIIe siècle en Lorraine, au château de Saint-Martin, sur les bords de la Moselle, la jeune et belle comtesse de Sion se languit du retour de croisade de son époux. En l'attendant, elle gère seule son vaste domaine et veille sur ses sujets.

Voici qu'arrive enfin l'annonce du retour des preux chevaliers. Dans la joie et l'effervescence, on prépare les festivités : jongleurs, ménestrels et forains s'installent au village, dont l'énigmatique et solitaire Wulff, conteur exceptionnel vivant dans les bois en compagnie d'un loup. Il fascine et trouble Isabelle, mains incommode le chapelain Otton, un être perfide et vénal.

Otton met à profit le retard du comte Geoffroy pour dresser les villageois, déjà terrifiés par le spectre de la peste, contre Wulff. Dans la lutte sans merci qui oppose alors les deux hommes, lequel tombera le masque en premier ?

Un roman dense et passionnant où s'entremêlent l'action, l'histoire, la passion et le suspense.

Le jour où Alexandre revient à La Renardière, grande propriété des Bazelaire en Lorraine, son frère aîné s’apprête à fuir en Amérique à la suite d’un drame familial, abandonnant la place de maître de forges qui lui était destinée. Dans la tourmente économique mondiale des années 1860, Alexandre, ingénieur jeune et ambitieux, incarne dorénavant l’espoir et l’avenir. Lui qui rêvait de Paris et de constructions architecturales avec son ami Gustave Eiffel se trouve confronté à un dilemme : faire entrer l’entreprise familiale de métallurgie dans une ère nouvelle ou risquer de la voir péricliter.

Mais en pleine révolution industrielle, alors que le conflit avec l’Allemagne voisine devient inévitable, les Bazelaire se déchirent : scandales, non-dits et amours coupables ressurgissent. Quand Alexandre tombe éperdument amoureux de la belle et surprenante Emily, la femme de son meilleur ami et associé, il a conscience qu’il risque de ruiner l’œuvre de plusieurs générations. Au milieu des tensions économiques et des déchirures familiales, Alexandre peut-il encore sauver l’honneur et la fortune des Bazelaire ?

Un roman sur la culture et l'identité d'une région sacrifiée, la Lorraine.

François et Nicole Eicher, propriétaires d'une auberge au bord de la Moselle, vivent heureux jusqu'à ce qu'éclate la Seconde Guerre mondiale. La guerre et l'annexion font naître chez eux deux attitudes opposées. François sert au mieux les Allemands qui ont réquisitionné l'auberge. Sa docilité, du moins celle qui transparaît, révolte son épouse. Un incident majeur achève de les séparer. De la trahison aux aveux, des remords aux révélations, les masques tomberont dans les larmes et les regrets...

Pierre, avocat, revient à Metz, ville de son enfance, pour défendre sa soeur, soupçonnée de meurtre.

Mais la jeune femme, après l'avoir assuré de son innocence, lui refuse son aide.

Pourquoi ce silence ambigu et suicidaire ? Les recherches de Pierre l'amènent à exhumer un passé vénéneux que sa grand-mère, Margaret, et sa mère, Hélène, taisaient depuis plus de cinquante ans.

Tout commence pendant l'entre-deux-guerres, dans une boîte de jazz malfamée, par un coup de foudre fatal qui unit une jeune femme enjouée et insouciante, blargaret, au mystérieux Manfred...

Dans sa quête, Pierre n'échappera pas à une confrontation avec ses propres démons. Le drame des silences et des non-dits au sein d'une famille dans ce roman d'ambiance particulièrement envoûtant.

De la jeune fille éprise de liberté à la brillante plume engagée, de la " petite graine d'aristo " à l'égérie d'écrivain... Amante, femme, journaliste, collaboratrice et amie de Jules Vallès...

En sept années décisives, le roman d'une émancipation, le roman de Séverine, femme d'exception. Pour gagner sa liberté, la jeune Caroline Remy choisit le mariage. Cage dorée dont elle s'échappe après avoir donné le jour à un fils, dont elle ne s'occupera guère. A Bruxelles, elle rencontre Jules Vallès, en exil à cause de son engagement aux côtés des Communards. Il perçoit le talent de Caroline qui deviendra " son " secrétaire. Confrontée à l'opposition de ses parents, la jeune femme décide de " mourir de ce qui vous fait vivre ", ainsi qu'elle l'écrit à Vallès. Par bonheur, la balle passe à côté d'un coeur qui bat trop vite, trop fort...

A vingt-six ans, Caroline Remy peut, enfin, assouvir sa soif de liberté et son amour de justice. A vingt-huit ans, elle publie son premier article. Caroline devient Séverine... De 1881 à 1888, le portrait romanesque d'une personnalité attachante, incontournable figure féminine du tournant du XX e siècle.

1956. New York. Lenny Williams, célèbre saxophoniste de jazz, vient de mourir. Son fils, Dexter, journaliste, est chargé de lui consacrer un article. A contrecœur, le jeune homme plonge dans le passé mystérieux de ce père distant avec qui il entretenait une relation tendue. Ses recherches le conduisent à La Nouvelle-Orléans sur les traces d'un pianiste, descendant d'une lignée d'esclaves, Clarence Melrose. Un homme brisé par des amours impossibles. Une légende du jazz qui interrompit sa carrière brutalement. Et surtout un être merveilleux pour le petit Lenny qu'il recueillit un jour et à qui il confia son secret...

Le juge Salomon fulmine. Il a été réveillé à cinq heures du matin. Un correspondant anonyme lui promet une information capitale et ... la Une des journaux. Seulement, personne ne vient au rendez-vous. Il se dit qu'il a été roulé. Il n'a pas tort ... mais il fera bien la Une des journaux. Pendant son absence sa femme a été assassinée. La police la découvre dans sa cuisine, un sourire aux lèvres, un pic à glace dans le dos, et son auriculaire tranché et posé sur son peignoir juste au niveau du sexe. L'enquête est confiée au lieutenant Ring Lennox. Il sera assisté de Scott McFarlane qui fait la circulation depuis cinq ans à cause d'une affaire de pédophilie impliquant le sénateur Grayson. Il ignore que le meurtre de Maggy Salomon s'inscrit dans une série. Une série liée à l'affaire Grayson ! La fille du sénateur a été enlevée. Et tous les jours, le tueur envoie un de ses doigts à la police avec un message à l'attention de McFarlane. Le policier se retrouve ainsi plongé dans une lutte implacable avec un meurtrier sadique.

Que fait-on quand on a un nom maudit ?

Un nom qui sent l’enfer et la damnation ?

Daudet, six lettres qui s’inscrivent en caractères de honte pour avoir donné naissance à l’Action française.

Que fait-on quand on a presque 15 ans et que l’on rêve de fuir vers les contrées blanches du Canada ?

On est prêt à se battre, à tuer et à mourir, peut-être parce que cette balle qui est dans le pistolet serré dans sa main est l’ultime délivrance, ou l’ultime mystère ?

Paul Couturiau, à travers ce roman, fait revivre une énigme judiciaire à ce jour non résolue et parle de ce feu de l’insatisfaction mortifère de la jeunesse, celle que nous avons enfouie depuis si longtemps.

Un monteur de cinéma traqué par des tueurs bien réels.

Une starlette disparue lors d'une mystérieuse croisière.

Un journaliste " tué " d'une balle dans la tête, alors qu'il était déjà mort.

Une prostituée asiatique qui veut repartir à zéro, mais peut-on jamais, s'arrêter de trahir ?

Un inspecteur, Ring Lennox, qui a perdu le goût de vivre depuis la mort de sa femme - et se console avec le goût des cigares.

De Greenwich Village à Chinatown, dans une atmosphère crépusculaire, les loosers magnifiquement désespérés de Boulevard des ombres nous embarquent dans une balade tragique et noire, dont on ne ressort pas indemne.

Bernard pourra-t-il un jour dire toute la vérité ? Sur l'incendie criminel qui a dévasté sa famille et sa vie. Sur le secret qu'il est le seul à connaître vraiment, qui mêle à la fois la folie, l'amour, la jalousie et, à l'origine, la souffrance muette d'un enfant malaimé.

A tout juste dix-huit ans, Bernard Bertin est désigné coupable de l'incendie criminel qui a tué sa mère et laissé pour mort son père. Depuis toujours, un feu contenu brûle en lui : une sensibilité à fleur de peau, une posture solitaire et secrète ont fait de lui un enfant incompris. Après sa peine de prison, il revient vivre sur les lieux du drame, à Metz. Il est devenu écrivain et n'a jamais levé le voile sur son histoire. La vraie et insoupçonnée. Celle qui se tramait derrière la façade bourgeoise de la maison familiale. A la faveur de ses retrouvailles avec Alexandra, son amour de jeunesse, Bernard est poussé dans ses derniers retranchements.

Parviendra-t-il, enfin, à panser les plaies du passé, à révéler les souvenirs douloureux d'une enfance qui n'en fut jamais une ?

(Source : Presses de la Cité)

A New York, Stan Getz vient de mourir. C'est déjà suffisant pour vous flanquer de bourdon. Or, c'est le moment où, à la Nouvelle-Orléans, Mary Jane débarque dans ma vie. Elle prétend avoir tué un homme. Il mijoterait dans une baignoire au milieu de son sang. Avec la chaleur qu'il fait ici...

Seulement voilà, quand je visite la salle de bains, elle est vide. En revanche, dans le salon où Mary Jane est censée m'attendre, je découvre un quidam que je connais pas et qui ne se présentera pas car il a la gorge tranchée d'une oreille à l'autre. Et c'est du tout frais, Mary Jane, elle, a disparu.

Il ne me reste plus qu'à la retrouver. Et croyez-moi, c'est épuisant. D'autant qu'un cyclone menace les bayous de Louisiane.

Quand je pense que j'ai quitté New York parce que j'en avais marre de mon boulot de flic ! Je voulais devenir jazzman dans la cité du croissant...! Il y a vraiment de quoi avoir le blues, non?

Les couleurs du Vietnam d'aujourd'hui : passion, beauté, sensualité et violence. Quand une belle Vietnamienne est au cœur d'une tragédie et de la convoitise des hommes...

Quatre Français installés à Saigon : Julien, François, Pierre et Claude. Quatre personnalités différentes, quatre regards contradictoires sur un pays entre terre et eau. Outre l'amitié, un lien les unit : Tam, une Vietnamienne dont ils sont tous amoureux. Or un pari stupide entraîne la mort de Tam, tuée avec le revolver de Julien. La culpabilité de ce dernier ne fait aucun doute. Mais est-ce pour autant lui l'assassin ?

Mathilde Clouet vient de perdre sa jumelle, Madeleine, dans un accident de voiture plutôt étrange. Très éprouvée, la jeune femme se fait néanmoins violemment prendre à partie lors de l'enterrement de sa sœur : son beau-frère lui reproche d'être responsable de la mort de Madeleine... Dès lors, Mathilde commence à douter de la thèse de l'accident. D'autant qu'elle ne tarde pas à découvrir que Madeleine s'était lancée dans une croisade insensée : persuadée que l'eau du robinet contiendrait des produits toxiques susceptibles de provoquer la maladie d'Alzheimer, elle entendait dénoncer ce scandale auprès de l'opinion publique... Une catastrophe sanitaire de l'ampleur de celle provoquée par l'amiante ! Pas étonnant que l'on ait cherché à la faire taire. Et si Madeleine a eu accès à des informations confidentielles explosives, c'est grâce à des confidences. imprudentes de Mathilde. Très vite convaincue que sa sueur avait raison, Mathilde, aidée du policier George Barrès, reprend les investigations. Et se retrouve aussitôt dans la position de la femme à abattre...

Lionel Verney est le dernier homme.

Accablé par la mort de son père, ancien ami du roi d'Angleterre, tombé en disgrâce et réduit à la pauvreté, Verney abandonne sa jeunesse à l'esprit de revanche et à la violence, avec, tendrement enfouie, une lueur d'amour pour sa sœur Perdita.

Arrivent dans le voisinage, au château de Windsor, les enfants royaux, Idris et Adrian. Leur rencontre préside au bouleversement de leurs vies, chacun révélant à l'autre sa véritable nature...

Puis, survient la terrible nouvelle : la peste a fait son apparition et progresse. Exacerbant passions et sagesse, le fléau met chaque homme en face de son destin.

Durant toute sa vie, Séverine a écrit plus de 6 000 articles dans de nombreux journaux : Le Cri du Peuple, La Fronde, Gil-Blas, L’Humanité, Le Figaro, etc. Dans ce recueil sont réunis ses textes les plus flamboyants. Au détour de ces pages apparaissent les grands et petits noms de l’anarchisme auxquels elle rend hommage, les innombrables batailles des femmes et du mouvement ouvrier, et le parfum de poudre et de révolte de ces années tumultueuses.

Née à Paris en 1855, Caroline Rémy se lance dans le journalisme en 1883 sous le nom de Séverine, après avoir été " le " secrétaire de Jules Vallès. Avec lui, elle fonde Le Cri du Peuple, journal ouvert à toutes les écoles de la Sociale. Ecrivant ensuite pour une dizaine de quotidiens, sans se soucier de leur couleur politique, du Gaulois à L'Intransigeant, du Figaro à L'Humanité, Séverine s'imposera comme la plus grande journaliste de son époque. Première femme à pratiquer le reportage, Séverine descend dans les mines au lendemain d'un coup de grisou, visite les décombres de l'Opéra Comique, puis ceux du Bazar de la Charité, pour traquer les responsables de ces tragédies. Elle est de tous les combats, défendant les anarchistes, prenant la parole pour Dreyfus aux côtés de Zola et de Jaurès. Participant à la fondation de la Ligue des Droits de l'Homme comme à celle du prix Fémina, elle lutte pour la cause des femmes et contre toute forme de violence et d'intolérance. Elle est aussi l'une des rares voix à s'être élevée contre l'antisémitisme en ce début de siècle. Jusqu'à sa mort en 1929, Séverine ne cesse ainsi de témoigner et de se battre pour faire passer un message qu'elle n'a jamais trahi : " Avec les pauvres, toujours - malgré leurs erreurs, malgré leurs fautes... malgré leurs crimes ! "

Quand un spécialiste des romantiques anglais, émotionnellement maladroit, découvre à Florence le journal intime de Claire Clairmont, la sœur de Mary Shelley et maîtresse de Lord Byron. Un roman lumineux, stylisé et délicat.

Perdu dans ses livres, Michael Drapper ne voit pas que sa femme Barbara s'éloigne de lui jusqu'au jour où elle le quitte, emmenant avec elle leur fille de six ans. Alors que Barbara fait ses valises, le téléphone sonne. Caroline Darcy, une amie bouquiniste, l'invite à Florence pour une étonnante trouvaille. Le chercheur anglais découvre qu'il est bel et bien en présence du Journal intime de Claire Clairmont, la sœur de Mary Shelly et la maîtresse de Lord Byron. Dans la chambre où Claire a vécu les dernières années de sa vie, Michael se plonge dans la lecture du manuscrit que Claire, à la veille de sa mort, a écrit à sa fille Allegra, morte à cinq ans, sous le poids du chagrin.

Au fur et à mesure de la lecture du journal, Michael découvre une femme courageuse, qui s'est battue contre tous les carcans victoriens de son époque. Les réflexions de la vieille dame vont-elles trouver un écho chez l'essayiste londonien. Va-t-il prendre sa vie en main et cesser de se cacher dans les livres ? À plus d'un siècle d'intervalle, les réponses sont dans le journal de Claire Clairmont !

Un livre ne raconte pas qu’une histoire, il a aussi son histoire. À Metz, un conservateur de musée passionné et sa jeune acolyte remontent le fil du temps afin de retrouver la trace d’ouvrages précieux disparus pendant la Seconde Guerre mondiale.

Metz, septembre 1944. Josef Bürckel, haut fonctionnaire nazi, ordonne la destruction des archives allemandes ainsi que de trésors inestimables de la bibliothèque municipale.

Mai 2018. À la veille de prendre sa retraite, Michel Engberg, conservateur au musée de la Cour d’Or, à Metz, n’a jamais cru à cette destruction. Il aime rappeler qu’un fragment de manuscrit est réapparu dans une vente aux enchères en 1981. Gabriela Agnelli, jeune assistante ambitieuse, se laisse gagner par l’enthousiasme de son collègue. Persuadée que la découverte des disparus de la Cour d’Or lui permettra de réaliser son rêve de décrocher un poste au Louvre, elle décide de lui apporter son aide. Commence pour eux une passionnante enquête au cœur des mystères du musée.

Véritable ode à la ville de Metz, Les Disparus de la Cour d’Or s’inspire d’un fait réel.

"En ce qui concerne les derniers instants de ma mère, j'ignore comment ils se sont réellement déroulés. Ce qui est sûr, c'est que depuis cette nuit-là, je n'ai cessé de revivre cet ultime noël. Je lui imagine mille déroulements divers. Je n'ai jamais envisagé de reprendre l'enquête de la police à mon compte. Pour moi, il n'y a pas un assassin. Il y en a une multitude. Mon père d'abord, ce milicien de passage, qui n'a peut-être jamais su que j'existais.

Tous les clients du Café de Sablon ensuite, qui offraient à ma mère le dérivatif qu'elle cherchait de temps à autre, sans jamais se demander si elle n'avait pas plus besoin de cœur que de cul. Ma grand-mère aussi. Et puis, le monde qui a oublié le sens du mot amour."

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