Commentaires sur ses livres

Plutôt mitigé sur cette lecture, certains passages m'ont passionné (les grands parents de Austral) et d'autres qui étaient long et sans intérêt ( l'histoire de Isandre et Tantris) je n'ai pas trouvé le lien avec Austral. Ça reste quand même une bonne dystopie qui dénonce les risques du changement climatique.

Le choix de MsAuley aura été ma première déception en UHL, après une dizaine lue.
Ce n'est pas un mauvais livre, très loin de là. Simplement, il ne m'a rien fait ressentir. Pas d'émerveillement devant le dragon, aucune émotion pour les personnages et leur destin, rien d'étonnant à la chute de la nouvelle pour moi.

Le thème du livre ne m'a pas parlé plus que ça ; un choix, d'apparence anodine, et ses conséquences, qui peuvent être bien plus lourdes que ce qu'on s'était imaginé.

Au vu des autres commentaires, j'ai compris que l'auteur avait écrit des romans dans le même univers. Ceux là pourraient m'attirer ; le peu qui est dévoilé à travers les vies de Lucas et Damian est vraiment intriguant.

Ce qui peut passer sur un roman plus long ne me convient absolument pas ici au vu de la longueur du texte (83 pages). J'en attendais plus, et ce n'est jamais venu. Dommage.

Les passages sur le réchauffement climatique m'ont bien plu mais le reste... pas vraiment. je ne me suis pas attachée aux personnages, peu importe ce qui leur arrivait. L'histoire n'était pas vraiment intéressante.

je trouve le début de cette série plus prenant que la série des Lingeries, même si j’adore tout ce qu’ecrit Penelope Sky. J’ai lu toutes ces séries et ma préférée restera celle des Boutons. J’aime beaucoup Siena personnage très fort et fière, prête à tout pour sauver sa famille, mais ne s’attendant pas à tomber amoureuse du plus froid et arrogant banquier de la pègre, le splendide Cato , qui ne tardera pas à fondre pour elle. J’ai passé mon temps à pester contre Siena trop fière pour demander son aide à Cato. La fin était inévitable, arrivera t’il à lui pardonner ?

En quelques pages j ai été plongé dans ce monde qui est devenu légérement du notre. J ai bien aimé l idée du dragon, et j ai suivi à chaque page cette histoire. qui évolue et que j avais envie de parcourir jusqu au bout.
Une belle nouvelle , un bon essai pour la maison d édition "Le Belial" qui ose se langer dans la publication de nouvelles.

Je m'attendais à un space opéra flamboyant caché derrière un titre faussement ... tranquille.
Eh bien non, ce roman est pourtant passionnant par courts moments mais l'ensemble est verbeux (très verbeux !), les personnages sont légion et BAVARDS, il y a des chapitres entiers de dialogues épuisants de politique.
J'ai aimé innombrables termes techniques, de la bonne Hard SF, mais les scènes d'action sont molles.
On est très loin de PROTECTEUR de Larry Niven par exemple.
Décidément ce roman est très moyen, dommage.

Dans un futur relativement proche, la civilisation s’est partiellement effondrée mais des extra-terrestres ont offert aux humains des technologies, dont le moyen d’aller sur certaines planètes. Lucas est un adolescent vivant — ou survivant — près Norfolk avec sa mère, une ancienne activiste écologiste et anti-extra-terrestre. Alors que les eaux des océans ont monté et englouti les villes du littoral, il mène une vie frugale sur un îlot.

Un jour, il voit quelque chose tombé du ciel, sans doute un dragon extra-terrestre — un artefact — et en parle à son copain Damien qui l’encourage à aller voir. Car Damien, lui, rêve d’être assez grand pour embarquer vers l’espace et échapper à son père violent.

Et voilà Lucas et Damien naviguant sur le bateau de fortune que Lucas a construit de ses propres mains. Le voyage le long de la côte est long, froid, et le lecteur a vraiment l’impression de voguer avec les deux adolescents tant l’écriture est convaincante, mais ceux-ci tiennent bon.

Cette novella vaut surtout par son ambiance, ses descriptions d’un univers à la fois proche et étrange, et par les caractères des personnages, y compris les secondaires.

Cependant, ce serait exagéré de prétendre que l’histoire est mémorable, et s’il a une conclusion, il laisse sur sa faim quant à l’univers décrit (et notamment les extra-terrestres). J’ai appris, après sa lecture, que l’auteur avait écrit des romans complets dans cet univers, ceci expliquant peut-être cela ?

Je m'attendais à un space opéra flamboyant caché derrière un titre faussement ... tranquille. Eh bien non, ce roman est pourtant passionnant par courts moments mais l'ensemble est verbeux (très verbeux !), les personnages sont légion et bavards, il y a des chapitres entiers de dialogues épuisants de politique.
J'ai aimé innombrables termes techniques, de la bonne Hard SF, mais les scènes d'action sont molles..
Décidément ce roman est très moyen, dommage.

La couverture disait le meilleur livre de sciences fictions. Moi j’ai pas accroché, je suis quand même allée jusqu’à la fin.

Je suis assez mitigée sur ce livre. Austral est un livre imaginaire qui se passe sur le continent Antarctique.
Nous suivons les aventures d'une jeune femme huskie, Austral Morales Ferrado (une personne qui est née avec des gènes modifiés) et qui rêve de fuir l'Antarctique. Les huskies ne sont pas aimés par la population, ils sont plutôt décrit comme des monstres, des non-humains et des bêtes de foire. Austral veut être libre car depuis sa naissance elle fuit avec sa mère, puis elle est enfermée dans un orphelinat et pour finir emprisonnée.
Austral est maintenant une surveillante pénitentiaire pour gagner de l'argent et partir loin. Mais c'est sans compter sur un détenu Keever, un gros mafieux qui monte un plan pour s'évader et où Austral y est impliquée. Mais rien ne va se passer normalement et Austral prend en otage une jeune fille pour échapper à sa famille qui l'a renie et à la mafia.

" Les gens avaient la mémoire courte. Surtout les riches, qui avaient une obsession pour tout ce que les autres ne pouvaient se permettre."

Paul McAuley dénonce dans son roman les problèmes climatiques que nous pourrons rencontrer dans le futur et les solutions que les écopoètes ont essayé en vain de faire. Nous suivons Austral dans un paysage blanc et froid ainsi que les conséquences des politiciens, des guerres et des changements de la nature et de l'humanité à cause et grâce à la science.

"J'appris comment vivre dans la nature en prenant le moins possible et en laissant le moins de traces possible."

Dans ce roman nous suivons aussi plusieurs histoires dont celle des grands parents de Austral qui est très long à lire et sans aucun dialogue. Nous rencontrons aussi l'histoire de Isandre et Tantris qui n'a pour moi rien à faire dans ce roman car aucun rapport avec Austral et ses aventures.
Par contre j'ai adoré suivre Austral car c'est une battante qui rêve d'avoir une nouvelle vie dans un nouveau continent. Elle a eu une enfance difficile et espère avoir un peu de bonheur comme sa famille riche qu'elle n'a jamais connu. J'ai aussi aimé voir les oppositions qu'entretiennent Austral et la petite fille car tous les opposent et on espère voir une amitié ou une alliance entre les deux filles.

Pour conclure ce roman est intéressant car il nous montre une certaine alternative de ce que peut devenir le monde dans notre futur à cause du réchauffement climatique et Austral est une battante qui espère une meilleure vie. Mais ce livre ne m'a pas captivé car les actions et les aventures que rencontrent Austral sont lentes et la façon dont est écrit ce livre me dérange. De plus Austral crois dure comme faire à ce que lui a raconté sa mère sur son grand père mais pour moi il y a beaucoup de mensonges!

"Il est possible que ce soit un de mes rêves, mais, qu'il soit réel ou imaginaire, ce souvenir fait encore battre mon coeur à tout rompre."

https://entournantlespages.wordpress.com/2021/09/20/le-choix-paul-j-mcauley/

Si, au début, on peut être un peu déboussolé dû à l’univers avec sa faune, sa flore, et ses décors semi-apocalyptiques et dépaysants entre terre et mer, on accroche rapidement à ce monde transformé et immersif. Paul J. McAuley a un style assez simple, comme plusieurs autres auteurs publiés dans cette collection, mais son univers tient la route et donne envie de savoir vers où toute cette histoire va nous mener.

Malheureusement, le scénario reste assez basique malgré un grand potentiel. Un adolescent veut fuir un père autoritaire. Un autre se contente avec plaisir de sa vie tranquille entre son travail sur sa barque et les soins qu’il prodigue à sa mère physiquement fatiguée mais moralement toujours aussi activiste lorsqu’il s’agit de l’écologie terrestre. Les deux amis adolescents sont sympathiques mais, le monde dans lequel ils naviguent avait de quoi produire une histoire bien plus innovante. La revendication écologique est bien amenée et elle joue un rôle primordial dans cette novella.

Cette lecture ne l’a pas du tout fait pour moi…Le livre fait 83 pages et j’ai bien senti toutes les pages passés. Je n’ai pas particulièrement accroché à la plume de l’auteur, pour moi ce n’était pas transcendant. Beaucoup de choses on fait que la plume était assez lourde comme par exemple certaines descriptions que j’ai trouver plutôt inutile. 1pages et demi pour dire ou le personnage à trouvé ces pièces pour son voilier c’était trop.

Il y a aussi le fait que l’on avait au moins 5 repères géographique toutes les 2 pages. Je suis passée par tout : Ville, lac, Pays, Océan, quartier, rivage brefff quelque-uns aurait pour moi largement suffit !

Le pire étant qu’il y avait énormément de sujet pour un si petit livre.. Et encore une fois je me répète je suis passé par tout :

Spoiler(cliquez pour révéler)

dragon, extraterrestre, montée de eaux, politiques, meurtre, maladie, règlement de compte, cancer, violence parentale et j’en passe. J’avais clairement l’impression que le récit partait dans tous les sens.

Je n’ai eu le temps de l’accrocher aux personnages et pour tout vous dire je ne ressentais rien vis a vis d’eux, tout ce qui leur arrivais me lassais de marbre.

J’aurais aimé trouver de réel point positif à cette histoire car j’aime quand même mettre en avant les points positif mais je n‘ai rien trouvé mise à part les 10 dernières pages qui étaient «meilleures» que tout le reste.

Sinon pour voir le bon côté des choses : La couverture est vraiment jolie et à un réel lien avec l’histoire

Découverte d'un nouvel auteur avec cette novella, qui ne sera pas ma préférée dans cette collection "1 heure lumière".
Mais le sujet est tout de fois bien amené et démontrent que les choix que l'on fait ont des conséquences même indirectement.

On pourrait résumer l'oeuvre par une phrase prononcée par l'un des personnages : "Si la guerre éclatait... Quand la guerre éclaterait.".

Niveau littéraire, rien à redire, le livre est très bien écrit, l'univers scientifique est très cohérent, les personnages sont bien décrits.
La société des extros, sorte de démocratie totale ou tout est décidé par votation, mais avec ses rebelles, ses marginaux est originale est bien développée dans le roman...

MAIS : le quatrième de couv et le premier chapitre qui présentent Dave n°8, agent crée en laboratoire et Cash Baker, pilote de chasse nouvelle génération, pouvait laisser penser qu'on allait assister à un roman de sf militaire avec l'action et le vocabulaire adapté, il n'en est rien.
La première partie (160 pages) est centrée sur l'histoire de Macy ingénieur écologue envoyée sur Callisto pour un projet écolo-biologique et tourne donc avec du vocabulaire hard science "biologie-écologie-génétique" un tantinet rasoir.
La seconde partie (jusqu'à la page 400, même si l'auteur découpe cette partie en plusieurs parties) présente un peu plus d'action mais noyée dans la politique et les manoeuvres des deux camps, avec une lente (très lente) montée de la pression.
Ce qui fait que quand on arrive à la dernière partie du roman (intitulée une petite guerre tranquille), le lecteur que je suis avait quasiment décroché et le peu d'action militaire qui s'y trouve n'a pas suffit à rattraper le reste du roman.

L'histoire de Dave 8 et Clash Baker est anecdotique sur l'ensemble du roman au regard de l'histoire de Macy Minnot et de Sri Hong-Oen (alors que c'est leur histoire que j'aurais voulu lire).

Au final, un space opera bien écrit et pas inintéressant dans l'univers qu'il développe, mais le trop peu d'action par rapport à ce qui est annoncé (ou suggéré) en fait une déception. (En même temps, vu le titre, : la guerre tranquille, j'aurais du me douter).

Une amitié de longue date et des vies de famille difficiles, plongés dans un contexte climatique alarmant…

Encore une novella de la collection Une Heure Lumière ? Oui tout à fait, quelle perspicacité ! Aujourd’hui, nouvel univers et nouvel auteur pour ma part. Paul J. McAuley figure parmi les millions d’auteurs dont je ne connais encore… rien du tout ! La quatrième de couverture offre un beau panorama : une forte amitié, un dragon éperdu, l’environnement planétaire qui se détraque et une mission qui va devenir un objectif de vie.

https://www.acaniel.fr/le-choix-de-paul-j-mcauley/