Penny Reid

Petite lecture sympathique mais il faut passer outre la personnalité de l'heroine qui ne plaira pas à tout le monde. Il faut s'y faire et plus la lecture avançait et plus j'ai eu du mal avec elle. Sinon son groupe d'amies et son patron sont plus plaisant à découvrir et deviennent une bouffée d'air frais quand il est question de leurs réunions tricot et bien d'autres...

Bon, ben je n'ai pas franchement été emballée par ce premier tome.

L'héroïne est vraiment particulière (j'ai pensé à une forme d'Asperger peut-être ?). On a droit à ses digressions et à la moindre de ses pensées (incohérentes en plus) en long, en large et en travers pendant plus de 400 pages et c'est d'un lourd !

Concernant Quinn, il reste lacunaire, on ne sait presque rien de lui.

Le club de tricoteuses qui donne son nom à la série n'est pas assez présent, on les aperçoit plus ou moins pendant quelques pages, et puis c'est tout.

J'attendais impatiemment la scène coquine, vu que l'autrice nous fait mariner tout du long. Et Spoiler(cliquez pour révéler)tout ça pour (seulement) ça ?!?

Par ailleurs, je n'ai pas du tout apprécié le côté contrôlant de Quinn sur Janie, on est carrément au stade où il choisit ce qu'elle mange au restaurant et elle ne voit aucun problème à ça !

Au final, quand on enlève tout le superflu (énormément de remplissage, répétitions, pages inutiles, etc...), il ne reste pas grand-chose pour faire une histoire. C'est très (trop) sommaire.

Je vais tout de même tenter le volume 2 sur Elizabeth, à voir.

Après avoir laissé ce tome bien trop longtemps dans ma Pal alors que j'avais adoré la plume de Penny Reid et les tomes précédents.

On fait ici la connaissance de Ashley, une jeune infirmière qui va devoir retourner dans son Tennessee natal pour des affaires de famille.

Je dois avouer que j'ai tellement rigolé à certains passages loufoques et farfelus. Notamment à la rencontre avec Drew, ou l'épisode du raton laveur.

Une romance mignonne centrée sur la famille, l'amitié, l'amour, les pertes.

Bon, je vais m'arrêter à ce deuxième volume pour cette série, car elle ne me plaît pas.

Beaucoup trop de digressions dans tous les sens, de détails inutiles et répétitions qui plombent l'histoire.

Concernant l'histoire justement, elle ne mérite absolument pas les 400 pages, c'est du pur remplissage quand on regarde vraiment ce qui en ressort au final.

Les personnages m'ont davantage plu que dans le 1er tome, mais ce n'est toujours pas ça.

Le Club des tricoteuses anonymes - qui donne quand même son nom à la série - est toujours passablement absent.

Pas pour moi, mais ça plaira sûrement à d'autres.

Je n'abandonne par contre pas forcément l'autrice, car j'avais apprécié ma lecture des 4 tomes de "Mise à l'essai".

Brian et Eilish sont mon couple préféré de cette saga !

Un tome un peu plus sérieux que les premiers avec les thèmes abordés tel que l'alcoolisme et la charge des mères célibataires.

La relation Bryan et Eilish évoluent tantôt vite et tantôt à reculons au gré des blessures des uns et des autres.

Avec une bonne fée en la personne de l'impossible Sean Cassidy !

Bref j'ai adoré ce tome !

Je partais avec un a priori sur Josey après la lecture du troisième tome.

Finalement, j'ai réussi à m'attacher à Josy et à sa personnalité déjantée ainsi qu'à sa logorrhée verbale ! Et il fallait bien tout ça à Will pour le faire sortir de sa réserve, des règles qu'il adore se fixer pour se protéger, et de sa rigueur.

Chaque fois que je relis ce tome, j'y découvre de nouveaux détails ainsi qu'une cohérence encore plus grande dans la psychologie des personnages et l'évolution de leurs sentiments. C'est une de mes romance-doudou

J'aime beaucoup le héros italien irrésistible, ainsi que le chapitre de son point de vue. J'accroche moins à l'héroïne et toutes ses hésitations et interprétations alambiquées. Mais j'adore tellement le héros!

J'ai moins aimé ce couple, l'héroïne est trop brusque et nerveuse pour que je m'identifie à elle, et lui est un peu trop taiseux parfait

Adoré! Le détachement, l'intelligence aigue et le sérieux de l'héroïne, et le lyrisme du héros, mmm...