Philippe Adamov
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Note moyenne : 7.12/10Nombre d'évaluations : 33
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- Adamov
Les derniers commentaires sur ses livres
Un deuxième tome moins réussit que le premier. Tout simplement parce que l'histoire se passe en grande partie dans la tête de Tchen-Qin, qui lutte entre la vie et la mort.
Afficher en entierTroisième épisode de l'aventure de Tchen-Qin. Après être revenu à la vie, il a perdu la mémoire. On souffre avec lui et on voudrait tant qu'il retrouve Pimiko. Ce ne sera pas encore pour cet album.
Afficher en entierTchen-Qin s'éloigne toujours un peu plus des siens dans ce quatrième volet. Pimiko ne l'a pas oublié. Ses amis sont à sa recherche. Ses ennemis prennent sa place. On sent que l'on arrive à la fin d'un cycle. Quelle va être la conclusion ? Un bon tome. Les héros sont attachants. On souffre avec eux, mais au fond de nous, on sait que tout ne va pas se dérouler comme l'on voudrait.
Afficher en entierConclusion de ce premier cycle. Tchen-Qin retrouve la mémoire, retrouve sa force, ses moyens et va régler son compte au traitre, le Tigre lui même. Celui qui est à l'origine de sa chute, de ses blessures, de son amnésie. Tout ne se termine pas comme on le souhaite, Tchen-Qin ne revient pas vers Pimiko, Toshi meurt, mais Tchen-Qin repart vers Mara, et c'est ce qu'il veut. Il est un homme libre.
Afficher en entierUne BD fantastique qui débute une grande série. Cette série nous fait découvrir le Japon médiéval avec ses seigneurs tout puissants et ses samouraïs ainsi que leur code d'honneur. Les personnages sont vraiment bien dépeints et attachants. J'ai adoré le héros, Tchen-Qin.
Afficher en entierPas mal du tout ! La première partie d'une histoire pour le moins divertissante, avec de l'action, des secrets, dans un monde futuriste...
Ça vaut tout à fait le coup, je pense, de se procurer le tome 2 ! ;)
Afficher en entierune bd que je ne lis pas mais pour un challenge je l'ai découvert. je n'ai pas apprécié.
Afficher en entierUne vision sans tendresse d'une humanité décatie... Très connoté 80, la description sans finesse d'un monde décadent est parfois difficilement soutenable. Le dessin n'est pas inintéressant, les paysages sont très réussis, mais les couleurs sont criardes et on se lasse un peu des traits forcés des personnages de la cour de Mortelune. Dans la lignée de "Beatifica Blues", mais en moins subtil.
Afficher en entierUn second tome dans la lignée du précédent. Le temps a passé, mais pas grand chose n'a changé. On se demande un peu où l'on va avec cette intrigue tant il se passe peu de choses marquantes.
Afficher en entierLa place plus importante prise par Barnabé et les révélation sur son identité amène quelques rebondissements et un regain d'intérêt pour la série, qui reste malgré tout coincée dans ses schémas d'intrigue de cour qui ne progresse pas beaucoup. Le dessin est égal à lui-même. L'atout de la saga réside encore et toujours principalement dans les paysages post-apo imaginatifs et fascinants.
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Biographie
1956, je nais ! 3,2 Kg - beau bébé ! Je découvre la BD en 1965 dans un petit magasin de soldes de bouquins pendant les vacances. J'y reviendrai chaque année. Je rentre alors dans le monde de Jigé, de Cuvelier et d'Harold Foster. Bref, toute l'ancienne garde ! Après des études très écourtées à l'Ecole Estienne, j'intègre Studios René Laloux à Angers comme stagiaire décorateur. Nous travaillons sur le pilote du film Gandahar dessiné par Caza. Ces 3 années passées là-bas me serviront bien plus tard dans mes nombreuses activités (illustrations, BD, etc.). Je rencontre aussi Moebius qui deviendra pour moi "la" référence. En 1978 je retourne à Paris et je me lance non sans problèmes dans l'illustration de SF. Je travaille pour Opta (éditeur aujourd'hui disparu) entre autres, qui me paie misérablement. Je collabore ensuite au défunt journal de SF Futur où je rencontre Gérard Klein, Michel Demuth, les frères Bogdanoff et beaucoup d'autres. Ils me font faire des travaux d'illustrations pour plusieurs éditeurs tels Le Masque, Anthologie de la SF au Livre de Poche, Casterman, R. Laffont, etc. En 1979 je suis contacté par F. Allot pour travailler sur la série Ulysse 31. C'est un travail de création plutôt enrichissant, tant au niveau pécuniaire (enfin!) qu'artistique. Je collabore en 1983 à la création d'une BD avec Xavier Seguin pour le journal Okapi. Elle ne verra jamais le jour en album (heureusement !) mais elle me permettra de me faire remarquer par Henri Filippini, directeur de collection aux Editions Glénat. Il me présentera un certain Patrick Cothias avec qui je vais collaborer pendant près de 10 ans. Glénat lance le magazine Vécu et nous créons Le Vent des Dieux. Un an après suivront Les Eaux de Mortelune, une grande saga de SF. Immédiatement, les deux séries marchent bien, et je commence alors à vivre uniquement de la BD en alternant un album de chaque série pendant presque 8 ans. En 1992 je décide de créer ma propre histoire et avec l'aide de J.C. Camano, directeur éditorial chez Glénat, nous publions Dayak, une trilogie de SF qui se déroule en Afrique. Je rencontre Jean Dufaux en 1999 avec lequel je crée l'Impératrice Rouge, une lutte impitoyable pour le pouvoir dans une Russie post-apocalyptique, où subsistent les vestiges d'un communisme décadent, et où règne un système politique totalement archaïque.