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Tous les livres de Philippe Bouvard

Quatrième de couverture (Le Livre de Poche) :

Après "Un oursin dans le caviar", souvenir de vingt ans de journalisme, et "La cuisse de Jupiter", histoire d'un magnat de la presse, Philippe Bouvard poursuit la peinture indiscrète de la société contemporaine. Son nouveau héros, Charles de Saint-Miel, est joueur.

Philippe Bouvard dans "Un oursin sur les tapis vert" a voulu montrer les ravages d'un fléau dont on parle moins qui l'alcool ou que la drogue, mais qui porte finalement la responsabilité de nombreuses misères morales, matérielles et physiologiques.

Lucien Dieu, directeur du plus puissant quotidien français : Midi-Presse, meurt en quelques mois à l'âge de 56 ans. Obsèques grandioses, où se presse tout ce que Paris compte de célébrités : ministres, artistes, femmes du monde - et du demi-monde -, auteurs célèbres, mélangés. Funérailles éminemment parisiennes.

Mais qui est donc Lucien Dieu? Et qui aurait jamais pu le savoir si le narrateur - un journaliste - n'était, après la cérémonie, revenu dans l'appartement du défunt où un hasard heureux lui fit trouver son journal intime ? Etrange personnage. A travers ses confidences, cet homme aussi puissant - sinon plus - que n'importe lequel des représentants du pouvoir, cet homme respecté et craint nous livre un étrange récit de sa vie.

L'argent, certes, l'intéresse, mais il en a au-delà du désirable. L'influence ? Il peut, à son gré, mettre en vedette un nom ou, au contraire, faire en sorte que le public l'ignore. Non, tout cela, en trente ans de journalisme, Lucien Dieu en a fait le tour. Ce qui le passionne, ce sont les femmes, toutes les femmes, de la dactylo à l'épouse du P.-D. G., de la serveuse de restaurant à la compagne des ministres. II les adore toutes. Trop, sans doute, car ce sont elles qui vont lui créer le grand drame de sa carrière.

Il se rend souvent chez un de ses amis qui organise pour ses invités d'étranges « êtes » que la morale réprouve. La police s'en mêle... Lucien Dieu, si son nom ne paraît pas encore dans la presse, se voit toutefois interrogé plusieurs fois par semaine au Quai des Orfèvres, par le commissaire Larue. Des témoins - plus ou moins manipulés - se succèdent pour l'accabler. L'inculpation, et la ruine morale, semblent inévitables... Seulement voilà, Lucien Dieu est journaliste. Il sait ce que sont les hommes, il n'en connaît point sans défaillances. Alors commence, menée par lui, la contre-enquête son objet, ce sera le commissaire Larue lui-même : comment donc Lucien Dieu pourra-t-il s'en sortir ?

C'est à ses frères les hypocrites que s'adresse Philippe Bouvard dans ce livre plus corrosif qu'acidulé, plus tendre qu'indulgent, plus féroce que méchant, plus drôle que souriant où de dures vérités se promènent sous le masque sarcastique de la connaissance des hommes.

Evincé des « Grosses têtes » de RTL puis rappelé en catastrophe en raison de l'effondrement de l'audience, Philippe Bouvard demeure à 73 ans, un homme actif dans l'existence duquel le travail joue un rôle prépondérant. Outre plusieurs romans (Une pâle ordure, La grinchieuse), il a notamment publié aux éditions Albin Michel : Tous des hypocrites sauf vous et moi et une Lettre ouverte aux marchands du Temple.

"A 50 ans, publicitaire reconnu, Walter Ego décide de tout abandonner; famille, métier, amis, maison… Une vie confortable, enviable même, mais qui ne l’intéresse plus. Il rêve de recommencer et d’être libre. Mais les règles de la société, si mensongères et truquées soient-elles, ne se laissent pas enfreindre sans contrepartie. Walter Ego paiera sa décision du prix de la solitude, d’un dénuement croissant, d’une véritable dégringolade au fond du gouffre social… En lisant son propre roman, en incarnant à la perfection le personnage de Walter Ego, Philippe Bouvard nous dévoile son talent d’écrivain et de conteur, avec sa voix si familière qui figure dans notre mémoire collective." Patrick Frémeaux Le plus grand succès de librairie de Philippe Bouvard romancier, lu par lui-même en 6 CDs !

Les hommes, Georgette Rossinot, dite Ségolène, les méprise depuis toujours. Et si elle leur ouvre son lit, ce n'est ni par tendresse ni par plaisir. Elle finit par trouver le bon bougre en la personne de Louis, riche soyeux lyonnais, débonnaire et plus âgé qu'elle. La faiblesse du pauvre homme ne fait qu'encourager cette mégère, dont la rapacité et la cruauté ne connaîtront plus de bornes...

Enfin veuve, Ségolène entend bien mener la belle vie et commence par s'offrir une Bentley. Et avec elle, un chauffeur du genre jeune et beau : Germain, qui va tardivement lui faire découvrir le bonheur des sens...

Ce sera sa perte. A son tour, la «grinchieuse» connaîtra la soumission, l'humiliation, le mépris. Au point que nous finirons par la prendre en pitié...

L'animateur des Grosses Têtes, chroniqueur de France-Soir et du Figaro, signe ici son deuxième roman, après Un homme libre. Une savoureuse comédie de mœurs, à la féroce gaieté.

" Je suis affligé d'une ignorance encyclopédique amplifiée par une verve logorrhéique. Alors de grâce, qu'on cesse de me donner la parole à propos de tout et de rien ". Impertinent, caustique et médiatique... Philippe Bouvard avait tous les atouts dans son jeu lorsqu'il entreprit ce Journal. Il aurait pu se contenter d'offrir à ses lecteurs un florilège de saillies verbales. En fait, il est allé bien plus loin : derrière l'humour - qui chez lui est une forme de pudeur -, on découvre un homme profondément honnête. S'il n'est pas tendre avec ses contemporains, il n'hésite pas à faire amende honorable et à réviser ses propres jugements. Réflexions sur l'absurdité de notre société, anecdotes truculentes, aphorismes... ce livre est un pur plaisir. Entre autres qualités : l'auteur pratique avec délectation l'autodérision.

Passant tour à tour en revue les jeux de billes, les jeux de dés, les jeux de chevaux, les jeux de cartes, les jeux de casino, les bandits manchots, il décrit avec férocité et lucidité cette société fermée, presque secrète, dont les membres connaissent la même poussée d'adrénaline à la vue d'un tapis vert, le même espoir de dévaliser sans risque de poursuites un établissement à vocation commerciale, et la même déception lorsque, la chance n'étant pas au rendez-vous, ils ont perdu en une soirée le gain de plusieurs mois de travail.

Une galerie de portraits au vitriol où se trouvent accrochés les casinotiers, les joueurs de poker, les gagnants du loto, la brigade des jeux, les tenanciers de tripots, les désespérés et les tricheurs. Les joueurs découvriront les coulisses d'un théâtre dont ils sont les acteurs payants. Les non-joueurs se féliciteront d'être passés à côté d'une passion aussi dévorante que l'amour et aussi funeste que la drogue.

L'homme qui souhaiterait qu'on inscrive simplement sur sa tombe : "Il y est passé comme les autres" est, Dieu merci, le plus vivant de nos humoristes et le plus spirituel de nos animateurs, quand sonne l'heure de la gaudriole récréative. Mais ce serait une erreur de cantonner Philippe Bouvard dans son rôle d'organisateur malicieux des délires de nos après-midi sur RTL et du samedi soir sur TF1. Le journaliste multimédia, le chroniqueur et l'éditorialiste, le romancier parfois, l'inventeur du "Théâtre de Bouvard" et des "Grosses Têtes", est aussi l'observateur lucide et le moraliste caustique d'une société dans laquelle il s'est épanoui sans jamais en être dupe.

Les six cents pensées réunies dans ce livre en administrent la preuve. Dans le sillage de Sacha Guitry et de Pierre Dac, on lui doit des axiomes très personnels où le fou rire se mêle au désespoir. Philippe Bouvard manie l'humour et les mots avec un sens de la dérision et un esprit cri-tique qui surprendront plus d'un lecteur.

"Je ne suis ni La Rochefoucauld, ni Chamfort ni Rivarol. Je m'en console paradoxalement en essayant de faire parfois - et toutes proportions gardées - comme eux. C'est-à-dire en condensant ce que j'ai cru comprendre et qui, dans sa version la plus délayée, ne saurait, on s'en doute, occuper que quelques pages.

Il n'y a, bien sûr, plus d'authentique humeur que de vraie sagesse dans ces paragraphes au fil desquels je tente (vainement) de régler leur compte aux femmes du monde, à l'angoisse métaphysique et aux inégalités sociales. Si l'on y décelait parfois en prime un zeste de bon sens, je m'estimerais comblé...

Le second volume ne paraîtra pas - dans le meilleur des cas - avant trois décennies. vous aurez donc tout le loisir de feuilleter plusieurs fois ce modeste ouvrage d'un agnostique centriste, chauvin et égrillard, formé à la dure école des Hautes Etudes Communales et des dîners en ville. Philippe Bouvard

"Très jeune - j’avais à peine vingt ans - j’ai décidé que je serai l’un des observateurs de la vie qui passe. Par gentillesse ou par indifférence, personne ne s’est opposé à cette étrange vocation. J’ai donc observé. J’ai noté les notables. J’ai vilipendé tous ceux qui auraient pu dire du mal de moi. J’ai poursuivi dans l’âge mur les rédactions de l’adolescence. Cinquante années ont passé. J’observe toujours" affirme Philippe Bouvard qui, en effet, - à la manière d’un entomologiste sarcastique - scrute depuis quelques décennies la société française et ses contemporains. Volontiers cruel envers les autres, il est impitoyable vis-à-vis de lui-même : "À trente ans j’étais persuadé de faire une carrière littéraire et de mourir jeune. J’aurai tout raté." Preuve, si besoin était, qu’il s’inscrit dans la grande tradition des diaristes, tels Jules Renard et Paul Léautaud.

Philippe Bouvard écrit comme les mousquetaires se battaient en duel au XVIIe siècle. Esquive, pointe et, à la fin, le trait qui fait mouche. Ce redoutable bretteur sait aussi à l’occasion être tendre et mélancolique. Mais il se reprend vite afin de continuer son oeuvre de démolition des cuistres.

Les Grosses Têtes fêtent leur vingt-cinquième anniversaire ! Pour célébrer en s'esclaffant ce quart de siècle, un florilège des meilleurs moments et ils furent nombreux - a été réuni dans ce volume.

Voici l'occasion unique de retrouver les improvisations fulgurantes d'Olivier de Kersauson et de Jean Yanne, de Jacques Martin et de Guy Montagné, les colères de Jean-Pierre Coffe, les blagues de Carlos, et encore bien d'autres souvenirs impérissables d'instants passés en compagnie de Pierre Bellemare ou de Thierry Le Luron. Tous ceux, qui, au fil des années, sous l'oeil complice et amusé du chef d'orchestre, Philippe Bouvard, ont fait de cette émission un incontournable rendez-vous de l'après-midi.

Répliques, histoires drôles et saillies irrévérencieuses fous rires garantis.

François André, le colon venu de l'Ardèche, fondateur de l'Empire du jeu et du tourisme, époux de Marie-Louise, ancienne modiste qui coiffa le développement de La Baule ; Lucien Barrière, son neveu, agriculteur qui délaissa les prairies pour les tapis verts avant de se marier avec Martha, une artiste hongroise réfugiée ; Diane, fille de Martha, adoptée par Lucien, héritière d'un royaume dont les sujets se couchent rarement avant que se lève le soleil, victime d'un accident d'avion et disparue après six années de calvaire ; Dominique Desseigne, ex-notaire, président d'un Groupe de palaces, de casinos, de restaurants et de golfs qu'il gère au nom d'Alexandre et de Joy, les enfants que lui a donnés Diane : c'est le roman vrai d'une famille française sublimée par la réussite et frappée par le malheur.

Vieillir est une réussite : la preuve en est que tout le monde n'y parvient pas. Philippe Bouvard, lui, peut se vanter d'avoir atteint l'âge de raison en toute sérénité. Evincé, puis rappelé pour réanimer - dans tous les sens du terme - les " Grosses têtes ", il n'a rien perdu de son optimisme et de sa vivacité. Le résultat, ce livre qui célèbre à sa manière " l'ancienneté " : à l'image du cholestérol, il y a la mauvaise qui se prononce vieillesse et la bonne que l'on nomme expérience. Bouvard a choisi son camp. A soixante-dix ans passés, il trouve la vie décidément belle. Euphorisante et effrontée, une réflexion sur cet âge que l'on dit "grand", par un des élèves les plus indisciplinés du PAF.

Le diariste, selon Philippe Bouvard, est un oiseau de proie. Le prédateur en question a pour pâture tout ce qui se passe à sa portée : " un film, un livre, une joie, une douleur, une confidence, un bon mot sur quelqu'un qu'il hait, une méchanceté sur quelqu'un qu'il aime. " Dans cet ouvrage, Philippe Bouvard distille ses " poisons " avec un évident bonheur, bonheur qui peut devenir une véritable danse du scalp autour de ses victimes. Dans cet art-là, l'auteur est passé orfèvre. Philippe Bouvard - c'est une autre de ses caractéristiques - accepte la critique à condition qu'elle ait du talent. Il pousse même le vice jusqu'à l'autocritique, et se la " sert lui-même avec assez de verve " si on ne sait pas la lui servir. Un écrivain, dit-on, a l'âge de son style. Dans ce cas, Philippe Bouvard inflige un cinglant démenti à l'état civil.

Théodora la marieuse... divorcée trois fois. Juliette, la «je-sais-tout» qui des autres et de la vie n'apprend rien. Ludivine, la présentatrice télé qui «peut tout faire puisqu'elle ne sait rien faire de précis». Madeleine, la bigote qui «pour un rien qui l'inquiète, se signe»...Qui n'a pas croisé, au moins une fois dans sa vie, ces femmes aux tempéraments affirmés ? Des caractères que Philippe Bouvard, inspiré par La Bruyère, croque avec un bonheur inégalé... et une perfidie inégalable. De Judith la menteuse à Laura la «don Juane», de Corinne la touche-à-tout à Cécile qui perd tout, de Régina la diva, Diane la liftée, Elena la dépensière à Marianne la jalouse ou Marie-Clotilde l'aristocrate, c'est à un voyage au pays des femmes que Philippe Bouvard nous invite.Dans ces portraits à la fois émerveillés et agacés, acerbes et cocasses, le plus indépendant d'esprit des féministes et attendri des misogynes - ou prétendu tel - décrit avec passion et cruauté le véritable «sexe fort».

Pour fêter les 20 ans des Grosses Têtes sur RTL, Philippe Bouvard présente dans ce volume les souvenirs, anecdotes et histoires les plus drôles de cette émission qui, radio et télévision réunies, reste l'une des plus populaires. Dans cette pittoresque galerie de portraits, défilent la plupart des personnages médiatiques de ces deux dernières décennies : Léon Zitrone, aussi glouton au micro qu'à table ; Philippe Castelli et Sim, dont le physique est assorti aux réparties ; Jacques Martin, qui ne recule devant aucune provocation ; Jean Yanne, aux improvisations fulgurantes ; Olivier de Kersauson, dit " l'Amiral ", vicomte à la ville et, sur les ondes, prince de la saillie irrévérencieuse que Gérard Jugnot, bouffon impitoyable, titille telle la mouche l'éléphant ; Alice Sapritch, Macha Méril et Evelyne Leclercq, dans le rôle des trois muses. Les affrontements entre participants constituent des sketches particulièrement savoureux. Deux heures de fou rire garanties.

Non content de faciliter le travail des lecteurs, l'auteur a souhaité voler au secours des critiques en formulant dix griefs principaux à l'égard de son propre livre : " 1) Pour qui l'auteur se prend-il ? 2) Comment ose-t-il publier des pensées alors qu'il n'a jamais pris rang parmi les intellectuels ? 3) En vertu de quelle légitimité émet-il des jugements aussi définitifs sur des sujets qui lui sont autant étrangers que l'amour, la politique et la culture ? 4) Ne pèche-t-il pas par manque de travail et par défaut d'inspiration en se montrant incapable de dépasser dix lignes sur un seul sujet ? 5) Pourquoi, alors qu'il sait que tout a été dit, s'obstine-t-il à croire que tout n'a pas été écrit ? 6) Son inconscience n'aboutit-elle pas à ce qu'une voie traditionnellement royale s'achève cette fois en impasse ? 7) N'est-ce pas pousser trop loin le paradoxe que de qualifier de maximes des songe-creux minimalistes ? 8) A-t-on le droit de multiplier les mauvais coups sous prétexte de faire des bons mots ? 9) L'auteur ne pense-t-il pas plus haut que sa tête ? 10) N'est-il pas de pire fou que celui qui se prend pour un sage ? "

Depuis 16 ans, Philippe Bouvard anime Les Grosses Têtes sur RTL, et maintenant sur TF1. Le principe de l'émission, on le sait, consiste à demander notamment à des vedettes du spectacle, du petit écran ou de la littérature, de répondre à des questions posées par les auditeurs. On voit ainsi se succéder les personnalités les plus diverses (Jean Dutourd, Sim, Guy Montagné, Jacques Martin, Patrick Sébastien, Gérard Jugnot, Olivier de Kersauson, pour n'en citer que quelques-uns). Leurs interventions souvent brillantes sont aussi prétexte à raconter des histoires, ou des anecdotes drôles ou croustillantes. Cette émission est une mine d'humour. Philippe Bouvard en a retenu pour ce livre les plus scintillantes paillettes, les plus rares pépites, afin de nous amuser, tout en nous instruisant : aux Grosses Têtes , on brasse aussi un patrimoine culturel du plus parfait éclectisme.

Philippe Bouvard a écrit un roman, Un vrai roman. Un roman de notre époque dont l'intrigue n'est jamais traitée -et pour cause -dans la littérature classique. Un téléspectateur lambda tombe follement amoureux d'une femme jolie et intelligente qui vient le visiter, chez lui, tous les soirs, à vingt heures précises : la présentatrice du journal diffusé par une grande chaîne. Amour impossible ? Passion unilatérale ? Pas entièrement. En tout cas, les péripéties et les coups de théâtre se multiplient avant que la situation évolue au fil d'un thriller hertzien. Une fresque à deux volets : d'un côté, l'univers feutré des consommateurs d'images et, de l'autre, le monde cruel où l'Audimat est roi. L'héroïne est un personnage composite. Elle emprunte les lignes de son visage et les traits de son caractère à plusieurs divas de l'information vespérale. Et peut-être son destin...

Les Grosses Têtes fêtent leur trentième anniversaire. Emission de légende, ce " zoo des grands fauves de l'humour ", selon Philippe Bouvard, a vu passer derrière ses grilles les spécimens les plus extraordinaires de l'esprit français, de Jean Yanne à Olivier de Kersauson, en passant par Jacques Martin, Thierry Le Luron, Jean Dutourd, Jean Amadou ou Jean-Pierre Coffe. Trente ans de joutes oratoires, de numéros de bravoure, de répliques légendaires, de saillies irrévérencieuses, d'aphorismes et de bons mots : c'est le meilleur des Grosses Têtes que nous vous proposons de retrouver dans ce livre anniversaire, trente ans de fous rires, sélectionnés par le maître du jeu en personne, Philippe Bouvard. Un programme culturel unique, dans lequel sont évoqués pêle-mêle les nageuses allemandes, la recette du soutien-gorge au coulis de jarretelle, le tragique destin des spaghettis, le prunier mirobolant de Chine, la douce peau des sumos ou encore l'histoire de France revue et corrigée, sans oublier de nombreuses anecdotes mettant en scène Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Carmet, Jean Gabin ou Sacha Guitry. C'est un véritable monument de l'humour français que nous vous invitons ainsi à commémorer, entre deux fous rires.

Philippe Bouvard n'a pas attendu l'ère des " people " pour croquer les célébrités : en soixante ans de journalisme, il a rencontré la plupart des têtes d'affiche de la société contemporaine. De René Coty à Olivier Besancenot, de Coco Chanel à Brigitte Bardot, de Pierre Lazareff à Salvador Dali, de Michel Simon à Alain Delon, de Georges Simenon à Nicolas Sarkozy, il rend à travers cette galerie de portraits aussi éclectiques que cocasses un hommage amusé à ses modèles, avec l'insolence d'un grand " humoraliste " qui défie quiconque de se prendre au sérieux. Une brassée de souvenirs qui ne s'éteindront pas tant qu'il y aura, de génération en génération, un gardien de la flamme. On lui pardonnera de se placer souvent à côté de ses illustres modèles en considérant que cette proximité authentifie ses témoignages sans qu'elle lui ait jamais fait renoncer à sa devise : "Ni dupe, ni complice".

Non content de faciliter le travail des lecteurs, l'auteur a souhaité voler au secours des critiques en formulant dix griefs principaux à l'égard de son propre livre :

« 1) Pour qui l'auteur se prend-il ?

2) Comment ose-t-il publier des pensées alors qu'il n'a jamais pris rang parmi les intellectuels ?

3) En vertu de quelle légitimité émet-il des jugements aussi définitifs sur des sujets qui lui sont autant étrangers que l'amour, la politique et la culture ?

4) Ne pèche-t-il pas par manque de travail et par défaut d'inspiration en se montrant incapable de dépasser dix lignes sur un seul sujet ?

5) Pourquoi, alors qu'il sait que tout a été dit, s'obstine-t-il à croire que tout n'a pas été écrit ?

6) Son inconscience n'aboutit-elle pas à ce qu'une voie traditionnellement royale s'achève cette fois en impasse ?

7) N'est-ce pas pousser trop loin le paradoxe que de qualifier de maximes des songe-creux minimalistes ?

8) A-t-on le droit de multiplier les mauvais coups sous prétexte de faire des bons mots ?

9) L'auteur ne pense-t-il pas plus haut que sa tête ?

10) N'est-il pas de pire fou que celui qui se prend pour un sage ? »

Philippe Bouvard

" Je suis mort hier ". Au seuil de l'éternité, j'ai déjà mesuré le monument de bêtises qu'on édifie à chaque fin d'existence. Moi, le premier. Encore que, par superstition, j'évitais le sujet. C'est à destination des survivants provisoires que j'ai donc décidé de tenir, durant ma première année d'éternité et avant d'être gagné par la routine posthume, mes carnets de mort. " Des carnets qui n'ont rien de morbide tant ils manient l'ironie et assènent des vérités, tant la plume qui les trace se baigne d'encre douce-amère et évoque, avec une légèreté propice aux gravités éternelles, un sujet qui - hélas !- s'adresse à chacun. Des funérailles de l'auteur fort courues aux premiers jours de solitude totale dans le cercueil, des voisins de caveaux muets aux souvenirs du passé qui eux peuvent remonter à la surface, des questions sur l'âge, la maladie, Dieu, la famille, les femmes aux réflexions sur notre monde forcément profondes - puisque venues de l'au-delà -, cet ouvrage est un délice d'humour noir... autant qu'une ode à la vie.

A l'aube de ses 80 ans, Philippe Bouvard offre une formidable bouffée d'air frais littéraire, un texte sincère et hors normes qui possède une âme puisqu'il déborde d'esprit.

Dix années ont passé depuis la disparition de l'auteur et sa résurrection dans les librairies. Faute d'autres occupations, il continue à observer la vie quotidienne des morts, de leurs familles, du petit peuple des cimetières et à dicter ses impressions. Il profite également de ses états de conscience pour oublier qu'il n'a plus d'avenir dans l'évocation d'un passé de plus en plus lointain. Ayant bénéficié du privilège d'attendre son dernier soupir pour retomber en enfance, le condamné à perpète de la douzième division remercie ceux qui ont honoré sa mémoire en la mettant à contribution. Surgissent tous les fantômes de ses jeunes années. Moins la saga d'un gamin qui se prend pour Napoléon - avant que ses parents ne lui promettent la fin de Louis XVI - que la peinture par un historien en herbe, désormais sous terre, d'une " drôle de guerre " suivie d'une curieuse paix. Chemin faisant, il tire à boulets rouges sur une société dont il constate que le pouvoir de persécution s'arrête devant la grille des nécropoles.

Malgré sa bonne bouille de gendre idéal, Philippe Bouvard doit son succès au regard malicieux qu’il porte sur l’actualité.

Aujourd’hui surtout connu pour animer « ses » Grosses Têtes et leur humour sacrément potache, l’ancien journaliste ne représente plus grand-chose aux yeux de la nouvelle génération. De l’ancienne terreur du Figaro et de France-Soir, il ne reste plus, au mieux, qu’un vague souvenir dans l’esprit des moins de 30 ans. Et pourtant, une simple (re) lecture d’Un oursin dans le caviar, sa première autobiographie sortie au début des années 70, suffit à se rendre compte du talent et de l’ascension fulgurante de ce cancre assumé au destin extraordinaire et à la langue bien pendue.

Relatant ses rencontres et ses brouilles avec des célébrités du calibre d’Alain Delon ou Coco Chanel, Philippe Bouvard a le don de piquer là où ça fait mal à coups d’anecdotes et de citations bien senties. Parfois agressif, jamais bonne poire, cet oursin parisien des années 70 est un plaidoyer pour un journalisme plus «tranchant». Et une vie plus vallonnée. Car, comme le dit l’animateur, «les mémoires ne constituent pas la solution de facilité : avant de les écrire, il faut les vivre.»

Quelle est l'émission de radio dirigée par Philippe Bouvard qui, depuis plus de huit ans, fait rire quotidiennement plus de quatre millions de francophones ? Les Grosses Têtes !

Qu'est-ce qui est devenu symbole d'antimorosité, d'inventions verbales, de savoureux coq-à l'âne et de franche hilarité ? Les Grosses Têtes !

Des histoires interdites d'antenne de Philippe Castelli aux reparties féroces d'Olivier de Kersauzon, des improvisations lyriques de Jean Yanne aux facéties de Sim, sans omettre les impertinences de Gérard Jugnot et les confidences de Léon Zitrone, retrouvez, et recréez, grâce à la verve de Philippe Bouvard et de ses invités, l'ambiance des Grosses Têtes.

Les Fous Rires des Grosses Têtes : une anthologie irrésistible et cocasse de Philippe Bouvard qui, du petit théâtre de ses compères, a fait un chef d'oeuvre.

Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".

Esthète du bon mot et du contrepet foireux, on ne présente plus Philippe Bouvard, véritable Achile Talon de la satire radiophonique, grosse tête (pensante) de la presse écrite, chroniqueur insatiable à l'appétit textuel débridant, bref véritable monument, n'en déplaise aux esprits réduits à la peau de chagrin, de la culture française.

En gourmet qu'il est, cet adepte du rire décomplexé fait figure d'extraterrestre au milieu de notre époque anxiogénisante, lui, le fils unique d’une opticienne, adopté par un tailleur de costumes (sisi), petit gavroche de la butte Montmartre. Gourmand aussi, ne s’arrêtant jamais de traquer l'histoire hilarante, le jeux de mot pointu, ou taillant, tout simplement, de sérieux costards à ces gens qui p*te toujours plus haut que leur c*l. Quand on connait la taille de Bouvard, on comprend qu'il s'en soit senti, plus d'une fois, incommodé.

A bientôt 85 ans, le petit (théatre de) Bouvard ouvre son rideau pour se retourner sur une carrière bien remplie et sans doute pas prête de s'achever. D'anecdotes croustillantes en coups de griffes du vieux lion, c'est tout ce que la France compte de célébre et d'augustes anonymes qui s'y retrouve. De Mireille Mathieu à Pierre Brisson, de Chancel, Drucker ou encore Labro à Nicolas Sarkozy, de Gérard Manchiet à René Coty. Tous ont, à un moment ou un autre, croisé le chemin de ce jeune homme plein de culot et de répartie.

Impertinent, ofrèvre en causticité, doté d'un humour intarssable, Philippe Bouvard avait, lorsqu'il entreprit ce Journal, tous les autouts dans son jeu. Il aurait pu se contenter de ciseler ses phrases et d'offrir à ses lecteurs un florilège de ces saillies verbales que l'on se répète à l'envi entre amis, mais poussé par son exigence, il est allé bien plus loin. En effet, s'il n'est pas tendre avec ses contemporains, il se réserve les traits les plus acérés, et pratique avec déclectation l'autodérision. Devenu sa propre cible, Philippe Bouvard était sûr de viser juste.

"Au début de l'été, gonflé de sève comme les arbres, Gaston s'éveilla avec la certitude qu'il allait être de nouveau Gontran. Cap sur Monaco. À Cannes, on l'avait pris pour une vedette. Sur le Rocher, pourquoi ne jouerait-il pas les milliardaires?"

Gaston est serveur dans un petit restaurant de Valbonne. Une ou deux fois l'an, il sombre dans la schizophrénie et, troquant son prénom qu'il exècre contre celui de Gontran qu'il estime plus noble, il casse sa tirelire pour se faire servir dans des établissements plus étoilés que le sien. La rencontre avec une fausse contesse, plus vraie que nature, lui offrira au-delà de ses espérances les plus folles un nouveau destin.

Au terme d'une année de réflexion préalable qui lui a pris plus de temps que l'écriture, l'auteur de ce modeste ouvrage a enfin compris ce que Pascal voulait dire lorsqu'en 1647 il faisait amende honorable à la fin d'une très longue missive adressée à une correspondante : "Excusez-moi. Mais je n'ai pas eu le temps de faire plus court." Peut-être pour se faire pardonner d'avoir dans l'exercice du journalisme tant tiré à la ligne en délayant sur trois feuillets ce qu'il aurait pu exprimer en trois lignes, Philippe Bouvard a donc choisi la concision comme ultime cheval de bataille. Ainsi, pour cet ouvrage qui constitue son chant du cygne, a-t-il parié qu'il pouvait traiter en trois lignes des sujets méritant souvent trois feuillets. Avec le souhait de divertir et de donner à penser aux lecteurs, ainsi que l'ambition de voir un jour l'un de ses mille trois aphorismes se transformer en sujet du bac !

Soucieuse de proportionner la longueur de ses textes à la hauteur de sa taille, la nature a offert à Philippe Bouvard le sens du raccourci. Du premier âge où il a balbutié " Phiphi aime papa" au grand âge où il a écrit "Il n'y a que l'argent qui aide à oublier qu'on n'est pas riche", il a multiplié pensées et maximes, aphorismes et apophtegmes dans le double dessein d'économiser le papier et de ne pas abuser de l'attention de ses lecteurs. Grâce à sa déformation d'esprit qui tend à substituer à une logorrhée souvent relâchée une concision plutôt ciselée, il a parsemé de milliers de petites phrases des oeuvres tragiquement incomplètes. S'inclinant devant le seul ordre qu'il respecte - l'alphabétique - ce volume a le mérite de proposer ses meilleures formules en meublant les esprits sans encombrer les bibliothèques.

Après Un oursin dans le caviar, souvenirs de vingt ans de journalisme, et La cuisse de Jupiter, biographie à peine romancée d'un magnat de la presse, Philippe Bouvard poursuit sa peinture indiscrète de la société française contemporaine. Son nouveau héros, Charles de Saint-Miel, est joueur. Comme lui, et comme tant d'autres, artistes célèbres, cinéastes et avocats en vue, producteurs apparemment comblés, publicitaires de haut vol, mais tous menacés par leur vice de perdre, en une heure, le fruit du labeur d'une année.

Son héros meurt à 45 ans, ruiné, rongé, désespéré, tandis qu'autour de lui s'agite la ronde folle et cruelle des partenaires (provisoirement) heureux. À travers cette reconstitution minutieuse et cette étude clinique d'une déchéance ludique, Philippe Bouvard a voulu montrer les ravages d'un fléau dont on parle moins que l'alcool ou que la drogue, mais qui porte, finalement, la responsabilité de nombreuses misères morales, matérielles et physiologiques.

Mais avant de parvenir au fond du gouffre, que de rêves insensés, que d'espoirs fous ! Pour tromper ceux qu'il veut perdre, le jeu sait se parer de toutes les séductions.

L'auteur qui a sollicité — et toujours en vain — toutes les formes de hasard, en est arrivé à cette conclusion ultime que la seule façon de gagner consistait à publier un livre sur le jeu.

Presque un demi siècle après Un oursin dans le caviar, Philippe Bouvard donne avec Des grumeaux dans la passoire une suite à ce qui fut le best-seller de l’année 1973. (Eh oui, déjà !)

Une cascade de souvenirs souvent indiscrets et une galerie de portraits hauts en couleurs : Les présidents de Vincent Auriol à Emmanuel Macron ; les stars de Bardot à Delon ; les génies de Salvador Dali à Marcel Pagnol; les vedettes de l’audiovisuel de Léon Zitrone à Stéphane Bern. Chemin faisant, l’auteur égraine des anecdotes plus personnelles : sa traque par Mesrine, son contrôle fiscal après un déjeuner chez Giscard, les découvertes du « Théâtre de Bouvard » et le succès pendant 37 ans des « Grosses Têtes ».

A 90 ans, l’ex-petit garçon de course du Figaro devenu un temps directeur de France Soir n’a rien oublié des rencontres providentielles offertes par un métier qui le passionne toujours. Bref, une existence hors du commun d’un fils de petit commerçant, ne possédant pas d’autres diplômes que le certificat d’études primaires, admis à titre de témoin parmi les grands de ce monde.

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Contrairement à ce que certains prétendent, il y de nombreux gagnants au loto. Ainsi, depuis les origines (1976), le loto a eu 548 452 560 gagnants, ce qui reviendrait à dire, statistiquement, chaque français a gagné dix fois au loto depuis sa création.

En outre, 2 057 gagnants de "premier rang" ont touché en moyenne plus d'un million de francs, sur lesquels une cinquantaine ont gagné de cinq à dix millions de francs.

Ce sont ces "champions du loto" que Philippe Bouvard nous présente. Car, en dehors de sa célébrité de journaliste, d'homme de radio et de télévision, Philippe Bouvard a toujours été un amoureux du jeu. Au cours de ces chapitres, il s'est passionné pour cette saga des champions du loto, à la fois parce qu'il était "juste, moral et souhaitable qu'à tant de malchance accumulée succède enfin un jour de chance", et parce que, dit-il, "j'ai découvert à travers ces témoignages aussi simples que bouleversants des histoires, des personnages et des réflexions qui m'ont fait souvent penser à "Une Vie" de Maupassant".

Vous lire certainement d'une traite ce roman de la chance en plusieurs épisodes constituant un roman des Français de ce dernier quart du XXe siècle. Avec le loto l'argent ne va pas forcément à l'argent et si un jour, comme ceux-là, la fortune vous arrive, soyez vigilant et inscrivez peut-être sur votre porte, comme cet habile et fin restaurateur:

"Ici on ne prête qu'aux enfants de plus de soixante-dix ans accompagnés de leurs parents."

Prix Courteline 1986

"Hommes politiques, auteurs célèbres, vedettes de cinéma ou de la chanson, tout le monde y passe, assaisonné avec une joyeuse férocité.

Rien n'échappe à l’œil ironique de ce journaliste exceptionnel qui n'a d'indulgence ni pour lui-même, ni pour nos comportements ridicules, nos attitudes inconséquentes et nos réactions incongrues.

Le Bouvard sans Pécuchet des temps modernes, c'est plein de verve, de trouvailles et d'humour ..." Sylvie Genevoix, Madame Figaro

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