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Toutes les séries de Philippe Jaenada

10 livres
1 087 lecteurs

Les éditions Pocket sont très heureuses de vous présenter un recueil de nouvelles inédites publié au profit des Restos du Coeur.

13 auteurs pour 13 nouvelles centrées autour d’un thème commun : un repas. Intrigues policières, réunions de famille qui dérapent, retrouvailles inattendues… Du noir, de la tendresse, de l’humour, de l’absurde, à chacun sa recette.

Toute la chaîne du livre se mobilise avec Pocket autour de ce projet entièrement bénévole, dont les profits seront reversés à cette association. Notre souhait est d’atteindre 300 000 exemplaires vendus et ainsi distribuer 1 million de repas.

http://www.pocket.fr/livres-poche/evenements/13-a-table-avec-les-restos-du-coeur/

5 livres
2 lecteurs

Pourquoi Bordel ? Parce que c'est une interjection que poussent les gens énervés. Parce que Le monde a fait de moi une putain ; je veux faire du monde un bordel (Friedrich Dürrenmatt). Parce que cet ouvrage collectif milite pour la réouverture des maisons closes. Parce que les auteurs qui y participent n'ont rien à voir entre eux, sinon leur âge (la trentaine). Parce que mélanger tous ces écrivains et leur laisser toute liberté est une initiative assez bordélique. Parce que Baudelaire a dit que l'art c'est de la prostitution. La lecture de Bordel numéro un offre une promenade vigoureuse et décapante dans les étages de l'écriture d'aujourd'hui : réalisme trash, satire destroy, pamphlets nihilistes, poésie désabusée, exhibitionnisme froid, autofictions mythomanes, imagination narcissique...

Tous les livres de Philippe Jaenada

Halvard Sanz est un gentil garçon. Doué pour les catastrophes en série. Il y a des gens qui n'ont pas de chance, mais qui, le genoux à terre, toujours se relèvent... Halvard est de ceux-là!

Roman picaresque, amour allégorique, loufoques aventures servies par une verve intarissabble... Mais le chameau sauvage dans tout ça? Quand vous en connaîtrez lz principe, comme Halvard, vous verrez la vie différemment.

Pimprenelle, une fille complètement cinglée, séduite dans une forêt allemande pendant un mariage barbare infesté de Hell's Angels. Hector, drôle de bougre, tour à tour rédacteur de fausses lettres de cul et de nouvelles au miel de rose, traducteur de Barbara Cartland, créateur de slogans publicitaires misérables et détective de troisième zone. Tels sont les ingrédients de la nouvelle recette romanesque de Philippe Jaenada, qui avait déjà commis le très déjanté Chameau sauvage (Prix de Flore en 1997). Son tour de main ? Un style oral (transcription du parlé à l'écrit), virevoltant, fluide et efficace. Titre du plat ? Le Cosmonaute. Mais on ne devient pas cosmonaute par hasard. Il faut avoir éclusé pas mal de bières, éprouvé cent métiers, cent misères, mesuré sa solitude et être tombé fou amoureux d'une hystérique et neurasthénique qui se révèle vite enceinte, avant de vivre cette grossesse de façon tragi-comique. Plus comique que tragique d'ailleurs. De quoi se replier dans sa bulle et se mettre à l'écart. En cosmonaute.

L'art de l'auteur est de rire de tout, et en toutes circonstances. Rarement avare de drôlerie, de provocations hilarantes, Jaenada puise dans la noirceur tous les éléments grotesques, insolites ou ridicules pour agrémenter son plat. Au final il est plutôt savoureux. --Céline Darner

Cette grande femme à bouche molle, Philippe Jaenada la rencontre à la fin de son aventure, dans une boîte à la mode de Manhattan, à New York. Mais avant cet inquiétant face-à-face, il va connaître bien des épreuves. Piètre détective privé, il travaille pour le gros Gilles, patron de l'agence parisienne Déclic. Chargé de filer un mari soupçonné d'infidélité et de ramener des photos compromettantes, il le suit en voiture sur l'autoroute A7. Ses ennuis commencent lors d'un arrêt à une station service. Il accepte de prendre en stop Fabienne, une jeune femme grosse et laide. La filature reprend pour s'achever dans un hôtel de Romans où le couple passe la nuit. Philippe découvre bientôt un cadavre et le matin, Fabienne est kidnappée. Il se lance à la poursuite des ravisseurs.

Parodie et hommage aux privés américains ? Il y a des deux dans cette enquête rocambolesque, entrecoupée de digressions et de délires d'écriture. Jusqu'au prénom du narrateur, qui porte le même que celui de Marlowe, le héros de Chandler. --Claude Mesplède

Tout a pourtant si bien commencé, Voltaire, écrivain quadragénaire, Oum sa femme, Géo leur petit garçon. sont en vacances au bord de l'Adriatique, lin juillet. Insouciants, sous le soleil implacable. Survient le feu, puis la panique, la course, la lâcheté qu'on découvre en soi, le courage aussi s'il faut sauver les siens. On s'agenouille même au pied d'une Vierge étrangement posée sur une plage italienne.

Comment conquérir une femme totalement insaisissable et indomptable. Un tête-à-tête torride, un duel sentimental et érotique. Voici un roman parfois comique, souvent grinçant et inquiétant, ressemblant à une course-poursuite, au style unique et à la langue rapide.

Jadis, Bix Sabaniego ne se couchait jamais avant l'aube. On parle d'un temps où il n'était pas marié et père de famille. C'est un révolté placide, un enragé doux qui se rêve en tigre (ou en ours). Et puis, un jour, une dispute conjugale, et le voilà parti, sac écossais sur l'épaule, dans une errance fortement alcoolisé, un bad trip aux couleurs de tous les bars du canal Saint-Martin, puis par cercles concentriques, le Lutetia, le Lubéron, et enfin un banc à Monaco. Splendeur, décadence et résurrection d'un Don Quichotte dont les moulins à vent seraient autant de brunes à fortes poitrines et à cervelles réduites. Sur le chemin qui le mène en enfer, on croise toute une humanité fracassée, des compagnons de beuverie, gueules cassées et amnésiques, une fille-fantasme, un ours kidnappeur, un champion de poker qui perd sa vie par insouciance, et même un couple échangiste en bonne santé...

La touche Jaenada, c'est la drôlerie et le désespoir, la chute sans fin et la lumière, là-bas, au bout du tunnel. C'est un romancier moderne et rock : un menteur qui dit la vérité.

" Je suis un célibataire d'une quarantaine d'années. J'ai une vie confortable et facile, je fais ce que je veux, j'ai des amis et de l'argent, pourtant quelque chose cloche. Je me sens un peu perdu (malaise, cafard et amertume grognent dans l'ombre). Lors d'un dîner, le maître de maison évoque les problèmes de sa fille (que je ne connais pas), qui a trois ans de moins que moi, qui est droguée, malade, prostituée, hargneuse et désespérée. Je comprends, quand il ressuscite un lointain souvenir de vacances, que c'est sans doute la gamine délurée avec qui j'ai passé un après-midi dans un champ, à Carcans-Maubuisson, quand j'avais seize ans et elle treize : la petite blonde qui m'a montré tout ce qu'il y avait d'agréable, de troublant, de beau et de misérable dans le sexe. Maintenant, il faut que je la revoie, sans arrière-pensée sentimentale ni sexuelle, juste pour concrétiser cette présence, encore, de ma jeunesse - et continuer avec. "

Présentation de l'éditeur (Points) :

Les vampires sont partout : romans, films, séries, c’est l’invasion ! Face à cette déferlante, neuf grands écrivains français ont accepté de relever le défi : réinventer avec originalité et humour le mythe du vampire en faisant la peau aux clichés du genre.

Neuf nouvelles comme neuf bonnes raisons de lire ce recueil : parodique, romantique, gothique ou terrifiante, chacune nous plonge dans un univers et un imaginaire singulier… à nos risques et périls !

Aucun romancier n’aurait pu inventer un personnage aussi fascinant que celui de Bruno Sulak. Tout au long des années 80, ses braquages audacieux et ses évasions répétées – sans la moindre effusion de sang – ont défrayé la chronique judiciaire. Ancien légionnaire, parachutiste émérite, charmeur, généreux et intègre, follement épris de liberté, Bruno Sulak a marqué les mémoires avec ses casses spectaculaires. Pendant dix ans ce jeune homme a défié les lois de la République, s’est joué du système carcéral, a bravé l’ensemble d’une société contre laquelle il était entré en guerre à force d’injustices, aux côtés de Steve, son ami et complice, et de Thalie, grande et belle brune, son amour hors la loi. Aussi fulgurante que rocambolesque, son existence s’est achevée sur un point d’interrogation : une mort dans des circonstances obscures qui suscite encore la polémique.

Aucun autre romancier que Philippe Jaenada, doté d’un humour, d’un style inimitable et d’une tendresse non dissimulée pour ses personnages, n’aurait pu s’emparer de la vie mouvementée de Bruno Sulak et retracer avec autant de talent ce temps où les gangsters avaient encore du panache.

À travers l'évocation d'un fait divers des années 1950, Philippe Jaenada examine les circonstances ayant conduit une jeune femme de 24 ans à tuer son amant. Construit en apparence comme une enquête policière (les digressions déjantées en plus), La Petite Femelle tente d'éclairer le mystère d'une personnalité hors du commun. Mais c'est aussi un roman qui défie toutes les règles romanesques : foisonnant, minutieux, passionnant et virtuose, totalement hors norme.

Qui se souvient de Pauline Dubuisson ? Elle fut célèbre dans les années 1950 pour avoir assassiné son amant et son procès très médiatisé inspira, entre autres, Georges Clouzot qui, dans La Vérité, offrit à Brigitte Bardot un de ses plus beaux rôles. Une des répliques de ce film (« Je suis une petite femelle et il faut me laisser faire ce que j'ai envie ») donne d'ailleurs son titre au roman de Philippe Jaenada. Qui est donc cette Pauline Dubuisson dont la France entière réclame la tête en ce mois de novembre 1953 ? Une femme froide et calculatrice ? Un monstre de duplicité qui, jeune fille, a couché avec les Allemands et a été tondue à la Libération ? Qui, plus tard, a usé de ses charmes pour voler les vieux messieurs ? Et qui, enfin, ivre de jalousie, a tué de sang-froid un garçon de bonne famille ? Ou est-elle, bien au contraire, une jeune femme libre dans sa tête et dans son corps que les circonstances et les soubresauts de l'Histoire ont broyée sans pitié ? Une aventurière qui revendique son émancipation et interroge avant l'heure la place des femmes dans une société haineuse ? Que Pauline Dubuisson soit coupable, Philippe Jaenada n'en disconvient pas, mais il cherche à comprendre pourquoi personne n'a jamais voulu écouter ce qu'elle avait à dire, elle qui, durant tout cette horrible affaire, n'a jamais menti. Ce roman est le récit de la quête interminable, quasi obsessionnelle, que Philippe Jaenada a menée pour révéler la vérité la plus intime de cette femme. Mais il retrace aussi la manière dont ce travail exténuant a modifié sa propre vie. Il a tout lu, tout écouté, soulevétoutes les pierres. Chez Philippe Jaenada, l'oeuvre est indissociable de la vie de l'écrivain, comme la truite est indissociable de la rivière. C'est le propre des véritables artistes. Et pour le plus grand bonheur de ses lecteurs, il est toujours aussi drôle.

Ce vendredi 10 avril 1896, les premiers Jeux Olympiques de l'histoire moderne sont sur le point de se terminer. Les Grecs n'ont encore remporté aucune médaille. Et c'est aujourd'hui la dernière épreuve : celle du marathon. Spiridon Louis est là, tenant à la main la belle paire de chaussures neuves que plusieurs habitants de Maroussi se sont cotisés pour lui offrir, et se demandant sans doute un peu, timidement, ce qu'il est venu faire dans cette galère...

Un matin d'octobre 1941, dans un château sinistre au fin fond du Périgord, Henri Girard appelle au secours : dans la nuit, son père, sa tante et la bonne ont été massacrés à coups de serpe. Il est le seul survivant. Toutes les portes étaient fermées, aucune effraction n'est constatée. Dépensier, arrogant, violent, le jeune homme est l'unique héritier des victimes. Deux jours plus tôt, il a emprunté l'arme du crime aux voisins. Pourtant, au terme d'un procès retentissant (et trouble par certains aspects), il est acquitté et l'enquête abandonnée. Alors que l'opinion publique reste convaincue de sa culpabilité, Henri s'exile au Venezuela. Il rentre en France en 1950 avec le manuscrit du Salaire de la peur, écrit sous le pseudonyme de Georges Arnaud.

Jamais le mystère du triple assassinat du château d'Escoire ne sera élucidé, laissant planer autour d'Henri Girard, jusqu'à la fin de sa vie (qui fut complexe, bouillonnante, exemplaire à bien des égards), un halo noir et sulfureux. Jamais, jusqu'à ce qu'un écrivain têtu et minutieux s'en mêle...

Un fait divers aussi diabolique, un personnage aussi ambigu qu'Henri Girard ne pouvaient laisser Philippe Jaenada indifférent. Enfilant le costume de l'inspecteur amateur (complètement loufoque, mais plus sagace qu'il n'y paraît), il s'est plongé dans les archives, a reconstitué l'enquête et déniché les indices les plus ténus pour nous livrer ce récit haletant dont l'issue pourrait bien résoudre une énigme vieille de soixante-quinze ans.

(Source : Julliard)

Jérôme ATTAL • Laetitia BALLY • Frédéric BAPTISTE • Catherine BARDON • Alain BENTOLILA • Ariane BOIS • Xavier-Marie BONNOT • Françoise BOURDIN • Françoise BOURDON • Michel BUSSI •Cécile CABANAC • Virginie CAILLÉ-BASTIDE • Annabelle COMBES • Jean-Paul DELFINO • Joseph DENIZE • Isabelle DÉSESQUELLES • Victor DIXEN • Samuel DOUX • Julien DUFRESNE-LAMY • Jim FERGUS • Isabelle FILLIOZAT • Sophie FONTANEL • Lorraine FOUCHET • Anne-Marie GAIGNARD • Karine GIEBEL • Raphaëlle GIORDANO • Héloïse GUAY DE BELLISSEN • Serena GIULIANO • Anne ICART • Claude IZNER • Philippe JAENADA • Jean-Joseph JULAUD • Maïa KANAAN-MACAUX • Yasmina KHADRA • Étienne KLEIN • Fouad LAROUI • Caroline LAURENT • Arnaud LE GUILCHER • Guillaume LE QUINTREC • Marc LEVY • Henri LOEVENBRUCK • Sophie LOUBIÈRE • LOUISON • Albane LINŸER • Murielle MAGELLAN • Charlye MÉNÉTRIER MCGRATH • Bernard MINIER • Nadine MONFILS • Viviane MOORE • Fabien OLICARD • Erik ORSENNA • Fabrice PAPILLON • Camille PASCAL • Pierre PELOT • Alain REY • Gwenaële ROBERT • Tatiana de ROSNAY • Romain SLOCOMBE • François-Henri SOULIÉ • Danielle STEEL • Christiane TAUBIRA • Colin THIBERT • Marjorie TIXIER • Rachel VANIER • Illustration de Stéphane MANEL

Les bénéfices seront reversés à la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France.

(Source : Lisez!)

Ce n'est pas de la tarte à résumer, cette histoire. Il faut procéder calmement. C'est une histoire vraie, comme on dit. Un garçon de onze ans est enlevé à Paris un soir du printemps 1964. Luc Taron. (Si vous préférez la découvrir dans le livre, l'histoire, ne lisez pas la suite : stop ! ) On retrouve son corps le lendemain dans une forêt de banlieue. Il a été assassiné sans raison apparente. Pendant plus d'un mois, un enragé inonde les médias et la police de lettres de revendication démentes, signées " L'Etrangleur " ; il adresse même aux parents de l'enfant, horrifiés, des mots ignobles, diaboliques, cruels.

Il est enfin arrêté. C'est un jeune homme banal, un infirmier. Il avoue le meurtre, il est incarcéré et mis à l'écart de la société pour le reste de sa vie. Fin de l'histoire. Mais bien sûr, si c'était aussi simple, je n'aurais pas passé quatre ans à écrire ce gros machin (je ne suis pas fou). Dans cette société naissante qui deviendra la nôtre, tout est trouble, tout est factice. Tout le monde truque, ment, triche.

Sauf une femme, un point de lumière. Et ce qu'on savait se confirme : les pervers, les fous, les odieux, les monstres ne sont pas souvent ceux qu'on désigne.

Sur un même dossier où n'apparaissent ni preuve ni aveu, un homme de soixante-six ans, après avoir été acquitté en première instance, vient d'être condamné en appel à quinze ans de prison et, du même coup, rayé du monde des vivants. Que l'on "croie" cet homme innocent ou non n'a aucun intérêt : une justice sérieuse et digne, honnête, n'avait simplement pas le droit de l'empêcher de poursuivre librement sa vie, sans raison valable, en faisant mine de s'appuyer sur un dossier qui ne contient que du vide trouble, des inepties, des tricheries. À travers cet exemple, dont il décortique avec la minutie qu'on lui connaît chacun des éléments, Philippe Jaenada dresse un vibrant réquisitoire contre les dysfonctionnements inacceptables d'un système policier et judiciaire qui, par manque de moyens et de détermination, se délite sous nos yeux dans l'indifférence générale. Après les succès remarqués de La Petite Femelle, de La Serpe (prix Femina) et d'Au printemps des monstres, Philippe Jaenada nous offre ici une nouvelle facette de son très grand talent.

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