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Livres - Bibliographie

Pierre Daix


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Tous les livres de Pierre Daix

Mauthausen, créé comme camp de concentration pour «irrécupérables» dès l'annexion de l'Autriche par Hitler, servit d'abord à exterminer des Tsiganes, des Juifs, des antifascistes autrichiens. Les nazis y envoyèrent fin 1939 des milliers d'officiers polonais ; après la défaite de la France, autant de républicains espagnols, encore plus de prisonniers soviétiques, des résistants tchécoslovaques, enfin de grands convois de Français en 1943 et surtout 1944. À partir de 1943, Mauthausen travaillant pour l'industrie de guerre, ses kommandos s'étendirent sur toute l'Autriche jusqu'en Croatie. En six ans, on y dénombra plus de 150 000 morts.Arrivé en mars 1944, Pierre Daix connut d'abord la célèbre carrière du camp, puis, parlant allemand, entra dans l'administration et l'organisation de résistance dont il retrace ici le développement et rend hommage à ses créateurs, les Espagnols, dont il avait rassemblé les témoignages dans Triangle bleu en 1969. Il la montre aux prises avec les drames de la fin du camp : l'arrivée des évacués d'Auschwitz, l'évasion collective des Soviétiques du sinistre «block 20», pour en venir au chaos d'une libération impréparée par les Alliés qui coûta des centaines de morts en trop. Il confie à l'Europe le soin d'en tirer les leçons.

Enfants de la Grande Guerre, les surréalistes ont nourri la folle ambition de "changer la vie" et de révolutionner toutes les données de l'existence. S'ils n'y sont pas vraiment parvenus, leur oeuvre et leur expérience ont profondément influencé la culture du XXe siècle. Pierre Daix nous fait revivre les temps héroïques du mouvement : la découverte enfiévrée des écrits de Rimbaud et de Lautréamont, les provocations dadaïstes, l'exploration des limites de la raison. Insistant sur le rôle des femmes et sur les rapports compliqués des premiers surréalistes avec le parti communiste, il restitue les raisons cachées et les secrets des conflits et des crises qui ont agité la vie du groupe depuis sa genèse en 1917 jusqu'en 1932, année de la rupture définitive entre ses deux figures de proue, André Breton et louis Aragon.

L'attitude du parti communiste, du pacte germano-soviétique à l'invasion de l'URSS, en juin 1941, demeure un sujet de controverse à cause des mensonges accumulés par le PC sur son activité durant la première année de l'Occupation. Pierre Daix montre que les avancées des études historiques sur le sujet rouvrent bien des blessures restées à vif, et qui touchent à la mémoire des étudiants communistes, tel Claude Lalet, organisateur de la première manifestation contre l'occupant nazi, le 8 novembre 1940, et à celle des combattants de l'Organisation spéciale, l'OS, dont il faisait partie. Prolongeant sa réflexion sur les dénis de la mémoire et leurs rapports avec l'histoire, l'auteur analyse ce qu'il appelle "les deux négationnismes" : celui qui nia la terreur communiste - des procès de Moscou aux crimes des Khmers rouges - et celui qui nie encore aujourd'hui l'extermination des Juifs par les nazis. "L'intérêt renouvelé pour l'ensemble de ces problèmes, écrit-il, ajouté à une plus rigoureuse exploitation des archives disponibles et au recul par rapport au XXe siècle montrent que nous entrons dans une nouvelle période, enfin libérée des "enjeux mémoriels" de générations qui disparaissent"

1945. L'Allemagne nazie vit ses derniers jours. Julia - dont le mari s'est suicidé dans les locaux de la Gestapo, à Paris -, Claudine, une infirmière communiste, Lucette et Gisèle sont libérées d'un centre de réclusion en Saxe. Un officier anglais, Katie, détenue dans un camp de la mort, les rejoint. Les jeunes femmes découvrent qu'elles servent de gage dans la tentative de paix que Himmler, le chef des SS, tente de mettre sur pied. Franz Werfer, un lieutenant de la Wehrmacht, doit les conduire en Suède. Tandis que les armées russe et américaine établissent leur jonction sur l'Elbe, ces femmes se retrouvent en enfer dans l'Allemagne disloquée. Franz décide alors de rejoindre les Alliés tout proches…

D luxe implantée au Japon, le narrateur, un Français d'une cinquantaine d'années, mène une vie en apparence sans histoires.

Marié à une femme qu'il aime, il se passionne aussi pour la photographie. Un matin, sa secrétaire lui remet une lettre anonyme, écrite en japonais. Commence alors un travail de mémoire qui conduit notre homme à interroger son propre passé : son enfance en Afrique du Nord, sa découverte du Japon, dans les années 70, son ascension sociale et professionnelle dans un pays qui le fascine. Il y a aussi les zones d'ombre, entre remords et souvenirs refoulés, d'où refait surface un amour de jeunesse, une Fart.

" Savoir tout hausser jusqu'au niveau de C'est ainsi, comme il me l'a dit la dernière fois que nous nous sommes vus, que Picasso pouvait parvenir " à toucher à quelque chose ". Quelque chose qui franchisse le temps. Et il y a déjà comme une mise en garde dans ce qu'il avait ajouté pour Christian Zervos au cours de la grave crise de 1935: " Ce n'est pas ce que l'artiste fait qui compte, mais ce qu'il est." La grandeur de Picasso tient à ce qu'il a, jusqu'au bout, été son art.

" Pierre Daix

Le peintre Paul Cézanne trouvait Fanny, servante à Aix en Provence, belle comme un homme. Il la traita comme une dame et connut avec elle, au printemps 1885, un grand amour.

Voici le roman de Fanny tel que l'ont partagé, pour le meilleur et pour le pire, ses complices et l'artiste lui-même, dont la vie et l'oeuvre en furent à jamais bouleversées.

Recréant la mentalité d'une époque, Pierre Daix conte une magnifique histoire d'art et d'amour.

Toute sa vie, Louis Aragon n’eut de cesse de reconstruire sa jeunesse. La récente révélation de sa correspondance avec André Breton et la publication des écrits intimes d’Eyre de Lanux, sa première maîtresse, bouleversent sa biographie. Aujourd’hui, il convient de rétablir la vérité. Médecin volontaire au front à l’été 1918, Aragon révèle en 1971 que son courage poussa son père, homme politique, à assumer sa paternité jusque-là dissimulée derrière des mensonges. Enfoui par un obus allemand, Aragon gagne une citation et écrit Anicet, un roman, qui lui vaut les foudres de Breton. Démobilisé, il le retrouve en train de créer Les Champs magnétiques en « écriture automatique ». Sans lui­! Enfin, c’est le temps où Aragon et Drieu la Rochelle deviennent intimes, avant qu’une rivalité amoureuse suscitée par une jeune Américaine, Eyre de Lanux, ne brise ce lien. Tous ces éléments jettent un jour nouveau sur Louis Aragon et éclairent sa jeunesse, celle d’un écrivain en guerre.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, ayant perdu ses camarades de jeunesse, fusillés ou disparus en déportation, alors que lui-même est rescapé du camp de concentration de Mauthausen, Pierre Daix rencontre Elsa Triolet. Au temps des premières désillusions, elle devient sa bonne fée, sa conseillère et favorise son entrée à la direction des Lettres françaises. Au fil des pages du récit, l'auteur révèle la place qu'a eue Elsa Triolet dans les relations agitées entre le parti communiste français et l'Union soviétique, et comment elle a su, dans ces moments de fortes tensions, imposer à son compagnon Louis Aragon le comportement le plus juste, le plus digne, tout en poursuivant une œuvre romanesque riche, émancipée, qui fut couronnée par le prix Goncourt. En dépit de son engagement politique, Pierre Daix ne cherche pas à atténuer ses sympathies, ni ses inimitiés à l'intérieur du Parti. Il rend hommage à Maurice Thorez et parle sans détour de ses affrontements avec Georges Marchais. Cette vision organique de l'appareil communiste constitue, à côté du remarquable portrait d'Elsa Triolet, la double face de ce témoignage unique.

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