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Tous les livres de Pierre Perret

Les mots du parler des métiers n’ont jamais été consignés dans leur ensemble. Il fallait être Pierre Perret pour s’atteler à une tâche aussi ardue et faire naître – enfin ! – ce dictionnaire unique, atypique et déjà incontournable.

Il n’est question ici ni du parler des métiers anciens, ni du parler ancien des métiers, encore moins de l’argot des métiers, mais bien des échanges oraux informels, recensés dans la pratique quotidienne des métiers, par les professionnels d’aujourd’hui. Ces mots, ces locutions, désignent des lieux, des objets, des qualités, des personnages, des actions, des situations bien précises tout en exprimant des constats ou des réflexions philosophiques souvent drôles, bon enfant, ou les deux à la fois. Ni la liste des activités répertoriées ni les vocabulaires correspondants ne visent à l’exhaustivité.

Qu’il s’agisse des inconditionnels de Pierre Perret impatients de découvrir quelles surprises ce diable d’homme leur réserve ici, des lexicographes, mi-choqués, mi-séduits par cette intrusion sur leurs terres, les lexicomanes et autres boulimiques des mots, des auteurs à l’affût de trop rares dictionnaires insolites, ou de professionnels curieux de ces usages…, chacun souhaitera ajouter ce volume à sa bibliothèque idéale.

Plaisants ou sérieux, parfois poétiques ou moralisateurs, moqueurs ou ironiques, la plupart de ces parlers sont de petits bijoux linguistiques. Sinon aimables, ils sont, dans la plupart des cas, surprenants, pittoresques, et pour bon nombre d’entre eux savoureux. 1 100 pages et 13 210 entrées… En rendant la parole à l’oral, ce dictionnaire est la mémoire d’un patrimoine collectif qui a demandé douze ans de travail, d’investigation et de mise en forme des données.

Ces aventures d'un enfant, d'un adolescent destiné à devenir l'un des artistes les plus aimés du public ressemblent à une chanson de la douce France. Il s'y mêle les ombrages du canal de la Garonne, l'animation du marché de son Castelsarrasin natal et le joyeux brouhaha du café populaire que tenaient ses parents. C'étaient les années 1940, la guerre était jolie et dangereuse, la cuisine de maman succulente, les filles incompréhensibles, le spectacle de la nature et de la vie inépuisable. Encore inconscient de ses dons, Pierrot cultivait son goût pour la poésie, le saxophone, la comédie, l'humour et l'amitié. A vingt ans, après son apprentissage toulousain, il savait déjà tout. Il ne lui restait plus qu'à conquérir Paris...

Mangez des choses simples, des mets qui ont du goût. Buvez des vins francs, ce sont les meilleurs, mais aussi les plus rares. Laissez l'insipide aux médiocres. Maupassant, le jouisseur, l'artiste, le poète ne disait-il pas : " Il n'y a que les imbéciles qui ne soient pas gourmands. "? Pierre Perret

Un choix très personnel de poésies érotiques, de l’antiquité à nos jours.

Quatrième de couverture

«La poésie existe, même dans l’érotisme. On ne peut guère échapper à cette loi naturelle de l’amour physique qui ne trouve son équilibre que dans ce brutal et doux mélange, cette torride et tendre collision de l’asperge avec l’abricot fendu, du doigt sans ongle avec la fissure ou du borgne à roulettes pénétrant dans l’atelier de Vénus ! Car c’est cela aussi l’érotisme, et ces mille appellations hautes en couleur ou argotiques ne sont-elles pas déjà de la poésie pure ?»

140 auteurs (et plusieurs de leurs textes) sont présentés ici avec verve et insolence, avec le ton très personnel de Pierre Perret d’où l’humour n’est jamais absent. Il est certain que les poètes ne se plient jamais aux règles de la morale courante. Le vocabulaire de ces poèmes évoque la sensuelle volupté, la franche gaillardise, les raffinés supplices, le libertinage, avec toujours les maîtres mots : désir et plaisir.

Nombre de ces textes sont très peu, ou pas connus ; ceux qui le sont déjà sont des œuvres magnifiques et incontournables. On y retrouve de grands noms de la poésie comme Pierre de Ronsard, Voltaire, Diderot, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Paul Éluard ou Jean Cocteau, et des inconnus qui ne demandent qu’à être lus.

La France des villes comme celle des campagnes a connu des centaines de petits métiers à travers les siècles, fruit de l'imagination et de la débrouillardise des classes les plus modestes. De la bouquetière au ramasseur de mégots, du ressemeleur à la dame de la loterie, du rémouleur à l'arracheur de dents, en passant par le crieur public et l'allumeur de réverbères, toutes ces petites activités marginales et essentielles, qui confinent parfois à la poésie et restent nichées dans la mémoire collective., ont été immortalisées par les plus grands photographes. Depuis le début du siècle dernier, Atget, Brassaï, Doisneau, Willy Ronis, Izis, etc., tous les grands photographes humanistes ont su capter l'âme de cette France ingénieuse et rendre hommage à ses acteurs. Pour accompagner ces photographies, Pierre Perret a remonté le temps et s'est souvenu de son grand-père colporteur, de sa mère trieuse de plumes dans son enfance et des dizaines de personnages qui défilaient dans le café de ses parents et exerçaient " avec soin et bienveillance " ces petits métiers et étaient devenus peu à peu " nos familiers et parfois même nos amis ".

Le gros mot salutaire se perd.

Il se déplume, il perd son jus, ses couleurs, son humour. L'injure libératrice s'appauvrit au fil de nos plates disputes. Elle manque de panache dans les cours de nos écoles. La feuille d'impôts reçue ne nous arrache plus qu'un pitoyable "salopard" à l'endroit de l'expéditeur. Les scènes de ménage, enfin, ne sont plus ce qu'elles étaient. La verve est inexistante et la jovialité défunte. Les injures quantitatives, mais hélas trop approximatives, sont toujours préjudiciables à la bonne tenue d'une franche dispute. La sélection du mot juste, percutant, coloré et néanmoins spontané est une pratique hautement préférable à un chapelet de locutions fades et lancées impulsivement sans réfléchir.

L'injure, pour être prise au sérieux et par-là même respectée, appréciée à sa juste valeur, doit être avant tout réfléchie. Ne gaspillez pas vos injures. Apportez en permanence un sang neuf à celles que vous connaissez. Améliorez-les. Renouvelez-vous. Inventez-en lorsque vous êtes à court. Mais attention, n'improvisez que si vous êtes capable de le faire brillamment. Toute faiblesse ne peut qu'annoncer la défaite.

Pour ne jamais connaître les affres de ce genre de faillite, il vous est proposé ici un florilège édifiant, sinon complet, pouvant en temps venu vous permettre "d'assurer" efficacement face à l'adversité...

A la montagne, à la campagne, au bord de la mer, en famille ou entouré d'amis, les vacances représentent pour chacun de nous un moment privilégié de volupté et de bonheur.

D'une génération à l'autre, les habitudes changent, la durée des trajets aussi. La nationale 7 a cédé sa place à l'autoroute du Soleil, et si on ne fait plus de camping sauvage, on trouve toujours autant de satisfaction à monter une tente ou à préparer la caravane, à moins que l'on préfère l'hôtel ou la maison de famille... Ce livre raconte nos souvenirs : les préparatifs, l'excitation du départ, les projets de voyage, de visites touristiques, le plaisir de retrouver chaque année les amis fidèles qui vont partager notre joie, notre repos, nos apéros...

Pierre Perret, avec sa faconde habituelle, se plonge dans notre imaginaire collectif, fait de jolies histoires d'amour et de grosses rigolades, de souvenirs inoubliables et de lieux éternels.

Quatrième de couverture

... Ce qui ne cesse de m'éblouir, c'est justement la richesse de son vocabulaire. Aucun vocable ne lui manque et il fait mieux : il en invente. Il pourrait écrire sur sa carte : Pierre Perret, créateur de mots. Qu'il siège au Conseil supérieur de la langue française n'apparaît nullement comme un paradoxe. J'aime que l'on publie aujourd'hui l'intégrale de ses oeuvres. L'écouter est merveilleux, le lire procure de nouvelles raisons de l'apprécier. Certes, on retrouvera ses pirouettes, ses caracoles, ses éclats de rire et ses jubilations. Mais fine de beaux vers surgissent qui nous avaient échappé : La porte de la douche est restée entrouverte Et, j'ai cru voir en un instant Les jardins andalous que piétinaient alertes Toux les chevaux d'Afghanistan Quand vous refermerez ce livre, je gage que c'est votre coeur qui battra comme des applaudissements.

« "Tous Toqués." C'est le titre que j'ai eu envie de choisir en élaborant patiemment mon nouveau livre de recettes de cuisine. Prôner l'égalité pour tous devant un ?piano? ne me déplaisait pas vraiment. Car, si vous êtes gourmand(e) sans être trop malhabile, vous ferez forcément un jour la cuisine, si vous ne l'avez déjà faite. Mon principe de base en ce domaine a toujours été de ?faire simple?. De conserver l'authenticité du goût, de la texture et de la saveur d'un fruit, d'un légume, d'une volaille, d'une épice ou d'un poisson.

Vous l'aurez compris, le but de ces recettes issues de mes pratiques culinaires habituelles n'est autre que celui de vous proposer de faire vous-même des plats peu coûteux pour la plupart et ultrafastoches à réussir.

Il ne m'a pas semblé superflu, par ailleurs, de vous proposer en plus une infinité d'astuces qui adouciront considérablement vos problèmes en cuisine. Vous réussirez donc ces plats si goûteux en si peu de temps que vous n'en reviendrez pas vous-même.

Cher ou chère futur(e) toqué(e), il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bon appétit ! »

Pierre Perret

On les croyait beaux, vaillants et sans défaut. La réalité était tout autre...

Du Guesclin était tordu comme un bretzel. Jeanne d'Arc n'avait rien d'une blanche colombe. Napoléon - le plus grand cocu de tous les temps - avait des lèvres de lézard et une brioche de dindonneau. Quant à Saint Louis, Charlemagne, Vercingétorix, Cléopâtre et quelques autres, autant pour eux ! L'ami Pierrot remet les pendules à l'heure, nous révèle les détails savoureux qu'on nous avait ignominieusement cachés et qui pourtant font l'histoire.

Pierre Perret évoque ses souvenirs de pêche. Un mélange d'épicurisme, de récits de voyages sur tous les continents, d'anecdotes savoureuses et de virées entre copains. Depuis son plus jeune âge, Pierre Perret a toujours été un grand amateur de pêche. C'est cette passion qu'il nous fait partager ici, depuis son enfance au Café du pont, et la pêche en rivière avec son père, jusqu'à de fabuleuses parties de pêche aux quatre coins du monde. Plus qu'un simple livre sur la pêche, c'est un véritable manuel d'épicurisme qu'il nous donne, avec son humour et sa tendresse légendaire, un art de vivre qui va avec le sens de l'amitié, de la nature, et du voyage.

"Laissez chanter le petit." Le petit c'était moi. J'avais quatre ans. C'est sur ce ton vigoureux et tendre à la fois que Mme Labia demande à Melle Vergnes de me laisser m'exprimer au milieu de mes copains de chorale.

Emporté par mon élan, je ne me suis plus arrêté. Dans des centaines de tournées galère ou sur des floppées de scènes de music-hall, j'ai traversé le rock, le twist, le calypso, le reggae, le funket, le rap... et j'en passe.

Au mois de mai 1999, la direction de France Inter m'a demandé de venir raconter ma vie.

La Ballade de Pierrot fut ainsi diffusée tous les dimanches durant l'été.

Je vous raconte donc mes chansons, comment elles sont nées et comment elles ont traversé le temps. Je ne cache rien. Y a tout. Les roses et les épines. Et souvent, croyez-moi, c'est pas triste. Pierre PERRET. Laissez chanter le petit ou la balade de Pierrot, c'est toute une vie consacrée à la chanson. Toute une existence habitée par les mots et la poésie. Sa tendresse, sa générosité et sa bonne humeur sont toujours aussi contagieuses : Pierre Perret a bien grandi.

En moins de deux ans, "Le Petit Perret illustré par l'exemple" est devenu nno seulement un classique de l'humour, mais aussi "le" dictionnaire de la langue verte.

Aussi, l'auteur, à l'instar des académiciens, a-t-il tenu à réactualiser et à compléter ce "Petit Perret" version 1985, en y intégrant de nouvelles définitions qui ajoutent encore à la gaieté et à la verve de ce monument de gouaille et de cocasserie, décoré par les plus grands noms du dessin humoristique.

Étudiants tout neufs, crapoteux, piliers de bistrot, lecteurs de BD, déserteurs de la morale, curé défroqués, amateurs d’émotions fortes, d’endroits louches, de descriptions terrifiantes,, de femmes percluses de malheurs, d’hommes damnés ou d’impitoyables policiers évoluant dans des décors hallucinants, achetez ce bouquin, chouravez-le si vous le pouvez. Découvrez deux mille quatre cents mots marginaux, crus, violents, imagés, leur parfum n’est pas celui du tilleul, c’est l’absinthe à l’état pur.

Cet Almanach inhabituel est nourri d un long chapelet de gourmandises littéraires, celles-là mêmes qui inspirèrent l auteur tout au long de son parcours si singulier.

Et les fleurons de cette luxuriante vitrine sont émaillés de « salivantes » recettes assorties aux saisons, de récits historiques déjantés, d anecdotes multicolores, de pensées, de maximes, d aphorismes, d extraits de chansons ou de proverbes malicieux. Le jardinage, les fleurs, les prédictions ou les naïves croyances « abracadabrantesques » y occupent également une place respectable.

Bref ! La musique que jouera le feuillage de cet arbre (du savoir !) sera divine aux oreilles de tous les curieux de « friandises verbales » !

Un livre en régal majeur !

Après Le Café du Pont, la suite des mémoires de Pierre Perret.

À la fin du Café du Pont, Pierre Perret nous avait laissés lors de sa « montée à Paris ». Il nous conte ici la suite de ses aventures, ses années « baignées de chansons », depuis son arrivée en 1954 dans la capitale jusqu'en 1976, où Le Zizi l'a définitivement consacré.

C'est plus de vingt ans d'une vie exceptionnelle qu'il nous confie ainsi, avec nombre d'anecdotes inédites, des années émaillées de rencontres extraordinaires, de Georges Brassens à Jacques Brel, sans oublier Paul Léautaud.

Le service militaire, les années de vaches (très) maigres, le sanatorium, les cabarets, les premiers succès, les tournées, avec les Platters ou Charles Aznavour, les coups bas du monde de la musique, la naissance de chansons aussi inoubliables que Le Tord-boyaux, Blanche ou encore La Cage aux oiseaux : plus encore que son parcours et la vie d'artiste au quotidien, c'est le tableau de toute une époque que Pierre Perret nous dresse avec sa verve inimitable.

Un livre exceptionnel de densité et de fraternité.

Tout le monde connaît la passion de Pierre Perret pour le vin. Du petit vin du matin qui accompagne les parties de pêche au grand cru exceptionnel, il nous offre pour la première fois le récit de ce long compagnonnage à travers des souvenirs plus réjouissants les uns que les autres. Il évoque ici pêle-mêle la découverte du vin dans son enfance, ses souvenirs de bouteilles dégustées avec Lino Ventura, Jean Carmet, Michel Audiard, Charles Aznavour, Bernard Pivot, Michel Simon ou Serge Gainsbourg. Les grands noms du vin et de la gastronomie sont aussi présents à travers des évocations aussi amicales que gourmandes. De la difficulté de trouver un tire-bouchon dans l’île de Java au commerce de grands crus français dans une modeste épicerie chinoise de New York, les anecdotes hautes en couleur y abondent, dans le style inimitable de l’auteur. À consommer sans modération.

source : éditions "cherche midi"

Tout le monde a sur les lèvres une ou plusieurs chansons de Pierre Perret, l'ami Pierrot, Pierrot la Tendresse. Sa gouaille, sa truculence, sa langue verte aux images foisonnantes ont fait de ce baladin un de nos chanteurs les plus populaires depuis près de quarante ans. Mais l'art de Pierre Perret ne se limite pas à la seule chanson. Ce phénomène voué en effet un amour sans pareil à la vie et à ses plaisirs, à la bonne chère et aux grands crus, à la littérature et aux mots. Il sait les cuisiner mieux que personne êtes sert toujours accompagnés d'un zeste d'humour. Seul, en famille ou avec des amis, le cocktail ainsi préparé est à consommer sans modération. Rares sont les livres qui, comme celui-ci, deviennent des passeports pour le bonheur.

La Cage aux oiseaux est une chanson écrite et interprétée par Pierre Perret, parue en 1971 dans l'album du même nom. C'est l'un des morceaux les plus célèbres de son répertoire.

La chanson est inspirée d'une histoire vraie. Pierre Perret raconte avoir écrit les paroles d'après l'actualité d'un prisonnier américain ayant ouvert toutes les cages d'une oisellerie à sa sortie de prison. Ce qui coûta d'ailleurs 4 ans de plus à cet Américain. Le chanteur en a rêvé la nuit suivante, et s'est levé pour commencer l'écriture de la chanson. Elle sera terminée le lendemain en cours de matinée.

Illustrations pour enfants par Mérel.

réf.: Wikipedia.

L’APHORISME, selon Pierre Perret, n’est autre qu’une façon de s’exprimer en détournant une vérité établie qui semblait jusqu’alors incontournable.

Mais sortir de ses rails un proverbe, fringuer une sentence en habit du dimanche ou travestir totalement une maxime, ne le dérange pas du tout ! Car pour notre surréaliste poète, chacun détient “sa vérité qui n’est pas forcément celle de son voisin...

N’est-ce pas là l’hommage rendu à sa manière à Chamfort, Lichtenberg ou La Rochefoucauld qui l’ont tant enchanté tout au long de sa vie d’auteur fécond ? N’arme-t-il pas lui-même : l’humour est le seul vaccin contre la connerie…

Le con lui n’a jamais trouvé la pharmacie !

Plus de 550 aphorismes originaux créés par Pierre PERRET sur les thèmes qui lui sont chers : la femme, l’homme, la poésie, l’amour, l’amitié, le sexe, la vie…

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