Commentaires sur ses livres

Un second tome qui est une suite directe et qui, comme dans chaque roman de Pierre PEVEL manie avec talent l'action et les aventures.
On se retrouve encore à suivre la petite bande de voleurs dans l'une des sept-cités du Haut-Royaume.
La qualité est toujours au rendez-vous même si j'ai moins apprécié ce second tome que le premier et que le magnifique univers dont est issue cette nouvelle saga est moins mis en avant.

Comme une sensation de désespoir, à quand le tome 6 ? sur sa page officielle facebook Pierre Pevel a dit que ce n'était pas dans ses projets pour le moment ='(
Une saga extraordinaire, du bonheur à l'état pur, j'espère une suite dans pas trop longtemps ( qu'il ne nous fasse pas la même que M Martin avec le trône de fer xD )
Je me rabat donc sur les 7 cités de P. Pevel en espérant qu'il n'y ait bien que 3 tomes et pas une suite plus tard xD

Mais quelle surprise, j’ai beaucoup apprécié ma lecture de ce premier tome. C’est une saga sortie depuis longtemps qui ne me tentait pas à la base mais je me suis laissée avoir par les nouvelles couvertures poches.
Je n’ai pas été déçue, j’ai adoré l’univers créé par l’autrice dans un Paris magique où les gnomes, les mages, les fées et autres créatures peuvent exister à la vue de tout le monde.
Les personnages de Griffont et Isabel sont très attachants, j’ai adoré les suivre séparément puis ensemble pour résoudre une enquête des plus complexes. Petit plus pour le personnages de Azincourt un chat ailé.
J’ai trouvé le début de l’intrigue un peu long à se mettre en place mais après les événements se sont enchaînés et ça ne m’a plus dérangé.

Quel plaisir de retrouver l'univers du Haut-Royaume.
Ici, l'aventure évolue en parallèle des récits narrés dans l'oeuvre originale.
Nous suivons les aventures d'une petite bande de voleurs qui se retrouvent réunis et dépassés par les événements.
Moins d'intrigue, moins de politique et de faux semblants que dans la saga du Haut-Royaume, ce tome reste un très bon récit d'aventure, bien écrit et où l'action reste bien présente.

Un 3e tome qui met fin à une magnifique trilogie, menée par une main de maître.
Ce dernier ouvrage apporte beaucoup de réponses aux questions en suspens depuis le premier livre mais il en reste quelques une auxquelles, peut-être, le 4e tome ou la suite spirituelle initiée par Philippe Auribeau, apporteront des réponses.
C'était une très agréable lecture, fluide, avec de l'humour et de l'action pour pas s'ennuyer mais aussi des intrigues et des personnages bien développés et distincts.

Un excellent second tome et encore un final explosif qui laisse présager une excellente suite.
Ce mélange de fantasy avec le roman de capes et d'épées fonctionne à merveille.
Les personnages sont bien décrits, attachants à leur manière et on peut suivre leurs aventures sans temps mort.
Ce fut un bien agréable moment de lecture.

J'ai passé un agréable moment en compagnie de ces divers personnages !

Cet opus est un mélange de policier et de fantaisie. Notre personnage principal, Griffon, qui m'a beaucoup plu, va mener une enquête accompagné d'Isabel de Saint Gil, une baronne un peu spéciale. On se retrouve dans Paris avec de fabuleuses descriptions.

Ce petit roman sans prétention est un délice de lecture. Dès les premières lignes, on est transporté dans ce Paris enchanté et enchanteur, où la magie existe et nous fait redécouvrir la capitale sous un jour nouveau.

La prouesse de l'auteur réside ici en cette faculté à dépeindre en si peu de pages, un univers imaginaire dans lequel le lecteur se glisse avec aisance.

L'histoire, bien menée, n'a pas de temps mort et même si elle reste prévisible, elle a pour elle de nous faire passer un très agréable moment de pure divertissement.

Les personnages sont attachants, et leur psychologie est soignée. Parfois stéréotypés par leur fonction ou leur nature (le mage courageux, le gnome râleur...), ils n'en demeurent pas moins intéressants.

Le seul point noir pour moi, et c'est bien dommage, est que la fin n'est pas convaincante. Il y a quelque chose, un "je ne sais quoi" qui m'a gêné. Je l'ai trouvé un peu brouillon.

Cela dit ça reste un très bon livre dans lequel on voyage paisiblement.
Je le recommande !✨

Que du bonheur cette série ! Vite la suite !

Encore un excellent livre de Pierre Pevel !

Un très bon roman de cape et d'épée avec une bonne dose de fantasy.
On retrouve un Paris du XVII quelque peu différent de l'œuvre de Dumas mais pour le coup bien complémentaire.
Ayant lu avant toute la série du Haut-Royaume, je ne suis pas perdu dans le style de Pierre Pevel.
Très agréable à lire, des personnes attachants, de l'intrigue et de l'action avec des touches d'humour.
Les dernières lignes ne sont pas exempt de surprises.

Ce troisième tome qui finit la trilogie des lames du cardinal est juste très bien.
Je ne vous ferais pas un rappel de ce qui se passe dedans. Ou alors très brièvement. Les lames sont dans la tourmente. Les dracs accélèrent leurs plans, le grand dessin doit voir le jour. Le capitaine La Fargue cherche des réponses et les trouvent mais à quel prix.
L'aventure comme toujours est au rendez-vous. On ne pouvait s'attendre à autre chose de la part de l'auteur. L'une des seules choses qui me chagrine, se trouve être la fin qui se trouve assez rapide. Mais pour le reste, on est fort ravis.
Les deux dernières pages qui sont rien que pour connaître la vie des personnages après les événements est très bien.

Le temps va paraître long en attendant le 6e tome.
Doté de chapitres courts et intenses en action, ce 5e tome dévoile les dernières intrigues et promet une fin haletante pour cet épopée.
"Dans un voyage ce n'est pas la destination qui compte mais toujours le chemin parcouru, et les détours surtout". On est en plein dedans avec la série du Haut-Royaume de Pierre Pevel.

En somme, j'ai une nouvelle fois savouré les merveilles de ce Paris qui n'exista pas tout à fait, mais qu'on aurait tant voulé voir ! Indubitablement, le premier tome fut mon favori, le deuxième mon second préféré et le troisième, bien que très bon, m'a moins marquée. L'intrigue me plaisait un peu moins. Me semblait moins magique et épique que les deux premières. Mais de prime abord seulement.

Dans le troisième tome, on replace Griffont qui se retrouve mêlé bien malgré lui à un conflit qui implique Trois-Villes, son cher protégé, et autre mage du Cercle Incarnat. Dans un contexte d'une prochaine élection au Parlement d'Ambremer barbante pour un Griffont qui n'aime pas l'hyprocrisie de la politique, plus que me mêlé aux tristes affaires de son protégé, il va être intriqué dans une affaire qui opposera les Incarnats aux Cyans. Je prends vraiment en grippe ces maudits Incarnats dans ce tome ! Ils m'énervent à s'acharner autant sur un garçon aussi gentil que Trois-Villes.

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Sa fin m'attriste tant ! Lui qui voulait se battre par amour et perd sa future femme ! En plus de cela, une mystérieuse organisation de rebelles menacent Paris, car l'OutreMonde veut intégrer pour la première fois les humains au Parlement. Ce qui paraît inacceptable pour ces rebelles ! Voilà pour toutes les affaires que vous rencontrerez dans Le royaume immbobile.

À la fin du livre, on contaste la profondeur des abysses qui concerne toutes les affaires abordées dans le roman. On sait tôt dans le roman que Lyssandre d'Ambremer, sombre soeur de la reine Méliane se retrouve impliquée, elle semble vouloir oeuvrer dans un complot visant à nuire aux élections. Mais évidemment, elle se retrouve mêlée à toutes les autres affaires. Il sera sidérant de savoir toutes les vérités cachées.

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Surtout celle que l'aimée de Trois-Villes était fille de Sélène. Qui défunte soeur de Méliane et de Lyssandre, se retrouvait être la seule héritière du trône. De là, la raison que Méliane voulait que le père de l'héritière provoque un duel contre Trois-Villes. En plus d'instaurer un conflit entre Cyans et Incarnats, il voudra ramener sa fille et se sert d'elle pour sans doute remettre Lyssandre sur le trône par son intermédiaire. Entre autres, celle qui concerne le bannissement d'Isabel de Saint-Gil. La fin est aussi punchée que le dernier tome et peut-être un peu plus si on prend en compte la charge émotive dont elle nous imprègne. Elle est à la fois belle et triste.

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Le seul manque, et il est très minime quant à moi, c'est qu'on ne parle pas de ce qui est arrivé à Cécile de Brescieux après qu'on ait entendu parler qu'elle était mise sur la sellette par le cercle Incarnat. C'est dommage, car on sait tous qu'on n'aura probablement jamais le fin mot de l'histoire. Il n'y a aucune suite jusqu'à présent à cette trilogie...

Premier tome d'une sage de trois tomes, on reste sur une grosse introduction.
Ça va très vite, personnelement, il me manque du détail. J'ai peur qu'en seulement trois volumes ça soit difficile de finir correctement l'histoire. Je suis un peu frustrée car le format BD n'est pas mon format préféré et j'aurai adoré voir cette histoire en roman.

Moins d'intrigues et de politique pour un peu plus d'action.
Ce tome est fortement accès sur le héros principal, Lorn. L'histoire des autres protagonistes ne se fait qu'à travers sa vision, ce qui change un peu des précédents.
Moins fort depuis l'événement prégnant du livre d'avant, plus humain dans sa psychologie et son corps, il n'en reste pas moins sacrément naïf dans un grand nombre de décisions.
Si j'ai moins accroché que par rapport au premier trio de livres, il n'en reste qu'on approche (en tout cas en apparence) de la fin de la quête et de la destinée de ce chevalier pas comme les autres.