Raphael Majan

la logique de la Justice à la sauce perfectionniste d'un commissaire qui refuse de laisser tout crime impuni. Fort de cette ligne de conduite, le commissaire choisi ses coupables, puis va jusqu'à "choisir" ses victimes. Livre d'un auteur aussi talentueux qu'amusant.

Pour rire, mais grâce à un régal de prose...

Entre San Antonio et Maigret, ce commissaire à la mode Dexter balance entre bien et mal. Un grand coeur et un petit cerveau... parfois le contraire... Mais un grand moment de rire, une bouffée de fraîcheur et d'humour noir. A dévorer avec bon appétit.

J'étais très sceptique à la lecture du premier de la série. Je n'arrivais pas à savoir si l'auteur écrivait divinement bien ou diaboliquement mal. Après avoir lu un autre tome je pencherai pour la première mais j'ai vraiment souffert à la lecture.

Il ne faut pas hésiter à lire un second tome pour apprécier le personnage et l'humour de l'auteur.

Mais j'ai du mal avec la personnalité de ce commissaire.

Autant le premier roman avec ce personnage m'a un peu destabilisé autant j'ai pris un peu plus de plaisir avec celui-ci, toutefois je n'arrive pas à accrocher au personnage principal qui m'énerve très souvent.

De petits moments d'humour qui n'enlèvent pas le peu de joie que j'ai eu à le lire.

J'essaierai un troisième tome, on ne sait jamais.

Livre terminé en une journée! Presque lu d'une traite. Court, concis, précis et surtout vraiment A-MO-RAL à souhait (lol) Le polar atypique dont on veut tout de suite lire la suite!

Décalé et vraiment très drôle, ce livre permet de passer un bon moment.

J'adore l'humour noir de cet auteur.

https://mademoisellemaeve.wordpress.com/2016/11/09/cruelle-tele-raphael-majan/

De prime abord, le nom de Raphaël Majan ne me disait rien, mais en ouvrant le livre, je suis tombée sur une phrase écrite sur la deuxième de couverture : « Un criminel moins soucieux des droits de la femme aurait violé avant de tuer » (extrait des carnet du commissaire Liberty). Et là, ça a fait « tilt », j’ai tout de suite repensé au commissaire Liberty Wallance, un des personnages les plus incongrus que j’ai pu rencontrer au cours de mes lectures.

Il y a très longtemps, j’ai lu L’auteur de polars et Vacances merveilleuses. Et ces deux romans ne m’avaient pas franchement convaincue à l’époque. J’ai donc eu un peu peur en démarrant Cruelle télé.

Je crois que cette série est trop délirante pour moi et pas assez approfondie pour que j’accroche. Le style est un peu fou, quasiment surréaliste par moment, tout comme ce personnage de Liberty Wallance (oui, en effet, il y a une référence à L’homme qui tua Liberty Valance, l’excellent western de John Ford).

Mais si vous aimez l’absurde et être surpris par un personnage et une intrigue qui n’a rien d’habituel, vous pourriez tomber sous le charme de Liberty. Mais pour moi, le charme n’a pas opéré cette fois encore, je suis trop sérieuse sans doute…