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Tous les livres de Raymond Depardon

Au gré de ses voyages, sans projets, ni destinations établies à l'avance, Raymond Depardon se laisse surprendre par la beauté du monde, s'affranchit des règles classiques de la photographie pour témoigner de son aventure intérieure.

De l'Amérique au Japon, à travers les steppes et les déserts, il immortalise ces lieux de solitude suspendus dans un présent qui semble éternel.

Depuis trente ans, le photographe et documentariste Raymond Depardon s’intéresse au monde de la terre et de la paysannerie, dont il est issu. Un livre en forme d’hommage à un univers intemporel, creuset de la société française contemporaine.

Ce livre est né du désir très ancien de Raymond Depardon de photographier la France, avec vérité, en guettant les traces de l’homme sur le territoire, un peu à la manière dont le photographe Walker Evans - admiré de Raymond Depardon - a photographié les Etats-Unis au début du XXème siècle.Les photographies sont prises, comme au tout début de l’histoire de cet art, à l’aide d’une chambre posée sur un pied, contrainte qui a aidé l’artiste à ne faire qu’ « une » photographie de chaque lieu, à assumer l’angle de vue, à voir frontalement.Raymond Depardon a visité presque toutes les régions de France, dans un fourgon aménagé. Il s’est totalement imprégné des lieux. Il s’est concentré sur les sous-préfectures – espace jusque-là fui par l’artiste, désormais saisi du désir de le comprendre, afin de voir quelle était la relation de l’homme à son espace de vie.L’album regroupe trois cents photographies en couleurs, grand format. Il est assorti d’une préface de Raymond Depardon. C’est la France réelle. Le livre est coédité avec la BNF. Les photographies y feront l’objet d’une grande exposition.

Raymond Depardon a consacré deux documentaires à la justice, après avoir, en 1980, tourné un film, Faits divers, dans un commissariat, première approche des victimes et des prévenus d’un côté, des policiers et des juges de l’autre. C’est à la suite de cette longue expérience, très importante pour lui et pour l’évolution de son travail, comme il l’expose dans sa préface, qu’il a fait transcrire les dialogues entre prévenus et juges enregistrés pour Délits flagrants et pour 10e Chambre, son dernier film qui sortira sur les écrans en mai 2004 (et qui ira probablement au festival de Cannes). Il a gardé les textes qui l’ont touché le plus, non parce qu’ils sont spectaculaires mais parce que, dans leur simplicité, ils expriment le désarroi des « sans-avenir » confrontés à l’appareil judiciaire. Les dialogues entre prévenus et juges sont livrés brut. Ils parlent d’eux-mêmes. Les photographies qui vont avec ces textes sont celles, qu’au long des années, Depardon a faites des lieux où s’exerce la justice. Pas de personnages, ou alors des silhouettes anonymes, juste ce que voient les prévenus, avant, pendant et après leur comparution. Prévenus et juges face à face.

Au début du XXe siècle, un jeune officier engagé dans l'œuvre coloniale, le lieutenant Diego Brosset, écrit un roman. Dans ce roman, il se met à la place de l'autre, celui d'en face, celui qui lutte contre lui les armes à la main et que l'Occident n'a pas touché. Témoin et acteur, Diego Brosset ne peut pas oublier le monde qui va disparaître devant lui. Il prévient le lecteur de sa trahison. Il est fou d'embaumer les morts. Seule aurait dû survivre la leçon d'humilité. Mais être humble c' est renoncer aux joies du souvenir. Il rend le plus bel hommage à un inconnu. Nous sommes de l'autre côté, parmi les plus grands chasseurs et nomades du désert. Nous avons la chance d'avoir ce témoignage, c' est l'histoire peu banale d'un habitant du Sahara. C'est l'histoire d'Alifa.

Sous la forme d'un dialogue vivant, accessible à un large public et construit autour de quelque soixante-dix questions, les auteurs nourrissent une réflexion rationnelle et très moderne, fondée sur une triple argumentation : éthique, juridique et scientifique, à distance de toute forme de sensiblerie anthropomorphique et compassionnelle. L'ouvrage se veut être aussi, en filigrane, un hymne à la vie sous toutes ses formes et un appel à son respect pour la survie et le bien-être des hommes comme de toutes les autres espèces animales.

Jean-Marie Coulon, magistrat, est représentant de la France à l'Agence de l'Union européenne des droits fondamentaux. Jean-Claude Nouët, professeur des universités, est membre du comité consultatif de la santé et de la protection animales.

Raymond Depardon nous donne à voir le monde d'aujourd'hui, ce monde devenu minuscule. De Los Angeles à Honolulu, de Hô Chi Minh-Ville à L'Afrique, il est allé "se perdre et regarder les gens vivre" Le temps d'un tour rapide, presque improvisé, de La planète. Cent vingt photographies sublimes disent l'étrange banalité de cet ailleurs, Le souvenir et L'avenir qui se mêlent, et l'incroyable talent de ce "passeur" pas comme les autres.

En 1972, Jean-Claude Guillebaud et Raymond Depardon ont couvert la guerre du Vietnam. L'un comme correspondant de guerre, l'autre comme reporter photographe. En y retournant ensemble vingt ans plus tard, ils ont pris le temps de se laisser guider par la grâce de ce pays. Un livre majeur sur le Vietnam.

La somme autobiographique en image du photographe Depardon : 500 photos, parue en 2004 et réimprimée depuis en version brochée. Le journal des clichés pris au quotidien en toute liberté : un portrait poétique et vivant de Paris sur trente ans de pratique photographique ; Un témoignage unique par l’image et les mots d’un des photographes contemporains les plus significatifs de notre temps.

158 clichés réalisés à Saigon en 1964 et 1965, puis en 1972, en 1994 et en 2013, commentées par leur auteur, témoignent de la transformation de la ville au fil des décennies. Des photographies d'habitants de la ville qui laissent transparaître la misère et la violence, mais également des photographies qui mettent à l'honneur l'architecture.

A seize ans, Raymond Depardon quitte la ferme familiale du Garet pour apprendre le métier de photographe. Le monde paysan, qui peu à peu se délite, hante son travail.

Ces 80 clichés alternant le noir et blanc et la couleur, accompagnés des commentaires "précis et imagés" faits par les agriculteurs qu'il a photographiés, sont tout entier habités par la clairvoyance d'une génération qui assiste, impuissante, à sa propre disparition.

Depardon et Loustal sont deux grandes figures de l'image contemporaine. C'est à Carthagène, en Colombie, qu'ils sont partis travailler ensemble. Un "ailleurs" que le fameux photoreporter de l'agence Magnum et le grand illustrateur et auteur de polars voulaient explorer conjointement. Confrontant leurs regards amusés aux scènes de la rue et aux lumières latino-américaines, ils composent un livre mêlant photos, dessins, peintures. Cette collaboration originale et inédite entre le photographe et le dessinateur sera présentée au public sous la forme d'un beau livre et d'une exposition.

Je pars sur les routes de France, de Charleville-Mézières à Nice, de Sète à Cherbourg.

Je vais m'arrêter devant des habitations, des commerces, des places de mairie.

Je pars à la rencontre des Français pour les écouter parler. De quoi ? Je ne le sais pas encore.

Je ne leur poserai pas de questions. Je vais les laisser prendre leur temps, recueillir leurs conversations, leurs accents et leurs façons de parler.

J'ai aménagé une vieille caravane, posé une caméra, installé quelques micros et j'invite des gens, rencontrés dans la rue quelques minutes auparavant, à poursuivre leur conversation devant nous, sans contraintes, en toute liberté.

Ce sont ces conversations qui sont reproduites dans ce livre, séquence après séquence, telles qu'elles ont été enregistrées. Je n'ai indiqué, par discrétion et aussi parce que je trouvais ça inutile, ni l'âge, ni le sexe, ni la condition sociale des interlocuteurs. Ce sont leurs paroles qui les révèlent.

Jean-Claude Guillebaud, Raymond Depardon. Le premier est écrivain et essayiste, le second est cinéaste et photographe chez Magnum.

Tous deux ont entretenu longtemps un rapport particulier avec l'Ethiopie, cette corne fameuse qui, des sables de Mersa Tekle au cap des Aromates, des splendeurs haut perchées du Wollo abyssin aux sauvageries bantoues de la vallée de l'Omo, dessine comme un accent circonflexe coiffant l'Afrique orientale.

La Porte des Larmes est un retour vers l'Abyssinie, une rencontre de deux personnalités, imprégnées par ce bout du monde. Cependant que l'écrivain, au fil des tours et détours à travers le pays, se rappelle ses souvenirs vieux de quelque vingt ans, le photographe saisit, dans une Ethiopie plus rurale qu'urbaine, ce qui semble immuable, malgré les guerres, les bouleversements politiques.

Corvées d'eau et de bois de chauffe, sourire innocent de jeunes adolescentes, matinée brumeuse à Addis-Abeba, petit barrage sur la rivière Mehô, carrioles aux roues caoutchoutées, misère noirâtre des bicoques... --Céline Darner

Raymond Depardon nous raconte son enfance et son éveil à la photographie. Il y rend un hommage particulièrement émouvant à ses parents agriculteurs à Villefranche-sur-Saône et à la vie rurale des années 1950 à 1970.

Dans un long récit autobiographique, il nous dévoile sa passion précoce pour la photographie et les toutes premières images qu’il réalise adolescent. Il évoque le quotidien de la ferme et de ses habitants et décrit, à travers l’histoire de la ferme familiale, la lente évolution du monde paysan et de son environnement au fil des décennies suivantes. Depardon a quitté la ferme à 16 ans pour monter à Paris et débuter sa formidable carrière d’homme d’image.

Au cours des années 1990 et 2000, Raymond Depardon sillonne la France paysanne avec sa chambre photographique 6 x 9. De cette exploration du monde rural, il réalise des photographies en noir et blanc qui racontent la terre, les hommes, le travail manuel, l’isolement et la fragilité des petites exploitations agricoles mais aussi la beauté des paysages français.

« Ces hommes et ces femmes qui habitaient et persistaient à cultiver ces territoires désolés étaient des sages, des philosophes, des héros, en avance sur l’indispensable décroissance à venir. Ce choc politique et idéologique a été un moteur pour mon projet. » Raymond Depardon

Cinéaste, photographe et journaliste international, Raymond Depardon, né en 1942 à Villefranche-sur-Saône, occupe une place singulière dans le champ de l’image contemporaine. Cofondateur de l’agence Gamma en 1967, il rejoint en 1978 l’agence Magnum et réalise des reportages dans le monde entier jusqu’au début des années 1980. Par la suite, tout en gardant une pratique quotidienne de la photographie, il tourne des films documentaires en cinéma direct dont la trilogie Profils paysans : L’Approche, Le Quotidien et La Vie moderne (2001-2008).

En 1980, Raymond Depardon réalise une commande pour le Sunday Times sur la ville de Glasgow. Le reportage ne sera jamais publié et les images resteront dans les cartons du photographe jusqu'à l'exposition Un moment si doux au Grand Palais (2013 - 2014).

Là, le public découvre une partie de la série Glasgow et s'émerveille : Depardon saisit la lumière d'Écosse comme jamais et sublime la fin d'un monde ouvrier. Les ciels nuageux et les sols détrempés de Glasgow apportent une beauté inouïe à l'errance d'un peuple ouvrier désœuvré, traînant le long des devantures des magasins, marchant contre les murs d'usines ou jouant au pied d'habitations en ruine.

Un portfolio de 68 photographies en couleurs éblouissantes sur un paysage urbain disparu.

Raymond Depardon a trouvé dans les huit Olympiades qu'il a couvertes entre 1964 et 1992 des terrains d'élection pour son œil à la fois doux et infaillible. Plus sensible aux à-côtés des épreuves, dans un magnifique noir et blanc, il affirme face à l'unanimisme triomphant des Jeux olympiques une indépendance qu'il défend aujourd'hui encore, en journaliste conséquent, face aux nouveaux avatars de la propagande.

(Quatrième de couverture)

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