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Commentaires sur ses livres

Régis Moulu

Par lcdca le 25 Octobre 2021 Editer
lcdca
sublime de précision, de richesses, d'idées et de belles trouvailles
Par lcdca le 20 Août 2020 Editer
lcdca
Ce recueil revient à nous faire vivre une forte expérience où la matière brute et suggestive du rêve permet d'investir tous les plis de l'âme, ce qui, par résonance, charrie aussi nos plus riches matériaux mythologiques §§



... Quelques démons en profitent, d'ailleurs, pour émerger, en toute liberté…
A propos du livre :
le muscle du rêve
le muscle du rêve
Par lcdca le 3 Décembre 2019 Editer
lcdca
Avantage procuré
Pour servir l'objectif heureux et pragmatique qui est d'acquérir rapidement du vocabulaire nouveau, l'ouvrage comporte des définitions accessibles, c'est-à-dire dont la rédaction facilite la mise à la portée de tous : il n'y a, donc, pas d'encombrement superfétatoire : finies les situations où lire une définition nous plaçait dans une incompréhension encore plus poussée, ce qui nous poussait à lire une autre définition pour comprendre la première, etc. ! Car le dessein de cet ouvrage est bien, avant toute chose, d'aménager un accès direct vers le concept abordé, ce qui a généré, au besoin, l'insertion de dessins et illustrations inédits.
Par lcdca le 4 Juin 2019 Editer
lcdca
4ème de couverture de l'éditeur :
C’est avec une inspiration tout en profondeur que Régis Moulu s’est imprégné des peintures de Vincent Van Gogh qui jouent ici le rôle de catalyseurs pour le poète. Une manière réjouie de distiller la langue, de se remémorer par le jeu de l’inconscient ce qui, à travers ces peintures, n’a jamais cessé de le tourmenter et de le faire agir. Chaque poème fait résonance à un tableau, mais Régis Moulu va plus loin et, dans une conscience cette fois éveillée, jette à son tour ses émotions et sentiments propulseurs d’inventivité.
Le poète, ici, ne resquille jamais à user de mots suggestifs et d'images fortes comme pour animer ou ranimer le contexte de chaque toile. Peu à peu Régis Moulu insuffle sa modernité langagière, loin du figuratif ou de l’effervescence lyrique, pour nous inviter à la manière du peintre à rebondir en réveillant la part d'âme créatrice qui vibre éternellement en nous.
A propos du livre :
van gogh caché
van gogh caché
Par lcdca le 1 Mai 2018 Editer
lcdca
Ce qu'en dit Patrice Cazelles
Il s'agit là d' "un recueil qui dérape ! Qui déhanche ! Qui tape dans les glissières de la Sécurité Poétique !". Et encore : "Ça barde ! Ça déborde ! Ça débarde ! On fait du transgressif avec de l’antique [...] Le plaisir de la langue ne laisse rien au hasard, on se gave de mots comme de pintades aux jours gras. La digestion se fait sans digression, tout en souplesse car ce livre instille sa propre sagesse".
A propos du livre :
Sur la lèvre des volumes
Sur la lèvre des volumes
Par lcdca le 4 Mars 2018 Editer
lcdca
Liette : de l'humour coule ici... où l'amour et la nourriture font âme commune : bouchée double !
A propos du livre :
Les vides encombrants
Les vides encombrants
Par lcdca le 4 Mars 2018 Editer
lcdca
Lilas : de la personnalité, du style. Je dois reconnaître le savoir-faire percutant et provocateur, la verve mordante et l’art de laisser affleurer quelque chose qui ressemble à de la tendresse en dépit des (ou à cause des ?) masques !
A propos du livre :
L'homme déplafonné
L'homme déplafonné
Par lcdca le 4 Mars 2018 Editer
lcdca
Enfin, un jour en me promenant dans la boîte aux courriels de Francopolis, j’ai découvert ces textes de Régis Moulu, dont les titres, Cœur en mayonnaise ou Les pensées tentacules m’ont bien intriguée. Réflexion, questionnement, observation. 3 mots pour lever l’intrigue !
A propos du livre :
Coeur mayonnaise
Coeur mayonnaise
Par lcdca le 27 Février 2018 Editer
lcdca
L’ELAN ET LA PUDEUR


Il est peu fréquent qu’un recueil de poésie soit illustré par l’auteur, encore moins sous forme de photographies instantanées. On sent ces images brutes, sans retouches savantes pour les convertir en beautés glacées, mais le cadrage toujours soigné et le parti-pris d’une série en plan rapproché de fenêtres et de portes les font sortir du simple hasard amateur.

Un poème-une image, un aller et retour dedans-dehors avec l’ellipse entre les deux, car il ne s’agit pas d’une illustration naïve, immédiatement descriptive. Si l’image se fait quelquefois métaphore du poème, elle laisse le plus souvent le champ libre au lecteur de poursuivre ses propres rêveries, tant il est vrai que, la plupart du temps, ce qui est fixé sur l’image correspond à un élan, un « flash », une sensation intime du photographe au moment de la prise de vue, un au-delà de l’image, une tentative vaine de saisir l’indicible.
Les images de Régis Moulu seraient ainsi des sortes de précipités comme on le dit en chimie, une cristallisation sur papier de la rencontre d’un paysage et d’un émoi.

J’ai donc suivi Régis Moulu dans sa déambulation méditative.

Au fil de villes et villages de divers points du monde représentés uniquement par des maisons, lieux éminemment humains, une voix me dit son humanité et l’humanité en général –la vôtre, la mienne. Le chaos ambiant aussi, nous sommes ici dans un univers repéré temporellement : comment en effet être poète en s’extrayant de la réalité du monde ?

Si l’architecture varie –nous parcourons des pays (nous passe-temporisons)- la voix, elle, ne change pas, qui décline l’inachèvement, l’inquiétude : quête d’un sens aussi ténu soit-il à donner à l’existence ; attente de l’Autre presque inaccessible, voué à l’approche toujours provisoire le temps d’une rencontre, d’une histoire, d’un rêve… Mais aussi l’espoir : résistance par un possible matin communautaire ; aspiration à l’infini, fût-il appliqué à la vacuité qui en deviendrait une formidable disponibilité à l’Autre (qu’a-t-on, chacun, à offrir / à part la vacuité). Et surtout l’amour sous toutes ses formes, de soi et des autres, du Vivant, seul antidote au fracas ambiant, seule solution pour rompre provisoirement la solitude qui nous fonde.

Tu cherches à t’éclater.

POURQUOI TANT DE DANGER ?

ET QUAND SAURAS-TU
QUE SEUL L’AMOUR EN TOI
TE SAUVERA… DE TOI !?

Et la forteresse saute.
Et la vraie nudité commence.

Que de force dans cet appel, que d’élan vers l’autre ! N’était le titre, Pain d’explosif, au double sens, oscillant entre métaphore et faits réels. Appel dans le désert ? Pas vraiment puisque Grand chantier à ciel ouvert en fournit un contrepoison :

Quand on se parle,

la vie
sort du tombeau,

le village des hommes
grandit

et la paix
se remet à rêver de nous.

Qu’on ne se méprenne pas cependant, la méditation sur l’humaine condition ne conduit pas forcément à la délectation morose. Il se dégage de Poésie-flaques une sensation joyeuse, tonique oserais-je dire, favorisée par l’art consommé de Régis Moulu à pratiquer l’humour, écartant ainsi tout pathos ou débordement sentimental. Par ailleurs, la concision des poèmes, échos des « précipités » des images, confère à l’ensemble une retenue sans en ôter la force.

Est-ce cette concision qui expliquerait le titre du recueil ? Il y aurait la poésie, l’ensemble de la production poétique/toute l’eau du monde procédant des pluies originelles, dont chaque poème serait un élément/une flaque ? Plus simplement, intertextualité, puisqu’un poème intitulé ainsi existe dans un opus précédent de Régis Moulu ? Les deux peut-être ? Une autre façon pour le poète de s’inscrire un peu plus dans l’histoire humaine et d’y associer le lecteur.

… car au premier Homme qui viendra vous embrasser,
qui que vous soyez, vous serez réactualisés :
L’AUTRE EST NOTRE CALENDRIER !

Un poète m’a parlé, un Homme m’a reliée un peu plus solidement au vaste monde : mission accomplie.



Ghyslaine Leloup
A propos du livre :
Poésie-flaques
Poésie-flaques
Par lcdca le 27 Février 2018 Editer
lcdca
Comment « sentir orthonormé » le terrien ?
En admettant que celui-ci se caractérise par son immense étendue, il faudra lui offrir de la hauteur. Et c'est exactement là que le dernier recueil de Régis Moulu m'a apporté de sa graine lyrique. Car, pour moi, c'est bien le lyrisme, ce haricot géant, qui me permet de me tenir debout. Et puis, tant qu'à faire, de m'aérer. Ah !... Ces phrases ventilées !... Cela faisait longtemps que je n'avais plus vraiment respiré. J'avais oublié. Aaah !... cet « arbre » poétique a cru à l'intérieur, comme des bronches... À cela, rien de bouleversant bien entendu : depuis toujours on sait bien que l'inspiration est une question de souffle bien placé.

Mais qu'en est-il de la hauteur ? Eh bien, je me suis également souvenu que c'est le privilège exclusif du terrrien que de croire aux extraterrestres. C'est assurément la croyance la plus terrienne qui soit. Telle est l'ultraterrienne condition. Car ces Ultraterrestres du poète, il ne faut pas enfiler notre combinaison de spationaute pour aller à leur rencontre (derechef on y respirerait fort mal) ! Non pas : ils sont « je », « tu » , « nous » (la troisième personne, dans ce recueil, se limite à « on »). Restons donc ici, terre à terre, avec eux, avec nous, nous-mêmes ! Simplement (mais est-ce si facile ?) ceci : « fleurir des poumons » pour qu'à la fin apparaisse le « vous ».

L'écriture lyrique des Ultraterrestres évite cependant l'expansion moraliste. Elle se fait plus exactement invitation à la vie, discrètement nourrie d'autobiographie et pétrie d'une sensualité à la fois tendre et cruelle. Tout ce mouvement se développe en images très visuelles. Et c'est alors une prolifération de sons et de soupirs qui glissent les uns sur les autres et se glissent les uns dans les autres en une vie ultradimensionnelle. Vie toute d'échos ; la nôtre si l'on veut bien. Une vie qui, pour si précaire qu'elle soit, s'avère hautement naïve.
Servais
A propos du livre :
Les ultraterrestres
Les ultraterrestres
Par lcdca le 27 Février 2018 Editer
lcdca
1/ Classiquement découpée en quatre actes et en scènes, la pièce se présente comme une pièce-machine respectant la dramaturgie traditionnelle. En réalité, les scènes s'enchaînent parfois sans solution de continuité et parfois sans causalité ou chronologie apparentes.

2/ Le texte est construit en symétrie : scènes des deux femmes d'abord, des deux hommes ensuite, et cette construction se retrouve en fin de pièce : le sexe est ici renvoyé à son étymologie "secare", couper, séparer. Le sexe est d'abord ce qui coupe en deux une espèce."La sexualité comme des ciseaux " dit Nina.
La construction rejoint le thème du texte : la séparation.
C'est bien de cela qu'il est question entre Nina et Dom. Et aussi, par voie de conséquence, entre Dom et Tom, dit Toma, puisque Nina quitte Dom pour Toma.. Belle scène de négociation amicale entre les deux hommes, avec la douleur de la rivalité...
Quant à Sally et Nina, leur amitié commence par une séparation -un avortement à l'hôpital- et s'achève aussi à propos d'un travail à l'hôpital. Là aussi, symétrie à l'oeuvre.

3/ Mais à l'acte IV, dans l'appartement en cendres de Toma, survient l'inattendu : Nina est morte entre-temps, dans l'incendie, et l'urne funéraire n'est pas la sienne, mais celle de la petite chienne, Conica ...Les retrouvailles des deux hommes sont désormais impossibles. La séparation est tous azimuts, d'autant que survient Sally pour apprendre le "départ définitif" de Nina, formule ambiguë dont on ne sait comment elle l'interprète.

4/ Ce "drame dérisoire", pour reprendre la définition même de l'auteur, n'est pas sans toucher profondément : la quête de l'autre est une quête mortelle qui réduit le monde en cendres.
Régis Moulu fait oeuvre incontestable de dramaturge et de poète dans ce texte qu'on ne saurait qualifier ni de drame ni de comédie. Il mêle poétique et prosaïque dans le respect d'un subtil équilibre dont il a le secret. Le titre de l'oeuvre est révélateur : quoi de plus banal -et inquiétant en même temps - qu'un couteau ? Mais qui jette le couteau et sur qui ? Quant à l'élan qu'il faut savoir garder, est-il un élan d'amour ou de meurtre ?

Cette écriture dépourvue de pathos explore les relations entre les êtres, "comme la rencontre de deux silex".


Michel Azama,
Par lcdca le 16 Février 2018 Editer
lcdca
Antonella est une femme ordinaire en attente d'amour (prologue), à la différence de Lady Castagnettes qui, elle, parade tant elle se sait regardée. Les confessions de cette dernière montreront néanmoins que derrière son succès se cache une déception : celle d'avoir à constater que les hommes sont absents (séquence 1).
D'ailleurs, au devant d'un écran, deux hommes (le militaire et le maquisard) se combattent au risque de devoir s'arracher un supplément d'existence (séquence 2). Mais où sont les limites de la violence ? Et à partir de quand fait-elle office de spectacle ? Et, le salut devenant quoi qu'il en soit nécessaire, les crève-coeur apparaîtront (séquence 3)...
Et voilà qu'Antonella expose de brillants progrès (séquence 4) et Lady Castagnettes un débordement de rêves (séquence 5), à croire que tout ne serait que question d'intentions (séquence 6). Puis, de la correspondance de l'artiste dévoilée par Firmin et Renaud (ex-maquisard et ex-militaire) émergera comme par explication l'histoire d'une rencontre ratée (séquence 7), de quoi lui faire mettre en exergue tout l'intérêt qu'il y a à être "témoin à distance" (séquence 8)... Mais c'est face à un aveu de Renaud (séquence 9) que Lady Castagnettes deviendra enfin Solange.
Car à partir de ce moment-là s'engagera toute une volonté de reconstruction (séquences 10 à 13) : Firmin fera notamment un hommage aux femmes, Renaud une déclaration d'amour, et Antonella un exposé sur la force de la multiplicité et sur l'enjeu de savoir faire un choix.
L'heure étant alors venue pour tous de se mettre à table (séquence 14), il ne restera plus pour Antonella, élevée au rang de femme providentielle, qu'à énoncer une poésie de révélations centrées sur l'amitié (séquence 15 et épilogue).
A propos du livre :
Chercheurs d'Arbres
Chercheurs d'Arbres
Par lcdca le 16 Février 2018 Editer
lcdca

Ce livre contient un projet original puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre entièrement écrite sous forme de dessins émotionnels. L'auteur parle d'ailleurs d' "émographes", "émo" comme émotion et "graphe" renvoyant sur le fait que des dessins reprennent l'émotion. En fait, il s'agit au travers de ces dessins symboliques d'inspirer un ressenti chez le lecteur ou chez l'acteur qui jouera cette pièce.


En parcourant ce livre de 154 pages dont 120 sont consacrées à ces dessins, on peut constater l'esthétisme et l'aspect graphique du projet. Transmettre l'émotion sans trop en dire pour laisser part belle à celui qui les vit a dirigé son travail. Les 34 pages restantes, placées en ouverture du livre, sont dédiées à la rédaction d'un quasi mode d'emploi. Les propos tenus sont pédagogiques et donc d'un accès simplifié afin que le lecteur-acteur s'approprie l'histoire et toutes les émotions contenues. A chaque idée son dessin. Les répliques sont donc constituées d'un à plusieurs émographes. Sans nul doute, bien qu'attrayant pour tous, les professionnels du spectacle, et notamment les professeurs de théâtre, y trouveront particulièrement matière à animer leurs cours afin de stimuler le travail d'improvisation.
A propos du livre :
Le vitrail aime la chair
Le vitrail aime la chair
Par lcdca le 16 Février 2018 Editer
lcdca
Présentation du livre Concert d'hormones (pièce de théâtre) par Aude Mazoue, journaliste animatrice, en présence de cinq autres chroniqueurs qui réagissent…

En substance, il a été dit que la forme originale (à l'écrit, forme basée sur l'énonciation d'items comme dans un système de listes) sert un texte très poétique. Passé cette redondance des "vers" tenus à la ligne, se dégage une tension dramatique. Cette orchestration de la forme est mise au service d'une belle idée qui soulève une question : qui de l'oeuvre ou de l'artiste vampirise l'autre ?
A propos du livre :
Concert d'hormones
Concert d'hormones
Par lcdca le 16 Février 2018 Editer
lcdca
Ce livre est un monologue féminin (en possible résonance avec la journée de la femme du 8 mars) qui s'intitule Mes veines comme des guirlandes électriques.
Cela peut vous intéresser tant il s'agit d'une écriture d'aujourd'hui, originale, poétique, inédite, alliant une facture littéraire et une oralité qui prend au corps.
Ainsi se totalisent plusieurs points communs entre nos actions et élans mutuels !
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