Rei Hanagata

Cette série est assez spéciale Rae est complètement folle dans sa tête et masochiste en le lisant je n'avais pas fait attention qu'il s'agissait d'un yuri même si Rae est dans un monde de jeu de drague de fantasy ce la ne m'a pas dérangé.

Malgré que ce ne soit pas avec énormément d'action on en a quand même un peu avec des combats de slime et la domestication de celle-ci ça m'a rappelé un peu sword art online avec silica.

Ce livre m'a fait passé un très bon moment de lecture je lirais la suite.

Une bonne surprise hormis le fait que le personnage féminin principal accepte le système dans le light novel. Sinon, les termes abordés sont hyper intéressant mais la romance est un peu malaisant sur les bords. Pour finir, ça se lit vite et l' Spoiler(cliquez pour révéler)arc de combat magiques était trop bien.

J’ai beaucoup aimé l’histoire et la recommande. J’attends le tome 2 avec impatience !

Pour poser un peu l'univers, on est dans un Isekai, notre héroïne se réincarne dans une jeu vidéo plutôt accès romance qui se passe dans un univers type moyen-âge, magie, créatures etc. Elle y incarne la protagoniste du jeu Rae Taylor roturière qui viens d'intégré le nouveau programme de méritocratie instauré par le roi, ce derniers permet à n'importe qui, peu importe ces origines d'intégré un établissement "universitaire" prestigieux. Nos prétendants sont trois prince tous stéréotypé, le premier sur de lui, égocentrique, brute de décoffrage. Le second beau, charmant, image parfaite, mais surtout vicieux. Le dernier, c'est le vilain petit canard, ténébreux, complexé car globalement moins doué que ces frères. Et forcément nous avons une grande méchante, notre rivale en cours, comme en amour, Claire François, dans le jeu elle fini par se faire exécuter.

Enfin ça c'est sans compté que notre protagoniste est lesbienne, et elle sont grand amour c'est Clair François, les princes elle s'en fou complétement. Et sont but, éviter à cette dernière de finir exécuté. Ce qui nous donne des situations complétement rocambolesque, du début à la fin.

Le premier tome du light novel "I'm in Love with the Villainess" de Inori se présente comme une entrée intrigante dans le genre, mais peine à livrer une expérience prenante et agréable.

L'histoire suit une jeune femme qui se retrouve mystérieusement transportée dans le corps du personnage de son jeu vidéo de drague préféré. L'histoire aurait pu être original en prenant le parti de s'intéresser à la méchante du jeu avec une intrigue lesbienne et non aux princes... Cependant, une fois de plus, l'intrigue manque d'authenticité, de surprises, et l'impression de revivre des scènes déjà vues dans d'autres œuvres du genre est constante.

Le manque de profondeur et d'originalité des personnages est horripilant. Les archétypes de l'héroïne à la vie miséreuse qui arrive par magie dans son jeu préféré (et qui est une harceleuse...) et de la tsundere sont présents, mais ne reçoivent pas le développement nécessaire pour les rendre mémorables ou engageants. D'autant plus que les interactions entre les personnages semblent artificielles et prévisibles (sans compter qu'elles sont TOUJOURS pareilles) ce qui nuit à l'authenticité des relations.

L'écriture ne parvient pas à se démarquer. Les descriptions et les dialogues manquent parfois de subtilité, ce qui peut rendre l'immersion dans l'univers difficile. De plus, les moments censés être émotionnels ou romantiques sont forcés et artificiels.

En somme, le premier tome de "I'm in Love with the Villainess" a du mal à se distinguer en raison de ses personnages fades et clichés, de son histoire peu captivante et d'une écriture moyenne. Malheureusement, l'œuvre ne parvient pas à exploiter pleinement son concept original et m'a laissé une impression mitigée. Pour ceux qui cherchent une histoire élaborée et des personnages nuancés, il pourrait être préférable de chercher ailleurs ~

Manga sur la cuisine, forcément j'y suis allée et j’ai bien fait. On suit un jeune homme qui était dans l'import-export dans un grand groupe alimentaire. Il était hyper doué pour son métier mais pendant son tour du monde il s'est pris d'une passion pour le burger. Il s'est rendu compte que globalement chaque pays a au moins une version personnelle du burger. Il plaque tout ce qui ne fait pas plaisir à ses supérieurs et ouvre un petit resto de burgers. Grâce à son immense connaissance des différents burgers, il va faire plaisir à ses clients en particulier à ceux qui ont des gros souvenirs liés à un voyage, à l'enfance…

J’aime la façon dont il se retrouve à plus ou moins mener l'enquête pour avoir assez d'éléments pour trouver de quel type de Burger chaque personne parle. Si c’est principalement une succession de petites histoires avec la découverte d’un burger à chaque fois, il y a malgré tout un fil directeur. J’apprécie découvrir l’histoire, la composition etc de chaque spécialité. C’est aussi appréciable de découvrir la recherche du bon produit, de la bonne qualité.

Le fait qu’on ne soit qu’autour d’un plat me laissait penser que ça serait laçant mais pas du tout. On est bien dans ce restaurant et c’est agréable de suivre cette réelle volonté de faire plaisir.En résumé, on est ici avec un manga très doux où on l’apprend plein de choses tout en suivant une personne qui a une réelle passion pour la nourriture, les bons produits et où l’aspect nostalgique est si puissant. J’ai hâte de lire la suite parce que je passe un excellent moment à chaque fois qu’on découvre un nouveau burger.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2024/01/14/todays-burger-t-1-rei-hanagata-umetaro-saitani/

Today’s Burger est un seinen issu de l’appétissante collection Gourmet des éditions Soleil. Son héros, Satoshi, a quitté son poste dans l’industrie alimentaire pour ouvrir son propre restaurant de burgers, un emploi dans lequel il se révèle, grâce à son impressionnant savoir, encore plus compétent.

Merci à Babelio et aux éditions Soleil pour l’envoi de ce service presse. Son alléchante couverture avait déjà attiré mon attention (ou plutôt mon estomac) en librairie, aussi ai-je profité de la Masse Critique pour découvrir cette série.

C’est le premier manga « gastronomique » dans lequel je me plonge, et je dirais que c’est sympathique, sans plus. L’histoire et les personnages se suivent sans déplaisir, mais je ne pense pas qu’ils me resteront longtemps en mémoire passée la dernière page.

Il s’agit là d’une œuvre plus instructive que passionnante, qui a pour mérite de mettre en avant les facettes insoupçonnées de ce met trop souvent associé à la malbouffe qu’est le burger. Ses origines, ses innombrables déclinaisons, ses différentes préparations… C’est intéressant d’en apprendre plus à ce sujet.

Ce qui l’est moins, c’est le schéma répétitif du scénario. Un client se présente, Satoshi cerne ses goûts et ses désirs en fonction de sa nationalité, et le visiteur repart aussi repu que satisfait.

Je ne suis vraiment pas fan des récits qui reposent sur ce genre de structure. Heureusement, il y a quand même un petit fil rouge en arrière-plan, porté par l’ancienne supérieure de Satoshi, prête à tous les coups bas pour le contraindre à mettre la clé sous la porte et à revenir travailler avec elle.

Une intrigue qui ne casse pas trois miettes à un bun, mais qui a suffi à atténuer un peu les réticences que j’avais commencé à nourrir quand j’ai perçu la redondance vers laquelle on se dirigeait. Pour un manga de cette forme, je trouve qu’il s’en sort plutôt bien.

J’ai donc passé un bon moment de lecture, plein d’anecdotes enrichissantes, mais pas au point d’avoir envie de me ruer sur la suite, qui ne compte rien de moins que dix-sept autres tomes. Je n’exclus pas d’en lire quelques-uns, toutefois je n’en fais pas une priorité. En revanche, si vous pensez que Today’s Burger correspond davantage à vos goûts qu’aux miens, je vous invite à ne pas hésiter.

Merci encore à Babelio et aux éditions Soleil pour cette découverte !