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Tous les livres de René Belletto

4ième de couverture édition "J'ai Lu" 2001 :

« Il était incapable de coucher avec une belle femme, une femme qui ne correspondait pas au moins jusqu'à un certain point à ses critères de laideur. Toute beauté des visages et des corps — tout signe d'existence, selon sa traduction intérieure — le menaçait lui faisait craindre de mourir dans l'acte. »

Dans le 8e arrondissement de Paris, les destins des personnages s'entrecroisent, dans un monde où la beauté la plus pure est le pendant d'une sombre laideur. Il y a Michel, le policier devenu luthier, Estella, mi-belle, mi-bête, Thérèse qui se signale à l'attention « par une laideur décourageante », Jean le cyclope...

Et il y a la Créature, son appel à Michel, qui entreprend un grand voyage... à l'autre bout de l'univers. Pour sauver la Terre, et préserver la face humaine du monde.

Né à Lyon en 1945, René Belletto est notamment l'auteur de La machine, Péril en la demeure (tous deux adaptés au cinéma) et L'Enfer (prix Femina et prix du Livre Inter).

Pressé par le danger, Donato ne voit d'autre issue que de remettre la cassette à Mare en lui mentant : " Tiens, un film policier pour ton fils ". marie donne la cassette à son fils David. Quand le danger la menace à son tour, elle devine l'horreur des choses et, avant d'être assassinée, elle a le temps de téléphoner à l'enfant. David et Michel Rey se rencontrent devant le commissariat de la rue Sully, à Lyon. Tel est pour Michel le début d'une aventure qui l'amènera à rencontrer sa future compagne, à élucider (ou à obscurcir) ses rapports avec sa sœur Nadia, à être contraint de quitter la police, et à tuer. Après Régis Mille l'éventreur, Michel Rey poursuit dans cette Ville de la peur l'exploration des mystères de Lyon, qui voue complaisamment ses lieux secrets aux scènes d'épouvante et de mort, et une quête spirituelle qui trouvera son terme, si loin de Lyon, dans Créature, dernier volet de la trilogie.

Dans Sur la terre comme au ciel, René Belletto décrit l'étrange engrenage qui conduit le héros au meurtre. Chaque personnage devient suspect. Il y a un tueur. Mais est-ce bien celui qui s'est déclaré ? Le destin est capricieux, les amours torrides et contrariées, l'humour fait résonner l'ensemble avec une gravité surprenante.

_____________________________________

J'étais mort. Je m'étais " mis de côté ". J'avais bien rempli le contrat. La précieuse boussole était en route pour Paris. Le gêneur, l'outsider qui la détenait abusivement, venait de voler en poussière. Une formidable exaltation s'empara de moi. Jusqu'à lundi midi, je n'étais personne ! J'étais mort ? Je n'étais ni mort ni vivant. Je n'étais plus David Aurphet et pas encore Michel Padilla. Joie, terreur sacrées ! Pendant quelques dizaines d'heures, il m'était donné de jouir de l'éternité ! Combien de temps demeurai-je ainsi, à contempler la colline, le ciel, la nuit d'été ? Peu de temps : les pompiers ne lambinent pas, et je perçus dans le lointain l'avertisseur de leur voiture dont le fatigant pin-pon déchira mon extase.

'Léonard attendrait que sa mère soit couchée pour la tuer. Il la tuerait dans son lit. Bientôt... 'En tout cas, je ne m'y prendrais pas comme ça', se dit-il : en passant d'une chaîne à l'autre, il était tombé sur une séquence de téléfilm dans laquelle un classique tueur de femmes tuait une classique prostituée d'un coup de couteau en plein coeur. Lui, Léonard, il donnerait plusieurs coups. La victime saignerait beaucoup, elle geindrait, se tortillerait avant de mourir. Dans un éclair, il se vit frappant en plein coeur. Oui, pour finir, lui aussi frapperait en plein coeur.'

Parfois, on se sent comme loin de sa vie. Si loin qu'on pense même à...

Michel Soler, seul dans une ville déserte et terrassée par l'été, en est à ce point d'éloignement. Désespérément disponible, et prêt à tout... Et soudain TOUT lui arrive.

Un destin mauvais fait apparaître sur sa route des hommes et des femmes également fatals – et un enfant, diabolique et adorable... Et ce destin mauvais le jette au coeur d'un mystère humain et inhumain, au coeur d'une machination de terreurs, de violences, de morts et d'amours qui sont de ce monde, et qui n'en sont pas. C'est pour Michel Soler l'occasion d'une renaissance, pense-t-on. L'énergie de son désespoir, sa force et sa fragilité redoutables, son indifférence et sa tendresse désarmantes, sa folie et son humour à périr dans les ricanements le font échapper aux pièges infernaux. À moins qu'ils ne l'y précipitent...

Avec tendresse et humour, René Belletto nous entraîne au plus extrême d'un effrayant et fascinant voyage en enfer.

Régis Mille : il se prend pour Jack l'éventreur - en plus intelligent. Sa première victime est une prostituée. Quatre coups de couteau, un vrai plaisir. Avec la seconde, il a moins de chance : elle sort un revolver de son sac, le blesse...

Michel Rey : mélomane, guitariste classique, luthier à ses heures. Curieusement, il est inspecteur de police. "Mais pourquoi fais-tu ce métier?" lui répète sa jeune soeur Nadia, musicienne elle aussi.

Enfin, il y a Robert, un copain de Nadia, naïf et mal dans sa peau. Robert qui, sans le savoir, dispose de pièces maîtresses et va fausser la partie...

Mortel jeu de reflets où s'échangent le bien et le mal, forêt de doubles où chacun, à la recherche de sa vérité, ira jusqu'au bout de son estin. Avec, en toile de fond, Lyon et ses clairs-obscurs. Et la musique omni-présente ...

Régis Mille l'éventreur est le premier volet d'une trilogie, la première des aventures de Michel Rey.

Film noir (1980) est le quatrième livre de René Belletto et précède la série des romans inaugurée par Le Revenant. Tandis que Livre d'histoire, publié deux ans avant Film noir, tentait une quête de l'unité qui serait derrière toutes choses (unité de toute façon hors d'atteinte, toujours dissimulée par on ne sait quel « Film noir »…) en racontant une multiplicité d'histoires, Film noir, dans le même but, s'acharne sur la même histoire et la raconte trois fois sous des formes radicalement différentes.

Curieusement, ce livre, qui pourrait sembler un ouvrage de la maturité d'un auteur « d'avant-garde », peut finir par être perçu comme le discours à la fois balbutiant et rigoureusement structuré d'un enfant surdoué s'effrayant de la vie à venir, dans laquelle il tentera pourtant de se jeter avec Le Revenant – dont le titre montre bien que la partie n'est pas gagnée… (Sans parler de L'Enfer, de Mourir, de Hors la loi…)

"Ce qui arriva alors... J'ai prononcé les mots de "surprise sans limites" à propos d'autres événements. Dire maintenant que ma surprise fut sans limites donnerait non une pâle idée (ni même blafarde ou livide) de ce que je ressentis, mais n'en donnerait aucune, tant le désastre dont je fus le témoin, et l'acteur... Je renonce. Je me borne pour l'heure à rapporter les faits sans détour ni commentaire, avec le plus de précision et de vérité possible, dans l'espoir qu'une telle exigence (j'ai déjà exprimé un espoir analogue), si j'ai la force de m'y tenir (mais l'aurai-je ?), m'aidera à survivre mieux au récit des minutes et des heures qui suivirent, les plus épouvantables de mon histoire".

À Barcelone, Marc n'a trouvé qu'un cimetière. Celui où repose sa femme, Isabelle. Depuis, le prof de musique a refermé l'étui de sa guitare. Et de tous ses rêves, ne lui reste que son fils, Éric.

C'est lui qu'il est venu retrouver à Lyon. Mais sur les rives de sa ville natale, le destin a prévu d'autres rendez-vous... Flingues imprévus, imprévisibles tueurs, des rendez-vous d'angoisse qui jettent bientôt Marc sur les routes ironiques, cruelles et dangereuses de son passé.

De Lyon à Nice, d'Italie en Sicile, de cadavres en cauchemars, le voyage s'accélère et s'emballe. Véritables Fangio des dérives fatales (de sa 403 !), Marc dévale gentiment toute la pente. Au risque de descendre plus loin encore, du côté de l'enfer, tout au sud de la poisse, du sang et des souvenirs.

Selon Borges, les temps est "problème inquiétant, exigeant, le plus vital peut-être de la métaphysique". Le temps où la vie est ruse de la mort, rêve agité où l'on n'étreint que soi-même, illusion à laquelle chacun, de méprise en méprise, s'efforce de croire. Et si, une fois pour toutes, le temps était mort ? A jamais mort ? Ce sont là quelques-uns des thèmes fondamentaux qui apparaissent à travers les récits de ce livre et qui, tout en conservant le charme propre à la littérature de l'étrange, se veulent l'expression d'un fantastique moderne.

Une intrigue multiple (et pourtant une) consumée par un suspense de chaque phrase (de chaque mot) offre au lecteur en pâture et à foison de l'action (« J'entendis alors une détonation sèche, pas très forte, et une petite parcelle de carrosserie vola en éclats tout près de ma tête : quelqu'un venait de me tirer dessus avec une arme à feu, j'en eus la certitude immédiate »), du mystère (« Personne ne l'a approchée. Elle a disparu, elle était là et l'instant d'après elle n'était plus là. Croyez-moi, je vous dis ce que j'ai vu, elle n'était plus là »), du sexe (« À cette fantasmagorie d'Irène se laisse aisément rattacher l'envie qu'elle eut alors que j'inondasse ses jolis seins de ma vénérienne expatriation »), du dépaysement (« Il survolait les paysages roses et rouges de Nomen, la planète-geôlière, proie d'une tourmente immobile qui tenait la végétation courbée et figeait la mer écarlate et ses courants noirs, et où régnait un jour perpétuel »), diverses considérations sur le sens de la vie (« On ne sait jamais ce que le passé nous réserve »), l'amitié complice du narrateur (« La place de livraisons était libre, tentante, je m'y mis (oui, je m'y mis, je verrai plus tard si je conserve ce “m'y mis", là maintenant je suis trop agité par ce que je vais raconter pour m'arrêter et réfléchir »), du sexe encore (Le lit à une place, ch. 19), en un mot on peut faire confiance à Luis Archer (le narrateur) lorsqu'il affirme cinq lignes avant la fin de son incroyable aventure : « Je pense avoir tout dit ».

Présentation de l'éditeur

Parfois, on se sent comme loin de sa vie. Si loin qu'on pense même à... Michel Soler, seul dans une ville déserte et terrassée par l'été, en est à ce point d'éloignement. Désespérément disponible, et prêt à tout... Et soudain Tout lui arrive. Un destin mauvais fait apparaître sur sa route des hommes et des femmes également fatals - et un enfant, diabolique et adorable... Et ce destin mauvais le jette au cœur d'un mystère humain et inhumain, au cœur d'une machination de terreurs, de violences, de morts et d'amours qui sont de ce monde, et qui n'en sont pas. C'est pour Michel Soler l'occasion d'une renaissance, pense-t-on. L'énergie de son désespoir, sa force et sa fragilité redoutables, son indifférence et sa tendresse désarmantes, sa folie et son humour à périr dans les ricanements le font échapper aux pièges infernaux. A moins qu'ils ne l'y précipitent... Avec tendresse et humour, René Belletto nous entraîne au plus extrême d'un effrayant et fascinant voyage en enfer. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Quatrième de couverture

Parfois, on se sent comme loin de sa vie. Si loin qu'on pense même à... Michel Soler, seul dans une ville déserte et terrassée par l'été, en est à ce point d'éloignement. Désespérément disponible, et prêt à tout... Et soudain tout lui arrive. Il est jeté dans une machinationde terreurs, de violences, de morts et d'amours qui sont de ce monde, et qui n'en sont pas. Mais son indifférence et sa tendresse, sa folie et son humour à périr dans les ricanements le font échapper aux pièges infernaux. A moins qu'ils ne l'y précipitent... --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

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