Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 680
Membres
1 013 363

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de René Girard

Le présent coffret comporte un essai inédit de René Girard, « La vérité de l’art », accompagné du DVD d’un film d’entretiens, « Le sens de l’histoire », réalisé en décembre 2007 au Centre Georges Pompidou.

René Girard rassemble dans ce livre des études sur Saint-John Perse et Malraux, Valéry et Stendhal, Freud et Proust, Nietzsche et Wagner. Remis en perspective par une préface inédite de l’auteur, ces essais inédits vont de 1953 à 1983. Ils couvrent trente ans d’élaboration de la théorie mimétique - et mettent en lumière à quel point la conception du désir mimétique s’est toujours vigoureusement opposée à l’individualisme freudien. Nous tenons là, dans le champ de l’esthétique et de la psychologie, l’équivalent de la « montée aux extrêmes ». Ce livre constitue donc une suite et un complément indispensable au dernier livre de René Girard, Achever Clausewitz.

Le DVD qui accompagne ce nouvel essai est celui d’un film d’entretiens de l’auteur avec Benoît Chantre, réalisé au Centre Georges Pompidou à l’occasion de l’exposition « Traces du sacré », couvrant deux siècles d’art. Partie de Clausewitz, Hegel et Hölderlin, en passant par Baudelaire, Nietzsche, Dostoïevski et Wagner, cette riche discussion débouche sur Stravinsky, Proust et Nijinski. René Girard y montre avec une rare intensité son amour du romantisme, mais aussi tout ce qui le rapproche et l’éloigne à la fois de l’art moderne.

Les deux derniers siècles nous auront montré le pire et le meilleur : une « montée aux extrêmes » qui, de Waterloo à Stalingrad, aura fait exploser l’Europe - et une floraison incomparable de génies. L’horreur de la guerre aura bien eu son envers lumineux. C’est ce sens apocalyptique, dont les œuvres d’art auront été jusqu’à un certain point le support, que René Girard médite ici, dans ces leçons magistrales sur la littérature et la musique.

René Girard

René Girard rassemble dans ce livre des études sur Saint-John Perse et Malraux, Valéry et Stendhal, Freud et Proust, Nietzsche et Wagner. Remis en perspective par une préface inédite de l’auteur, ces essais inédits vont de 1953 à 1983. Ils couvrent trente ans d’élaboration de la théorie mimétique - et mettent en lumière à quel point la conception du désir mimétique s’est toujours vigoureusement opposée à l’individualisme freudien. Nous tenons là, dans le champ de l’esthétique et de la psychologie, l’équivalent de la « montée aux extrêmes ». Ce livre constitue donc une suite et un complément indispensable au dernier livre de René Girard, Achever Clausewitz.

Le DVD qui accompagne ce nouvel essai est celui d’un film d’entretiens de l’auteur avec Benoît Chantre, réalisé au Centre Georges Pompidou à l’occasion de l’exposition « Traces du sacré », couvrant deux siècles d’art. Partie de Clausewitz, Hegel et Hölderlin, en passant par Baudelaire, Nietzsche, Dostoïevski et Wagner, cette riche discussion débouche sur Stravinsky, Proust et Nijinski. René Girard y montre avec une rare intensité son amour du romantisme, mais aussi tout ce qui le rapproche et l’éloigne à la fois de l’art moderne.

Les deux derniers siècles nous auront montré le pire et le meilleur : une « montée aux extrêmes » qui, de Waterloo à Stalingrad, aura fait exploser l’Europe - et une floraison incomparable de génies. L’horreur de la guerre aura bien eu son envers lumineux. C’est ce sens apocalyptique, dont les œuvres d’art auront été jusqu’à un certain point le support, que René Girard médite ici, dans ces leçons magistrales sur la littérature et la musique.

René Girard

R. Girard, philosophe et anthropologue, évoque son parcours intellectuel, revient sur la réception de ses ouvrages, présente ses recherches en cours. Prix Aujourd'hui 2004.

R

travers un commentaire stimulant du texte le plus étrange que contient la Bible, Le Livre de Job, René Girard nous convie à une formidable méditation sur le fonctionnement social. La violence, l'innocence, le religieux, le totalitarisme, le sacrifice? Autant de problèmes qui jalonnent La Route antique des hommes pervers.

Recueil de trois essais inédits, suivis d'un long entretien avec Maria Stella Barberi, le présent ouvrage s'élève contre le relativisme qui mine les contemporains, incapables de saisir la violence à la racine de tout ordre symbolique. René Girard revient sur sa conviction que seuls les Evangiles et "L'Apocalypse" de Jean, prophétisés par la Bible, sont à même de dévoiler l'origine cachée de toute institution. Il révèle par la-même les grandes lignes de son travail en cours : un darwinisme revisité, une anthropologie résolument corrélée à une théologie.

--Ce texte fait référence à l'édition

René Girard a rassemblé, dans ce recueil d'une exceptionnelle qualité, neuf textes qui revisitent l'ensemble de son oeuvre. A l'origine, ces contributions ont été publiées en anglais dans de prestigieuses revues universitaires américaines. La voix méconnue du réel est à la fois une introduction à la pensée de René Girard, et un approfondissement de ses thèmes de réflexion : le désir mimétique ; la pensée mythique ; les grands textes sacrés, etc. Un deuxième volume est en préparation autour des « mythes fondateurs non-chrétiens ».

Sommaire : Violence et Représentation dans le texte mythique ; Différenciation et Réciprocité chez Lévi-Strauss et dans la Théorie contemporaine Stratégies de la Folie ; Nietzsche, Wagner et Dostoïevski ; Nietzsche contre le Crucifié ; La Question de l'Antisémitisme des Evangiles ; Le Désir mimétique dans le Souterrain ; La Peste dans la Littérature et le Mythe ; Un Equilibre périlleux. Essai d'interprétation du Comique ; Innovation et Répétition.

(Grasset)

Après Mensonge romantique et vérité romanesque, René Girard a entrepris, dans La Violence et le Sacré, de remonter aux origines de l'édifice culturel et social qui est au coeur de notre civilisation. S'appuyant à la fois sur une relecture très personnelle des tragiques grecs et sur une discussion serrée des principaux systèmes d'explication, en particulier la psychanalyse, cette enquête originale met l'accent sur le rôle fondamental de la violence fondatrice et de la victime émissaire. Le religieux, secrètement fondé sur l'unanimité violente et le sacrifice, trouve ainsi dans cet essai majeur une définition inédite.

Les deux penseurs s'efforcent de rapprocher christianisme et modernité en soutenant la thèse paradoxale que la sécularisation et la laïcité sont des produits du christianisme. Le christianisme est la religion sortie de la religion, étant lui-même à l'origine des valeurs des sociétés occidentales. Une contribution au débat sur le rôle de la religion et le sens de la foi dans le monde moderne.

Un ouvrage qui révolutionne les sciences humaines. Parallèlement à une analyse approfondie des mécanismes qui règlent la vie des sociétés, René Girard développe et commente magistralement ce qu’il estime être l’antidote de la violence : la parole biblique. Une lecture et une réßexion stimulantes des grands mystères de notre monde. Le « système Girard » ne laissera personne indifférent.

Nous nous croyons libres, autonomes dans nos choix, que ce soit celui d'une personne ou d'un objet.

Illusion romantique ! En réalité, nous ne choisissons que des objets désirés par l'autre, mus le plus souvent par ce que Stendhal appelle les sentiments modernes, fruits de l'universelle vanité : "l'envie, la jalousie et la haine impuissante ". Partant d'une analyse entièrement renouvelée des plus grands chefs-d'œuvre de la littérature, René Girard retrouve partout ce phénomène du désir triangulaire : dans la coquetterie, l'hypocrisie, la rivalité des sexes ou des partis politiques.

Ce grand livre, écrit avec une rare subtilité, contribue à élucider un des problèmes majeurs de la conscience humaine : la liberté de choisir

" Merci mon Père de révéler aux petits ce que vous avez dissimulé aux sages et aux intelligents.

" Les sages et les intelligents, depuis, se sont bien vengés : à force de concasser les Évangiles, ils en ont fait un petit tas de pièces et de morceaux trop hétéroclites pour signifier quoi que ce soit... Mais ils n'auront pas le dernier mot ! René Girard pense, comme Simone Weil, que les Évangiles sont une théorie de l'homme avant d'être une théorie de Dieu. Une carte des violences où son orgueil et son envie enferment l'humanité.

Découvrir cette théorie de l'homme et l'accepter, c'est rendre vie aux grands thèmes évangéliques relatifs au mal, oubliés et évacués par les croyants - de Satan à l'Apocalypse. C'est également ressusciter l'idée de la Bible tout entière comme prophétique du Christ. Ainsi les Évangiles, loin d'être " un mythe semblable à tous les autres ", comme on le répète à l'envi depuis deux siècles, seraient la clef de toute mythologie derrière nous, et, au-devant de nous, de l'histoire inouïe qui nous attend.

Dans le dépérissement de toutes les pensées modernes, est-ce que seules les Ecritures Saintes tiendraient debout ?

Le penchant de l'homme à chercher des boucs émissaires responsables de ses malheurs a rarement fait l'objet d'une réflexion critique. C'est désormais chose faite grâce à René Girard. Il montre ici comment le mécanisme du bouc émissaire repose sur une illusion persécutrice partagée entre bourreaux et victimes. Si les citoyens de Thèbes voient dans Oedipe le responsable du fléau qui ravage leur ville, celui-ci en retour est convaincu de sa culpabilité et se crève les yeux pour ne plus voir sa faute.

Ce mécanisme victimaire engendre les illusions religieuses qui s'efforcent, par les sacrifices, d'apaiser la colère des dieux. Le christianisme a tenté de mettre fin au culte des idoles sanglantes en jetant le discrédit sur l'accusation persécutrice. Tel serait le sens de la passion du Christ, victime qui fait honte à ses bourreaux et oppose à leur violence le pardon d'un innocent. Le message de l'Évangile est donc le suivant : si les meurtriers pensent que leurs sacrifices sont méritoires, il faut leur pardonner car ils ne savent pas ce qu'ils font.

Le cheminement du désir n'est point rectiligne. Il emprunte des tangentes, il esquisse des triangles, il s'enfonce dans des cercles vicieux. La coquette, le masochiste, le Don Juan, le voyeur, tous se laissent entraîner dans un ballet fascinant dont la chorégraphie leur échappe. Les relations intersubjectives tendent toujours vers un modèle fixe et géométrique. (...). L'érotisme est désormais un combat entre des Moi égaux et identiques. Il n'est pas un adolescent qui ne soit convaincu que le fait d'être "unique" empêche son union harmonieuse avec une partenaire tout aussi unique. Il est pourtant clair que chacun est une copie conforme des autres.

Cet essai de René Girard présente et résume les concepts clés de sa théorie : le désir mimétique, le mécanisme victimaire et la révélation judéo-chrétienne. Comparant l'histoire de Milomaki, héros des Indiens yahunas, avec la légende d'OEdipe et les textes de persécution du Moyen Âge, l'auteur démontre l'origine persécutrice de tous les mythes et l'universalité du phénomène du bouc émissaire. Pour la seule fois dans toute son oeuvre, René Girard débat ensuite avec trois anthropologues : Walter Burkert, Renato Rosaldo et Jonathan Z Smith. Cette discussion concerne le sacrifice et la domestication, mais aussi les " chasses aux têtes " et aux animaux sauvages. Répondant de façon très convaincante aux objections que soulève sa théorie, l'auteur éclaire d'un nouveau jour les origines sacrificielles de l'humanité. À l'heure où l'anthropologie connaît un regain d'intérêt, notamment dans le sillage du centenaire de Claude Lévi-Strauss, la traduction de ce texte majeur s'imposait. René Girard aura en effet remis l'anthropologie religieuse au premier plan en révélant le mécanisme victimaire au fondement de la culture. On se persuadera sans mal, en le voyant ici défendre son hypothèse, qu'elle constitue un apport scientifique essentiel.

Lorsqu’au printemps 2006, René Girard et Benoît Chantre décidèrent d’écrire un livre sur Carl von Clausewitz (1780-1831), la perspective d’une catastrophe nucléaire s’était bien éloignée des esprits. La Guerre froide semblait révolue. Quant à la « vieille Europe », elle feignait de penser qu’elle avait exorcisé ses conflits séculaires. Lancé en octobre 2007, Achever Clausewitz fut très bien accueilli et traduit en de nombreuses langues : un succès que ne garantissait pas a priori la violence de son propos. Délibérément apocalyptiques, ces entretiens sur la destruction de l’Europe, l’échec du christianisme historique et le crépuscule de l’Occident s’achevaient sur un plaidoyer pour la relation franco-allemande et les figures qui l’incarnèrent. Or personne n’attendait sur le terrain géopolitique un auteur qu’on croyait plus préoccupé par les origines de l’humanité que par la fin de l’histoire occidentale.

L’intérêt que ce livre continue de susciter, quinze ans après sa parution, tant dans les cercles militaires et stratégiques qu’auprès des littéraires, des philosophes ou des anthropologues, est l’occasion d’en publier une version revue et augmentée. Mais le contexte a beaucoup changé. En 2007, c’était les actes suicidaires du djihad que Girard et Chantre interrogeaient en relisant De la guerre. L’invasion de l’Ukraine par les troupes russes, en février 2022, tout en s’inscrivant dans la brèche ouverte par le 11-Septembre, laisse présager un conflit d’une ampleur inédite depuis 1945. Nous voici entrés dans une nouvelle ère de la violence où se profile, avec une part de hasard beaucoup plus grande que dans les années 1960 et 1970, la possibilité d’une « guerre absolue », plus encore que d’une « guerre totale ». Ces entretiens riches et denses n’ont donc malheureusement pas pris une ride.

Où le lecteur redécouvre Dostoïevski, Camus, Dante et Hugo sous la conduite de l'un des grands maîtres de lecture contemporains et s'initie aux thèmes fondamentaux du " système Girard ".

Pourquoi l'anorexie frappe-t-elle certaines femmes plus que d'autres ? Les individus sont plus ou moins rivalitaires, il n'en va pas autrement dans le cas de la minceur que dans d'autres domaines. Les femmes anorexiques veulent être championnes de leur catégorie. C'est pareil dans le monde de la finance. La différence, c'est que le désir d'être plus riche que les autres n'apparaît pas comme pathologique. Par contre, le désir d'être plus mince, s'il est poussé à l'extrême, a des effets funestes visibles sur le plan physique. Mais une fois qu'une fille est anorexique, cela signifie qu'elle a choisi ce domaine de concurrence, et il est difficile d'abandonner avant la victoire, ce serait renoncer au championnat. Le résultat final est tragique dans les cas extrêmes, mais cela ne doit pas nous faire perdre de vue le fait que l'obsession de la minceur caractérise toute notre culture, ce n'est nullement quelque chose qui distingue ces jeunes filles. L'impératif qui pousse ces femmes à se laisser mourir de faim vient de toute la société. C'est un impératif unanime. De ce point de vue, donc, c'est organisé comme un sacrifice. Et le fait qu'il soit inconscient montre, de manière assez effrayante, qu'il y a une espèce de retour à l'archaïsme dans notre monde.

De Shakespeare, René Girard nous propose une lecture neuve inspirée de la théorie dont il est le père : la théorie "mimétique" - ou théorie de la triangularité du désir. Mais, loin d'appliquer à Shakespeare les principes du mimétisme, il s'attache à montrer que Shakespeare était un "miméticien" avant la lettre et que toute la théorie mimétique était contenue, dès les premières pièces, dans son oeuvre théâtrale. Au-delà de Shakespeare, René Girard nous interroge sur nous-mêmes, sur la dimension tragique de nos désirs, et nous propose un tableau à la fois sombre et plein d'espérance de l'humanité de toujours et de l'humanité d'aujourd'hui. Par ailleurs, il fait oeuvre de polémiste et s'attaque à la critique littéraire contemporaine ; mais son livre est moins un retour à la tradition que l'apparition d'un classicisme critique "nouvelle manière" face à un modernisme exténué.

"Les sujets étudiés dans ces quatre livres sont très différents les uns des autres : les romans modernes d'abord, les religions archaïques ensuite, la Bible et le christianisme enfin. Il y a dans ce recueil une diversité des outils d'analyse auxquels je recours : l'hypothèse du désir mimétique d'une part ; la théorie du bouc émissaire de l'autre ; la révélation destructrice du mécanisme victimaire enfin. Mais au cœur de ces quatre livres rassemblés ici - ce qui me plaît infiniment - l'essentiel est une question encore plus brûlante aujourd'hui qu'à l'époque où je me la suis posée. Il s'agit de la question de la violence dans son rapport avec le religieux."

- Dieu est-il une invention des hommes ?

- Est-il le produit de leur imagination ?

- Faut-il dès lors cesser d'y croire ?

On peut admettre, affirme Alain Houziaux, qu'on ne puisse prouver l'existence de Dieu et reconnaître pourtant qu'il donne sens à notre existence.

Pour René Girard, Dieu, incarné dans la figure du Christ, accepte de subir la violence des hommes et devient ainsi la pierre angulaire et le Sauveur des sociétés.

Dieu en lui-même est effectivement indépendant des hommes, reconnaît André Gounelle, mais il ne peut réellement exister que s'ils instaurent un dialogue avec Lui...

Ce petit livre amorce un débat théologique passionnant entre deux théologiens et un philosophe : si Dieu a besoin des hommes pour exister, dans quelle mesure ont-ils encore besoin de Lui ?

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode