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René de La Croix de Castries, dit le duc de Castries, historien français est né le 6 août 1908 au château de la Bastide-d'Engras, près d'Uzès, dans le Gard (Gard) et mort le 17 juillet 1986.
Il passe ses années d'enfance au château de Gaujac et à Nîmes. Après ses premières études à Fribourg et à Versailles, il entre à Sciences-Po où il s'intéresse à la diplomatie et aux finances publiques.
En 1934, il se marie et peu après, il rachète le château familial de Castries qui était passé dans un autre branche de la famille, le restaure et en cultive les vignes.
En 1939, il combat au Liban, est capturé, et libéré l'année suivante. Bloqué dans son village dont il devient maire, il occupe ses moments d'inaction au récolement de ses archives et écrit aussi des romans. Il obtient le prix Balzac, sur manuscrit, pour "Mademoiselle de Méthamis" ce qui décide de sa vocation littéraire.
Il se fixe à Paris en 1951 pour faire des recherches pour ses archives familiales, et en profite pour écrire un biographie de son ancêtre, le maréchal de Castries, militaire remarquable par sa bravoure, qui fut secrétaire d'état à la marine et dont le nom fut donné à la capitale de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Ce livre est couronné par l'Académie Française en 1956.
À partir de cette date, il publiera régulièrement un livre par an, principalement des biographies et des synthèses historiques, son époque de prédilection étant les années 1750-1850.
Le 4 mai 1972, il est élu au fauteuil n° 2 de l'Académie Française, en remplacement du pasteur Marc Boegner., et reçu par Jacques Chastenet, autre historien de renom, le 1er février 1973. Son successeur à ce fauteuil sera le journaliste André Frossard.
Il est réputé pour son enthousiasme à l'endroit de la vénérable institution : dans son éloge funèbre, Maurice Druon, secrétaire perpétuel, dira : "Nul n’aura été meilleur académicien, ni plus assidu; nul n’aura plus volontiers exercé les fonctions de directeur de nos séances; nul ne se sera porté plus souvent volontaire pour représenter l’Académie dans les occasions où elle est requise, et qui souvent demandent déplacement, temps et fatigue."
(sources : Wikipedia, site de l'Académie Française)
Biographie
René de La Croix de Castries, dit le duc de Castries, historien français est né le 6 août 1908 au château de la Bastide-d'Engras, près d'Uzès, dans le Gard (Gard) et mort le 17 juillet 1986.
Il passe ses années d'enfance au château de Gaujac et à Nîmes. Après ses premières études à Fribourg et à Versailles, il entre à Sciences-Po où il s'intéresse à la diplomatie et aux finances publiques.
En 1934, il se marie et peu après, il rachète le château familial de Castries qui était passé dans un autre branche de la famille, le restaure et en cultive les vignes.
En 1939, il combat au Liban, est capturé, et libéré l'année suivante. Bloqué dans son village dont il devient maire, il occupe ses moments d'inaction au récolement de ses archives et écrit aussi des romans. Il obtient le prix Balzac, sur manuscrit, pour "Mademoiselle de Méthamis" ce qui décide de sa vocation littéraire.
Il se fixe à Paris en 1951 pour faire des recherches pour ses archives familiales, et en profite pour écrire un biographie de son ancêtre, le maréchal de Castries, militaire remarquable par sa bravoure, qui fut secrétaire d'état à la marine et dont le nom fut donné à la capitale de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Ce livre est couronné par l'Académie Française en 1956.
À partir de cette date, il publiera régulièrement un livre par an, principalement des biographies et des synthèses historiques, son époque de prédilection étant les années 1750-1850.
Le 4 mai 1972, il est élu au fauteuil n° 2 de l'Académie Française, en remplacement du pasteur Marc Boegner., et reçu par Jacques Chastenet, autre historien de renom, le 1er février 1973. Son successeur à ce fauteuil sera le journaliste André Frossard.
Il est réputé pour son enthousiasme à l'endroit de la vénérable institution : dans son éloge funèbre, Maurice Druon, secrétaire perpétuel, dira : "Nul n’aura été meilleur académicien, ni plus assidu; nul n’aura plus volontiers exercé les fonctions de directeur de nos séances; nul ne se sera porté plus souvent volontaire pour représenter l’Académie dans les occasions où elle est requise, et qui souvent demandent déplacement, temps et fatigue."
(sources : Wikipedia, site de l'Académie Française)
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