Richard Wright
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Note moyenne : 7.88/10Nombre d'évaluations : 69
4 Citations 38 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Livre lu lorsque j'étais au collège.
Je me souviens plus vraiment du livre, juste que j'avais aimée le lire.
Je pense un jour, le relire
Afficher en entierJ'ai dû lire cette collection de nouvelles pour les cours et comment dire qu'il n'y en a pas une seule qui ne m'ait pas touchée. La dernière est particulièrement poignante… Ce livre est à lire, notamment si vous cherchez à en savoir plus sur les conditions de vie des Noirs dans le Sud des Etats-Unis.
Afficher en entierLecture mitigée. Une première partie du livre assez intéressante : les différentes formes du racisme et ces conséquences, le chapitre sur la décision du personnage de changer d'identité etc. De plus le récit est assez dynamique. Mais la deuxième moitié traîne un peu : on comprend vite la critique du communisme mais elle est répétée pendant plus d'une centaine de pages, des dialogues qui deviennent finalement des monologues philosophiques et politiques. Et le gros point négatif : le traitement des personnages féminins. Cliché et sexiste, ça n'apporte rien.
Afficher en entierCe #roman publié aux de #richardwright est d’une actualité redoutable, alors que la trame du livre date des années 20 aux #usa.
A l’heure où le monde entier se rebelle contre le #racisme ambiant qui perdure, le #livre #blackboy est l’ #histoirevraie, l’autobiographie de ce petit « moricaud », d’un gamin « negre » qui a subi tout au long de son enfance à sa vie adulte le racisme, l’ostracisme, dans sa ville d’origine le Mississipi.
Notre auteur est ce petit garçon, il se raconte à travers une écriture d’une grande finesse et justesse sans verser dans le pathos.
En quelques mots il est issu d’un milieu où le père absent, une mère malade qui tente de joindre les deux bouts. Il devient alcoolique à 6 ans, mais malgré tout il apprit à lire tout seul. Une enfance ballottée de gauche à droite, confrontée à une violence physique et morale dans sa cellule familiale mais aussi à l’extérieur avec les blancs en race dominante.
Le racisme des blancs à l’égard des noirs mais aussi des noirs à l’égard des juifs. Un Cercle de haine intemporelle dans lequel il a baigné.
Une #lecture édifiante qui ne peut que faire naître en nous un sentiment d’injustice et dégoût au vu des descriptions de scènes écœurantes et humiliantes.
Cependant, l’auteur avec partialité est autant critique des blancs que des noirs et réussit à transmettre ce message d’une égalité des êtres humains même dans l’infamie.
De son écriture élégante et fluide, sous un décor sombre, l’auteur nous livre sa vie, le combat qu’il a mené pour en arriver à cette position. Toutes ces privations, ces coups, l’absence de perspective l’ont construit.
Un livre que je qualifierais de classique est un hymne à la bienveillance humaine mais surtout au respect des valeurs humaines.
Un livre qui prône la résilience et qui place l’instruction, la culture au centre de tout.
Il y’a tellement à dire mais je ne peux que vous dire de le lire. Un coup de ♥️magistral.
Afficher en entierUn livre que j'ai lu très jeune (environs 12-13 ans) et qui m'avait profondément marquée (rapport avec un chat ?). Pourtant, je n'ai que très peu de souvenir du livre en lui même. Je me souviens à peine de l'histoire. En tout cas, plus de dix ans après, en revoyant la couverture et le titre, je me suis rappelée des sensations, alors que j'étais à moitié affalée sur un pouf dans ma chambre d'enfant, pendant que je me plongeais dans l'histoire...
Afficher en entier(ceci est un avis sur "Là-bas, près de la rivière" uniquement !)
Voilà bientôt un an que j'ai lu cette histoire.
Que dire ? Déjà... le thème abordé est superbe, incroyablement bien traité, pour le coup, aucun commentaires négatif à faire. L'auteur traite de ce sujet parfaitement bien. Néanmoins, l'écriture - du moins, la traduction française - est catastrophique (je pèse mes mots). L'auteur (américain), souhaitant plus de réalisme, a décidé d'utiliser une écriture très... atypique. Si en anglais cela peut passer, il en est tout autrement en français. Des syllabes sautent, des mots entier manquent, de la ponctuation en trop ou en moins... Bref, de quoi faire peur.
C'est cela le principal défaut du livre. Peut-être ne suis-je pas habitué et de ce fait très facilement perturbé, mais il en va de mon avis, ce livre - qui a beau traiter d'un sujet sensible mais très important - est très difficile à lire du fait de l'écriture voulant retransmettre l'argot typique de la population noire de ce milieu.
Cependant, le meilleur moyen de vous faire un avis est de le lire. Mais vous serez mis en garde.
Afficher en entierJe sais pas mais cette lecture m'a complètement vidé.
Afficher en entierCeci étant la première autobiographie que j'ai lu. C'est un genre d'écriture que je ne suis pas habitué de lire, j'ai bien aimé l'histoire malgré une perte d'attention dans certains passage. Ça se passe durant une époque que je n'ai pas vécu et ça m'a troublé de savoir que c'était réel.
Afficher en entierAlors clairement la première idée après avoir fini le livre c'est que si vous cherchez une lecture plaisir et détente ce n'est vraiment pas cette lecture qui vous conviendra. Au programme, lynchage, adultère, meurtres et autres joyeusetés, ont rendu cette lecture éprouvante.
J'ai malgré tout eu du mal à m'attacher aux personnages, malgré toute l'empathie que j'avais pour eux et leurs souffrances, peu importe la couleur de peau des personnages, un meurtrier reste un meurtrier et un homme qui bat sa femme reste un enfoiré à mes yeux.
Afficher en entierMoi jai besoin de ce livre black boy en urgence en pdf
Afficher en entierOn parle de Richard Wright ici :
2017-07-04T11:42:20+02:00
2016-01-13T17:51:58+01:00
2012-06-16T23:21:53+02:00
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Biographie
Richard Nathaniel Wright, né le 4 septembre 1908 à Natchez (Mississippi) et mort le 28 novembre 1960 à Paris, est un écrivain et journaliste afro-américain. Il a été le premier écrivain noir à écrire un roman à succès.
Petit-fils d'esclave, Richard Wright passe une enfance difficile à Jackson, Mississipi, abandonné par un père alcoolique et élevé par sa mère. En 1925, il déménage à Memphis et c'est à cette époque qu'il découvre l'œuvre de H. L. Mencken. Après avoir exercé de multiples petits métiers, il part en 1927 pour Chicago où, en 1935, il commençe à collaborer au « Federal Writers' Project ». En 1938, il publie le recueil de nouvelles Uncle Tom's children (Les enfants de l'oncle Tom) qui fut récompensé par le « Guggenheim Fellowship » l'année suivante.
Membre du Parti communiste des États-Unis d'Amérique dont il se distancie au début des années 1940, son œuvre est marquée par la condition des Noirs aux États-Unis ainsi que par les dangers du fondamentalisme religieux.
Dans les années 1950, il est une des victimes du maccarthisme et inscrit sur la liste noire du cinéma. Il quitte alors les Etats-Unis et s'installe avec sa famille à Paris où il se lie avec Jean-Paul Sartre. Il y vit jusqu'à sa mort, le 28 novembre 1960. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 87).
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