Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Rika Zaraï, nom d'épouse de Rika Gozman (née le 19 février 1938 à Jérusalem), est une chanteuse et écrivain israélienne.
Son père venait de Russie et sa mère de Pologne. Elle décroche son bac à 17 ans et obtient de faire immédiatement sa période militaire, devançant l'appel d'un an. Elle a suivi le conservatoire de musique de Jérusalem où elle a obtenu un premier prix de piano. Au cours des 18 mois d'armée, elle est désignée productrice de musique dans un groupe de l'armée du centre. Elle produit une comédie musicale Cinq sur cinq qui aura un grand succès dans les camps militaires, comédie qui fut également montée au Grand-Théâtre d'Israël.
Venue en France pour poursuivre ses études du métier de chanteuse, alors maman depuis quelques mois, elle se présente devant Bruno Coquatrix qui est à l'époque le directeur artistique de l'Olympia. Elle ne sait parler à ce moment-là que l'anglais et l'hébreu. Bruno Coquatrix refuse de l'engager tant qu'elle ne sait pas parler français. Elle chante alors dans des cabarets pendant deux ans et demi. Elle rencontre alors Eddie Barclay en quête de chanteuses « avec accent1 ».
Casatschok (adaptation de la chanson russe Katioucha), Sans chemise sans pantalon, Alors je chante (l'adaptation française de Vivo Cantando, une des quatre chansons gagnantes de l'Eurovision 1969), Michael, Balapapa et Tante Agathe comptent parmi les succès de cette artiste qui vendit plusieurs millions de disques, principalement à la fin des années 1960 et durant la décennie suivante. Elle popularisa également en francophonie les classiques du répertoire israélien, tels que Hava Naguila, Yerushalayim shel zahav (Jérusalem ville d'or) et Hallelujah (Grand Prix Eurovision 1979).
Le 9 novembre 1969, elle est victime d'un accident de voiture. La chanteuse sombre dans le coma durant six jours et reste immobilisée pendant huit mois dans une coquille de plâtre. Malgré un pronostic médical réservé, elle récupère totalement au bout de trois ans.
Outre sa carrière musicale, Rika Zaraï s'illustre donc dans la promotion de la médecine par les plantes à partir des années 1980. Elle publie sous son nom un livre écrit par un autre, qui se vendit très bien, sur la médecine naturelle, la médecine par les plantes1 » qui sont un grand succès en librairie. Ses prises de position dans ce domaine rencontrèrent de vives oppositions, notamment de la part des pharmaciens français, et firent l'objet de railleries des humoristiques et chansonniers du moment, en particulier "le bain de siège". A plusieurs reprises elle indique dans l'émission des Grosses Têtes qu'elle emploie une cinquantaine de personnes dans une société de fabrication de produits à base de plantes.
En 2008, Rika Zaraï fête ses cinquante ans de carrière dans la chanson, avec la sortie d'un nouvel album Quand les hommes… où l'on retrouve des reprises de titres de Georges Brassens notamment ou encore d'Yves Duteil, ainsi que des inédits. Des concerts sont prévus à l'Olympia en novembre.
Le 3 juin 2008, Rika Zaraï est hospitalisée en urgence à la suite d'un AVC (accident vasculaire cérébral) et est placée en soins intensifs à l'hôpital de la Salpêtrière, souffrant notamment d'une paralysie partielle du côté gauche du corps (hémiplégie). À la mi-juillet elle regagne son domicile et entame une phase de rééducation
Biographie
Rika Zaraï, nom d'épouse de Rika Gozman (née le 19 février 1938 à Jérusalem), est une chanteuse et écrivain israélienne.
Son père venait de Russie et sa mère de Pologne. Elle décroche son bac à 17 ans et obtient de faire immédiatement sa période militaire, devançant l'appel d'un an. Elle a suivi le conservatoire de musique de Jérusalem où elle a obtenu un premier prix de piano. Au cours des 18 mois d'armée, elle est désignée productrice de musique dans un groupe de l'armée du centre. Elle produit une comédie musicale Cinq sur cinq qui aura un grand succès dans les camps militaires, comédie qui fut également montée au Grand-Théâtre d'Israël.
Venue en France pour poursuivre ses études du métier de chanteuse, alors maman depuis quelques mois, elle se présente devant Bruno Coquatrix qui est à l'époque le directeur artistique de l'Olympia. Elle ne sait parler à ce moment-là que l'anglais et l'hébreu. Bruno Coquatrix refuse de l'engager tant qu'elle ne sait pas parler français. Elle chante alors dans des cabarets pendant deux ans et demi. Elle rencontre alors Eddie Barclay en quête de chanteuses « avec accent1 ».
Casatschok (adaptation de la chanson russe Katioucha), Sans chemise sans pantalon, Alors je chante (l'adaptation française de Vivo Cantando, une des quatre chansons gagnantes de l'Eurovision 1969), Michael, Balapapa et Tante Agathe comptent parmi les succès de cette artiste qui vendit plusieurs millions de disques, principalement à la fin des années 1960 et durant la décennie suivante. Elle popularisa également en francophonie les classiques du répertoire israélien, tels que Hava Naguila, Yerushalayim shel zahav (Jérusalem ville d'or) et Hallelujah (Grand Prix Eurovision 1979).
Le 9 novembre 1969, elle est victime d'un accident de voiture. La chanteuse sombre dans le coma durant six jours et reste immobilisée pendant huit mois dans une coquille de plâtre. Malgré un pronostic médical réservé, elle récupère totalement au bout de trois ans.
Outre sa carrière musicale, Rika Zaraï s'illustre donc dans la promotion de la médecine par les plantes à partir des années 1980. Elle publie sous son nom un livre écrit par un autre, qui se vendit très bien, sur la médecine naturelle, la médecine par les plantes1 » qui sont un grand succès en librairie. Ses prises de position dans ce domaine rencontrèrent de vives oppositions, notamment de la part des pharmaciens français, et firent l'objet de railleries des humoristiques et chansonniers du moment, en particulier "le bain de siège". A plusieurs reprises elle indique dans l'émission des Grosses Têtes qu'elle emploie une cinquantaine de personnes dans une société de fabrication de produits à base de plantes.
En 2008, Rika Zaraï fête ses cinquante ans de carrière dans la chanson, avec la sortie d'un nouvel album Quand les hommes… où l'on retrouve des reprises de titres de Georges Brassens notamment ou encore d'Yves Duteil, ainsi que des inédits. Des concerts sont prévus à l'Olympia en novembre.
Le 3 juin 2008, Rika Zaraï est hospitalisée en urgence à la suite d'un AVC (accident vasculaire cérébral) et est placée en soins intensifs à l'hôpital de la Salpêtrière, souffrant notamment d'une paralysie partielle du côté gauche du corps (hémiplégie). À la mi-juillet elle regagne son domicile et entame une phase de rééducation
Afficher en entier