Robert E. Howard
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Note moyenne : 7.22/10Nombre d'évaluations : 222
0 Citations 106 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'avoue que j'ai aimé ce livre, mais que la partie finale avec ces synopsis sans fin, ou ces histoires sans fin, je n'ai pas accroché et ça m'a même un peu dégoûté néanmoins.
Ce livre est donc un recueil de nouvelles dont l'ordre d'écriture ne se suit pas, et certaines n'ont pas vraiment de lien...
Les descriptions, que ce soient celles des personnages, monstres ou lieux, sont très bien écrites et très bien dosées.
Le personnage Conan est aussi bien travaillé, on en apprend plus sur lui au fil de ses histoires et aventures, il met à mal cette idée de barbarie et de civilisation, le plus civilisé ne serait-il pas celui qui justement n'a jamais connu ce concept civil...
Afficher en entierCette nouvelle est très plaisante a lire. Ça m'a clairement donné envie de découvrir l'œuvre original de l'auteur. D'ailleurs les illustrations sont magnifiques. Bravo au dessinateur.
Afficher en entierOn retrouve là un âge qui précède l'âge hyborien de Conan, où existait encore Atlantis, d'où vient Kull, une sorte de proto-Conan, qui en a la description, à quelques détails près. il est plus barbare, moins fin parfois, moins réflexif que Conan. Ici on a affaire à un barbare qui devient roi de Valusie, une nation pour laquelle il a combattu et dont il a pris le trône. Très agréable à lire, moins génial et beau que Conan, mais très plaisant aussi, dans l'imagination et les descriptions, les ressemblances avec un imaginaire lovecraftien parfois.
Afficher en entierDans ces nouvelles de Robert E. Howard, beaucoup plus connu pour son héros fétiche Conan le barbare, l’auteur se rapproche de l’univers de Lovecraft. On y retrouve les mêmes mécaniques dramaturgiques, sans les Grands Anciens. D’ailleurs, les titres de nouvelles sont très « Chtulhusien », Celui qui hantait la bague, Les habitants des tombes, Les adorateurs d’Ahriman,…. Donc les récits sont marqués du sceau de l’horreur, de forces incompréhensibles et d’êtres inconnus. Un bon « canada dry » qui m’a laissé un peu sur ma faim.
Les 9 nouvelles s’enchainent dans ce recueil, elles n’ont pas forcément de lien entre elles, sauf quelques fois des personnages. J’ai apprécié plus particulièrement les 3 dernières, un peu plus longues que les précédentes, et dont le contenu était bien plus dense et étayé. Toutefois, l’ensemble reste assez inégal.
Ecrites dans les années 30, ces nouvelles fourmillent d’a priori sexistes et raciaux, désormais difficilement entendables, mais à remettre dans leur époque. Quoi qu’il en soit, je vais certainement essayer de trouver la suite des aventures de Solomon Kane ou de Conan.
Afficher en entierTome merveilleux avec ces dessins toujours éclatants et le charisme de Conan et sa compagne font des merveilles ce tome est une pur réussite malgré une fin un peu tristounet on se pose la question est ce que notre héros est mort ou pas
Afficher en entierIl y a forcément des nouvelles que l'on préfère à d'autres, et il faut remettre le type d'écriture dans le contexte de l'époque, mais dans l'ensemble, c'était chouette à découvrir pour moi qui n'avais encore pas lu cet auteur. Voilà qui est fait. Mes trois préférées restent : Celui qui hantait la bague, Les habitants des tombes, Les adorateurs d’Ahriman. Avec un coup de cœur pour la seconde que j'ai vraiment trouvée originale.
Afficher en entierTrois nouvelles plus ou moins longues, dont deux mettant en scène Vulméa, un pirate dont les manières rappellent les héros connus de Howard.
Une ambiance d'aventure, de piraterie et de trésors, très traditionnelle. La dernière nouvelle, la 3e, change un peu, à la première personne elle met en scène une femme pirate, mais à travers la narration introspective on doit se farcir pas mal clichés sexistes.
Afficher en entierPuisque les bd de cette série peuvent se lire indépendamment, j'ai choisi de commencer l'univers de Robert E. Howhard à travers ce tome-ci.
Et je dois dire que cette nouvelle a été magnifiée par le talent des illustrateurs. Les décors sont superbes, les expressions bestiales à souhait, les scènes de tuerie dynamiques et fiévreuses, les teintes sombres et les lumières très basses.
Le récit en lui-même est un peu déconcertant, il y a beaucoup de zones d'ombres. Les seules bulles qui donnent de l'information étant celles des dialogues entre les personnages.
Bon, ça m'a quand même moins dérangé que l'épisode injustifié dans lequel Conan jette une vendeuse de charmes dans une fosse à purin. Juste, pourquoi ?
On le sait, niveau représentation, l'œuvre de Howhard est catastrophique surtout en ce qui concerne le genre féminin. Je ne m'attendais juste pas à autant de violence gratuite envers lui.
Mis à part ce petit incident, j'ai aimé découvrir ce qui est considéré comme un classique de fantasy à travers ce medium qu'est la bande-dessinée. Je dirais que c'est à découvrir.
Afficher en entierCe volet est plutôt pas mal. Beaucoup plus noir et sombre, il présente une fantasy dans laquelle Conan est un roi déchu, qui avec d'autres compagnons, va se battre contre un terrible mage noir revenu d'entre-les-morts.
J'ai beaucoup aimé cet aspect du personnage, qui se révèle plus stratège, moins "sauvageon de la forêt", même si les scènes de tuerie bouillonnent de sa rage assassine.
Un bémol cependant, le nombre de page ridicule, qui empêche à l'intrigue de se développer correctement, et qui a donc rendu ma lecture confuse sur le plan temporel.
Afficher en entierUne histoire de Conan sur presque 300 pages, un vrai roman, certes construit comme une nouvelle, mais, contrairement à Lovecraft et son "roman" (les Contrées du Rêve), lui qui également écrit des nouvelles, ici Robert Howard garde son personnage, son style, tout ce qui fait les nouvelles. C'est du Conan étendu.
Je compare les deux auteurs parce qu'ils ont beaucoup en commun, dans le style. Pas de prime abord, certes, pas dans le genre ou le thème, mais dans cette façon d'écrire très descriptive et basée sur l'émotion communiquée, les impressions, l'ambiance. Et ce lien avec, toujours, des forces anciennes et obscures. D'ailleurs certaines nouvelles, pas de Conan, mais de Robert Howard néanmoins (dans le tertre maudit par exemple), sont très lovecraftiennes.
Bref j'ai adoré voir cette nouvelle-roman qui prend son temps, tout en éludant les présentations, car on connait Conan et son univers. Ici donc, on commence d'entrée de jeu : Conan est roi, et il y a une grande bataille. Tout le reste va être une quête, de l'aventure et de l'action. Réellement une nouvelle étendue sur quelque chose de long, avec pour le coup d'autres personnages, des antagonistes aussi, qu'on apprend à connaître.
J'ai adoré et l'ai lu très vite, je ne pouvais pas le lâcher.
Afficher en entierOn parle de Robert E. Howard ici :
2015-11-25T19:31:52+01:00
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Dédicaces de Robert E. Howard
et autres évènements
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Editeurs
N.E.O. (Nouvelles éditions Oswald) : 32 livres
Bragelonne : 27 livres
J'ai lu : 17 livres
Fleuve Noir : 12 livres
JC Lattès : 11 livres
LGF - Le Livre de Poche : 5 livres
Glénat : 4 livres
Glénat BD : 2 livres
Biographie
Robert Ervin Howard (1906-1936), est né et a vécu au Texas. Il a publié sa première histoire à 19 ans dans la revue Weird Tales (qui publia les auteurs mythiques de l'âge d'or, dont Lovecraft). Après quelques années difficiles, sa carrière démarra en 1928 avec la parution des récits de Solomon Kane, suivis par de nombreuses nouvelles dans des genres aussi divers que la Fantasy, l'horreur, l'histoire, le western ou la boxe. Mais c est Conan, créé en 1932, qui lui vaudra la postérité littéraire. Ce héros, ainsi que la puissance évocatrice de l'écriture de son auteur, a eu et a toujours une influence majeure, au moins égale à celle de Tolkien, sur la Fantasy et partant sur tout l'imaginaire occidental.
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