Rodolphe Girard
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Note moyenne : 5/10Nombre d'évaluations : 6
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Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai eu à lire ce livre pour l'école (j'aurais jamais lu ça si non). C'était plate! il y a rien qui se passe...
Afficher en entierLivre à lire pour l'école! c'était correct, sans plus! Il se lisait rapidement par contre. L'écriture était pas si mal!
Afficher en entierJe ne trouve pas ce livre très intéressant. L'humour est assez étrange. On parle de sujet comme la religion, mais avec un humour dérisoire . Un gros bof.
Afficher en entierPour apprécier cet ouvrage à sa juste valeur, il faut le placer dans son contexte. C’est vraiment le premier roman québécois (même si le terme québécois était alors inexistant), parut en 1903 et il s’agit en fait d’une critique sociale envers le clergé si imposant à cette époque, tellement puissant que l’auteur, Rodolphe Girard, avait perdu son emploi de journaliste à «La Presse». Avant le bannissement de son œuvre, sa réputation étant déjà faite, l’écrivain a pu heureusement vendre presque l’ensemble des exemplaires existants, et la deuxième réédition de «Marie Calumet» eut lieu en 1946.
Considéré irrévérencieux envers les hommes d'Église, le livre qui se déroule dans le milieu rural se veut également satirique et prend des allures tout à faites rabelaisiens, surtout avec ce banquet de noces en guise de conclusion dont je vous laisse découvrir la surprise.
Afficher en entierDédicaces de Rodolphe Girard
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Bibliothèque québécoise : 1 livre
Biographie
Girard, Rodolphe. Journaliste, auteur et militaire. Trois-Rivières (Québec), 24 avril 1879 - Richelieu (Québec), mars 1956. Fils de Louis Girard et d'Emma Trottier; marié à Cécile Archambault; père de trois garçons et de deux filles. Déménagement de la famille Girard à Montréal en 1891. Études à Trois-Rivières et à l'Académie commerciale du Plateau; Collège Saint-Louis, Montréal, baccalauréat ès arts, 1894-1898. Étudiant, il envoie des contes au Trifluvien. Journaliste : La Patrie, 1899; La Presse, 1900-1904. Son roman Marie Calumet, est condamné, dès sa sortie en 1904, par l'archevêque de Montréal; suite à la publication d'un article dans La Vérité, en 1908, au sujet de son roman, Rodolphe Girard poursuit le journal pour libelle diffamatoire et obtient gain de cause en 1911. Le Temps, Ottawa, rédacteur en chef quelques mois après son congédiement de La Presse. Gouvernement du Canada : Secrétariat d'État, 1905; traducteur à la Chambre des communes, 1908, et au Sénat, 1940. S'engage dans l'armée canadienne en 1914, lieutenant-colonel; décoré de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre de France; commandant du Régiment de Hull, 1923-1927. Retraité à Richelieu en 1942. Institut canadien-français d'Ottawa, président. Membre de l'Alliance française. Publications : Florence : légende historique, patriotique et nationale, 1900; Mosaïque, 1902; Marie Calumet, 1904, rééditions en 1946 avec une préface d'Albert Laberge, en 1973 et en 1979, traduction anglaise, 1976; Rédemption, 1906; L'Algonquine, 1910; Contes de chez nous, 1912; Les Ailes cassées, 1921. Collaboration à La Patrie, édition du dimanche. Sources : Fonds Rodolphe-Girard; Dictionnaire des auteurs de langue française en Amérique du Nord, p. 608-609.
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