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Concernant le contenu, Fragment d'un discours amoureux est une réelle invitation à l'introspection et à la dualité homme/femme par le prisme de la relation au sens large finalement. Je n'ai pas toujours partagé la position de Roland Barthes mais toujours utile que cette lecture est riche d'enseignements et de pensées.
Fragments d'un discours amoureux
C'était une découverte originale.
Fragments d'un discours amoureux
Fragments d'un discours amoureux
C'est le livre d'une époque, celle d'un état singulier des relations internationales, de la France, du Japon, alors que le monde, à peine sorti de l'après-guerre, finit de se décoloniser. « L'Empire des signes » ne prétend « en rien représenter ou analyser la moindre réalité », mais « prélever quelque part dans le monde un certain nombre de traits ». Que penser de ces éléments ainsi saisis ? de leur vraisemblance ?
Le Japon est le « pays des signes » de toutes sortes où l'étranger se trouve sans cesse dépaysé, souvent désemparé. Ce pays atteint un haut niveau de raffinement dans de nombreux domaines que Roland Barthes explore avec élégance et finesse. le livre est enrichi de nombreuses illustrations. A travers les attitudes, la nourriture, la photographie, le haïku, l'écriture, Roland Barthes échappe aux comparaisons caricaturalement binaires habituelles des auteurs occidentaux, opposant sans cesse un « chez nous » à un « là-bas » mais flatte sans réserve certains stéréotypes de l'empire du soleil levant.
Selon Maurice Pinguet, alors directeur de l'Institut franco-japonais à Tokyo : « le Japon, ce Japon, son Japon, — ce fut pour Roland Barthes l'utopie du désirable ».
L'Empire des signes
Comment dire ? Je n'ai pas compris grand chose de ce livre car j'essayais de voir en quoi c'était une encyclopédie et comment des éléments. Barthes brouille tout, il n'y a du désordre partout. On n'arrive pas à comprendre la structure même du livre. J'ai beau me triturer la tête, je n'ai pas su déchiffrer le travail de l'auteur. Puis, cela a eu des répercussions sur mes envies de le lire car j'ai pris du temps pour le lire et je ne prenais aucun plaisir.
C'est dommage mais je pense le relire très rapidement pour déchiffrer le mystère autour de cet autoportrait très original et surprenant. Néanmoins, j'apprécie de découvrir Barthes différemment et on a une petite impression d'ordre dans le désordre.
Pour conclure, je ne peux pas dire que j'ai aimé ma lecture, ni détesté car je n'ai pas réussi à comprendre l'univers de ce livre. Il est très surprenant et sort clairement des sentiers battus de l'autoportrait et de l'encyclopédie.
Roland Barthes par Roland Barthes
Roland Barthes -Le bruissement de la langue-Lectures, La rature
Le bruissement de la langue : Essais critiques IV
D'un côté, j'ai trouvé une grande partie de ses analyses particulièrement pertinentes et intéressantes dans la mesure où certains des mythes des années 1950 que Roland Barthes met en lumière sont encore d'une incroyable actualité. Si l'auteur met en avant, entre autres, l'infantilisation véhiculée par le monde bourgeois et son hypocrisie, ce qui est sans doute le plus frappant sont ses analyses sur la condition de la femme et des peuples colonisés qui sont pour le moins annonciatrices des grands combats de notre époque.
Cependant, si beaucoup des conclusions de Barthes ne peuvent que nous inciter à appréhender notre monde avec plus de regard critique, d'autres, en revanche, me semblent plus discutables ou, en tout cas, m'incitent à les aborder avec plus de nuances et de réserves.
Le biais idéologique manifeste avec lequel est écrit ce livre me semble parfois desservir les théories qu'il porte, en fondant par exemple son analyse sur des interprétations sujettes à caution. de ce fait, il semble que Barthes mette parfois la neutralité (certes théorique mais dans l'absolue nécessaire) de son statut de chercheur de côté au profit d'attaques pour le moins hasardeuses contre la bourgeoisie qu'il méprise.
Finalement, ce livre, bien qu'inégal et parfois discutable, est dans l'ensemble très éclairant et donne matière à réfléchir. Il me laisse donc dans l'ensemble une impression mitigée.
Mythologies
L'Empire des signes
L'approche que Barthes adopte de l'oeuvre de Racine est assurément intéressante — passionnante, même, puisque c'est là le propos d'une grande partie de l'ouvrage : l’Éros racinien — et permet d'apporter un éclairage inattendu sur les pièces de mon dramaturge préféré.
Cela dit, j'ai eu l'impression qu'à une première partie, particulièrement brillante, succède une seconde, plus technique, plus jargonnante, moins accessible — et peut-être, aussi, moins pertinente ?
Je ne regrette pas ma lecture même si j'ai été déçu par cette seconde "partie", moins convaincante.
Sur Racine
Je ne sais pas si c'est l'écriture de Roland Barthes qui ne me convient pas, ou si c'est simplement sa façon d'aborder le sujet, mais une bonne partie du texte reste obscur pour moi, alors même qu'il s'agit du sujet central du livre. Certains passages m'ont cependant bien inspirée pour des potentiels futurs articles de blog, mais dans l'ensemble grosse déception.
Le plaisir du texte
Le plaisir du texte
La Chambre claire : Note sur la photographie
Fragments d'un discours amoureux
Roland Barthes par Roland Barthes
La Chambre claire : Note sur la photographie