Roy Lewis

Je ne dirai pas, comme je le lis souvent, que « Pourquoi j’ai mangé mon père » de Roy Lewis est un livre hilarant. Certes non ! Ce livre constitue, pour moi, plutôt la vulgarisation décalée d’un traité d’anthropologie et de sociologie : l’humour résidant dans les anachronismes qui jalonnent cet ouvrage et grâce auxquels Roy Lewis parvient à déclencher le sourire du lecteur par le mode de pensée, le vocabulaire moderne et la sémantique qu’il prête aux pithécanthropes.

Sous une forme que l’on croit banale, de grandes questions sociales et philosophiques y sont traitées : La mort, le rêve, la quête amoureuse, le progrès, les inventions dangereuses, les autocrates, les relations parents-enfants et la psychanalyse car, en effet, ce « pourquoi j’ai mangé mon père » n’est-il pas une réécriture du complexe d’Œdipe ?

Je n'ai malheureusement pas trouvé ce livre si drôle que cela : original certes, un bon moment de lecture, agréable sans plus ! L'évolution de l'humanité vu de" l'intérieur", avec un langage qui se veut "moderne" et (déjà) évolué ! Pas renversant ! Le titre ne me parait pas plus approprié que cela non plus...

Un des livres lu pendant mon parcours scolaire.

Un autre regard sur son pere

Lecture très rapide de cette histoire qui retrace l'évolution de l'homme préhistorique de façon assez drôle. Alors je ne me suis pas écroulée de rire comme le prologue l'annonce, mais ça fait sourire et c'est déjà bien. Je n'ai pas beaucoup aimé le personnage du narrateur, par contre.

Je recommanderais plutôt cette lecture à des ados qui pourront apprendre le mode de vies de nos très lointains ancêtres de façon comique et facile, grâce aux chapitres très courts qui leur évitera de se lasser.

Dans un socialisme exacerbé, un jeune roi-citoyen se voit être un modèle de socialisme et un citoyen presque ordinaire.

Une vie qui ne convient guerre au souverain qui souhaiterait aider plus son peuple. Dans ce monde ou le socialisme ressemble à un soft communisme, le roi-citoyen un peu candide, ne sait que faire pour son peuple qu'il aime tant.

Un très bon roman, qui nous pousse à réfléchir sur le socialisme et la forme qu'il doit ou peut prendre. Il nous invite par la même à nous poser des questions sur des thèmes économiques important, comme la destruction créatrice et bien d'autres.

Je commençais cette lecture avec l’idée que je n’aimerais pas car c’est pour les cours de français que j’ai du lire ce livre. J’ai été agréablement surprise par l’intérêt que l’histoire a suscité chez moi déjà pour son originalité mais également pour le côté comique de l’œuvre! J’ai adoré

Aussi stupidement drôle que génial.

C'est un livre que j'ai du lire pour les cours. J'ai été "forcée" donc forcément je n'ai pas trop aimé...

J'avais tellement adoré son livre "Pourquoi j'ai mangé mon père" !

Mais ce livre m'a terriblement déçue.

L'irréductibilité du système capitaliste !