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Sam Millar

Auteur

65 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par bridget 2014-01-14T20:26:38+01:00

Biographie

Né à Belfast en 1958, Sam Millar a fait de la prison en Irlande du Nord comme activiste politique, et aux États-Unis comme droit commun. De retour à Belfast où il vit toujours, il est devenu écrivain, auteur de deux romans noirs, Poussière tu seras et Redemption Factory (Rouge est le sang chez Points), et d’une autobiographie On the Brinks (Seuil, 2012).

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7/10
Nombre d'évaluations : 26

0 Citations 15 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Sam Millar

Sortie France/Français : 2022-08-19

Les derniers commentaires sur ses livres

Karl Kane, Tome 2 : Le Cannibale de Crumlin Road

Quand le mal est permis nous.

Après "Les chiens de Belfast" notre cher inspecteur privé Karl Kane est confronté à une affaire qui va l’entraîner lui et sa famille à rencontrer le mal en personne. L'affaire commence avec un cadavre découvert dans un état un peu particulier. Notre privé qui est en froid avec la police local va ce lancer dans une chasse à l'homme avec l'aide des certaine personne pas forcement très conventionnel. Déjà qu'il est dans un état psychique pas très joyeux Karl va trouver la motivation et la force pour affronter l'horreur et le mal à l'état brut.

C'est du MILLARD tout craché.

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Commentaire ajouté par Ma8907 2017-01-10T02:58:54+01:00
Poussière tu seras

Un roman plutôt dérangeant et malsain, mais il m'a bien tenue jusqu'au bout ! L'histoire est intéressante et plutôt bien construite, bien que glauque

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Karl Kane, Tome 2 : Le Cannibale de Crumlin Road

J'ai beaucoup apprécié ce roman qui m'a fait decouvrir un auteur à l'ecriture serrée et vive. Le detetcive privé Karl Kane utilise des methodes plutôt non conventionelles pour avancer et possede un humour incisif et des jeux de mots qui defient le meilleur des traducteurs....Aux amateurs de Polar à lire sans modération.

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Commentaire ajouté par Anna19 2017-05-06T15:38:58+02:00
Karl Kane, Tome 4 : Au scalpel

Au scalpel suit plusieurs situations et personnages en parallèle. D'abord Karl Kane, détective aux airs de dur mais qui, au fond, a bon cœur. Il accepte d'enquêter sur l'incendie d'une maison qui a tué une famille entière, sans savoir que celui-ci a été causé par un homme en lien avec son passé. Ensuite, il y a Tara et Dorothy, deux jeunes filles qui ont été enlevées par celui que Tara a surnommé "Scarman", et qui sont toutes deux enfermées dans la même pièce. Pendant que la petite Dorothy, terrifiée, s'en remet à ses prières, Tara, qui a déjà eu a surmonter ce genre d'épreuve dans sa vie, s'efforce de trouver un moyen de s'enfuir. Enfin, on a le fameux Scarman, pédophile et assassin psychopathe, qui entame un jeu du chat et de la souris avec notre détective.

Il est intéressant de lire un livre policier où le héros n'a pas conscience du fait que deux gamines ont été enlevées, et n'est donc absolument pas à leur recherche ! Le lien se fait surtout entre le tueur et Karl Kane, l'accent est mis sur le passé traumatisant du détective. Le roman nous permet aussi d'apprendre à connaître ce personnage qui n'a pas sa langue dans sa poche et qui n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Quelques allusions sont faites aux romans précédents dans lesquels Kane figure, notamment au sujet de ses rapports apparemment compliqués avec la police et de sa fille et son ex-femme. Je n'ai pas lu ces autres romans, mais je n'ai pas été gênée dans ma lecture.

Le personnage de Karl Kane est sympathique, son ton sarcastique donne souvent lieu à des dialogues savoureux.

Je salue l'originalité de la construction du roman, qui fait qu'on s'étend peu sur l'enquête à proprement dit, et plus sur les personnages, que ce soit le détective, le coupable ou les victimes. D'ailleurs, mention spéciale au personnage de Tara, qui parait détestable au premier abord mais qui se révèle au final particulièrement émouvant, dans cette force-fragilité qui la caractérise. La relation construite entre les deux jeunes filles enlevées est très intéressante.

Après, on reste malgré tout assez en surface, que ce soit pour le développement des personnages ou des situations (le lien Tara / Dorothy, la psychologie du psychopathe, et même la chasse entamée par Karl Kane après les indices laissés pour lui par le tueur). Le roman est court, peu porté sur la description et va à l'essentiel.

De ce roman, je retiendrais sûrement les personnages aux nombreuses fêlures, qui donnent souvent quelque chose de poignant à ce récit. Le point négatif, c'est le manque de tension du roman : la pression ne monte qu'à la fin, pour arriver vite au dénouement. On n'a jamais vraiment peur pour aucun des personnages, peut-être à cause de ce ton léger que garde Karl Kane en toutes circonstances, ou de la distance qui est mise avec les horreurs dont est responsables Scarman et qui nous sont décrites. On n'a jamais l'impression que la situation est grave, dangereuse ou horrible. Même Dorothy et Tara sont rarement mises face à face avec leur kidnappeur, ce qui fait que la menace de Scarman n'est jamais réelle.

Deux autres petites choses en passant : d'abord, je n'ai rien contre les citations en début de paragraphe, mais là, c'était un peu trop pour moi. En effet, les paragraphes sont courts, du coup on se retrouve avec une citation tous les trois-quatre pages, et ça nous sort à chaque fois du récit. Ensuite, je ne sais pas si c'est dû à la traduction (sûrement), mais certaines phrases m'ont parues bizarres, surtout les dialogues, pas très naturels parfois.

En résumé, c'est un roman pour le moins surprenant, qu'on lit sans ennui. La collection "cadre noir" est censée se composer de romans particulièrement sombres, je ne trouve pas que "Au scalpel" le soit. Trop de second degré dans les dialogues et les situations, pas assez de moments de tension. Ce sont, surtout, des personnages que la vie n'épargne pas et pour qui l'on a de la compassion.

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Commentaire ajouté par Julitlesmots 2017-06-05T21:43:13+02:00
Karl Kane, Tome 4 : Au scalpel

https://julitlesmots.wordpress.com/2017/06/02/au-scalpel-de-sam-millar/

Au Scalpel est le quatrième livre avec le détective Karl Kane, après Les chiens de Belfast, le cannibale de Crumlin Road et Un sale hiver.

Au Scalpel, peu néanmoins se lire sans avoir lu les opus précédents, plusieurs passages font références à ce qui s’est passé avant…

L’auteur, Sam Millarst présenté comme « un poète des ténèbres » d’après les éditions du seuil en quatrième de couverture du roman, en reprenant les mots de l’hebdomadaire New Yorkais Village Voice.

Pour autant, ici point de poésie !

Merci à Babelio et aux Editions du Seuil, qui m’ont permis de découvrir un auteur avec une écriture vive et incisive. Il tranche dans le vif, sans fioritures et va directement au but…

D’ailleurs dès le départ, on est dans le vif et on comprend bien vite que Karl Kane ne fait pas dans la dentelle et ne s’embarrasse pas de règles… Il est protecteur, a des valeurs et se fout pas mal des conséquences que cela peut avoir…

C’est un homme qui en a bavé et donc pourquoi prendre des pincettes avec les cons, les hors la loi et les pédophiles… Il est marqué au fer rouge par son vécu et cela se sent dans tout son être, dans ses actions… Il en fait, d’ailleurs, encore des cauchemars… D’une rare violence…

A neuf ans, la mère de Karl Kane a été violée et tuée par Walter Arnold.

« Et puis tout avait changé. Pour toujours. Les hurlements de sa mère, fous, les interminables cris stridents d’une infernale agonie. Les couteaux. le sang. La terreur. le viol. le meurtre. »

Son père, atteint d’Alzheimer, a du être placé. Sa fille Katie est perturbée psychologiquement… Bref il est à vif notre détective !

Avec Au Scalpel, trois affaires vont se télescoper… Des scènes gores, une ambiance malsaine, des passages insoutenables, largement contrebalancés par un humour noir à souhait et un Karl Kane sarcastique.

J’adore l’humour noir, pas toujours apprécié à sa juste valeur, et là j’ai été servi et j’ai adoré ! Il est tellement rare d’avoir un personnage aussi sarcastique, il est humain avec une capacité de résilience admirable et cela le rend sympathique et excuse tous ses travers.

« Il se foutait de tuer, mais il préférait le faire quand tout était sous contrôle, sur le tempo de son choix. »

Une lecture que j’ai apprécié, un personnage sympathique et un auteur à lire…

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Karl Kane, Tome 1 : Les Chiens de Belfast

Cet auteur est une agréable découverte.

Ce livre se lit bien et vite. L'enquête est pleine de rebondissements.

On découvre également le drame qui hante le détective de Karl Kane.

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Commentaire ajouté par Serafima 2018-02-20T00:53:00+01:00
Karl Kane, Tome 4 : Au scalpel

Un court thriller qui ne tient pas ses promesses malheureusement, on suit deux histoires qui finissent par se rejoindre.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-02T13:31:41+02:00
On the Brinks

Quand certains disent que les prisons ne doivent pas être des Club Med, je ne leur donnerai pas tort, mais faut pas non plus sombrer dans l'opposé et se comporter comme des gardiens de Goulag ou de camps de concentration, le gazage en moins.

Si on ne m'avait pas dit que ce roman était une autobiographie, un pan de la vie de Sam Millar, l'auteur, j'aurais pensé à une farce, vu la manière dont il cambriolera plus tard l'entrepôt de la Brinks, ou à de la dérision, quand il nous parle de son incarcération à la prison de Long Kesh, en Irlande du Nord, à Belfast, tenue par des gardiens anglais.

Dire que les Anglais et les Irlandais ne s'aiment point serait un euphémisme, l'Histoire est là pour nous le rappeler, sinon, il vous reste U2 et son "Sunday Bloody Sunday" (dimanche sanglant que fut celui du 30 janvier 1972, à Derry, en Irlande du Nord, où 13 civils furent tués et 13 furent blessés par les soldats britanniques alors qu'ils faisaient une manifestation pacifique).

Alors vous pensez bien que si vous appartenez à l'IRA, que vous vous retrouvez incarcéré dans une prison tenue par des matons anglais et qu'en plus, vous refusez de porter les habits de prisonniers, de leur cirer les pompes et de dire "Sir, yes, Sir", vous allez vous en mordre les doigts ! Vous êtes un Blanket Men et on va tenter de vous casser par tout les moyens possibles et imaginables.

Ma foi, si les Anglais disent que les Américains ne sont pas corrects avec leurs prisonniers à Guantanamo, ceux-ci peuvent leur renvoyer dans la gueule ce qu'ils ont fait à ces Blanket Men, à la prison de Long Kesh… Tortures physiques, psychologiques, le tout avec un degré de perversité qui feraient pâlir de jalousie certains SS, fâchés de ne jamais y avoir songé.

Cette première partie du récit est dure, même si l'auteur prend le parti de nous la raconter sur un ton assez humoristique, décalé, sans jamais sombrer dans le pathos ou le larmoyant, un peu à la manière d'Ivan Denissovitch. Dénoncer la chose, mais sans s'apitoyer sur son sort.

Pourtant, je vous jure que ma gorge s'est serrée et mon estomac aussi en lisant le récit de tout ce qu'ils durent subir.

La seconde partie du récit, qui se déroule au États-Unis, est plus agréable à lire, mais plus fantasque et pour la scène du casse de l'entrepôt de la Brinks, dans une fiction, on aurait hurlé au chiqué, hormis avec un Dortmunder aux commandes du cambriolage.

Bordel de cul, braquer l'entrepôt de la Brinks avec une camionnette pourrie, des flingues en plastiques, réussir le 5ème plus gros casse de l'Histoire, le tout sans verser une goutte de sang, fallait avoir des grosses couilles ou pas de cervelle du tout.

Un fer à cheval dans le cul ? Non, toute une écurie !

Et puis, il restera toujours ce mystère sur l'argent du casse qui a disparu sans que l'on sache qui se l'est mis dans les poches et qui a niqué Sam Millar et son complice.

Un roman sombre sur des pages encore plus sombre de l'Angleterre, sur les conditions des prisonniers, sur les tortures qu'ils subirent pour les faire plier, un langage cru, familier, une histoire qui passe toute seule, des moments angoissants, durs, et puis plus agréables dans sa partie américaine.

Je compte bien découvrir maintenant les autres romans de cet auteur qui est interdit de séjour chez les yankees !

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Commentaire ajouté par Davunk 2021-03-15T15:46:12+01:00
Karl Kane, Tome 4 : Au scalpel

Au Scalpel est le nouvel opus d'une série de romans mettant en scéne Karl Kane. Je n'ai pas lu les précédents et ce n'est pas celui-ci qui me donnera envie de m'y pencher...

Et ceci pour une raison simple : tout ceci est affreusement classique et je n'ai pas réussit à me plonger dans cette histoire. On y suit donc le détective Karl Kane. Celui-ci se retrouve, un peu par la force des choses, a enquête sur une affaire dans laquelle une famille entiére à été tué suite à un incendie. La police a classé l'affaire mais les parents du couple pensent qu'il s'agit d'un acte criminel. Ce qui n'est pas une révélation pour le lecteur qui sait que le crime a été commis par un certain Scarman et qu'il a enlevé une petite feuille auparavant. Et qu'il la séquestre...

Pas de grandes surprises donc puisque la majorité des révélations est faite dés le départ avec les deux points de vue proposé par le roman. Globalement fluide et pas mal écrit, autant qu'il est dynamique, il ne m'a pas vraiment convaincu car son intrigue est entendu (même si pas trop mal mené), ses personnages secondaires assez inutiles et son héros pas si intéressant que ça. le coeur du roman restant l'enquête et sa résolution, il s'en sort par ce biais. Mais à oins que vous n'ayez vraiment rien d'autre à vous mettre sous la dent, il est difficile de vous conseiller la lecture de ce roman qui manque grandement de retournement et de travail de profondeur...

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Commentaire ajouté par SkeletonGirl 2023-04-06T22:37:34+02:00
Black's Creek

Black's Creek est l'histoire de Tommy qui, un jour, a vu un garçon de sa ville se prénommant Joey se noyer. Il a tenté de le secourir mais en vain. Avec ses amis il est persuadé de savoir qui est le responsable de sa mort et ils vont décider de le venger...

Black's Creek n'est pas seulement un thriller bien ficelé, c'est aussi un roman initiatique. En effet, on va suivre Tommy dans sa découverte de la sexualité, de l'amour mais aussi des limites de l'amitié.

Sam Millar donne vie avec brio à cette petite communauté et j'ai trouvé des similitudes avec un autre auteur que j'affectionne particulièrement : R.J. Ellory !

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Dédicaces de Sam Millar
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Editeurs

Seuil : 5 livres

Points : 5 livres

Fayard : 2 livres

Métailié : 1 livre

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