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Tous les livres de Serge Bramly

Florence, février 1497.

Une foule inquiète. Des émeutes. Les Médicis ont été bannis et le pouvoir a changé de mains. Qui songerait encore à fêter le carnaval ? La Danse du loup de Serge Bramly ( prix Interallié 2008 pour Le Premier Principe, le Second Principe, Éditions Lattès ) a connu un grand succès à sa sortie et obtenu le Prix des Libraires en 1983. L'auteur nous offre aujourd'hui une version entièrement révisée de ce roman flamboyant où intrigues et assassinats nous font revivre une période méconnue de la Renaissance.

"C'était à la fin des années 60 ; nous avions vingt ans. Et chaque soir, à la Voie Lactée, Madame Satan dansait la tândava sur les ruines du monde en flammes. Nos parents se trompent en disant qu'elle fut l'ange démoniaque qui nous poussa dans le gouffre. En vérité, le mal était déjà dans la place lorsque nous la rencontrâmes ; elle se contenta d'ouvrir la porte extrême, celle d'une vie différente à quoi chacun de nous aspirait alors.

Aujourd'hui, mes amis de jeunesse me manquent. L'envie me prend toujours d'entendre au bout du fil la voix de Joseph Zaguri, héros déçu des événements de Mai, sans qui ne se concevait pas de fête réussie. Il me semble reconnaître sans cesse au détour d'une rue la longue silhouette voûtée de Joseph Anon, celui que nous appelions Sa Majesté Anonyme, le garçon le plus prometteur de la bande. Les yeux clos perdus dans des vapeurs de congolaise, il parlait d'un état d'instabilité irréversible : et nous étions d'autant plus proches qu'entre nous il y avait Cécilia...

C'est pour eux tous que j'ai voulu transformer en roman d'encombrants souvenirs." S. B.

Il y a un blanc de huit mois dans la vie de Donatien Alphonse François, marquis de Sade.

Le 8 mars 1794, le ci-devant marquis, âgé de plus de cinquante ans, pourrissait dans un cachot révolutionnaire lorsqu'on le transféra à Picpus, établissement fort coûteux, à mi-chemin entre la geôle et le boudoir. Qui protégeait Sade ? Fallait-il sauver cet " être que rien ne peut réduire " quand tout l'accablait aux yeux de la Convention ? Qui donc payait pour lui ? Et surtout quelles furent les délices de Picpus ? Alors que la Terreur ensanglantait la France, que " le rasoir national " tranchait chaque jour les têtes, que montait l'odeur du sang, Sade s'amusa à Picpus : manille, biribi, aimable société, jolies femmes, jardin, charades, tableaux vivants et bientôt le théâtre de l'irréductible libertin.

Encore un peu de plaisir avant la mort... Serge Bramly invente mais il retrouve la vérité violente de Sade. Il mène son ouvrage comme une enquête policière, un puzzle érudit, un voyage parmi les écrits du temps, les filles de joie et les députés corrompus, les caprices de son imagination. C'est une illusion de l'histoire, une énigme érotique, le roman sanglant de la Terreur dans le boudoir, où l'on entend presque Sade, triomphant, s'écrier : " Je jouis de tout et ne m'aveugle de rien.

"

" Quelle fatuité pour un Long Nez, un Barbare ignare, d'échafauder sur la Chine la moindre théorie ! Tenir sous forme de notes un journal de voyage me paraît la meilleure façon de procéder. Le poème serait presque le genre le plus approprié : évoquer les saisons, les joies et les peines, la lune, tout ce qui passe, à mesure qu'on le ressent. Prendre les choses comme elles viennent, goûter chaque plat, être attentif à chaque son, enregistrer le moindre écart... Une approche fragmentaire, au jour le jour, dont il sera toujours temps ensuite de tirer un sens ; et peut-être que le sens, s'il en faut un, se dégagera alors de lui-même. Shanghai est une ville où je pourrais allégrement me perdre pour n'en plus repartir... - Aller à la Chine, comme on disait autrefois, et s'y éclipser. " S.B.

99 % des théories du complot sont pur fantasme. Reste 1 % ...

C'est une histoire secrète de la fin du XXe siècle qui pourrait commencer ainsi : le photographe Max Jameson traquait une princesse britannique, avait pour voisin un marchand d'armes suisse et pour ami un premier ministre français. Tous les quatre ont connu la lumière, puis une fin tragique.

L'histoire commence en 1981, par le mariage de la princesse, et s'achève de nos jours. Elle nous est racontée par un analyste de la DGSE, nostalgique des années où il était en poste à Shanghai. Refusant la théorie du complot, il préfère tout expliquer selon les deux principes de la thermodynamique : - tout corps se refroidit au contact d'un corps froid ; - dans un système clos, l'entropie, le désordre va en augmentant. Ce sont des vérités que n'importe qui peut éprouver au bureau, en affaires, en politique aussi bien que dans sa vie de couple.

Avec cette fresque ample, foisonnante, soutenue par une longue enquête dans le milieu des armes et du renseignement, Serge Bramly nous entraîne d'une garden-party à l'Élysée aux bords de la mer de Chine, en passant par l'Afrique et l'ex-Yougoslavie, nous plongeant au coeur des ténèbres et recomposant de manière éblouissante l'histoire occulte de la France de ces trente dernières années, sa violence, ses tragédies intimes et ses scandales nationaux, ses espoirs déçus, ses faux suicides, ses secrets si explosifs qu'aujourd'hui encore il arrive que l'on tue pour empêcher leur divulgation.

Capable d'élaborer une théorie générale du monde, solide, puissante, cohérente, Léonard de Vinci fut bien sans doute cet homme universel dont rêva la Renaissance.

Le peintre-sculpteur fut aussi musicien, ingénieur, architecte, anatomiste, astronome, mathématicien, metteur en scène, écrivain, géologue... Génie visionnaire, il aurait inventé l'avion, le sous-marin, la bicyclette, le violon. On le qualifia de divin. Il y avait quelque chose d'infiniment troublant, en vérité, dans la multiplicité, l'étendue presque anormale de ses talents et de ses qualités, car l'auteur de La Joconde étonnait d'abord par son charme, son humour, sa force physique et la beauté de ses traits.

Et là-dessus, dandy, extravagant. Pour raconter la vie mouvementée de Léonard, Serge Bramly a mené l'enquête ; il a suivi l'artiste à la trace, l'observant dans ses rapports quotidiens avec ses rivaux, ses proches, Botticelli, Michel-Ange, Machiavel... Ainsi se dessine le portrait fascinant d'un homme unique, exemplaire, sur le clair-obscur d'une époque à nulle autre pareille.

Une jeune femme flic Un viel homme qui en sait trop L'argent sale qui corrompt et qui tue

Nadia Bensdaval, tireur d'élite recruté par la DGSE, fait partie d'une unité de protection rapprochée? Sa mission ? Veiller sur un petit homme étrange dont elle ne connaît que le nom de code : Melchior. Sur une île de Bretagne, Nadia doit affronter un commando de tueurs. Qui est Melchior ? Quel secret déteint-il pour qu'on veuille l'assasssiner à tout prix ? Paris. Niambé. Miami. Les "affaires "... Le commissaire Aguenhauer, parran de Nadia, pourchasse les intégristes qui terrorisent la France. Officier de renseignement, Joseph Eckert enquête en Afrique sur l'explosion de la Caravelle du président N'Guma. Aux Etats-Unis, l'argent Ray Gemblers traque une pièce d'or ancienne que des narcotrafiquants ont offerte à un avocat numismate. Un seul lien, Melchior... Et Nadia seul pour le protéger. Une cavale à la vie, à la mort.

«Il avançait dans l'air brûlant de cet après-midi de mai, en bras de chemise, son échiquier sous le coude, selon une trajectoire dont la courbe allait infléchir son destin, modifier le nôtre, et le mien par ricochet, sans doute pour longtemps, je n'ose dire pour toujours. Marcel Duchamp, son mouchoir sur la tête, descendant la route sablonneuse de la plage d'Aïn Sebaa, c'est à mes yeux la scène pivot, l'instant fondateur. Il y était. Quelques marches encore. J'en arrive presque à me figurer son expression, sur le seuil, lorsqu'il a écarté le rideau de perles de l'Éden.»

La Joconde est le tableau le plus célèbre de l'histoire de l'art. Il compte parmi les plus mystérieux. Qui se cache derrière le fameux sourire ? Pourquoi ce voile de deuil. Pourquoi ce paysage tourmenté ? Le nom qu'on lui donne est-il bien légitime ? A l'heure où l'état de conservation de ce chef-d'œuvre suscite de vives inquiétudes, cette étude de la Joconde par le détail nous permet de mieux comprendre l'énigme que constitue ce chef d'œuvre inégalé. Gros plans, radiographies, copies et analogies participent à cette enquête.

Un homme en cavale se réfugie dans une boîte échangiste et tombe amoureux d une participante.

Un roman court, tout en tension et en émotion.

À quelques mois de la fin de sa peine, un condamné coupe son bracelet électronique et se retrouve en cavale. Il rend une visite furtive à sa fille, lui dit au revoir, lui emprunte sa voiture et roule vers Paris. Est-il devenu fou ? Veut-il se suicider ? Prépare-t-il un coup ? Il remonte à pied les Champs-Élysées, se met à l abri sous un porche pendant une averse, croise le regard d une femme troublante. Puis il se réfugie dans une boîte échangiste où, jadis, il avait des intérêts. Dans la pénombre rassurante, il va se mettre en quête d une arme et croiser le regard d une femme. Celle des Champs-Élysées ? Il en est certain, mais elle lui jure qu il y a méprise. Cela ne va pas les empêcher de s aimer.

Symbole de la passion amoureuse ou de l'amour maternel, mais aussi de la transgression et de la mort, la représentation du baiser occupe une place très particulière dans l'histoire de l'art, à presque toutes les époques, depuis le décor antique jusqu'à la création contemporaine.

Les Baisers illustrent les amours d'Éros et de Psyché, celles de Jupiter, celles de Paolo et Francesca et les confrontent aux mythes de l'Inde et du Japon pour tenter de comprendre pourquoi certaines cultures et certains artistes ont accordé une telle place à la figuration de lèvres qui s'unissent.

L'ouvrage rassemble quelque 150 chefs-d'oeuvre, d'Hokusai à Cindy Sherman, de Jérôme Bosch à Roy Lichtenstein, de Giotto à Picasso, de Bronzino à Brancusi.

Le texte érudit de Serge Bramly, à la fois analytique et évocateur, est nourri de descriptions et d'anecdotes poétiques.

La divination d'hier à aujourd'hui.

Les voyantes, les plantes divinatoires, les lignes de la main, les tarots, l'astrologie, la chiromancie, etc.

Une prodigieuse et fascinante synthèse des arts divinatoires.

Des premiers Américains, de leurs langues, de leurs cultures, de leurs traditions, que savons-nous réellement?

Serge Bramly a passé plusieurs années en Amérique du Nord sur la terre sacrée des Indiens pour y chercher le vrai visage, la dernière voix d'une civilisation millénaire porteuse de vérités essentielles.

Les religions des Indiens qu'ils soient de plaines, des montagnes ou des déserts, présentent de remarquables constantes: l'homme n'est jamais seul, l'univers est peuplé de forces actives, invisibles et puissantes, qu'il importe de capter pour survivre.

Sans elles, l'homme n'est rien. Pour s'allier à elles, se concilier leurs faveurs, les rites des Indiens, nombreux et divers,dramatiques, grandioses ou d'un déconcertant primitivisme, tendent tous vers un seul et même but: la quête de pouvoirs à travers la connaissance divinatoire et religieuse de la nature.

Les chants indiens qui s'élèvent dans cet ouvrage, d'une beauté poignante, ont l'ampleur de visions prophétiques.

À quoi ressemblerait notre civilisation sans le verre et ses applications : vitres, lentilles, ampoules, miroirs ? Si le Moyen-Orient n’avait pas appris à rendre le verre transparent, puis à le souffler, si Rome n’en avait pas démocratisé l’usage, si le Moyen Âge ne l’avait pas sublimé dans les églises sous la forme de la mosaïque et du vitrail, si la Renaissance n’en avait pas fait ensuite un objet spéculatif et critique, en soumettant notre « vision » aux lois de l’optique, que seraient nos sciences, notre médecine, notre habitat, notre pensée même ?

La Transparence et le Reflet raconte notre rapport au verre par le biais de l’histoire de l’art et invite à une relecture du « modèle occidental » sous un éclairage aussi révélateur qu’inédit.

Un livre singulier et exigeant, où l'histoire de l’art se mêle à une histoire sociale et technique. Jean-Marie Durand, Les Inrockuptibles.

Un chef-d’œuvre d’humanisme. Sébastien Le Fol, Le Point.

(Le Livre de Poche)

Quiconque s’obstine à pleurer la disparition d’un être cher au-delà des trente jours et des onze mois prescrits, disent les Écritures, c’est une autre disparition qu’il pleure.

Au moment où commence cette histoire, Serge Bramly voit se terminer simultanément deux aventures, l’une amoureuse, l’autre littéraire. Rivka, la jeune femme avec qui il a entretenu une liaison adultère durant dix-neuf mois, vient de le quitter. Quant à son grand roman sur la conjuration de Catilina, la rédaction en est au point mort. Il semble alors à l’auteur qu’il ne sera plus jamais capable ni d’aimer ni d’écrire : devant lui, le monde se referme.

Cette sensation de vide l’oblige à tourner pour la première fois son regard vers l’arrière et à arpenter le dédale de causes et d’effets qu’est sa vie, dans l’espoir de comprendre.

Méditation sur un amour défunt, Pour Sensi nous emmène des oliviers de la Tunisie natale jusqu’aux contreforts de l’Himalaya et aux cérémonies vaudou des Tropiques. Car il faut saisir la magie pour goûter au pouvoir salvateur de la littérature.Description

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