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Livres - Bibliographie

Shan Sa


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Tous les livres de Shan Sa

Depuis 1931, le dernier empereur de Chine règne sans pouvoir sur la Mandchourie occupée par l'armée japonaise. Alors que l'aristocratie tente d'oublier dans de vaines distractions la guerre et ses cruautés, une lycéenne de seize ans joue au go. Place des Mille Vents, ses mains infaillibles manipulent les pions. Mélancolique mais fiévreuse, elle rêve d'un autre destin. « Le bonheur est un combat d'encerclement. » Sur le damier, elle bat tous ses prétendants.

Mais la joueuse ignore encore son adversaire de demain : un officier japonais dur comme le métal, à peine plus âgé qu'elle, dévoué à l'utopie impérialiste. Ils s'affrontent, ils s'aiment, sans un geste, jusqu'au bout, tandis que la Chine vacille sous les coups de l'envahisseur qui tue, pille, torture.

(Quatrième de couverture, Gallimard, 2002, imp. 2010)

Elle est née dans la fabuleuse dynastie Tang du VIIe siècle. Elle a grandi au bord du fleuve Long, où elle apprenait à dompter les chevaux. Elle est entrée au gynécée impérial où vivaient dix mille concubines. Elle a connu les meurtres, les complots, les trahisons. Elle est devenue impératrice de Chine. Elle a connu la guerre, la famine, l'épidémie. Elle a porté la civilisation chinoise à son apogée. Elle a vécu entourée de poétesses, de calligraphes, de philosophes. Elle a régné sur le plus vaste empire sous le ciel, dans le plus beau palais du monde. Elle est devenue l'Empereur-Sacré-Qui-Fait-Tourner-La-Roue-d'Or. Son nom a été outragé, son histoire déformée, sa mémoire effacée. Les hommes se sont vengés d'une femme qui avait osé devenir empereur. Pour la première fois depuis treize siècles, elle ouvre les portes de sa Cité interdite.

Zhao le soldat et Ayamei la révoltée courent dans les rues sombres de Pékin.

La place de la Paix céleste - Tian an men - est couverte du sang des étudiants. du sang des enfants de la Chine moderne, élevés dans l'idéologie étouffante du régime maoïste. Ayamei se cache, quitte Pékin, parcourt des milliers de kilomètres, fuit vers la montagne. Inlassablement Zhao suit sa piste. Son acharnement est à la mesure de sa foi dans le régime : aveugle et sans limites. Au terme de cette longue traque, Zhao, l'autodidacte inflexible, se laissera-t-il contaminer par la beauté et la poésie ou choisira-t-il d'ignorer la voie qu'Ayamei est en train de découvrir ? Il deviendra, malgré lui, le héros d'un roman d'amour sobre, pudique et troublant.

Elle, c’est Alestria, l’enfant sauvage devenue reine des Amazones. Celles qui chevauchent les steppes, aiment la guerre, combattent les hommes et n ont pas peur de la mort.

Lui, c’est Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, né à Pella en 356 avant J-C. Ayant soumis l’Asie Mineure et la Perse, vainqueur de Darius, il ne lui manque qu une reine pour asseoir son empire absolu. Une reine à sa mesure ou à sa démesure qu’il rencontre sous les traits d’un guerrier invincible dans l’immense steppe de Mongolie.

Blond, yeux bleus, sourire triomphant. Un Américain.

Belle, déterminée, cruelle. Une Chinoise.

Désabusé, cynique, ambitieux. Un Français.

Paris, Pékin, Washington.

Sur le grand échiquier planétaire,

Trois espions lancés dans un jeu de rôles

Et une course-poursuite dans pitié,

Où plus personne ne sait qui est qui, qui aime qui.

Quatrième de couverture

En Chine, le saule pleureur symbolise la mort et la renaissance. Faut-il croire qu'une branche de saule puisse devenir une femme condamnée à poursuivre l'amour de siècle en siècle ? D'un Pékin bruissant dans les songes et la poussière aux silences de la Cité interdite, de l'ère des courtisanes vêtues de soie à la Révolution culturelle, des steppes où galopent les Tartares aux rizières qu'arrose le sang des gardes rouges, deux êtres se cherchent et se perdent. Tout les sépare. Toutes les tragédies d'un peuple ancien. Dans ce tumulte, il faudrait un miracle pour les réunir... Roman d'amour ? Oui. Mais ce roman lyrique est aussi une traversée de la Chine éternelle. C'est une fable qui a parfois le goût du thé amer.

4ième de couverture :

Elle est issue d’un illustre clan de la plaine du Milieu. Dans ses veines coule le sang des plus hautes castes. Otage d’un capitaine de guerre, elle le suit à travers un pays ravagé, de champs de bataille en cités détruites jusqu’aux portes de la Cité Interdite, du trône impérial.

Il est orphelin, pauvre, mais le seul luthier en ces temps d’invasions et de violence à pouvoir fabriquer la fabuleuse cithare aux sept cordes de soie inventée par le dieu Fu Xi. Sous ses doigts, le bois précieux du sarcophage de l’impératrice oubliée se transforme en musique, et l’amour renait, au-delà des siècles.

Shan Sa poursuit une œuvre singulière et puissante centrée sur la Chine où elle est née, qu’elle soit celle des grandes dynasties d’Impératrice ou plus contemporaine de La Joueuse de go, elle y évoque des héroïnes fortes et fragiles qui, face aux aléas de la réalité, vivent la mélancolie et la beauté du monde comme seule source d’harmonie.

Comme tous les lettrés chinois, dès sa plus tendre enfance, Shan Sa fut initiée à l'art des idéogrammes. Cet apprentissage ne se fit pas sans douleur. La petite fille refusa de se laisser enfermer dans les règles figées d'une technique millénaire. Elle rêva de liberté. La poésie et la peinture lui ouvrirent la porte invisible de l'imaginaire.

L'émotion que Shan Sa réussit à merveille à nous communiquer dans ses romans flamboyants, en particulier dans La Joueuse de go, Prix Goncourt des lycéens 2001, s'exprime ici sous une forme inattendue. Réunissant pour la première fois les trois aspects de sa création - littérature, peinture et calligraphie -, Shan Sa nous révèle la palette de son talent. Les images d'enfance, les impressions de voyage, les passions amoureuses se transforment en mots, en lavis. Ses textes, récits autobiographiques, nouvelles oniriques, poèmes et aphorismes, sont empreints d'une mystérieuse douceur, parfois d'une déchirante violence. Ses encres et ses peintures, nées du jeu subtil du noir et du gris, de la hantise des couleurs incendiaires, oscillent entre le classique chinois et la modernité occidentale.

"Peinture, écriture, prière sont nos armes de consolation. Vaincre la paresse, la lâcheté, l'incertitude, c'est s'élever, se dépasser, se préparer à la mort, à l'Infini."

" Dans la Chine ancienne, la poésie et la peinture étaient indissociables et formaient un tout qui fut le cœur de la culture chinoise. Sans la poésie calligraphiée sur le tableau, une oeuvre picturale était considérée comme inachevée. Les poètes étaient des peintres et vice-versa. Enfant, j'ai été initiée à la poésie en même temps qu'à la peinture, à la calligraphie et au luth. Aujourd'hui, c'est une joie pour moi de glisser mes tableaux aux côtés des poèmes qui ont bercé mon enfance et mon adolescence. " Shan Sa.

Le Vent vif et le glaive rapide est un recueil de poèmes de Shan Sa, pseudonyme qui signifie en chinois : bruissement du vent dans la montagne La jeune écrivain chinoise est l'auteur notamment de La Joueuse de go.

Le titre est contenu dans cet avant-dernier poème du recueil où Sahn Sa regarde vers ses origines :

Le vent vif et le glaive rapide

Sont les seules bénédictions de mes aïeux.

Le thème de l'origine, du pays lointain, associé bien souvent au thème du vent, est très vivace dans cette fin du recueil où la jeune femme après avoir chanté les joies puis les souffrances de l'amour trahi, se tourne vers ce qu'il y a d'immuable en elle, ce qui est ancré à tout jamais, échappe à l'aléatoire.

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