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https://www.lapageinattendue.com/post/la-lumière-dans-les-combles
La lumière dans les combles est un récit bouleversant qui vous étreint le coeur et vous met la peur au ventre. Une peur non pour soi, mais pour ces personnages qui vivent à l'une des périodes les plus sombres du XXème siècle.
Par sa plume délicate mais saisissante de réalisme, Sharon Cameron nous dépeint le quotidien de Stefania, dite Fusia, mais surtout les difficultés de sa vie de jeune femme seule sous l'occupation nazie. Car Fusia, Juste parmi les nations, cache et protège plusieurs juifs dans son tout petit appartement. Dotée d'un don pour le mensonge et d'un courage à tout épreuve, elle fera tout pour sauver ces treize clandestins. Et on ne peut qu'admirer son héroïsme, car ce roman est une histoire vraie. Lorsque l'autrice nous le révèle, elle nous invite à reconsidérer tout ce que l'on vient de lire sous un nouvel angle. Fusia, Max, , Helena... toutes ces personnes ont existé, elles ne sont pas de simples personnages d'encre et de papier.
L'autrice parvient à nous rendre extrêmement proches de son héroïne, et l'on ressent tout ce qu'elle subit avec force. Nous tremblons, nous pleurons, et parfois rions avec elle. Tout ce qui se déroule dans ce récit vous saisi pour ne plus vous lâcher. C'est dur, puissant, intense.
Bien que (SUITE)
Vous l'aurez compris, ce roman a été une découverte sublime qui a clôt 2023 en beauté ! J'ai toujours aimé les récits historiques, mais il est certain que je vais en lire davantage !
La lumière dans les combles
Projet Bluebird
Deux points de vue : une fille qui a quitté le pays et cherche à refaire sa vie aux Etats-Unis, et l'autre qui a été élevée dans l'idéologie nazie et est la fille d'un médecin quelque peu problématique.
L'histoire est bien construite, et le lien entre les deux points de vue se tisse au fil des pages.
Un roman très instructif, et notamment sur le programme Bluebird.
Mais quelque chose n'a pas pris. Trop de dispersions, il y a beaucoup de choses. Je me suis perdue dans les longueurs du romans qui aurait gagné à être plus concis.
Projet Bluebird
Je ne lis pas souvent ce genre de romans mais je les adore car bien qu'il y ait une part qui soit romancée, on apprend toujours plein de choses relatives à l'Histoire. Ici, on est projeté pendant et après la seconde guerre mondiale où on suit Inge, devenue Eva, élevée sous l'idéologie nazie, qui arrive en Amérique.
J'ai beaucoup apprécié suivre ses pensées. Parfois elles sont un peu chaotiques mais reflètent aussi un véritable traumatisme dû au contexte historique ! Cela nous permet de mieux comprendre son ressenti, ses choix. A travers elle, on a un aperçu de l'endoctrinement qu'ont subi ces jeunes au sein des jeunesses hitlériennes et de leur famille, le point de vue d'une immigrée, son adaptation à un nouveau pays, une nouvelle langue. Les moments à Powell House ont particulièrement retenu mon attention car ils mettent en avant la mixité, l'échange et la solidarité !
Par ailleurs, la plume de l'autrice est fluide, directe et finalement en parfaite adéquation avec l'intrigue ! D'autre part, dans ce roman, il n'y a pas vraiment de notion de bien et de mal, il y a surtout des gens qui ont fait des choix liés à leurs convictions. En effet, l'autrice n'emploie pas un ton moralisateur et c'est rafraîchissant.
De plus, on sent qu'elle a fait des recherches pour étayer au maximum son univers. Je ne connaissais pas le projet bluebird, qui est inspiré de faits réels mais j'ai été, une fois de plus, horrifiée de découvrir ce qui avait été fait au nom de la science.
Pour conclure, ce one-shot est une lecture parfois difficile mais très accessible grâce à une intrigue passionnante sur fond de seconde guerre mondiale.
Projet Bluebird
Parce que l’histoire de Stefania Podgorska mérite d'être lue, et qu’elle mérite qu’on se souvienne d’elle. C’était une vraie héroïne.
La lumière dans les combles
La lumière dans les combles
Ici, Sharon Cameron s’intéresse à la seconde guerre mondiale à travers l’histoire d’une jeune fille nazie, Inge, dont le père travaille dans un camp et qui est complètement endoctrinée. En parallèle, on suit l’histoire d’Eva, qui se rend aux Etats-Unis après la guerre et est bien décidée à se venger. Le roman est difficile, très graphique par moment, et la prise de conscience d’Inge est affreuse. Le propos du roman est intéressant, s’appuie sur des faits historiques que l’autrice détaille à la fin et est un concentré de suspens. Bref, une réussite !
Projet Bluebird
[Lu en VO]
Cette histoire est magnifique, elle prend aux tripes et nous donne, en plusieurs centaines de pages, l'exacte définition d'une héroïne. Stefania subit, souffre, paraît prête à se briser à chaque page, mais elle continue de donner, et de résister. Assister avec elle aux jours qui passent, aux mois qui défilent, à cette guerre qu'on connaît par cœur mais vis-à-vis de laquelle nos personnages, enfermés à Przemyśl, n'ont qu'une vision parcellaire et aucune idée du dénouement, a été une expérience intense et inoubliable.
En lisant, j'ai eu plusieurs fois ce réflexe de lectrice de me dire que tel ou tel personnage ne pouvait pas être réellement mort, parce que c'est juste une histoire, parce que les héros s'en sortent toujours, non ? Mais non, c'est la vraie vie qui est rapportée dans ces pages, et les photographies, les biographies et les hommages de l'autrice à la toute fin nous le font bien comprendre.
Tout est vrai, toute la douleur et la beauté enfermées dans ce livre. Et ça fait mal d'en devenir témoin mais… d'une belle manière ?
“𝑩𝒖𝒕 𝒇𝒐𝒓 𝒂𝒍𝒍 𝒕𝒉𝒂𝒕 𝒘𝒂𝒔 𝒔𝒖𝒇𝒇𝒆𝒓𝒆𝒅, 𝒏𝒆𝒗𝒆𝒓 𝒊𝒏 𝒂𝒏𝒚 𝒘𝒓𝒊𝒕𝒕𝒆𝒏 𝒘𝒐𝒓𝒅 𝒐𝒓 𝒂 𝒔𝒊𝒏𝒈𝒍𝒆 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒗𝒊𝒆𝒘 𝒅𝒊𝒅 𝑺𝒕𝒆𝒇𝒂𝒏𝒊𝒂 𝒆𝒗𝒆𝒓 𝒔𝒂𝒚 𝒔𝒉𝒆 𝒓𝒆𝒈𝒓𝒆𝒕𝒕𝒆𝒅 𝒅𝒐𝒊𝒏𝒈 𝒘𝒉𝒂𝒕 𝒔𝒉𝒆 𝒅𝒊𝒅. 𝑶𝒏𝒍𝒚 𝒕𝒉𝒂𝒕 𝒔𝒉𝒆 𝒘𝒐𝒖𝒍𝒅 𝒅𝒐 𝒊𝒕 𝒂𝒈𝒂𝒊𝒏. "𝑶𝒏𝒆 𝒅𝒆𝒂𝒕𝒉 𝒐𝒓 𝒕𝒉𝒊𝒓𝒕𝒆𝒆𝒏 𝑱𝒆𝒘𝒔", 𝒔𝒉𝒆 𝒔𝒂𝒊𝒅. "𝑰𝒕 𝒘𝒂𝒔 𝒂 𝒈𝒐𝒐𝒅 𝒕𝒓𝒂𝒅𝒆." 𝑬𝒗𝒆𝒏 𝒕𝒉𝒐𝒖𝒈𝒉 𝒕𝒉𝒆 𝒅𝒆𝒂𝒕𝒉 𝒔𝒉𝒆 𝒓𝒆𝒇𝒆𝒓𝒓𝒆𝒅 𝒕𝒐 𝒘𝒂𝒔 𝒉𝒆𝒓 𝒐𝒘𝒏.
𝑻𝒉𝒂𝒕 𝒊𝒔 𝒎𝒚 𝒅𝒆𝒇𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒐𝒇 𝒂 𝒉𝒆𝒓𝒐𝒊𝒏𝒆.”
La lumière dans les combles
La Cité de l'oubli
🌟L'intrigue ressemble un peu au début à Hunger Game mais dans un monde moins moderne, tout les 12ans l'oubli, se battre pour survivre... et puis progressivement on rejoint au contraire le Labyrithe, lâché dans une ville test, découvrir le complot qui se trame. Et bien que j'ai aimé ces deux oeuvres... le mixte n'est pas terrible. C'est très compliqué à suivre, comme l'immression d'avoir eu trop d'idées en même temps, ne pas savoir quoi en faire et se dire tant pis je met tout. Difficile de parler de l'univers car on a très peu de détail et de description, on ne sait rien du tout ou très très peu sur la cité. Sa ressemble vaguement au mode de vie du moyen-âge mais version t'a jamais vécu sur terre en gros. Ducoup dé le début on est perdu. Sa nous parle de quelque chose mais on ne sait pas ce qu'est ce quelque chose. De plus dans le déroulement de l'intrigue, j'ai l'impression que tout est trop facile pour nos personnages. Vraiment elle brave les interdits à 2000 reprises alors que un agent de la loi et juste à côté mais sans se faire attraper. Elle vole ses livres et on la voit jamais, elle rentre en douce dans des lieux interdit jamais. Il n'y a aucun stress, pression ou action, on sait déjà d'avance. Il n'y a que vers la fin ou l'action se réveil mais c'est trop tard car toute les informations arrivent d'un coup et on en est assommé.
🌟Les personnages sont tout de même attachants. Courageux, atypiques, déterminée. Mais la encore on en sait très peu sur eux, on pourrait se dire que c'est parce que ils ont oublié eux aussi. Compréhensible mais on ne connaît que très peu le physique, leur âge surtout, leur vrai passion ... rien. Pas facile de bien comprendre leur rôle et le pourquoi de leur actions. On apprend vraiment seulement au 3/4 du livre qu'ils ne savent pas ce qu'est "un poulet", "un chat", "un aigle" ... Et alors la on se dit mais comment ils vivent dans une cité type moyen-age sans connaître ça ?? Que nos technologies habituelle et mode de vie ne soit pas compris est en revanche totalement logique. Le manque de détail, de description et d'infos ressort vraiment encore plus brutalement à ce moment là. On reste bête et perdu face à ça.
🌟L'écrit est très simple, trop linéaire. Beaucoup de longueur vu que on évolue dans un monde dans lequel on ne connaît et comprend rien. Les personnages le savent eux (enfin pas tout vu cette fin ... étrange) mais nous non. Beaucoup de longueur et de redondance, un schéma très répétitif des termes et actions de nos personnages "Nadia fille de la teinturiere", "Grey fils du souffleur de verre", truc de si et ça ... au bout d'un moment on a compris sa fait bien trop. C'est dommage car je pense que l'histoire à un vrai potentiel mais sa manque très clairement de logique, rien n'a de sens et encore moins si il n'y pas de description.
La Cité de l'oubli
La lumière dans les combles
Un véritable déferlement d'émotions qui fait de ce roman, un voyage époustouflant au coeur de l'histoire l'Histoire du XXème.
Basé sur un véritable travail d'enquête et d'interview, ce roman s'inspire et retrace l'histoire de Stefania Podgórska
La lumière dans les combles
La Cité de l'oubli
L'intrigue était sympa, je ne m'attendais pas à ce qu'elle prenne ce chemin là... mais je trouve que le potentiel était supérieur à ce qui en a été fait.
Cela dit, j'aimerais beaucoup lire la suite.
La Cité de l'oubli
La lumière dans les combles