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Sibylle Grimbert

Auteur

40 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Lilou 2011-02-13T00:06:25+01:00

Biographie

Sibylle Grimbert est une romancière française née à Paris en 1967.

Son premier roman paraît en 2000. Il a suffi de trente pages à son éditeur, Jean-Marc Roberts, pour décider de le publier[1]. Birth Days est le portrait d'une jeune femme, Muriel Ortisveiler, qui semble renaître à chaque bifurcation de sa vie, comme si son passé, à chaque étape, s'abolissait, et qu'elle pouvait repartir, neuve, sans âge. On la retrouve tour à tour mariée, seule, chanteuse, danseuse, voyageuse, seule à nouveau, seule surtout peut-être, mais semblable à toute femme. « Muriel est faite dans une terre meuble où tout se mélange. Elle renaît sans cesse sous vos doigts, se reforme entre vos mains. » Ce roman de l'identité éclatée, entre conte fantastique et introspection, est salué par la critique pour sa singularité et la force de son écriture, dont Hugo Marsan écrit : « Sibylle Grimbert ne serait qu'une jeune romancière parmi tant d'autres si elle n'imposait d'emblée un style solide, étonnant de précision et de subtilité, un rythme musical pénétrant, loin de toute gratuité complaisante[2]. »

Le Centre de gravité paraît deux ans plus tard. Claire est debout sur un terrain vague, dans une robe sale, les cheveux en désordre, quand Éric la rencontre. Il l'entraînera dans un voyage de huit jours, au cours desquels elle retracera le parcours qui l'a amenée jusque-là. Elle s'est peu à peu détachée d'elle-même, dégradation dont elle se rappelle trois étapes, trois états connus en quelques mois. Au début, elle vivait dans un accord parfait avec son corps, multipliant les rencontres, prête à s'abandonner. Mais elle s'éloigna de ce corps « élastique et disponible » et, son mari disparu, se retrouva seule, avant de devenir la proie d'une secte, et d'aboutir sur le terrain vague, où s'ouvrit la troisième étape, le temps des « déserts », de l'oubli total de soi. Désormais, elle n'avait plus de corps du tout. Elle flottait, insensible, inutile. Jusqu'à l'arrivée d'Éric qui, lui permettant de vivre à nouveau pour quelqu'un, la ressuscitera. « Le deuxième roman de Sibylle Grimbert porte incontestablement la marque d'un style en plein épanouissement[3]. »

En 2004, Les Inrockuptibles écrivent : « C'est avec son troisième roman », Il n'y a pas de secret, « que Sibylle Grimbert prend de l'ampleur, passe à un autre niveau d'écriture. Plus abouti, plus sensible, plus fort[4]. » La presse salue avec enthousiasme[5] ce récit à l'écriture « puissante, aiguë, retorse, insistante, épousant au plus près les tours et détours de la narratrice[6] ». Celle-ci s'interroge, vingt ans après sa disparition, sur les raisons qui ont poussé sa mère à tout abandonner sans rien dire, à s'évaporer « comme une buée sur une vitre ». Elle imagine ce qu'aura été cette vie « après », en invente les péripéties, multiplie les hypothèses à l'infini. Mais au-delà de tout, domine en elle la certitude qu'elle avait prévu ce départ, qu'elle peut tout prévoir. « Il n'y a pas de secret » : tout est transparent, on ne peut rien dissimuler, et l'avenir sera comme le passé. « De manière générale, je n'ai conservé de l'époque miraculeuse de mes quatorze ans, lorsque je croyais diriger les événements, qu'une faculté de prévision. Je l'applique ainsi aux sujets ordinaires de ma vie, si bien que je ne suis jamais surprise. Tout semble arriver comme je l'avais imaginé. Cette idée me rend folle. Je sais très bien que je la crée, qu'il faudrait ne pas chercher à anticiper les événements pour ne pas être déçue de les voir s'accomplir, mais j'en suis incapable, mon désir de maîtrise est beaucoup trop puissant et parfois j'en veux à l'univers entier d'être si logique et attendu. »

En 2006, Sibylle Grimbert quitte les Éditions Stock pour les Éditions du Seuil, qui publient Une absence totale d'instinct. Cette histoire d'amour racontée comme une guerre, en trois parties marquant les étapes d'un échec inexorable : « Le terrain », « La bataille », « La défaite », déconcerte et déçoit. « Si Grimbert est toujours d'une acuité singulière et d'une grande finesse d'observation et d'écriture concernant ses contemporains, et sans doute elle-même, la construction bancale de cette histoire d'amour et social (bancale, elle aussi), finit un peu par essouffler son propos[7]. »

Toute une affaire, qui paraît trois ans plus tard aux Éditions Léo Scheer, lui permet de renouer avec le succès critique[8]. Comme certains le soulignent[9], ce roman renouvelle la manière de Sibylle Grimbert : la dimension comique est plus accusée, le monologue intérieur s'ouvre sur une action romanesque plus précise, plus concrète[10] ; si l'on reconnaît ses thèmes centraux (les errances de l'identité, le poids du destin, la peur d'être coupé de la vie, la lucidité destructrice, la connaissance de l'avenir...), son univers a gagné en ampleur, en puissance romanesque. La narratrice travaille dans l'entreprise de confection masculine fondée par son père, et a le sentiment d'être prisonnière de cet héritage, de ne plus pouvoir vivre par elle-même, jusqu'au jour où elle décide de s'en aller. Mais elle ne supporte pas plus la liberté que la contrainte familiale, et ne pense qu'à revenir. Mathieu Lindon écrit d'elle : « Au sein de son accablement exalté, (elle) est perpétuellement dans une condition à la fois abominable et déplacée, presque loufoque. (...) Elle a un aspect irresponsable envers elle-même tout en s'estimant, quoique l'estime ne soit pas son fort, redevable du sort de tout et de chacun (...). “Tout d'un coup je me suis vue tel le personnage de ces affreuses blagues d'adolescents, ce premier de la classe disgracieux, ennuyeux, invité à une soirée dont on lui fait croire qu'il s'agit d'un bal costumé sur le thème fruits et légumes, et qui, croyant être enfin intégré, arrive déguisé en groseille comme le clou ridicule de la fête.” Plus personne ne paraît se souvenir de cette “personne intégrée” qu'elle aurait été. (Elle) est comme un personnage de film burlesque errant dans les débris des décors qu'elle contribue à détruire. (...) (Elle) se retrouve affublée d'une enfance inappropriée qui la couvre de ridicule pour mieux mettre en valeur son désespoir[11]. »

Son sixième roman, Le vent tourne, paraît en janvier 2011.

Wikipédia.fr

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Note moyenne : 6.76/10
Nombre d'évaluations : 17

0 Citations 12 Commentaires sur ses livres

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Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par comete_etoile 2018-05-31T16:12:58+02:00
La horde

Ce livre est un ovni. Autant la première partie m'a réellement enthousiasmée, je m'attendais à le placer en liste de diamant, autant à partir de la moitié du livre, tout est allé à vau l'eau...

Le livre débute par la possession du démon dans le corps de Laure, petite fillette de 10 ans. Le point de vue est toujours celui du démon, qui découvre l'univers humain et ce qui se passe dans la tête de la petite fille. J'ai trouvé ça superbement raconté, les petites joies de l'enfance, les impressions du démon, la peur qu'il nous inspire en même tant que la fascination : cet être surnaturel et maléfique est capable d'éprouver lui aussi des sentiments...

A partir de la seconde partie, l'ambiance change, elle devient onirique, folie, et l'on s'y perd, je n'ai plus compris où l'auteur voulait en venir. Quel dommage, vraiment, avec un début si prometteur...

Cependant l'écriture était si maîtrisée que cela m'a donné envie de lire d'autres livres de l'auteur... qui, je l'espère, ont une belle continuité, contrairement à "La horde"...

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Commentaire ajouté par NaraChwan 2022-11-12T17:13:34+01:00
La horde

Ce court roman n'a rien d'incroyable, il reste tout de même vraiment très agréable à lire, l'histoire va crescendo ce qui le rend addictif. Quand je ne lisais pas, je repensais à ce qui s'était passé pour la jeune Laure et surtout pour Ganaël, le démon de qui nous suivons le point de vue. Et je me demandais ce qui allait bien pouvoir arriver ensuite, avec une certaine hâte je dois l'avouer.

L'écriture est si bonne qu'elle participait aussi à cette envie de rependre la lecture dès que je le pouvais.

Quant à l'histoire, tout est découverte et émerveillement pour notre Ganaël, les descriptions sont plutôt oniriques et justes. Nous sommes avec lui, nous compatissons avec lui, bien qu'il inspire aussi de la peur voire de la repulsion, car il cherche à manipuler Laure, jusqu'à la contraindre avec beaucoup de pression psychologique. Logique, pour un démon en pleine possession d'un être humain.

Mais tout ne se passe pas comme prévu, et c'est à double tranchant.

Le titre prend tout son sens à la toute fin du roman, fin digne d'une des nombreuses de Rick et Morty, avec beaucoup de mélancolie et de tristesse.

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Commentaire ajouté par Myl99 2022-12-05T14:31:00+01:00
Le dernier des siens

Une belle histoire sur une amitié entre un homme et un animal voué à disparaître, dans les années 1800. J'ai ressenti toutes les émotions de gus comme si j'étais à sa place dans cette histoire.

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Commentaire ajouté par Thalymarsou 2022-12-23T22:59:15+01:00
Le dernier des siens

Un roman bien mené décrivant comment une amitié se lie entre deux représentants de deux espèces bien différentes. L'un est cobaye, l'autre observateur érudit. Pourtant, le lien qui se crée va un peu ébranler les croyances de l'un posant ainsi les interrogations sur notre vie et notre avenir en tant qu'espece de cette Terre que nous partageons.

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Commentaire ajouté par Romamillu 2023-02-05T12:41:22+01:00
Le dernier des siens

Un roman sur une relation absolument incroyable entre deux êtres que tout oppose et qui pourtant se comprendront. Mais aussi un roman qui évoque la disparition, et l’extinction des espèces, ici le grand pingouin, disparu en 1844. Un être qui en observe un autre, qui le regarde, tente de comprendre ses émotions et ses comportement. Un véritable coup de coeur dans lequel on retrouve les thèmes de la douceur, de la sensibilité, de la destiné. Une plume étonnante et intrigante.

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Commentaire ajouté par lilysue14 2023-09-10T12:21:31+02:00
Le dernier des siens

1835, Auguste dit "Gus" est envoyé par le musée d'Histoire naturelle de Lille observer la faune et la flore au Nord de l'Europe. Gus élu domicile aux Orcades, archipel d'Ecosse. Lors d'une expédition vers l'Islande, il assiste aux massacres d'une colonie entière de grands pingouins qui ont servi de nourriture aux marins. Il réussit à en capturer un vivant. Fier de sa prise qu'il pourra étudier sous tous les angles, il ne se rend pas compte tout de suite que l'espèce est en déclin. Sa vie et sa conception de la nature vont depuis ce jour être bouleversées.

Au départ Gus m'est apparu antipathique et inconscient. La capture du grand pingouin est pour lui le moyen d'étudier vivant cet animal et de briller auprès du conservateur du Musée qui l'emploie. Bien qu'il n'est pas été à l'aise lors de ce massacre gratuit, il n'a pas réagi face aux marins. Et puis finalement, au contact quotidien de l'animal et grâce à son ami écossais Buchanan, il prend conscience que l'espèce est recherchée et décimée par des marins qui vendent à bon prix leur dépouille. Il va alors prendre en maturité et en responsabilité.

Il baptise son grand pingouin Prosp (diminutif de Prosper), preuve qu'il s'attache à lui. Donner un nom, c'est reconnaître la singularité et les émotions de cet animal maladroit sur terre. De son côté Prosp comprend vite qu'il dépend de son humain. Gus évite de peu l'enlèvement de son ami convoité. Il ne peut rester en Écosse et fuit aux Îles Féroé où il fondera une famille. Il comprend alors que bien que Prosp soit en vie, il est seul et ne connaîtra pas le bonheur de fonder sa descendance. Même s'il sait que les grands pingouins sont en train de disparaître il va partir à la recherche des derniers pour pouvoir donner à Prosp la possibilité de mourir auprès des siens.

L'écriture est singulière et maîtrisée. L'ambiance du roman est triste et pessimiste. Vivre l'extinction d'une espèce même à travers un roman a été difficile. La fin de l'avant dernier chapitre est déchirante.

Un beau roman. Il m'a néanmoins manqué un petit quelque chose pour adorer ma lecture.

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Commentaire ajouté par elena02 2023-11-27T12:30:01+01:00
Le dernier des siens

Un début très violent. Le massacre d'animaux m'a beaucoup chamboulé et perturbé. Le reste de l'histoire est bien mené. Gus et le pingouin développe un attachement l'un à l'autre. Gus revoit ses certitudes et la vie des espèces d'une autre façon au fur et à mesure. Une fin très touchante.

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Commentaire ajouté par Fanfan_Do 2023-12-02T13:18:12+01:00
Le dernier des siens

Ouh là quelle entrée en matière ! Un massacre de pingouins… nous sommes malheureusement une espèce cruelle et destructrice.

1835, Eldey, petite île au sud-ouest de l'Islande. Gus, un jeune zoologue sauve un pingouin blessé et le ramène chez lui.

Alors que Gus à sauvé ce pingouin par pur intérêt professionnel, au fil des jour lui et l'animal s'observent et apprennent à s'apprivoiser. À vivre avec cet étrange oiseau, Gus en vient à s'interroger sur la condition animale qui à cette époque n'intéressait personne et à vrai dire n'était même pas un concept.

Rapidement on apprend que ces pingouins ont une valeur marchande énorme du fait de leur rareté. Mais alors pourquoi ce massacre du début de tous les individus et de leurs œufs !?? C'est se tirer une balle dans le pied, ça ! De ce fait, la situation m'a généré une angoisse sur le devenir de ce pingouin là, qui a d'autant plus de valeur qu'il est le dernier et donc qui peut être convoité par des gens malveillants.

Gus et Prosp (le pingouin), deux solitudes qui s'unissent, s'observent, se découvrent, et finissent par avoir besoin l'un de l'autre.

À une époque où les animaux existaient essentiellement pour nous servir, cette belle histoire parle d'amitié inter espèce, d'ouverture d'esprit, de confiance et d'attachement.

Pour moi, cette lecture, ça a été comme d'observer deux créatures étranges : le Prosp et le Gus. J'ai eu souvent l'impression d'avoir sous les yeux deux animaux, l'un pingouin, l'autre humain, et les voir évoluer dans un environnement qui ne leur était pas familier, dans des circonstances inhabituelles, pour l'un comme pour l'autre, qui se recréent une famille à eux deux.

Une belle méditation sur le respect de la vie et sur la valeur qu'on accorde ou non à celle des animaux. Mais aussi une réflexion sur notre responsabilité dans l'éradication des espèces que beaucoup trop d'entre nous minimisent.

Et si ce roman racontait aussi la quête de l'eldorado des pingouins ? De leur Éden ? Car Prosp est seul, il ne connaît aucun pingouin. C'est bizarre ce que je dis ? Ce livre amène à se poser des questions singulières... Tour à tour révoltant, triste, intrigant, mignon, drôle, émouvant, attendrissant, toutes ces émotions m'ont habitée. Je me suis même demandé si cette histoire ne me faisait pas glisser dans l'anthropomorphisme, prêtant à Prosp des pensées qu'il n'a pas. Car bien sûr les pingouins ne pensent pas, du moins pas comme nous. Mais il m'est souvent apparu comme un petit garçon dans ses attitudes. Et je l'ai adoré ! Le lien qui se crée au fil du temps entre Prosp et ce doux dingue de Gus est assez magique, et magnifique.

Des moments lyriques et éthérés, beaux comme du Mozart, quand l'autrice imagine les pensées de Prosp, qui ignore qu'il est un grand pingouin, une très belle écriture au service d'une histoire d'amour entre lui et sa famille d'humains, lui le dernier de son espèce dont Gus endosse la culpabilité car il est un homme et donc de ceux qui portent cette terrible responsabilité. Sibylle Grimbert met en parallèle l'essence même de ce que sont Prosp et Gus, dont les facultés essentielles ne sont absolument pas les mêmes, et ça rend ce qui les unit d'autant plus beau.

Je me suis surprise à rêver d'avoir la chance de connaître un Prosp. Oui mais voilà, il n'y en a plus. Les humains l'ont fait disparaître de la surface de la Terre.

À l'aube de la sixième extinction, ce roman est un bel hommage, rendu aux espèces disparues par notre faute.

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Commentaire ajouté par sodasi 2023-12-05T11:03:46+01:00
Le dernier des siens

l'auteure nous livre un roman touchant ou cette époque est bien retranscrise, une époque âpre... elle pose la question de la relatio/ le rapport que nous avons avec les animaux sauvages. C'est une histoire singulière

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Editions Léo Scheer : 2 livres

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