Simon James Green

Alex in Wonderland est LA romance de l'été qui fait pousser des "Ooooohhhh" et des "Aaahhhhh" et qui laisse un petit sourire niais au coin des lèvres.

C'est drôle, frais, léger et tout doux. La romance prend vraiment son temps pour s'installer mais Alex et Ben sont vraiment trop mignons <3

Quelques clichés et quelques longueurs, sans quoi cette lecture aurait pu être classée en or.

Bref, une adorable petite romance parfaite pour terminer l'été et les vacances en douceur.

Bex for ever ;-)

Malheureusement, je n'ai absolument pas accroché à cette histoire. Pourtant le résumé m'avait l'air sympa! Certes, pas d'une grande originalité mais why not.

Le couperet est vite tombé pour moi: je n'ai jamais autant détesté un personnage principal. Noah est antipathique à souhait, bête et surtout pas drôle. Le souci étant je pense que l'auteur est avant tout un scénariste. Et ce qui, potentiellement, pourrait être drôle à l'écran s'avère médiocre sur papier. Je n'ai ressenti aucune empathie pour les persos. Noah parle et se comporte comme un enfant de 12 ans alors qu'il est censé en avoir 16 ans. Quand aux sujets de fond, ils sont si mal traités...Le baiser arrive comme un cheveu sur la soupe, l'histoire du père qui est parti n'est pas touchante, la mère est une cassos.

Je me suis donc arrêtée dans ma lecture, suivant le commandement n°3 de Pennac: le droit d'arrêter de lire.

J'ai suivi avec délectation les tribulations de Noah, adolescent sensible et intelligent, coincé entre une mère quelque peu déjantée et un père fantôme, un meilleur ami pour qui il ressent un trouble non identifié et un lycée dont on ne peut pas dire qu'il soit la mascotte! On a un peu l'impression d'être dans une BD nous contant les aventures catastrophiques et ubuesques d'un inadapté social et nous sommes attendri par sa candeur et ses stratégies comportementales pour rester discret! Manque de chance pour lui, ses efforts sont un échec total mais bonheur pour nous car cela donne lieu à des scènes toutes plus loufoques les unes que les autres, toujours teintées d'une grande tendresse.