Simonetta Greggio
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Note moyenne : 7.12/10Nombre d'évaluations : 66
1 Citations 44 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
En lisant Frédéric Lenoir, je cherchais un livre qui fasse réfléchir... j’ai finalement trouvé une histoire d’amour un peu facile, se rapprochant d’un livre de Lévy ou Northon... lecture facile et parfois dépaysante, adressée à ceux qui aiment l’es histoires d’amour...
Afficher en entierUne magnifique histoire très bien écrite par ces deux auteurs. On ne peut pas se permettre de lâcher le livre avant d'en avoir lu le dernier mot. Le seul bémol est que la fin est un peu trop abrupte à mon goût.
Afficher en entierPremier roman de Simonetta Greggio que je lis et j'en suis plutôt satisfaite.
Ce fût une lecture courte mais agréable. Une fois commencé, on a envie de continuer à découvrir le récit des aventures amoureuses de cette femme qui a besoin d'être écoutée. Mais toute histoire peut être enjolivée afin de dissimuler de nombreux regrets…
Afficher en entierL'histoire est assez plaisante. J'ai vraiment eu l'impression d'avoir cette dame à côté de moi, me raconter sa vie.
Afficher en entierImpossible de le terminer, et même de le continuer...
Certaines situations se répètent et n'avancent pas. Dès le début, je sens que le roman va être long.
Je n'accroche pas, je ne sens pas le suspense...
Afficher en entierC'est un récit sans chronologie claire qui mêle l'histoire de l'italie au XXième siècle à celle de l'autrice Silmonetta Greggio. Le fil conducteur est la violence que font régner dans le pays le fascisme, la mafia, l'extrême droite et les Brigades Rouges. En écho à cette violence il y a celle que subit la jeune Simonetta de la part de son père qui la roue de coups à chaque incartade. C'est un récit autobiographique éprouvant qui ne laisse qu'une issue à la jeune fille : quitter son pays pour sauver sa peau.
Afficher en entierDes nouvelles grandioses, au style d'écriture sensible et métaphorique. Un vrai coup de coeur, je vais lire d'autres livres de l'autrice.
Afficher en entierMalgré la grande beauté du style et la délicatesse du récit, j'ai trouvé que l'histoire était souvent artificielle et parfois attendue. De bout en bout règne un climat romantique goethien, certes élégant, mais qui m'a semblé factice pour un roman du XXIème siècle. La fin m'a vraiment déçue tant elle était invraisemblable chimérique.
Trop de sentimentalisme nuit à ce roman court et donne une sensation de mélancolie surjouée.
Afficher en entierUn style purement esthétique, souvent à l'excès, qui frise le snobisme. Des circonvolutions fumeuses pour masquer le vide de sens et de sentiments réels. Une narration pseudo artistique et véritablement brouillonne. Des personnages inconsistants qui semblent émerger du coma pour pérorer sans raconter ni émettre de réelles idées.
Bref, j'ai vraiment détesté ces 154 pages de prétention et de vacuité.
Afficher en entierDivin
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Simonetta Greggio
et autres évènements
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Editeurs
Stock : 8 livres
LGF - Le Livre de Poche : 5 livres
Flammarion : 4 livres
Editions Cambourakis : 1 livre
J'ai lu : 1 livre
Biographie
Nationalité : Italie
Né(e) à : Padoue, Italie , le 21/04/1961
Biographie :
Simonetta Greggio est une romancière italienne qui écrit en français.
Arrivée à Paris en 1981, où elle vit depuis, elle a été journaliste pendant plusieurs années, collaborant à des revues et magazines divers dont City, Télérama, La Repubblica, Figaro Madame…
Simonetta Greggio est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages d’art de vivre consacrés aux jardins et à la cuisine, et notamment des premiers Guide des auberges et hôtels de charme en Italie.
Son premier roman, La douceur des hommes, paru chez Stock en 2005, a été consacré par le magazine Lire parmi les vingt meilleurs livres de l’année.
Sa longue nouvelle Etoiles parue chez Flammarion en 2006 est traduite en six langues, dont le russe et le coréen.
Col de l’Ange, chez Stock, est paru en avril 2007.
"Dolce Vita1959-1979" paru en 2010, raconte avec brio les années de plomb de sa belle Italie.
En 2012, elle publie "L'homme qui aimait ma femme".