Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 728
Membres
1 013 517

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode
Lire la suite...

Commentaires sur ses livres

Somerset Maugham

Par kalou44 le 17 Mai 2016 Editer
kalou44
J'ai beaucoup aimé cette histoire "d'amour" un peu étrange.
L'auteur arrive a nous transporter dans le Hong-Kong à l'époque coloniale.
On s'immerge dans la société, l'humidité de la ville....


A propos du livre :
La Passe dangereuse
La Passe dangereuse
Par zara29 le 21 Décembre 2011 Editer
zara29
J'ai lu ce livre après avoir vu son adaptation au cinéma. Je n'ai pas été déçue mais par rapport au film, le livre est moins romantique, plus cruel, et plus classique dans le ton... Pour les amateurs du genre colonial.
A propos du livre :
La Passe dangereuse
La Passe dangereuse
Par Amnesia-x le 26 Mars 2020 Editer
Amnesia-x
J'ai acheté ce bouquin après avoir revu des passages du film "Le voile des illusions" que j'avais beaucoup aimé bien qu'il soit plutôt triste. En fait je ne savais pas qu'il était tiré d'un livre, la curiosité m'a donné envie de le lire pour le comparer. Alors j'ai dévoré la moitié du bouquin qui est tel que le film mais même si l'adaptation a bien suivit la trame de l'histoire,elle a changé et embelli certains passages et surtout le personnage de Kitty. Le livre est plus cruel avec le destin de Walter et bien que la fin reste la même, elle n'a pas la même approche et je préfère nettement la version cinématographique.
A propos du livre :
La Passe dangereuse
La Passe dangereuse
Par nf23 le 10 Janvier 2013 Editer
nf23
J'ai lu ce livre lorsque j'étais au lycée et j'avais bien aimé ces petites nouvelles
Par brausten le 30 Août 2011 Editer
brausten
c'est l¿histoire Julie Lambert une comédienne vieillissante mais en avance sur son temps elle vécu dans les années 20 et tombe amoureuse d'un homme plus jeune qu'elle.
A propos du livre :
La Comédienne
La Comédienne
Par YLY06 le 18 Août 2022 Editer
YLY06
Ayant vu le film et en lisant les commentaires j’ai eu peur de me lancer dans ce livre car la majorité préféraient la version cinématographique. Pour moi c’est deux histoires différentes. Certes, le livre est plus dur et plus cruel mais tellement plus profond et puissant que la banale histoire d’amour qu’on nous présente au cinéma (cependant j’aime beaucoup le film).
J’ai trouvé l’écriture facile et agréable et les 40 dernières pages très empreintes d’émotion. J’ai vraiment apprécié de lire quelque chose de différent. Je recommande.
A propos du livre :
La Passe dangereuse
La Passe dangereuse
Par Tandarica le 18 Juin 2022 Editer
Tandarica
Cette légèreté que j'envie aux personnages de Somerset Maugham ou plutôt à certains d'entre eux, qui jouent un bombardement à pile ou face, décident de tout plaquer pour vivre pauvre en Espagne, à qui une simple pensée suffit pour retourner risquer leur vie dans un plongeon de plusieurs mètres... Facile à lire, bien entendu, pas facile à faire.
Par PandaCraft le 19 Janvier 2022 Editer
PandaCraft
Pluie : ah le fanatisme religieux des Américains, quel vaste sujet. Le blanc, chrétien, qui vient évangéliser et « éduquer » ces peules « sauvages »… derrière ces bons sentiments, c’est la folie et l’horreur qui rampent dans ces esprits puritains purs comme de la boue.

Honolulu : les idées sur les femmes et les étrangers ont mal vieilli. J’ai trouvé peu d’attrait à cette nouvelle.

Le déjeuner : une très courte nouvelle, assez caustique, sur ces bonnes âmes qui vous abreuvent de conseils sans les suivre.

Le lac : le côté sombre de l’arc-en-ciel. Les relents de colonialisme me gêne, mais bon, c’est bien ancré dans son époque.

Les trois grosses dames d’Antibes : j’ai pensé au film Le Pari en lisant cette nouvelle, assez mordante.

La peau du lion : mensonges et faux-semblants sont au menu de cette nouvelle que j’ai trouvé un peu ennuyeuse.

La planche de salut : c’est sa chute qui fait tout le sel de ce texte.

Une jeune fille romantique : j’ai trouvé que l’ambiance avait un côté Henry James, et j’ai plutôt bien aimé.

Avant la réception : le vernis de la bonne société colonialiste anglaise craque, et c’est jouissif.

Le serment : une nouvelle assez touchante sur l’amour et les promesses.

Le fléau de Dieu : j’ai peiné à arriver au bout de ce texte qui m’a ennuyée.

La force des choses : quand on ment on finit toujours par se faire prendre, et ça fait mal.

Une perle : la goujaterie de la chute est incroyable.

Lord Mountdrago : j’ai beaucoup pensé au style d’Edgar Allan Poe en lisant cette nouvelle, qui ne m’a pas emballée outre mesure.

Le bedeau : une nouvelle qui nous parle d’humilité et de réussite, et dont la chute est savoureuse.

Jane : ici encore j’ai eu l’impression de lire du Henry James, et j’ai plutôt apprécié cette nouvelle.

Les empreintes dans la jungle : une ambiance très « Duras » pour cette nouvelle où la respectabilité de la bonne société blanche est mise à mal.

Sanatorium : d’un tel ennui que j’en ai abandonné la lecture avant la fin.

Les quatre Hollandais : encore une fois, la femme est cantonnée dans ce récit, au rôle de la tentatrice sans scrupules.

Faits divers : une chute bien cruelle pour une nouvelle dont le début semblait plein d’espoir.

Mayhew : en quatre pages, l’auteur fait le tour du matérialisme et de la vanité de l’existence.

Un emploi officiel : abandonnée très vite, j’avais peur que le contenu de cette nouvelle ne soit trop violent pour moi.

Croisière d’hiver : apparemment c’était de l’humour, je n’ai pas trouvé ce texte drôle.

Mirage : on connaît tous au moins une personne qui se prend pour un roi alors que c’est un loser. C’est triste, mais pour ce genre de personne il n’y a rien à faire.

La lettre : un texte dont le fond est très semblable à celui des empreintes dans la jungle.

Neil Mac Adam : le démarrage de cette nouvelle a été trop long pour moi, j’ai laissé tomber.

Ressenti final : si je suis heureuse d’avoir découvert cet auteur, je trouve que beaucoup de ses textes ont mal vieilli (colonialisme, misogynie et xénophobie), même si d’autres m’ont faite sourire par leur mordant.
Par LaMirandole le 30 Novembre 2021 Editer
LaMirandole
M'a fait penser à l'attrape-cœur même si le style est complètement différent. Le personnage est ambivalent. Amoureux fou d'une femme sans morale, mais brisant aussi le cœur d'une amoureuse fiable. Il évolue pourtant très bien. Le style est lent et la psychologie du personnage très bien travaillée
A propos du livre :
Servitude humaine
Servitude humaine
Par Steph_P le 17 Novembre 2021 Editer
Steph_P
Kitty is pretty. Her mother is sure she will make a good mariage. But Kitty doesn't want to marry the first to ask. And she waits. And waits. And one day, her sister is going to be married before her. So she accepts Walter Fane's proposal, even if she doesn't love him. He's a bacteriologist in Hong-Kong, and she goes back there to live with him.
Adored by her husband, she feels bored. And she falls in love with an other man. Knowing that, Walter brings her with him in the middle of a cholera chrisis, to punish her.

This novel is a great portrait of infidelity, of the life at the beginning of the 20th century in a colony, and of all the feelings that can be expressed by a cheating woman. And don't wait for the happy ending...
A propos du livre :
The Painted Veil
The Painted Veil
Par Allebei le 24 Août 2020 Editer
Allebei
Le narrateur de cette histoire est un jeune écrivain anglais. Il fréquente les salons littéraires de son temps. Il y rencontre une amatrice de littérature, Amy Strickland. Celle-ci est mariée avec un agent de change, peu loquace et peu intéressé par les mondanités. Ensemble, ils ont deux enfants. Leur vie tout à fait ordinaire semble parfaite. Or, un jour, Strickland quitte son travail, abandonne son épouse et s’en va à Paris. Comme tous le cercle, le narrateur en est choqué. Désespérée, Amy est prête à pardonner au volage, soupçonné de l’avoir quittée pour une autre femme et demande à l’écrivain de bien vouloir l’aider. Celui-ci accepte cette mission à Paris et s’en va à la recherche de Strickland. Contre toute attente, il le retrouve. Mais l’ancien agent de change ne court pas les femmes. Passionné par l’art, il a décidé de se consacrer à la peinture même si personne ne croit en son talent. L’écrivain n’en croit pas ses oreilles. Il se demande si cet homme taciturne, désagréable, et qui envoie au diable tous ceux qui s’intéressent à lui est devenu fou. Incapable de lui faire entendre raison et de le ramener chez lui, l’écrivain retourne en Angleterre. Là, il raconte ce qu’il a appris. Personne ne croit à cette histoire. Comment un père de famille peut-il laisser sa famille dans la précarité pour s’en aller peindre ? Amy se met à travailler. Quelques temps passent. Le narrateur voyage et séjourne à Paris pour ses propres affaires. Il croise Strickland, peintre bohème, presque clochard. Toujours aussi antipathique, l’homme est à la limite de l’impolitesse. Loin d’être rebuté par cette attitude, l’écrivain est plutôt fasciné. Peu à peu, il entre dans le monde de l’artiste. Il fait la connaissance d’un peintre néerlandais, Dirk Stroeve et de son épouse Blanche, une Anglaise dévouée et très réservée. Cet ami croit dans le talent de Strickland et l’apprécie. D’ailleurs, le jour où celui-ci est gravement malade, il insiste pour le recueillir chez lui malgré le refus de Blanche qui fait une scène terrible avant de céder. Après plusieurs semaines, Strickland guérit. Pour lui, Blanche quitte son gros mari peu séduisant et qu’elle n’aime pas malgré les apparences. Stroeve voit son ménage se briser. Pourtant, il est prêt à pardonner et à reprendre son épouse infidèle le jour où Strickland se lasse d’elle. Le Néerlandais n’a pas beaucoup à attendre car le peintre ne veut plus de cette maîtresse devenue pour lui indésirable. Blanche ne supporte pas cet abandon et se suicide en buvant une bouteille d’acide. Elle meurt plusieurs jours plus tard dans de grandes souffrances, assistée par son mari. À sa mort, ce dernier décide de partir aux Pays-Bas. Avant son départ, il révèle à l’écrivain que Blanche ancienne institutrice avait déjà tenté de se suicider après avoir été séduite et délaissée par un homme dont elle était tombée enceinte et qui l’avait laissée dans la misère. Stroeve l’avait épousée et l’enfant était mort en bas âge. Strickland s’en va à son tour. Les années s’écoulent et le narrateur cherche le peintre maudit et à travers les témoignages de ceux qui l’ont rencontré, il reconstitue sa vie passée. Parti dans les îles pour y peindre, il se met en ménage avec une jeune fille du coin, deux enfants dont l’un mourra comme lui de la lèpre. Ses œuvres artistiques finissent par obtenir la reconnaissance mondiale. Les tableaux du peintre resté toute sa vie misérable et marginal se vendent très cher… Inspiré par le peintre Paul Gauguin, William Somerset Maugham en fait une biographie très romancée. Il semble fasciné par ce génie qui n’hésite pas à tout quitter pour son art et ne vivre que pour lui, en dehors de la société. Il en donne un portrait bien particulier. Ce personnage de Strickland n’a pas suscité de sympathie. Non, je ne l’ai pas du tout aimé. Égoïste, buté, sans aucune empathie pour les autres, misogyne, il n’a pas grand-chose pour plaire. Heureusement, l’écrivain sans nom qui veut le comprendre est un peu plus attachant. Toutefois, l’histoire est bien écrite et se laisse lire. Ce n’est pas mal comme roman. C'est à lire.
A propos du livre :
La lune et 75 centimes
La lune et 75 centimes
Par Chrystelle1104 le 20 Août 2020 Editer
Chrystelle1104
Très belle plume et personnages intéressants
A propos du livre :
Il suffit d'une nuit
Il suffit d'une nuit
Par PetitRoussignol le 2 Juin 2020 Editer
PetitRoussignol
J'ai du lire ces petites histoires pour ma L1 en fac, et ayant du mal avec l'anglais, c'était plutôt pas mal.
Par alawana24 le 29 Août 2018 Editer
alawana24
Des histoires très originales, qui sorte de l'ordinaire !! Une écriture anglaise simple, un vocabulaire expliqué, tout pour que la lecture soit agréable !!
Par SevenPotter le 18 Juin 2018 Editer
SevenPotter
J'ai beaucoup apprécié l'écriture de Maugham, malheureusement l'histoire, et surtout les personnages, n'ont pas su me toucher. Les descriptions de lieux et des sentiments des personnages étaient très belles, cependant le narrateur se concentre principalement sur la vie de Charles Strickland, un personnage que j'ai trouvé absolument méprisable. Je suis consciente que c'est en parti le but recherché, mais à plusieurs reprises l'auteur insiste sur une certaine pitié et une fascination que ressentent les autres personnages à l'égard de Strickland. Ils reconnaissent aussi tous son génie. Mais je n'ai pas pu une seule seconde ressentir quelconque sentiment positif pour ce personnage, notamment à cause de son mépris et sa haine envers les femmes. Le discours de Strickland est impardonnable et j'ai du me forcer à finir les 30 dernières pages. Certes, Maugham vivait au 19e siècle, mais de nombreux auteurs de cette époque n'ont pas tenu de tels propos misogynes. Je peux aussi concevoir que la voix des personnages n'est pas celle de l'auteur, mais il me semble que Maugham s'attendait au moins à ce que le lecteur porte un intérêt pour l'histoire de Strickland, semblable à celui du narrateur. Mais je n'ai pas pu comprendre pourquoi quelqu'un s'intéresserait à un être aussi méprisable.
A propos du livre :
L'Envoûté
L'Envoûté
  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode