Commentaires sur ses livres

Chronique de Diana : https://followthereader2016.wordpress.com/2019/11/13/un-deal-pas-tres-catholique-sophie-lim/

Je suis un peu partagée avec cette histoire, certes c’est un premier roman et il y a des choses à améliorer mais ce n’est pas fondamentalement ce qui m’a posé problème.

J’avoue que sans être féministe, j’ai beaucoup de mal à lire sur tout un récit un héros qui traite le futur amour de sa vie de « crétine » et même sur la fin le mot est tellement redondant que j’avais envie de hurler.

Alors ici, nous sommes dans une configuration « ennemies to lover » mais ça ne justifie pas tout, j’aurais réellement aimé que l’auteure fasse de son héroïne une jeune femme forte en devenir. Non, là elle accepte facilement le chantage du bad boy du lycée et se conforme à ses désidératas (alors qu’entre nous je ne vois même pas pourquoi elle trouve dégradant son job de serveuse dans un club de striptease). On est quand même en 2019 où l’on se bat contre le harcèlement scolaire et là j’ai trouvé qu’il manquait une vraie prise de position. C’est le genre de chose que je ne comprends pas de nos jours. J’ai eu l’impression que ce personnage était faible et qu’elle trouvait normal de vivre une histoire avec un jeune homme tyrannique, limite pervers narcissique. Je m’arrête là sur ces points car c’est après tout très subjectif et n’engage que moi.

Si l’on regarde le reste de l’histoire, c’est assez bien construit et le développement suit bien les codes du genre dans son ensemble. Il y a quelques rebondissements et les personnages sont très marqués niveau caractère.

Que vous dire de plus, c’est très accessible et c’est une lecture très rapide. J’aimerais lire dans quelque temps un autre récit de cette auteure pour voir la manière dont sa plume a évolué, aujourd’hui elle est agréable mais très « scolaire », je n’ai pas trouvé un détail qui me permettrait de l’identifier à une autre et je pense que ça viendra par la suite.

Donc si vous aimez les histoires qui débutent au lycée avec des personnages qui ne se supportent pas, je pense que ça vous plaira sans aucun doute. Les héros ont une grande imagination pour se détester et se repousser.

En ce qui me concerne j’attends mieux et je veux mieux pour les romances contemporaines et les caractères féminins. C’est un acte manqué mais pas forcément une porte fermée pour les prochaines œuvres de l’auteure.

Il s'agit d'une romance contemporaine plutôt bien écrite, assez fluide avec pas mal de rebondissements. On ne s'ennuie pas ! Théodore est le gars détestable au possible, il est égocentrique, arrogant et blessant. Il m'a vraiment agacée mais je ne l'ai pas haïs car j'étais persuadée qu'une telle attitude cachait des écorchures. Il profite de ce deal pour manipuler Julie qui, par peur de la révélation de son secret, accepte ses dondaines. On pourrait penser que Julie est naïve mais de mon point de vue c'est une jeune femme forte avec du caractère et de la reparti. Je suis passée par plusieurs émotions en lisant ce roman mais c'est vraiment l'humour que j'ai apprécié et évidemment l'amour. Même si cela n'est pas simple et semé d'embûches... Au final Théodore et Julie sont attendrissants, même si ils se cherchent et se repoussent pendant une grande partie du roman... Mais comme on dit entre "la haine à l'amour il n'y a qu'un pas" ?J'ai également apprécié le fait que l'auteure nous fasse voyager dans son roman, notamment à Londres, ville que j'adore ! J'ai passé un bon moment de lecture, simple, feel good... ➡️ À lire ?

Je viens de terminer « Un deal pas très catholique » de Sophie Lim.
Tout d’abord, un grand bravo à l’auteure pour sa très belle plume et son humour. C’est un vrai régal.

Je me suis sentie immédiatement transportée par l’histoire de ces jeunes de 18 ans. Notamment vers Julie, une jeune fille sérieuse et studieuse très proche de sa mère ainsi que de Théodore, un fils à papa à claques. Presque à chacune de ses paroles, on a envie de le gifler mais sans toutefois achever le geste parce qu’on sent que derrière son cynisme, son arrogance, son égocentricité et son côté maitre-chanteur, on devine un être sensible qui s’est construit une carapace suite à certains événements de sa vie.

Mais « Un deal pas très catholique » n’est pas seulement une romance feel good entre jeunes, c’est aussi une très belle histoire d’amour entre deux êtres que tout oppose, le tout saupoudré de trahison et de coups bas. Mais surtout, l’auteure sait maîtriser son suspense et les nombreux rebondissements. Et, avec sa large palette d’émotions, elle sait également nous surprendre, nous fâcher, nous attendrir et nous faire rire. Car l’humour est presque omniprésent. Même dans les moments un peu dramatiques, elle ne peut s’empêcher de nous faire rire.
A vous qui ne l’avez pas encore lu, je ne peux que vous le conseiller vivement !!

BRAVO Sophie Lim !!!

Bonjour à tous !

Aujourd’hui je reviens sur ma lecture de L’œuvre de Sophie Lim « Quel auteur à la noix es-tu ? » dans laquelle elle dépeint en 3 phases ce qu’être auteur signifie, nous permettant de mieux les comprendre, de mieux NOUS comprendre.

Ce livre est une grande leçon de vie pour quiconque cherche à s’améliorer.

Dans la première phase de l’ouvrage qui est bien sûr à prendre avec des pincettes et de beaucoup de dérision et de second degré, Sophie met en avant aussi bien les qualités que les vices qui composent la vie d’un auteur…surtout les vices.
Elle met en lumière nos défauts et même si cela pourrait froisser certains, je pense que c’est un exercice nécessaire qui pourra aider à grandir encore meilleur.

Il faudrait être bête ou naïf pour penser être infaillible et ne jamais se remettre en question question.

Ensuite, Sophie traite des idées reçues qui tournent autour de la vie d’un auteur et également du monde du livre. Elle traite de notre perception parfois erronée par une série de questions vrai-faux.

Elle finira son ouvrage en donnant quelques conseils bien avisés qui aideront auteur à venir ou pas à parfaire leur art.

Ce qui fait la force de ce livre c’est qu’il est jonché d’exemples et de citations pour mettre en avant les propos de l’autrice, donnant ainsi une certaine cohérence et vérité à tout ce que vous pourrez lire ici.

J’ai pu me re-découvrir au travers de ce livre et pour mou cela a été un exercice très plaisant.

Je le conseille donc vivement. À condition bien entendu de prendre les choses avec recul et une pointe d’humour.

Après une courte introduction très intéressante, car on apprend le pourquoi de cet ouvrage, place aux « différents auteurs « à la noix » » vous l’aurez compris. Dans quelle catégorie vous rangez-vous ? Vous avez le loisir de les découvrir et, ce que j’ai apprécié, c’est qu’on a pas non plus trente-six pages sur chaque catégorie, c’est concis et efficace : spammeur, vendeur à la criée, le twitto pro, le perfectionniste, le rebelle, le mendiant, le vantard, l’imitateur, etc.

Avec à chaque fois, une leçon de communication, c’est pas une morale, en tout cas je ne l’ai pas pris ainsi. Y a des exemples, et beaucoup d’humour. Tout le long de l’ouvrage, on sourit, on s’interroge, on découvre le monde littéraire de manière objective.

Si je peux me permettre, je reprendrai les mots d’un clip inconnu « La communauté litté, entre ennemis et alliés ». Parce que c’est tout à fait le propos d’un… ah bah pour lire la catégorie et vérifier si vous en faites partie ou pas, il faudra lire ! Et si vous pensez que c’est tout, ce sera mal connaître Sophie Lim !

Côté univers, entre psychologie, sociologie et études à la loupe des comportements de la communauté littéraire, c’est bien vu. Y a toutes les catégories ? Je trouve, oui. Même s’il manque une recette de tarte à la noix ! De plus, l’ouvrage ne se contente pas de vous expliquer « quel auteur à la noix es-tu ? », il comporte également une partie sur les idées reçues. Vrai ou faux ? On informe, on démonte les « fake news » également, j’ai été agréablement surprise. Cela ne m'étonnerait pas que cet ouvrage devienne un guide, non seulement pour survivre dans la commu litté, mais aussi pour s'informer.

On a quelques anecdotes, peut-être pas assez, c’est comme le fait que j’aurais apprécié des illustrations même basiques ou des trucs un peu déjantés pour suivre le second degré. Plus de mises en valeur, je réclame plus de mises en valeurs !
En tout cas les citations, les rappels sur les conseils, les réseaux sociaux, les comportements des uns et des autres… en fait ce livre est un guide. Un guide pour toutes et tous !

L’idée de construction est originale puisqu’on n’a pas le droit à un quiz, qui nous imposerait des dizaines de retournage de pages xD mais à des catégories accessibles tout de suite pour se plonger dans la réflexion. Se connaître pour mieux avancer ? Peut-être bien ! On enchaîne avec les idées, ce qui fait qu’on n’a pas qu’un thème dans cet ouvrage, c’est pas juste « se connaître » c’est aussi se renseigner ! Et bien sûr on termine avec « Comment devenir un meilleur auteur ? ». Sans spoiler, c’est intelligent dans la construction, la création et une parfaite conclusion. Pour autant, il ne faut pas penser qu'on va vous fondre dans un moule, oh que non !

J’ai aimé, en premier l’humour. Parce que ce livre est là pour détendre, mais pas que, il est là aussi pour « informer », renseigner et y a des sources à la fin de l’ouvrage, et tout du long, des vidéos ou autres citées… bref c’est un peu une « bible » pour les auteur’rices. En deuxième point, les citations et le parallèle entre réalité et espérances, l’image que l’on pense donner et celle qu’on renvoie vraiment. Et enfin, entre les idées reçues « débunkées » et les conseils pour s’améliorer, un bon guide.
J’ai moins aimé, y a pas vraiment d’éléments que je n’ai pas aimé, après c’est assez court et il manquerait peut-être encore plus d’anecdotes ou des illustrations. C’est vraiment parce que je chipote quand je suis pas rassasiée !

Un dernier mot ? Une phrase, plutôt : « Si j’avais un conseil à donner au susceptible, ce serait de méditer sur cette phrase, attribuée à l’acteur Keenu Reeves : « Tu n’apprends rien de la vie si tu penses que tu as toujours raison. »

Les précos sont en cours:
https://t.co/nsaUxc4rMM

Chronique complète:
https://www.facebook.com/maritzajaillet/posts/pfbid0rbCLpuW3UQwkXhqvUAid73BFWhvnz9tKX28sxqvDXG5hd2bhtXFvz8Dno7iY8n8vl

J'étais très curieuse de découvrir cette romance car j'étais attirée par son synopsis et l'idée du livre qui m'a interpellé avec le rebound guy. Je vous explique le principe dans la chronique, ne vous inquiétez pas. En tout cas, je suis totalement fan du livre, je l'ai littéralement dévorée et c'est un petit coup de cœur.
Sophie Lim est une très belle découverte dans sa plume. J'aime les livres où je m'évade et où j'apprends aussi des choses. C'est totalement le cas ici. Sa plume est légère avec une bonne dose d'humour, elle a de l'émotion avec cet arc-en-ciel sentimental. Le petit bémol serait le fait d'avoir inséré trop d'informations dans l'intrigue au lieu de les mettre en notes de bas de page, ce n'est que mon avis. Je l'avoue que je chipote un peu là-dessus.
Nous avons une intrigue mêlant classique avec le concept de l'"enemies to lovers" et l'originalité autour de cette agence. J'aime énormément les thèmes de ce livre comme son cadre spatio-temporel. L'auteure va jusqu'au bout des choses !
Nous avons donc des protagonistes qui sont à la fois semblables car ils ont eu des déboires sentimentaux mais ils sont différents dans tout. Ils ne se supportent pas. J'ai adoré Victoria tout le long du livre tandis qu'Alban m'a fait sortir de mes gonds avant d'être sous son charme. Bref, on ne s'ennuie clairement pas !

Pour conclure, j'ai eu un petit coup de cœur pour cette romance car j'aime beaucoup son intrigue avec quelques éléments classiques mais elle est surtout originale. Sophie Lim nous fait découvrir la Suisse et ce qu'est un rebound guy avec une plume instructive, légère et pétillante sans oublier la touche sentimentale. Enfin, les protagonistes donnent du piquant à l'intrigue.

Je n'ai pas arrêté de rigoler au cours de la lecture de se roman et ça fait tellement de bien.

Pour ce qui est de l'histoire quand je les commencer j'ai eu énormément de mal à rentrer dedans car la façon dont à était écrit le récit n'ai pas ce que j'ai l'habitude de lire en tant normal mais une fois que l'on s'habitue on passe un agréable moment.

En ce qui concerne la romance , l'auteure s'inspire énormément de la culture japonaise et de l'esprit manga, ce qui fait que certaines situations sont exagérer et parfois cocasses, mes pour moi qui en tant normal n'apprécie pas forcément ça, pour celui-ci j'ai juste adoré la relation entre nos 2 protagonistes, le fait qu'il se déteste et finissent par s'aimait malgré tout les évènements rocambolesque qu'il traverse, j'ai trouvé ça extrêmement mignon.

Par contre ce que j'aurais aimé (cela ne concerne que moi et mes goûts) ses retrouver des chapitres beaucoup moins longs car malgré le fait que j'ai apprécié cette histoire, au début les longueur on bien faillit me faire arrêter ma lecture tout comme le fait de retrouver plusieurs point de vue en même temps.
Si le récit avait était séparé en plusieurs chapitres comportant le point de vue de chaque personnage de l'histoire il aurait était juste parfait.

Pour terminer, ce roman est juste ce qu'il faut quand on ne souhaite pas ce prendre la tête et juste rigoler dans notre lecture.

Je suis ravie d’avoir pu retrouver la plume de Sophie Lim que j’avais pu découvrir dès son premier roman : « Un deal pas très catholique ». Restant dans son style d’écriture de prédilection, l’auteure nous invite à plonger dans sa nouvelle romance assez pétillante, comme elle le dit elle-même. Nous allons y découvrir le concept d’hommes pansements qui proposeront diverses méthodes pour surmonter les ruptures !

Les bases de l’histoire sont données rapidement, ce que j’ai apprécié. Je ne suis pas du genre à avoir la patience d’attendre plusieurs chapitres pour avoir tous les événements en ma possession. Le concept de Rebound Guy est quelque peu novateur, car même si j’ai déjà eu l’occasion de le lire dans une romance, j’ai trouvé que l’auteure y avait ajouté sa touche personnelle. Cette dernière étant Alban, un des protagonistes. Connaissant Sophie Lim, je savais que je risquais d’avoir des difficultés à m’attacher à ce personnage qui, il faut bien le dire, ne nous est pas très aimable à première vue. Ses réflexions et ses manières d’agir envers la gent féminine – et tout particulièrement envers Victoria – étaient souvent agaçantes. Mais ce sont les règles du jeu quand nous savons que l’univers est inspiré des mangas. L’autre protagoniste, Victoria, est beaucoup plus facile d’accès selon moi, je n’ai pas eu de difficulté particulière à m’attacher à elle, bien au contraire.

La plume de Sophie Lim a bien évolué depuis son dernier roman ; je trouve qu’elle a gagné en fluidité. Je pense que l’un de ses points forts est la description des espaces dont disposent les personnages ou les lieux visités en Suisse par exemple. J’ai bien aimé que l’auteure intègre à son texte des références diverses à de la science-fiction, à la pop culture ou encore l’intégration d’expression suisse. Ces différents points ajoutent une certaine légèreté à la romance. Cependant, j’ai trouvé qu’il y avait un manque de vraisemblance dans les dialogues ; j’ai eu quelques difficultés de ce point de vue là.

L’auteure a choisi certaines facilités dans son histoire, et donc j’ai pu voir venir presque tous les rebondissements, ce qui était dommage à mon sens. Cela dit, cela ne m’a pas empêché de profiter de l’histoire en elle-même. Il y avait également une ou deux incohérences dans le récit, et j’avoue avoir tiqué dessus. Cela retirait une bonne partie de crédibilité à l’histoire, mais je ne peux pas vous en dire plus au risque de vous spoiler.

Sophie Lim a pris le parti de diversifier les thèmes abordés dans son histoire ; secrets et manipulations seront au rendez-vous. L’univers de la prostitution masculine et des escort-boys seront aussi traité à travers le concept des Rebound Guy.

En somme, j’ai passé un bon moment et je vous la recommande, si vous voulez évoluer dans un univers pas très commun en romance.

La plume est drôle, sympathique et caustique . L’expression « qui aime bien châtie bien » prend tout son sens dans ce roman. Alban et Victoria se cherchent et se chamaillent sans cesse. Et petit à petit et on découvre les sentiments de chacun. Il y a de nombreux clichés, et certaines situations sont un peu poussives, mais l’ensemble est agréable.

Ce livre est très émouvant et contient un grand nombre de créativité

Nous faisons la connaissance de Victoria, et d’un malotru, juste après, qui ose acheter des Red Bull plutôt qu'une bonne bouteille, et qui la provoque verbalement de façon drôle. Dans le sens où, j’ai vraiment ri en lisant la scène. Plus tard, pour le speed-dating que j’appellerai « test », c’est bien amené et même la scène que fait Alban pour montrer à Victoria la dangerosité d’une certaine rue, passe dans le sens où on est prévenus.
À la suite du hasard (ou pas, je ne spoile rien), Victoria, qui travaille dans l'agence des rebound guy, et Alban, l'un des rebound guy, devront traîner ensemble, se supporter et surtout apprendre à se connaître. Arriveront-ils à soigner leurs cœurs, malgré les embûches, Capucine, Valentino, Bruno ou Matteo ?

Côté univers, j’ai songé tout de suite à un anime, ou un film, avec des plans, des scènes bien sûr exagérées, mais c’est justement le but. L’univers est souvent enrichi de références, j’adore, pour ma culture, pour creuser un peu plus, c’est génial ! Les descriptions sont maîtrisées je trouve, même si c’est parfois court, au niveau des scènes olé olé et qu’il y a des ellipses. Parfois, c’est speed, j’attendais plus de développement au niveau de l’ambiance ou du décorum.

Côté personnages, le début fait un peu catalogues de noms, mais quand on songe à l’agence, à l’idée derrière, bah finalement c’est dans le thème du rebound guy ! Victoria en pince pour Bruno, Alban s’énerve dès qu’ils sont ensembles, et se sent obligé de la prévenir sur les véritables desseins de ce Monsieur Boissons. Pas de temps morts, un twist arrive vite pour faire évoluer les personnages, surtout le couple. Quant aux autres, j’ai apprécié Roger et son but, la plupart des rebound guy également surtout vu les situations. Y a une belle évolution d’Alban, Victoria un peu, on aurait pu pousser encore plus loin, même si la fin est très agréable.

Côté histoire, nous sommes dans une romance donc évidemment tout est centré sur le couple, de leur rencontre aux premiers effleurements de corps. Tout est fluide. J’ai bien ri. Souvent même. De l'agence à l'hôtel, en passant par la case course ou la voiture... Parce que les situations exagérées me font vraiment penser à un manga qui défile sous mes yeux, avec les images, les bulles et les expressions caricaturales. C’est le but, et j’ai trouvé les échanges entre Victoria et Alban géniaux, drôles et provocateurs. Leur histoire m’a plu, les obstacles sur leur route aussi.

J’ai aimé, l’histoire du couple Alban / Victoria, dans l’ensemble elle est douce et agréable, l’univers, avec une part assumée d’exagération et de références qui font sourire, et enfin la plume. C’est fluide ! Les références sont géniales ! Et j’aimerais bien aussi tester l’oculolinctus. Le petit moment olé olé est pas mal, peut-être un peu court.
J’ai moins aimé, certains enchaînements similaires et le côté prévisible de certaines scènes. Après, ça reste un détail. J’aurais bien aimé que cet ouvrage fasse quelques pages de plus.

Un dernier mot ? Vérifiez toujours le contenu de votre sac !
La suite sur ma page : https://www.facebook.com/maritzajaillet/posts/5172844716106530

Super

Je remercie Lou pour l’envoi de ce Service Presse via la Librairie des Jeunes Pousses. Ce n’est pas la première fois que je vous parle de celle-ci. Une librairie pour les auteurs autoédité, un beau projet qui vous permet de découvrir pleins d’auteurs. Vous savez que j’ai décidé d’ouvrir ce blog pour cela en particulier, donc depuis mon partenariat, c’est la troisième auteure que je découvre.

Je commence ma chronique en m’excusant. Je n’ai pas tellement accroché à ce feel-good. Alors, cet avis sera entièrement personnel.

Le titre ne pouvait pas être plus explicite. Theodore & Julie sont ce qu’on peut appeler des ennemies à l’école. Pourtant, le jeune homme va approcher Julie pour avoir son aide. Mais demander de l’aide quand on a son caractère sera trop simple et quelques choses de possiblement gentil se transforme en un contrat de menace. Julie doit prétendre être la fiancée de Theodore pour ses parents, sinon il révèlera à tous son travail de serveuse dans un club de strip-tease. Ne dit-on pas qu’entre amour et haine, il n’y a qu’un pas ? Ce proverbe sera-t-il crédible face à nos deux héros ?

J’ai beaucoup aimé l’intrigue en elle-même, même si le contexte manquait de crédibilité. Clairement être serveuse dans un club de strip-tease n’a rien de dégradant, donc en faire un secret me dépasse, mais pourquoi pas. J’aime les ennemis to lovers donc les interactions entre nos deux héros sont ce que j’attendais, même si le mot crétine ne pourra plus être dans mon vocabulaire. Trop, c’est trop. Un contrat qui les lie, une évolution des personnages, mais surtout une évolution dans leurs relations. C’est un aspect que j’ai assez aimé.

Par contre, j’ai un problème avec les personnages. Déjà, je suis ne pas pro héroïne. Et dans ce cas, Julie méritait d’être secouée. Elle est trop molle pour moi, alors je n’ai pas réussi à m’y attacher malgré toutes ses qualités. Theodore est un anti-héros. Cela peut beaucoup me plaire et au fur et à mesure de ma lecture, on comprend que c’est une carapace qui va se détruire au contact de la belle. Mais c’était trop dans l’excès.

J’ai bien aimé la plume de l’auteure, le choix d’utiliser le point de vue omniscient était très intéressant, surtout que j’adore ça et elle a réussi à le maitriser, donc très bon point. Un feel good qui vous fera passer un bon moment. Ce que j’ai trouvé too-much peut satisfaire tout le monde donc je vous recommande ce roman. Surtout dans cette période où nous avons besoin de bons moments de lecture !

Au commencement de ma lecture, j’ai eu quelques difficultés à me plonger pleinement dans celle-ci. Premièrement, le vocabulaire ne me paraissait pas très adapté au contexte. En effet, j’avais l’impression qu’il était un peu trop relevé. Deuxièmement, j’ai aussi eu du mal avec le personnage masculin principal qui est presque un antihéros en terme de romance.

Fort heureusement, ces deux points négatifs ont évolué au fil de ma lecture. En ce qui concerne le vocabulaire, et plus globalement, la plume de l’auteure, je trouve qu’il faut un moment d’adaptation avant de l’apprécier à sa juste valeur. Car on comprend avec le temps que les personnages sont moins jeunes qu’on le pense, mais que les mots employés sont là aussi pour coller à une certaine classe sociale. Une fois que l’on appréhende tout ce mécanisme, la lecture devient de plus en plus fluide.

Ensuite, Théodore, notre protagoniste masculin, est comme je l’ai dit au début un personnage que l’on va détester de prime à bord. Mais ultérieurement, si l’on fait bien attention aux choses, on peut voir son évolution, et ce, notamment grâce à la présence de Julie dans sa vie. Je dois avouer que le mot "crétine" a été employé à outrance, mais pour notre personnage principal, c’est une forme d’affection. Un "ma chérie" revisitée.

L’intrigue de l’histoire n’est pas trop mal. Je suis adepte des contrats dans les romances, donc j’ai adoré cet aspect. J’ai trouvé que les grands événements avaient parfois un dénouement rapide, mais en y réfléchissant, on peut voir qu’il y a une volonté de mettre plusieurs conflits pour donner du peps au récit. Car on le sait, il arrive que les romances soient un peu lentes. Ici, ce ne sera pas le cas grâce à tous les petits rebondissements.

Le livre est donc bien rythmé par de l’action qui montre l’évolution des personnages. C’est d’ailleurs dans ces moments-là que l’on se rend compte que les personnages ne sont pas si intouchables émotionnellement que cela, et qu’ils sont en réalité vulnérables. Nous avons là un aspect très bien développé, ce que j’ai énormément apprécié.

En parlant, de protagonistes, j’ai bien aimé Julie. Je ne me suis pas forcément attachée à elle. Pourtant, j’ai adoré la découvrir. Elle est simple et son envie de manger m’a assez souvent mis l’eau à la bouche.

Au terme de cette chronique, vous l’aurez compris, je vous recommande ce roman si vous êtes adepte comme moi de contrat entre deux personnages et que vous n’avez pas peur de faire la connaissance de Théodore, l’antihéros de la romance.

Voui, moi qui ne suis pas une fan de romance j’ai quand même voulu tenter surtout que le résumé me plaisait. On me parle shojos, un peu d’érotisme, ce qui permet d’identifier rapidement que ce livre est orienté pour les adultes. Qui dit shojo dit manga donc j’imaginais très vite une exagération de certaines scènes, et ce fut le cas. Là-dessus, on peut dire qu’on tape dans le thème ! Attention, ça peut plaire, comme ça peut ne pas plaire. J'ai gardé à l'idée et dans ma tête que je lisais façon manga donc les exagérations passaient.
La première description arrive avec Théodore et est plutôt bien amenée. J’ai d’ailleurs apprécié le fait de trouver la nuance « la plupart des femmes » et non pas « toutes les femmes », qui évite de tomber dans le cliché. Je déteste les généralités et ouf y en a presque pas ! En revanche, certaines scènes m’ont mises parfois très mal à l’aise surtout pour Julie. Elle est intelligente, elle réfléchit, mais se laisse souvent faire et je la trouvais souvent pas assez ferme face à Théo qui se la joue à la fois protecteur et crétin, pour reprendre son expression favorite. On devine l’intrigue assez vite, il n’y a aucun temps mort et pourtant j’en avais peur surtout au moment du week-end à Londres.
Le lycée catholique (voui y a un raccord avec le titre), les thèmes abordés servent bien à l’intrigue, Théo vient d’une famille riche, au passage j’adore les mises en abymes question édition, et Julie a sa mère qui travaille en tant que cuisinière scolaire. Elle n’est pas vénale, elle a envie de travailler et refuse d’ailleurs souvent les cadeaux de Théo…qui l’oblige à les accepter. D’ailleurs, Théo est-il vraiment insensible ? Et Julie, n’arrêtant pas de dire qu’elle ne pourra jamais l’aimer, n’est-elle pas en train de créer un lien avec lui ?
Intégrer un article du code civil dans une romance, fallait le faire, j’ai envie de dire bien joué !
J’ai regretté certaines scènes et surtout le fait que finalement, c’est toujours elle la demoiselle à sauver. Ça peut plaire à un certain public cependant ^^. Genre le tirage d'oreilles ...
La suite :
https://www.facebook.com/la.magie.du.destin/posts/3602057783185239