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Stefan Wul

Auteur

457 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par newmoon 2010-11-06T11:58:14+01:00

Biographie

Pierre Pairault (Stefan Wul) est né le 27 mars 1922 à Paris. Après des études classiques, il obtient un diplôme de chirurgien-dentiste en 1945. Il pratique d'abord à Paris, puis en Normandie à partie de 1952. L'après-midi, il exerce la profession de dentiste et il consacre ses matinées à l'écriture de romans de science-fiction. Il choisit le pseudonyme de "WUL" au hasard dans un numéro de "Science & Vie" [C'était le nom d'un savant soviétique d'origine mongole !]. Son premier roman, publié dans la collection du "Fleuve Noir" en 1956, s'intitule "Retour à zéro". C'est un succès immédiat qui l'inciteà persévérer. Il écrira 11 romans dans la même collection en moins de 4 ans, à une époque où la littérature de science-fiction française était au plus mal. "Niourk", son second roman publié en 1957, confirme l'auteur. Malgré ce succès, Pierre Pairault cesse d'écrire des romans de science-fiction en 1959, s'installe en Normandie et continue sa profession de "dentisterie" comme il l'appelle, tout en écrivant de la poésie. Le space opera "Noô" est également un évènement car il est publié en 1977, après presque 20 ans de silence de l'auteur. Stefan Wul est mort le 26 novembre 2003 à l'âge de 81 ans.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.91/10
Nombre d'évaluations : 184

1 Citations 120 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Stefan Wul

Sortie France/Français : 2021-06-02

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par FeyGirl 2022-02-10T12:59:53+01:00
Piège sur Zarkass

Je poursuis ma découverte de l’œuvre de Stefan Wul (auteur français, malgré son nom de plume) avec ce roman dont le titre cogne : Zzzarkassss !

Darcel et Laurent, agents des autorités terriennes, sont en mission secrète sur Zarkass : la planète était auparavant un protectorat de la Terre, mais les Zarkassiens se rapprochent des Triangles, êtres mystérieux et inconnus, et que les autres peuples nomment d’après la forme de leurs vaisseaux. Se faisant passer pour des géologues, nos deux héros explorent la nature de la planète avec des guides zarkassiens. Ils souhaitent rejoindre le site où un vaisseau Triangle s’est écrasé. En route, ils devinent qu’un de leur guide est en réalité un espion des autorités zarkassiennes.

Dès le début du roman, nous sommes plongés dans un monde étrange. L’auteur a construit un worldbuilding très inventif, étonnant, et parfois drôle. La faune, la flore, la géographie, les Zarkassiens : toute la première partie est source d’émerveillement, dans la prose soignée et riche habituelle de Stefan Wul. Très vite, des événements inquiétants arrivent : un volcan en activité, de longues colonnes d’obsidiennes qui sortent de terre, des îles vues en rêve qui ressemblent à des mains ou des crânes… Les deux espions vivront des aventures inattendues, et la fin n’est pas celle qu’on aurait pu croire au démarrage de l’histoire, sans être absurde par rapport aux éléments présentés au début. En réalité, d’une expédition en pleine jungle, on glisse vers un récit d’espionnage dans une ville où des intérêts divergents s’affrontent, puis vers le fantastique, sans jamais perdre une cohérence d’ensemble.

Roman ancré dans son époque, le contexte évoque les grandes puissances se disputant l’Afrique, l’Asie ou l’Amérique du Sud. Il oppose aussi le monde très technologique des humains à celui des « indigènes » plus proches de la nature et des anciennes croyances, tout en se moquant et dénigrant les quelques « indigènes » qui copient servilement les cultures étrangères. La conclusion suggère que l’auteur espère une voie qui allierait le meilleur des deux civilisations (mais n’espérez pas une fin heureuse pour tous les protagonistes).

Même si c’est de la « vieille SF », ce roman vaut le détour grâce à son inventivité, son intrigue et sa prose. C’est pourquoi il est dommage de ne plus trouver en version numérique cet auteur que je considère comme appartenant au patrimoine de la SF française (j’avais profité d’une promotion d’une maison d’édition aujourd’hui disparue, comme l’ensemble de mes ebooks de Stefan Wul, et je l’ai sorti de ma PAL 3 ou 4 ans après).

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Commentaire ajouté par FeyGirl 2022-05-05T17:19:44+02:00
Le Temple du passé

Je poursuis ma découverte de l’œuvre de l’auteur avec ce court roman d’environ 150 pages.

Massir se réveille brutalement : son vaisseau spatial a été victime d’un accident. Quasiment tout l’équipage est mort, sauf son médecin stagiaire Jolt et le quartier-maître Raol. Le vaisseau est dans un état catastrophique, les accès bouchés par la tôle tordue, les fuites nombreuses, et de violentes secousses menacent la structure. Que s’est-il passé ? Nos héros s’aperçoivent qu’ils sont dans le gosier d’un monstre. Vouiii. Un énorme monstre dont l’organisme est fondé sur une chimie à base de chlore et de silice...., avec des serpents suceurs en guide de parasites. Voilà. La bonne vieille SF est parfois épatante !

Comment se sortir de là ? Massir comprend que le monstre est dans les fonds marins d’une planète inconnue, et il a une idée de génie : il demande au médecin Jolt d’accélérer l’évolution de l’espèce du monstre, en réduisant des millions d’années à quelques mois. Parce que dans cet univers, voyez-vous, les scientifiques ont fait des recherches prometteuses sur le sujet. Ainsi le monstre, sorte de baleine géante, se transformera en batracien et ira sur la terre ferme. Simple comme bonjour. Donc Jolt s’exécute et le monstre évolue. Y-a-qu’à.

Stefan Wul reste un maître dans l’art du worldbuilding : les passages concernant le monstre et son monde sont fabuleux. Vraiment. Pourtant, j’ai été moins émerveillée que dans ses autres romans, la faute à des héros peu palpitants et des faits et gestes trop rapidement survolés. Car à première vue, l’enjeu est là : vont-ils s’échapper du monstre, réussir à réparer le vaisseau et voler à nouveau dans l’espace ? Même si s’esquisse en parallèle le thème de l’impact de l’homme sur la nature, les personnages restent froids, notamment le narrateur face à la mort de ses camarades, et leurs caractères ne sont jamais approfondis. Ce sont des personnages-fonction réduits à leurs actions dans l’histoire.

L’auteur avait une idée dans la tête — évidemment — et la fin est plutôt surprenante. En dépit de moments bien vus et d’une prose soignée, ce roman ne restera pas dans les annales, à cause d’un manque d’émotion alors que les événements dramatiques s’y prêtaient.

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Commentaire ajouté par gael_leboeuf 2022-06-28T18:33:29+02:00
Rayons pour Sidar

Une histoire très intéressante qui nous plonge sur planète habitée d'autochtones amicaux. Qui vont être exterminés par une autre race.

Très vivant pas le temps de s'ennuyer.

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Commentaire ajouté par Coriakin 2022-12-17T12:01:24+01:00
Niourk

Un très bon roman d'anticipation, classique dans les procédés mais très efficace. Je me suis vite senti immergé dans cette atmosphère de vestiges, et les éléments de l'ancien monde sont distillés avec beaucoup de justesse, nous donnant juste des impressions mais peu de certitudes. L'écriture est fluide et agréable, je recommande vivement cette lecture !

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Commentaire ajouté par FeyGirl 2022-12-22T13:01:53+01:00
La Mort vivante

Dans un futur lointain, l’humanité a conquis d’autres planètes mais a rejeté la science, accusée d’être la source de tous les mots. À la place, une religion obscurantiste surveille ceux qui osent être scientifiques. Sur Vénus, Joachim est un vieux biologiste qui a l’amour de la connaissance et des livres. Contre son gré, il est emmené sur Terre, alors que plus personne n’est censé y habiter. Sur une planète ravagée par la radioactivité et la montée des eaux, une femme, Martha, lui demande de cloner sa fille morte.

C’est toujours un plaisir de retrouver la plume de l’auteur. Ici, en quelques phrases, il brosse toute une ambiance, grâce à des pièces creusées à l’intérieur d’une montagne qui s’avèrent être une prison : les pluies sont contaminées et on ne peut pas sortir sans combinaison. Le lecteur a l’impression d’un château gothique des vieux films, jusqu’aux serviteurs qui sont bien étranges. L’entrée est protégée par des araignées géantes, et peu à peu, une atmosphère inquiétante s’installe. Joachim réussit à cloner Lise avec des cellules prélevées sur son cadavre, mais les fœtus grandissent à une vitesse folle et se développent bizarrement : les « jumelles » (qui sont sept) ont un lien puissant entre elles, et rapidement les événements vont être hors de contrôle.

Dans ce très court roman (qu’on appellerait aujourd’hui novella), l’auteur prend le chemin du fantastique, voire de l’horreur, tout en dressant une tragédie grecque (ou plutôt latine si on se tient à certains éléments de l’histoire). Le retournement de la créature contre ses créateurs, la fille contre la mère, le franchissement des règles de la biologie, la lointaine prophétie qui enfin s’accomplit…

Une lecture étonnante tant le cadre s’écarte de la science-fiction habituelle, mais que j’ai appréciée.

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Commentaire ajouté par Eeeaienn 2023-02-08T21:47:09+01:00
Rayons pour Sidar

Lecture dépaysante et rapide. Alors oui, c'est pas toujours crédible et l'humain est tout-puissant. Cependant, en gardant en tête que c'est une fiction des années 50, c'est divertissant avec des idées originales.

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Commentaire ajouté par Mistigri95 2023-02-24T18:17:23+01:00
Oms en série

De cette BD a été fait un dessin animé en 1973, la planète sauvage, j’avais adoré comme tout ce qui concerne la SF

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Commentaire ajouté par Mistigri95 2023-03-07T20:19:22+01:00
Oms en série

Il y eu un dessin animé la planète sauvage en 1973 tiré de ce livre

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Commentaire ajouté par FeyGirl 2023-05-08T18:27:43+02:00
Retour à "0"

Jâ, scientifique du XXXVe siècle, est piégé par les services secrets terriens : ils le font accuser d’un crime grave et imaginaire puis le font condamner à être envoyé en détention sur la Lune. Discrètement, ils lui demandent d’espionner les Luniens pour leur compte — Luniens qu’ils soupçonnent de fomenter une révolte contre la Terre — et lui promettent qu’il pourra retourner chez lui ensuite.

La Lune, planète en grande partie inconnue, et où les exilés sont censés mourir vite à cause des conditions hostiles : nous entrons ici très vite dans une Lune telle que des auteurs de science-fiction pouvaient encore l’imaginer dans les années 1950, avec un environnement très pulp, propice à l’imagination la plus débridée. Un terrain de jeu idéal pour Stefan Wul ! Jâ ne part pas sur un vaisseau spatial, mais est littéralement projeté sur la Lune (ça m’a rappelé la catapulte de Révolte sur la Lune, de Robert Heinlein).

La première partie est un vrai bonheur pour qui aime les mondes imaginaires excentriques. Mention spéciale aux gôrs, êtres formés d’une grosse tête prolongée de pieds élastiques et vivant dans un espace spongieux, qui s’avéreront fort peu sympathiques. J’ai adoré !

Le roman poursuit ensuite dans une trame plus classique. Les descendants des condamnés ont développé une société avec ses propres codes hérités du combat de leurs aïeux : un individu doit non seulement être fort et intelligent, mais aussi réceptif à la chance qui permet de s’en sortir face à un environnement hostile (mais la place des femmes est peu enviable, et le lecteur ne sait jamais pourquoi une telle évolution a été prise). Quelques éléments qui sortent de l’ordinaire, comme l’invention par les savants luniens du rétrécissement jusqu’à une forme microscopique des médecins, afin d’entrer dans le corps du malade et le soigner. Ah, ce n’est pas si original pour l’époque ? Un film est basé sur cette idée ? Pas grave, c’est ici extrêmement bien traité, et intelligemment réutilisé plus tard dans le récit.

Même si le roman s’avère finalement prendre un chemin peu marquant (avec toutefois une fin surprenante et pas incohérente), on y décèle ce qui fera le succès de l’auteur : l’imagination, la plume, et les idées à foison.

À noter : le roman n’est plus disponible qu’à travers des éditions intégrales de l’auteur (mais tous ses romans sont courts selon les critères actuels, donc les réunir en quatre volumes a du sens).

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Stefan Wul : L'intégrale - Tome 2 : Oms en série, Le Temple du Passé, Retour à "O", Terminus 1

Je n'ai pas fini le livre, c'est rare et très désagréable mais c'est le moins pire vu le niveau très moyen auquel l'ensemble tombe vers la fin. Les premiers récits sont prenants, sans grandes qualités de style mais fondés sur des idées et concepts plutôt originaux. J'ai trouvé la dernière nouvelle médiocre à tous points de vue.

J'ai préféré arrêter le massacre pour passer à autre chose, et j'ai bien fait. Les deux premiers livres du recueil lui évitent la catégorie "pas apprécié", mais il n'en est pas passé loin ...

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On parle de Stefan Wul ici :

Dédicaces de Stefan Wul
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Denoël : 36 livres

Fleuve Noir : 20 livres

Gallimard Jeunesse : 6 livres

Pocket : 5 livres

Gallimard : 5 livres

Bragelonne : 5 livres

Castelmore : 4 livres

Ankama : 4 livres

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