Stéphane Betbeder
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Note moyenne : 6.99/10Nombre d'évaluations : 248
0 Citations 98 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Après avoir été séduit par le premier tome, je me suis plongé dans cette suite. Et quelle ne fut pas ma déception de ne pas y retrouver la magie du premier tome.
Dans celui-ci, j’ai été surprise de découvrir une histoire sombre au possible, une succession de situations désagréables à lire, entre scènes choquantes et une intrigue dépourvue de réelle profondeur. Nous suivons la vie d’un changelin, placé dans la famille du maître de Comper pour devenir l’espion de la gardienne de la forêt.
Entre changements de comportement radicaux de la part de presque tous les personnages, une intrigue fade et superficielle, je me suis retrouvé déçu de ma lecture. L'ennui s'est installé bien trop rapidement.
Je ressors donc de cette lecture déçu et j'ai décidé de ne pas poursuivre ma collection de cette saga de bandes dessinées.
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Le quatrième tome de l’univers des légendes de Brocéliande fut, tout comme le second, une déception.
Nous faisons la rencontre de Saltipius, qui souhaite prouver que la légende des géants n'est qu'une fable en ouvrant le tombeau du géant en forêt de Brocéliande, prétendant qu'ils n'ont jamais existé. Un gnome s'oppose à cet affront et souhaite raconter la légende de ce tombeau. Commence alors une immersion dans la forêt de Brocéliande lors de la conquête des Romains sur ces terres.
Bien que l’intrigue soit intéressante à suivre, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueurs. Une grande partie de la lecture m'a ennuyé. La guerre, la soif de conquête des Romains, tout cela m'a sorti de l'ambiance magique que je souhaitais retrouver avec cette bande dessinée. J'ai tout de même apprécié découvrir un autre lieu mythique de la forêt de Brocéliande. Je pense que le manque de cohésion entre les tomes me perd dans la lecture de cette saga et donne une saveur d'inachevé et de déception à l’ensemble. Je vais tout de même poursuivre car ma médiathèque a la suite de la collection, mais elle sera très vite oubliée.
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Grosse déception pour ce sixième tome des légendes de Brocéliande en version bande dessinée.
La magie et l'ambiance du Val sans Retour, que j'ai eu le loisir de découvrir dans d'autres ouvrages, étaient absentes ici. J'ai trouvé l'histoire survolée et sans grand intérêt. Les personnages ne sont ni attachants, ni intéressants. Le dessin, n'étant pas à mon goût, ne m'a pas permis de passer un agréable moment de lecture, et j'en suis peinée.
Pourtant, la couverture donnait terriblement envie, bien que le résumé moins, mais j'avais l'espoir d'être surprise...
Une déception qui me conforte dans l'idée de revendre cette saga de bande dessinée.
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Découvert un peu par hasard, je ne pense pas que ce livre me restera longtemps gravé en mémoire.
L'idée de l'escape game est sympa, les énigmes sont plutôt bien trouvées (même si résolues un peu facilement, normal vu la taille de la BD) et j'ai aimé le lien fait entre deux intrigues à première vue bien distinctes.
Je m'attendais néanmoins à quelque chose de plus "saignant" au vu de la couverture et la fin m'a paru un peu tirée par les cheveux, sans parler des personnages qui demeurent assez creux.
J'en ressors donc avec l'impression d'une BD certes originale sur certains points, mais un peu trop lisse et rapide sur d'autres : en somme, rien qui puisse la rendre mémorable.
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Un début d'histoire sympathique. L'univers semble intéressant et laisse planer le doute sur ce qu'il se passe réellement. Nous avons à faire à un groupe d'enfants avec des personnalités et des buts bien différents. A voir ce que la suite peut donner !
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Un moment agréable passé à lire cette bande dessinée. Les énigmes sont facilement résolues, mais normal, au vu de la longueur de la bd. On adhère assez bien au scénario et aux personnages
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Un dieu triche sa déesse avec une humaine...
Un autre dieu tue cette humaine pour protéger ce dieu tricheur... mais il 'rate' son coup et tue tout un royaume et la famille de cette femme...
La dite femme s'en va en enfer pour récupérer sa famille et chemin faisant contracte des dettes envers Zeus...
Au final elle aura récupérer sa famille, perdue sa liberté, sa vie et tellement plus...
Bref les dieux sont de sombres manipulateurs et jouer avec eux est perdus d'avances car ils sont rancuniers et de tristes imbéciles...
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Je ne sais pas vraiment quoi penser de ma lecture.
Les graphismes sont très bien travaillés et donnent une atmosphère toute particulière.
Toutefois les personnages sont sans grand intérêt et notre principal est même plutôt détestable.
Le récit est parfois intéressant parfois ennuyant.
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Je suis vraiment mitigée ; les graphismes et les couleurs sont superbes, le travail est remarquable
Mais le personnage principal est tellement détestable que cela rend la lecture désagréable
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Enfin la fin du supplice pour moi tant pour cet horrible jean-marie, décidément quel personnage infâme.
Autant la qualité graphique est présente mais je n'ai vraiment pas aimé le personnage.
Afficher en entierOn parle de Stéphane Betbeder ici :
2018-05-25T10:13:28+02:00
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Editeurs
Soleil : 18 livres
Glénat : 8 livres
les Humanoïdes Associés : 6 livres
Dupuis : 4 livres
soleil productions : 1 livre
Albin Michel : 1 livre
Biographie
Né à Pau en 1971, Stéphane Betbeder a découvert tôt sa vocation, en dévorant chaque semaine le journal Tintin. Parti aux Beaux-Arts d’Angoulême dès qu'il eût l'âge requis, il bifurqua là-bas vers l’art contemporain, la photo et la vidéo. Après quelques années passées à réaliser des films expérimentaux, Christophe Bec lui permet en 2000 de renouer avec ses premières amours en lui confiant le scénario d’Hôtel Particulier (éditions Soleil, repris en intégrale sous le titre Anna chez La Boîte à bulles en 2004). Après un passage chez Albin Michel pour la série Alister Kayne, chasseur de fantômes (avec Henninot au dessin, 2004 à 2006) puis Le Journal d'Abercrombie Smith (avec Solmon en 2007), les Humanoïdes Associés lui confient le remake du succès de Christophe Bec et Xavier Dorison, Sanctuaire Redux, mis en images par Riccardo Crosa. Viennent ensuite chez Soleil Deus avec Mottura (2008), Highgate avec Crosa (2009), et deux participations au collectif Hanté. C'est chez cet éditeur, sous le regard bienveillant de Jean-Luc Istin, qu'il écrit actuellement cinq nouvelles séries : Le Retour de Dorian Gray, un diptyque dans la collection 1800 (avec Vukic au dessin), Dogma, un thriller ésotérique (avec Bonetti), Inlandsis, un conte nordique (avec Frichet), 2021, un récit d’anticipation (avec Bervas), et Deep, un thriller des profondeurs (avec Pietrobon).
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