Sylvia Lott

Il était dans ma PAL depuis 2 ans, et je regrette d'avoir attendu aussi longtemps pour le découvrir.

Cette lecture est une pause de douceur.

Il vous fera voyager dans l'Allemagne, (en Frise orientale) et l'Amérique (New-York), dans les années 1932 jusqu'en 1938.

Avec des retour en 2002.

Durant mon voyage livresque, j'étais comme happée dans ma lecture, hypnotisée par l'histoire, transportée dans un tourbillon de délices.

Je n'avais aucune envie de finir ce petit bijoux et pourtant la dernière page est arrivé.

Je garde en souvenir des moments de détente, de légèreté, de délices.

Ce livre est un vrai régal, il est tout doux, tout moelleux, c'est un nuage de douceur.

Je vous le recommande avec gourmandise?❤?

« La pâtissière de Long Island » tient toutes ses promesses sucrées puisque l’on passe un délicieux moment de lecture dans tous les sens du terme. Car au-delà de la pincée de pâtisserie présente tout le long du roman, suivre l’histoire passée de Marie aux Etats-Unis durant les années 30 sur fond de destin professionnel et d’aventure amoureuse, ainsi que l’histoire actuelle de Rona à la découverte elle-aussi de son destin via cette recette magique et secrète de cheesecake transmise de génération en génération est très divertissant et c’est vrai régal ! Dommage que l’on ne puisse pas réellement savourer ce fameux cheesecake « New York style » qui nous met l’eau à la bouche tout le long du livre !!

Une très belle histoire, on s'attache rapidement aux personnages. L'écriture est fluide et donne envie de connaître le dénouement.

Un roman intéressant et original je trouve. Je n'aurais pas imaginer qu'on puisse inventer et construire une histoire avec autant de détails et de richesses en tournant autour d'une pâtisserie. Dommage qu'on n'ait pas trop la recette de ce fameux cheesecake!

Un récit agréable qui se lit bien jusqu'au bout s'en s'ennuyer, le début peu paraître un peu trop concentré sur un amour de jeunesse, mais le rebondissement s'installe au bon moment et à partir de là, on ne lâche plus l'histoire. C'est pas mal de pouvoir suivre deux histoires dans des temps différents et qu'on suit la famille. L'histoire de Rona et le lien qu'elle lie avec sa grand-mère Marie est touchant et émouvant. Une lecture bien agréable.

Une lecture qui a frôlé le coup de coeur !

J'ai adoré la plume délicate et précise de Sylvia Lott. On sent que l'auteure est journaliste et qu'elle possède un sens du détail et un vocabulaire riche et varié. Elle nous apporte également énormément de connaissances historiques sur l'Allemagne et le New York des années 30, ce qui m'a énormément plu. J'ai aimé redécouvrir la Grosse Pomme (The Big Apple) à ce temps-là, où les immigrés affluaient par milliers pour réaliser le rêve américain. Les grandes avenues riches, les femmes distinguées et élégantes, l'ambiance des bars où l'on danse le jazz ou le lindy hop.

Les personnages sont très touchants et j'étais transportée dans les souvenirs de Marie, femme forte et indépendante. C'était très addictif et je voulais à tout prix connaître sa vie folle dans les moindres détails. J'ai un peu moins accroché au personnage de Rona mais elle n'en était pas moins attachante.

Le roman est très détaillé, mais cela ne m'a pas choqué ni paru lourd. L'auteure a trouvé le juste milieu.

Je ne pensais pas autant être emportée par un roman où l'intrigue est de connaître l'ingrédient secret d'un gâteau au fromage blanc qui apporte la paix et le bonheur à ceux qui le mangent. C'était très original et riche en émotions !

Je conseille ce roman aux jeunes adultes et adultes. Et j'y mets la magnifique note de 9/10.

Une histoire sympathique entre deux époques. Ces récits à deux voix sont parfois mieux entremêlés ; ici pour l’essentiel, c’est tante Marie qui raconte ses souvenirs à sa petite-nièce.

D’une part donc, Marie, jeune immigrée Allemande aux USA, dont j’ai trouvé l’histoire charmante. La fraternité avec Willi et Fritz, la camaraderie avec les autres émigrés d’origines diverses m’ont fait oublié le peu d’obstacles que Marie rencontre au cours de son intégration à la société américaine. J’ai apprécié la voir s’affirmer peu à peu dans le New-York des années 30 (cadre fort intéressant au demeurant) et découvrir la naissance du mythique cheesecake et de son restaurant : elle fait en sortie de réussir ce rêve américain qui n’était pas prévu.

D’autre part, Rona, la petite-nièce, qui a perdu ses repères mais aspire à repartir du bon pied. Le schéma est assez classique : forte de l’expérience de sa tante Marie, elle retourne à ses racines frisonnes et trouve du même coup un nouvel élan professionnel et sentimental.

Cependant, les deux récits ne sont pas racontés avec le même intérêt, la même fougue. L’histoire de Rona m’a semblée délaissée au profit de celle de Marie ; c’est le but vu le titre du roman, et j’ai eu grand plaisir à suivre cette partie, mais les deux sont déséquilibrées.

J’aurais également aimé que le côté recherches sur le passé familial (notamment tante Frieda) soit un peu plus développé.

Marie est sans nul doute une femme inspirante, dans laquelle chacun retrouve un peu de ses aïeules.

Le récit d’une vie, biographie sans cadavres dans les placards : ne cherchez pas le rebondissement, et laissez-vous porter par le récit !

Sous ce titre un peu guimauve et cette couverture girly se cache un joli dialogue entre deux générations de femmes.

Dans les années 30 en Allemagne, la jeune Marie Marie est envoyée contre son gré par son père à New York, pour mettre fin à sa relation avec un protestant. Passés quelques moments de nostalgie et de rancune, Marie se fait rapidement à la vie new yorkaise, aidée par ses deux frères qui tiennent un café au temps de la prohibition. Mais Marie tient d’une amie juive une fabuleuse recette de cheesecake, qui a le don d’apaiser les gens… et qui fera le succès de l’entreprise familiale !

Dans les années 2000, Rona, la quarantaine, est perdue à la fois professionnellement et sentimentalement : elle s’est fait virer de son travail de journaliste et son compagnon l’a trompée… Elle profite d’accompagner son grand-père fêter les 100 ans de sa grand-tante Marie à New York pour prendre du recul sur sa vie. Ses conversations avec sa grand-tante vont la faire réfléchir et la recette du fameux cheesecake pourrait bien changer sa vie à elle aussi…

Le roman prend son temps pour débuter et il m’a fallu un peu de temps pour être pleinement dedans. Mais une fois accrochée, j’étais conquise ! Je ne me suis pas fait prier pour accompagner Marie dans ses péripéties, notamment amoureuses, et Rona dans sa quête existentielle.

J’ai lu ce roman comme un vrai gâteau, il est plein de douceur et de bienveillance. En particulier, j’ai beaucoup aimé découvrir avec Marie l’atmosphère des années 30 américaines !

Moi qui n’attendais pas grand-chose de ce roman, je suis ravie ! Ne vous laissez pas tromper par sa couverture rose girly : oui, les héroïnes sont des femmes, mais il est loin d’être superficiel ! Il est parfait si vous voulez lire un roman « légèrement » historique, mais pas trop.

Une lecture sympathique et légère mais avec quelques longueurs à des moments où il n'y en a pas besoin. Et à l'inverse je trouve que pour certains passages (comme la traversée jusqu'en Amérique ou les passages sur ce qu'il se passe en Allemagne à cette époque) ne sont pas assez approfondis. Le grand nombre de personnage (pas tous importants) m'a quelque peu embrouillé ainsi que les nombreuses trames.

En revanche, le point de vue des 2 femmes (Marie et Rona) ainsi que les sauts entre les 2 époques étaient sympathiques.

Quel ennui... Je n'aime pas donner une mauvaise critique à un livre. D'ailleurs, après tout nous avons tous un avis plus ou mois différent sur nos lectures. Mais pour ma part cette lecture a été une catastrophe, j'ai même abandonné avant la fin, chose que j'ai du mal à faire normalement.

L'histoire est beaucoup trop longue à se mettre en place, je ne sais même pas c'est le cas à un moment donné. Je n'ai pas ressenti l'envie de savoir ce qui se trouvait derrière les pages suivantes.

L'histoire est plate, les personnages sont plats ...

Cette histoire n'était vraiment pas faite pour moi. Cela m'apprendra à choisir un livre pour sa couverture ;)

Quel roman surprenant et prenant ! J’ai passé un délicieux moment avec Rona, une héroïne atypique. Déjà, c’est loin de se dérouler dans un lieu ultra-glamour ! Rona vit en Allemagne, et sa famille est originaire de la Frise Orientale.

De plus, elle ne ressemble en rien aux héroïnes habituelles. Elle a environ 45 ans, ne veut pas d’enfants et a du mal a s’attacher bien qu’elle se sente vraiment très seule. Lorsqu’elle perd son boulot et son copain le même jour, elle file retrouver son grand-père qui vit encore dans sa vieille maison de naissance.

Ensemble, ils vont partir à Long Island, revoir Marie, la sœur de grand-père Johann qui va fêter ses 90 ans. C’est le moment pour elle de creuser son passé et d’en apprendre plus sur ses aïeux.

J’ai tout particulièrement aimé les flash-backs de Marie. De la jeune fille un peu naïve qui vit dans une famille pauvre et austère en Allemagne, elle va s’épanouir auprès de ses grands frères aux Etats-Unis et découvrir de nouveaux horizons qui s’offrent à elle en tant que femme.

Et de fiancée amoureuse, prête à une vie simple avec son Arthur dans son village natal, elle va devenir une jeune femme ouverte et travailleuse, prête à avoir une carrière, passant son permis de conduire. Sa transformation est époustouflante et en même temps très subtile.

Au delà de ce personnage, ce sont plusieurs thèmes qui sont ici abordés. La transmission intergénérationnelle, le déracinement, l’émancipation de la femme. L’immersion dans le New-York des années 30 est aussi incroyable. J’ai adoré le découvrir en même temps que Marie.

Quant à Rona, j’ai aimé le lien qu’elle avait avec sa grand-tante. Le cheminement qu’elle va parcourir pour trouver sa voie malgré son âge est vraiment très beau et profond.

Une belle histoire toute douce Américano-allemande très prenante et à découvrir vite !