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Un tramway nommé désir
Soudain l'été dernier
Soudain l'été dernier
Un tramway nommé désir
Je n’ai pas été pris par l’intrigue mais je lui reconnais des thèmes intéressants comme la description d’une Amérique orwellienne, le racisme, ou encore la discrimination. Seulement voilà, l’intrigue met du temps à démarrer, et quand elle commence enfin ce n’est pas vraiment prenant. Elle manque de rythme et des peps, je me suis assez ennuyé durant ma lecture de ce recueil. Côté écriture j’ai connu mieux aussi, il y a beaucoup de longueurs dans ce récit et les personnages ne sont pas vraiment approfondis comme je l’aurais souhaité.
La quête du chevalier
Le printemps romain de Mrs Stone
Le récit raconte, avec un mélange de pudeur, de sensualité et de crudité (dans le sens d'authenticité), les conséquences néfastes qu'entraînent sur les rapports humains le déni, la lâcheté, le mensonge et l'inconstance.
C'est une joute verbale et psychologique entre une femme et un homme, entre un fils et son père, entre deux belles-soeurs que tout oppose, entre deux frères ennemis. Il y est question d'adultère, de deuil, d'alcoolisme, d'homosexualité, de maladie, de culpabilité, de paternité, de jalousie, de solitude...
La Chatte sur un toit brûlant
On assiste ici à une course à l'héritage, avec un passage vers l'alcoolisme et l'homosexualité. J'aimerais dire que les comportements exhibés sont d'un autre âge, mais la partie très aisé de la population n'a probablement pas tant changé...
La Chatte sur un toit brûlant
La Ménagerie de verre
Un tramway nommé désir
Un tramway nommé désir
J'ai tout de suite adoré Un tramway nommé désir, le doux oiseau de jeunesse et La ménagerie de verre. L'intensité des émotions que Williams y dépeint est absolument étonnante.
La chatte sur un toit brûlant est d'un style très proche. On y retrouve des personnages écorchés par l'existence, qui s'aiment et se détestent, qui s'entre-déchirent et tentent de faire souffrir les autres autant qu'ils souffrent eux-mêmes.
On ne peut donc pas vraiment dire que les sujets de Williams soient très réjouissants, mais cela passe totalement inaperçu, car ce n'est pas ce qui importe le plus dans ses pièces. Ce qui est le plus marquant, outre l'intensité des émotions décrites, c'est la complexité des personnages : chacun cache bien plus que ce qu'il laissait voir au premier abord.
A découvrir, à relire, à savourer dans toutes les langues dans lesquelles les ouvrages de Williams ont été traduits. Vous ne le regretterez pas !
La Chatte sur un toit brûlant
Je ne lis jamais de théâtre car je n'arrive pas à me faire à la forme du texte. Mais ici, cela ne m'a pas dérangé.
J'aime beaucoup l'ambiance qui règne dans cette pièce, le huis clôt permet de renforcer cette atmosphère lourde et pesante. Les personnages sont dérangeants et mystérieux. Lorsque l'on commence on ne sait pas à quoi s'attendre et si comme moi on n'a pas lu le résumé cela peut être déroutant.
J'ai beaucoup aimé la plume de T. Williams qui est simple, familière et réaliste.
Un tramway nommé désir
Lu et interprété au lycée en version originale, c'est avec beaucoup de curiosité que j'ai souhaité relire cette pièce en français.
Eh bien, je n'en avais pas compris (ou retenu) grand chose car tous les sous-entendus, tout le drame familial, les implications sociales liée à l'époque, les relations extrêmement fortes voire violentes et pourtant d'un amour profond entre les différents membres de cette famille s'étaient envolées. Je n'avais retenu que le tempérament ardent de Maggie la chatte. Il demeure mais il y a tellement plus dans cette histoire d'amour au-delà de tout, passionnel, filial, arrangée, à la dérive. Toutes les facettes de l'amour se succèdent par cette soirée d'orage où les masques tombent et la vérité crue et terriblement difficile à avaler s'effeuille peu à peu.
Magistrale pièce dans une atmosphère d'une moiteur suffocante, une vraie cocotte-minute au bord du débordement.
La Chatte sur un toit brûlant
Tennessee Williams nous transporte ici à La Nouvelle-Orléans, dans le deux pièces d'un quartier simple, où une femme déchue et capricieuse vient s'installer chez sa sœur, mariée à un polonais.
Je pense que cette oeuvre gagne beaucoup à être vue sur scène, surtout pour les personnages de Blanche et de Stanley, dont je n'ai réellement compris la propension aux comportements extrêmes qu'au deux-tiers du texte. En effet, tout le début semble somme toute assez classique : des problèmes d'argent, une cohabitions compliquée, du flirt... Ce n'est que plus loin, lorsque Blanche commence réellement à paniquer, lorsque la présence de Stanley se fait plus forte, que l'on prend conscience de la violence et des affres de l'esprit humain mis en scène ici. Et comme c'est du théâtre, c'est typiquement quelque chose qui doit rejaillir mieux dans l'interprétation des acteurs que dans le texte, même s'il est très visuel, avec ses (trop ?) nombreuses didascalies.
Un tramway nommé désir