Thibaut Lambert

Intéressant sans être transcendant (malus : l’illustration pas du tout ma tasse de thé).

Poignant

Une bande dessinée qui traite d'un gros sujet : les violences envers les femmes et la reconstruction de soi. C'est bien fait. Bien pensé. L'histoire semble réelle.

Le seul point qui m'a légèrement gênée, c'est le style des dessins et la couleur de ses derniers. Je n'ai pas accroché avec ce style.

Jolie histoire triste d'un homme qui doit être placé en maison médicale pour cause d'Alzheimer. C'est son compagnon qui l'y emmène. Mais chut ! faut pas le dire comme le conseille le directeur. Une BD pleine d'amour et tendresse. Dessins modernes et colorés.

Qui a dit qu'il y avait un âge pour aimer? Pas Thibaut Lambert en tout cas.

Dans cette jolie BD, l'auteur nous emmène dans une maison de retraite où Colette fraîchement arrivée a beaucoup de mal à se faire à ce nouvel environnement.

Jean, célibataire endurci et étant résident depuis quelques années va essayer de mettre du baume au coeur à Colette. C'est qu'il en pince pour elle le Jeannot !

S'en suivra le début d'une tendre histoire d'amour entre les 2, mêlée de rires, de larmes et de ressentiments.

Un très bon moment de lecture pour cette bd réalisée à plusieurs mains (l'auteur a écrit cette bd avec des résidents d'un Ephad)

Une bande dessinée sur un thème difficile, la persécution des juifs pendant la seconde guerre mondiale. L’histoire vraie de Louise Pikovsky élève du lycée Jean de la fontaine dans le 16e arrondissement de Paris, retranscrit d’après des lettres retrouvées dans une armoire lors d’un déménagement. Louise Pikovsky ancienne élève juive de ce lycée a correspondu pendant plusieurs mois avec Mademoiselle Malingrey sa professeur de lettres .

Cette bande dessinée perpétue un devoir de mémoire et pourrait être conseillée aux adolescents abordant cette période de l’histoire.

Pour ma part, je n’ai pas accroché au style de l’écriture, ainsi qu’aux illustrations.

Un dossier composé des lettres manuscrites de Louise Pikovsky, ainsi que des photos personnelles viennent compléter l’ouvrage.

Attirée par la vie de Henri Rousseau dit Douanier Rousseau (1844-1910) que je connaissais très peu, j’ai été contente de recevoir par Babelio et sa Masse Critique cette bande dessinée en échange d’une chronique.

Les frontières du Douanier Rousseau raconte une journée du procès que le peintre a vécu à la fin de sa vie après quelques jours d’emprisonnement. Accusé de vol, escroqueries et abus de confiance, Mathieu Siam et Thibaut Lambert choisissent de nous présenter un vieil homme de soixante-quatre ans, usé, complétement déphasé ne comprenant rien à ce qu’on lui reproche. Le procès est représenté avec une absence de couleurs autour de bulle avec des nuances de marron, blanc et noir.

Un brin d’histoire

En faisant intervenir le témoignage de quatre personnes, le passé du Douanier Rousseau est évoqué. Tout d’abord, ce sont ces activités de douanier à l’Octroi qu’ils racontent. La personnalité du Douanier Rousseau est décrite comme naïve, rêveuse et décalée. Et pourtant, son ami reconnait son influence dans le groupe d’amis en amenant la beauté. Une formidable double page évoque la luxuriance du Mexique, en guerre avec la France, par le dessin de la serre du jardin des plantes où le talent de l’artiste semble être recréer.

Puis, le procès fouille dans sa vie d’étudiant pour ressortir un ancien délit avec le témoignage du fils du directeur de l’Octroi. On y découvre l’amour de jeunesse du Douanier Rousseau, une belle polonaise Yadurgha. Mais, aussi, que son père autoritaire est incapable de reconnaître les qualités de son fils.

la suite ici https://vagabondageautourdesoi.com/2022/06/24/les-frontieres-du-douanier-rousseau/

C’est une belle histoire sur les complications d’alzheimer mais je n’ai pas trop accroché aux dessins

Jolie BD à découvrir, pleine d'émotions et me semble-t-il adaptée à tous les âges.

Lecture émouvante, qui rappelle le devoir de mémoire. D'autant plus poignante que les lettres d'origines sont présentes à la fin du récit.