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Toutes les séries de Thierry Di Rollo

112 livres
80 lecteurs

Sommaire

1 - Olivier GIRARD, Édito, pages 1 à 1, Éditorial

2 - Alain LE BUSSY, La Visite de M. Futur, pages 6 à 19, illustré par Stéphane COLSON

3 - Jean-Pierre PLANQUE, Le Dernier clochard, pages 20 à 29, illustré par Yves-Charles FERCOQ

4 - Thomas DAY, Les Larmes d'Horus, pages 30 à 51, illustré par Olivier FRAISIER

5 - Raymond MILÉSI, Le Fruit de nos entrailles, pages 52 à 61, illustré par Olivier FRAISIER

6 - David SICÉ, Objectif Runes, pages 64 à 69, Critique(s)

7 - Stéphane COLSON & Olivier GIRARD, Sous le signe des bulles, pages 70 à 73, Critique(s)

8 - Jean-Pierre PLANQUE, Repères pour une histoire du fandom : 1 - Des origines à 1976, pages 74 à 77, Article

9 - (non mentionné), Les Grands Anciens : Villiers de l'Isle-Adam & Maurice Leblanc, pages 78 à 82, Chronique

10 - Stéphane COLSON & Olivier GIRARD, Histoire de voir, pages 83 à 87, Critique(s)

11 - (non mentionné), Paroles de nornes, pages 88 à 90, Notes

12 - (non mentionné), Quelques zines, pages 91 à 92, Notes

2 livres
20 lecteurs

Mordred est le dernier des varaniers, l'ultime représentant de sa race. Personne n'a jamais vu son visage derrière le heaume gris qu'il ne quitte jamais, pas plus que la couleur de sa peau par-delà l'armure qui l'habille -- à moins que l'armure elle-même ne soit précisément cette peau, et son heaume son visage... Mordred est celui qui annonce, et nul n'échappe à son épouvantable prédiction : il connaît la fin de chacun, l'instant précis et les circonstances de la mort de quiconque croise sa route. Mordred est le plus redoutable des mercenaires. Aussi vieux que Bankgreen, la mauve et noire, Mordred est immortel. A moins que... Car après tout, sur Bankgreen, la mort elle-même ne pourrait-elle pas mourir ?

68 livres
9 lecteurs

DOSSIER IAIN M. BANKSUN CADEAU DE LA CULTURE Iain M. Banks QUELQUES NOTES SUR LA CULTURE Iain M. Banks BIBLIOGRAPHIE Stéphane Nicot NOUVELLES PANIQUE SUR DARWIN ALLEY Serge Lehman ET L’ODEUR DES POMMES AIGRES, LA VOULEZ-VOUS EN PLUS ?Jacques Boireau LA PANIQUE DE L’ANNÉE ZÉRO Norman Spinrad RUBRIQUES SCIENCE : SCIENCE-FICTION ET ORDINATEURS Jean-Claude Dunyach ENTRETIEN : ROBERT SILVERBERG Henri Loevenbruck LECTURES COUVERTURE : Gilles Francescano.

9 livres
6 lecteurs

♦ Textes réunis par Alain DORÉMIEUX.

♦ En creusant dans son jardin, un enfant découvre la bête innommable assoiffée d'amour.

Une star rencontre l'horreur imprévisible en la personne de la présidente de son fan-club.

Une institutrice s'aperçoit que ses élèves sont des monstres acharnés à sa perte.

Entrez dans cet hôpital jeunes et bien portants pour en ressortir vieillis, au bord de la tombe.

Goûtez l'extase sexuelle sans limites, le plaisir par tous les pores, l'orgasme perpétuel qui vous mène à la folie.

Un panorama du fantastique de terreur moderne en seize nouvelles signées des plus grands noms du genre :

J.-P. Andrevon, Ramsey Campbell, Dennis Etchison, Charles L. Grant, K, W. Jeter, Stephen King, Fritz Leiber, Richard Matheson, Robert McCammon, Lisa Tuttle, Daniel Walther, etc.

♦ Sommaire :

1 - Alain DORÉMIEUX, Préface en forme d'abécédaire, Préface

2 - Robert McCAMMON, Un été à guêpes (Yellowjacket summer)

3 - Alan RYAN, Sable et sang (Sand)

4 - Stephen KING, Laissez venir à moi les petits enfants (Suffer the Little Children)

5 - Richard MATHESON, Talents cachés (Buried Talents)

6 - Lisa TUTTLE, La Tombe de Jamie (Jamie's Grave)

7 - Steve Rasnic TEM, Cerveau de pierre (Stone head)

8 - Fritz LEIBER, Le Noir a son charme (Black has its charms)

9 - Jean-Pierre ANDREVON, Une enfant perdue

10 - Richard Christian MATHESON, Stimulations (Arousal)

11 - Charles L. GRANT, Ellen, en son temps (Ellen, in her time)

12 - Henry SLESAR, Prez (Prez)

13 - Ramsey CAMPBELL, Le Compagnon (The companion)

14 - Daniel WALTHER, Les Longs couteaux de la nuit

15 - Dennis ETCHISON, Nous sommes les morts (On call)

16 - Steve Rasnic TEM, La Démolition (The battering)

17 - K. W. JETER, La Première fois (The first time)

18 - Jean-Daniel BRÈQUE & Alain DORÉMIEUX, Dictionnaire des auteurs

1 livres

Tous les livres de Thierry Di Rollo

L'homme-Afrique s'éveille, l'heure du carnage a sonné !

Ils sont trois. Trois épaves échouées dans un des nombreux parcs animaliers de cette Afrique en fin de course. Trois gardes dont le rôle se limite à mesurer la déchéance des animaux qu'ils sont censés protéger, sauvegarder. Il y a Bongo, qui pue comme une charogne recuite par le soleil, qui ne parle pas, ou si peu, mais qui sourit, ça oui. Il y a Lhar, l'Allemand, imbibé du matin au soir, une outre d'alcool qui, bien que titubante, parvient encore à bander... Et il y a Dunkey, l'homme trouble au passé chirurgical. Un passé lancé à ses trousses, dont il mesure l'inexorable progression.

Et voici qu'arrive l'homme-Afrique, le tueur d'assassins qui, au loin, devine sa prochaine destination : cette Europe grise des blancs propres. Il est l'homme-rhinocéros, tout auréolé de cette étrange lueur bleutée que Bongo appelle la lumière des morts.

Préparez-vous...

Il approche.

Avec La lumière des morts, Thierry Di Rollo nous entraîne au cœur des ténèbres, au plus profond d'une Afrique moite et sur les franges d'une Europe aux âmes sèches et cassantes. Pour un voyage au bout de l'enfer

Thierry Di Rollo est l’une des voix les plus passionnantes de la science fiction en France. Chacune de ses histoires possède une force peu commune avec une poésie du désespoir effroyablement belle. Si ses univers sont noirs, c’est pour mieux dénoncer la folie humaine et tous les abus de notre société.

En six nouvelles, il nous entraîne dans des futurs qui déchantent et qui interpellent. Vous visiterez les mines de la planète Loren III, découvrirez d’étranges hippopotames chercheurs d’or, assisterez à des crucifixions puis, dans un autre récit, à l’étrange résurrection de cadavres...

Des textes superbes dans lesquels la mort n’est présente que pour mieux célébrer la vie.

Né en 1959 à Lyon, Thierry Di Rollo est l’auteur de plusieurs romans dont La Lumière des Morts, La Profondeur des tombes et Le Syndrome de l’éléphant. Après Cendres, Crépuscules est son deuxième recueil chez Actusf.

Mornau est né à la campagne. Près d’une autoroute. Après les jeux de gamin, les défis tordus de l’adolescence, fatigué de l’endroit, il monte à Paris. Déchargeur aux halles par défaut, il s’ennuie. Jusqu’à une rencontre : celle qui déterminera toutes les autres.

Grâce à Brunard, il apprendra ainsi son vrai métier et participera à l’avènement d’une nouvelle force politique.

Après les deux mandats du Petit et le quinquennat sans saveur conduit par une socio-démocratie timorée, c’est une façon pour lui de préparer notre enfer.

Thierry Di Rollo est né en 1959. Il est l’auteur de plusieurs dizaines de nouvelles publiées et de six romans qui l’ont consacré comme la voix la plus tranchante de la science-fiction française. Il est également l’auteur d’un premier roman noir, Le Syndrome de l’éléphant (Denoël, 2008).

Grande-Ville. Cité-monde polluée, inique, ultraviolente, déchirée par une guérilla dont les factions même ont oublié l'origine.Grande-Ville. Cité labyrinthe au ciel de suie, peuplé de vautours mutants qui, sans relâche, prélèvent en nuées leur écot sur une population terrifiée. Grande-Ville. Cité-tombeau d'un monde assassiné par l'incurie humaine...

Avec Meddik, récit d'une débâcle humaine et sociale sans équivalent, Di Rollo affirme son statut d'écrivain majeur au-delà de tout étiquetage de genre. (Le Belial')

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À Grande-Ville, John Stolker est en sécurité dans le quartier des Justes. Richissime héritier de l'empire Gormac, il ne supporte plus son père, ses professeurs, ses amis, et contemple le monde qui se délite. L'humanité ne sait plus que faire de ses déchets, les pauvres se déchirent au nom de religions sans signification, quand ils ne sont pas tout simplement décimés par les vautours mutants qui hantent la cité fantôme. Rongé par la haine et porté par la drogue, Stolker va suivre Meddik, l'éléphant géant, et se lancer dans une croisade meurtrière dont personne ne réchappera.

Thierry Di Rollo radicalise encore sa démarche artistique, faisant de l'ellipse et de la métaphore des armes de dissection massive. Avec Meddik, il propose un roman de science-fiction qui dérange, un texte coup-de-poing, et confirme tout son talent, mis au service d'une œuvre à part. (Folio SF)

Demain. Le pétrole n'est plus qu'un souvenir. Reste le charbon, et avec lui ses mines titanesques, ses millions de gueules noires efflanquées, ses cieux saturés de poussière grise. Dans ce monde glacé où l'eau potable est devenue la plus convoitée des richesses, où les animaux clonés en masse crèvent au fond des tunnels, où la "nuit claire" a remplacé le jour, Pennbaker le porion tente sans grand succès de survivre. Car il a vu la mort de trop près pour ignorer l'ordre qu'elle lui a intimé de sa voix douce: chercher la profondeur des tombes. Assisté dans sa quête par Sarah la hyène et CloseLip, sa fille, si sage dans sa valise, Pennbaker sillonne les chemins incertains de l'U-Zone, ce territoire de non-droit au bout duquel il trouvera, peut-être, l'amour perdu.

Une nuit, Launey et Jocelin, deux voleurs habitués à travailler en équipe, tombent sur un os. Un pépin difficile à avaler, puisque jusqu'alors il n'y avait jamais eu de problème, jamais la moindre rencontre importune. En effet, Jocelin possède un véritable don pour repérer les maisons que l'on peut cambrioler sans risque. Le sang coule. Les deux voleurs se retrouvent avec un cadavre sur les bras et leur relation change à jamais : pour l'un, tout est fini ou presque ; pour l'autre, l'histoire ne fait que commencer... Car le don de Jocelin pourrait bien être la malédiction de Launey. Avec ce roman court, au style précis, d'une rare économie, Thierry Di Rollo traque les fantômes du passé, explore la mémoire de ses personnages interlopes, ces grandes profondeurs où ne gît que folie. Il est des passages de relais douloureux, perturbants. En voici un.

Bienvenue dans des lendemains qui déchantent. En quatre nouvelles aussi noires que percutantes, Thierry Di Rollo nous fait visiter l’enfer. Celui d’un camp de réfugiés abandonnés de tous. Celui d’un vieillard qu’on kidnappe sans raison. Celui d’un obsédé des Beatles qui rêve d’un voyage dans le temps. Celui enfin d’une jeune fille séquestrée pendant des années par un Baron riche et puissant. Un futur qui pourrait bien être le nôtre, à la fois cynique et dérangeant. Thierry Di Rollo bouscule le lecteur, lui donne à lire un avenir sombre mais la noirceur de son propos n’a de cesse de nous interroger sur nous-mêmes et sur notre avenir.

Ce recueil contient les nouvelles suivantes :

« Cendres » déjà paru dans La Geste 17, 1997.

« Jaune Papillon » (revue et expurgée pour la présente édition) déjà paru La Geste Chapitre Quatorzième, 1996.

« Les Hommes dans le Château » inédit.

« Quelques grains de riz » déjà paru dans l’anthologie Rock stars, Nestiveqnen, 2003.

Sur son autruche bio-aménorée, Archeur parcourt les champs de bataille des guerres clonées. Avec son marqueur, il recense les morts et aide à déterminer quel camp est vainqueur, quel autre est vaincu. Mais voilà que de retour de mission – retour éprouvant car il a été obligé d'éliminer un survivant – un homme lui pose une étrange question :

« Voici deux rats blanc, identiques, enfermés dans une boîte, l'un est un clone, l'autre est sa souche.

Déterminez lequel est le clone.

– C'est impossible.

– Bien sûr... Mais là n'est pas le problème, car qui vous dit que je ne vous ai pas menti, qu'il ne s'agit pas de deux clones ou pire, de deux rats identiques. »

Désormais Archeur se met a douter de la véritable nature des morts qu'il recense. Long sera son combat désespéré contre le mensonge.

Après Number Nine qui avait suscité de vives réactions, voici le second roman de Thierry Di Rollo, sans doute moins choquant que le précédent, mais peut-être encore plus dérangeant. Une oeuvre aboutie, riche en rebondissements et en révélations, qui confirme le talent de cet auteur incapable du moindre compromis.

Imaginez un monde où l'argent provisionné pour démanteler les centrales nucléaires obsolètes n'est plus disponible. Un monde où le chômage n'a jamais été aussi important, où l'horreur de la contamination nucléaire est quotidienne. Dans cette Europe de cauchemar, hommes et femmes tentent de survivre.

Il existe une solution absolue pour réduire le taux de radiation. Bien plus terrifiante que le mal qu'elle est censée éradiquer, cette solution gronde dans les ténèbres, pue comme un charnier ; elle a un nom, il s'agit du... Number Nine.

C'est sans jamais sentir la nécessité de ménager le lecteur que Thierry Di Rollo, influencé par Philip K. Dick et Pierre Pelot, nous raconte la cavale de ses héros à travers une Europe détruite par l'apocalypse économique ; ils iront jusqu'en Nouvelle Angleterre, là où tout a commencé.

Un roman impressionnant, presque traumatisant, comme fut en son temps le roman de K.W. Jeter Dr Adder.

Contrat...

Cible...

Élimination...

Lui est un tueur à gages. Il a commis une unique erreur, et celle-ci pourrait bien s’avérer fatale.

Elle est la fille de l’une de ses victimes. Elle ne vit désormais que pour assouvir sa vengeance.

Entre eux, s’esquisse un pas de deux mortel.

Du polar à la science-fiction, Thierry Di Rollo imprime sa marque : une écriture incisive au service d’univers sombres, fascinants.

Auteur des désormais classiques La Lumière des morts et La Profondeur des tombes, lauréat du Prix Elbakin.net 2011 avec Bankgreen, et après un passage en Série Noire avec Préparer l’enfer, il revient aux éditions ActuSF, avec Les Solitudes de l’ours blanc, son treizième ouvrage.

Le Drift est un titan. Un monument sans pareil, le condensé d'un million de volontés tendues vers un but non négociable : quitter une Terre à bout de souffle. Le Drift est une cathédrale, le temple des vanités humaines, l'iniquité usinée en matériaux composites. Le Drift est la porte ouverte aux étoiles, mais une porte que bien peu prendront. Car pour gigantesque que soit le Drift, les places à son bord sont limitées. Aux seuls Justes, aux puissants, aux privilégiés des cités-dômes. Le Drift est le dernier espoir pour l'humanité. Mais une humanité qui n'est plus celle de tout le monde, une humanité aux franges de l'immortalité, orientée, assistée, nano-contrôlée, au-delà de sa propre condition, résolue à abandonner son berceau sans retour possible, déterminée à embrasser l'espace.

Délicité, ville monstre. XXIIe siècle.

Le monde est noir et rouge.

Noir de suie.

Rouge de Palanquine.

Palanquine, immense corps céleste qui se rue sur le système solaire et promet de tout balayer sur son passage, à commencer par la Terre. Palanquine, ou le rappel de la finitude des choses, constante réaffirmation de l’inanité de la condition humaine…

Il y a Lockerbie, génie exceptionnel à l’invention non moins exceptionnelle, qui promet d’ajouter à la catastrophe annoncée.

Il y a Eleanor et John, les derniers des rectifieurs. Leur amour infrangible.

Et cette question : l’amour peut-il à lui seul sauver un monde à l’agonie ?

« Sorn n'a plus faim depuis longtemps. Il se contente de survivre à l’absence ; par-delà quelques parsecs, loin de ce monde en périphérie de la nébuleuse N-24 où il vient d’atterrir, elle s’en est allée au creux de l’espace noir. Et souvent elle vient lui sourire dans ses pseudorêves. »

En état de semi-mort, Sorn n'a plus qu'un seul but dans ce qui lui reste de vie : retrouver Naëva, son amour de jeunesse. La seule et unique. À bord du Proscenium, sa seule richesse, Sorn arpente l'espace, dans une quête désespérer pour se rapprocher de celle qui pourtant demeure inaccessible.

Un récit poignant, couronné par le Prix des lecteurs de Bifrost 2017.

Mordred est le dernier des varaniers, l’ultime représentant d’une race dont l’origine se perd dans les premiers battements du cœur du monde. Nul n’a jamais vu son visage derrière le heaume gris qu’il ne quitte en aucune occasion, pas plus que la couleur de sa peau par-delà l’armure qui l’habille — à moins que l’armure elle-même ne soit précisément cette peau, et son heaume son visage… Mordred est celui qui annonce, et nul n’échappe à son épouvantable prédiction : il connaît la fin de chacun, l’instant précis et les circonstances de la mort de quiconque croise sa route. Mordred est le plus redoutable des mercenaires. Aussi vieux que Bankgreen l’immémoriale, Bankgreen la mauve et noire, Mordred est immortel. À moins que… Car après tout, sur Bankgreen, qui sait si la mort même ne pourrait pas mourir ?

Futur proche. Le Sud domine le Nord. L’eau pure est devenue plus rare que l’or. Le froid et la pollution règnent - depuis 300 ans déjà. Orvil est un homme en quête [de sens / de réponses] qui vit pour venger la mort de ses grands-parents, pour tuer la Vigie.

Toujours aussi sombre et sans espoir, voici le quatrième roman de DI ROLLO.

Griddine est une Phaulne. À l’instar de ses parents avant elle, et des parents de ses parents, elle parcourt les plaines sauvages de Gobo à dos de war-lizzard, libre et farouche, sous les rais de l’étoile Titéo. Une perpétuité d’horizons lointains, une vie simple et pleine nourrie aux bonheurs de l’évidence. Jusqu’à l’arrivée de San Salkar, l’émissaire de la Garmak, une multimondiale aux pouvoirs sans limites. Salkar qui, sitôt descendu de son vaisseau spatial, annonce aux Phaulnes la fin de Titéo, la Garmak ayant décidé d’exploiter le soleil de Gobo jusqu’à épuisement. La seule option offerte aux Phaulnes est la diaspora. Ou la rébellion, la résistance et la guerre, des flèches face à une technologie capable de tuer une étoile. Or, Griddine a déjà fait son choix…

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