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Toutes les séries de Toni Morrison

3 livres
352 lecteurs

Inspiré d'un fait divers survenu en 1856, Beloved exhume l'horreur et la folie d'un passé douloureux. Sethe est une ancienne esclave qui, au nom de l'amour et de la liberté, a tué l'enfant qu'elle chérissait pour ne pas la voir vivre l'expérience avilissante de la servitude. Quelques années plus tard, le fantôme de Beloved, la petite fille disparue, revient douloureusement hanter sa mère coupable. Loin de tous les clichés, Toni Morrison ranime la mémoire, exorcise le passé et transcende la douleur des opprimés.

Tous les livres de Toni Morrison

Au XVIIe siècle, l'oppression et la fièvre s'abattent sur les terres vierges d'Amérique. Florens, enfant noire, est prise comme esclave chez un négociant où elle formera, avec Lina l'indienne et Sorrow l'adolescente blanche, un surprenant trio de domestiques.

À l'aube du Nouveau Monde, les voix du passé et de l'enfance nouent le récit magistral des origines.

Avec Love, son dernier roman, Toni Morrison travaille sur la mémoire et l’obsession. Nous y découvrons un groupe de personnages féminins littéralement captivés par un homme, décédé depuis vingt-cinq ans au moment où s’ouvre le roman, vers le milieu des années 1990.

Cet home, Bill Cosey, possédait jadis un hôtel pour Noirs fortunés, sur la côte est des USA. L’hôtel connut son heure de gloire au milieu du 20ème siècle ; tout ce que la communauté noire comptait d’artistes, de médecins, d’hommes d’affaire ou de femmes du monde venait s’y retrouver pour prendre du bon temps au bord de l’océan. Le mouvement pour les droits civiques et la déségrégation ont bouleversé cet univers présenté comme idyllique, si l’on oublie le caractère très exclusif de la politique commerciale mise en place par Bill Cosey, qui refusait l’accès à son établissement aux plus pauvres de sa communauté. L’hôtel a fini par fermer, et la demeure familiale est devenue le champ de bataille de deux femmes, Heed, la veuve de Cosey, et Christine, la petite-fille du maître des lieux. Ce sont d’anciennes « meilleures amies » d’enfance, mais leur amitié connut un tournant fatal lorsque Cosey, lui-même veuf, choisit de se remarier avec Heed, qui avait alors onze ans.

La différence d’âge entre cet homme, déjà grand-père, et cette petite-fille n’est pas le seul sujet de scandale. Heed vient par ailleurs d’une famille extrêmement pauvre et illettrée et elle a le plus grand mal du monde a tenir sa place dans un univers familial très critique. Heed et Christine deviennent peu à peu les meilleures ennemies du monde, surtout après la mort de Cosey, qui laisse derrière lui un testament fort ambigu. La lutte des deux femmes, pour savoir qui est l’« enfant chérie » à laquelle reviendra la fortune de Cosey, constitue un des moteurs du roman. Christine veut faire appel de la décision du juge, pendant que Heed, qui a recruté une jeune fille, une tête brûlée du nom de Junior, entend fabriquer avec elle un faux testament, qui serait plus indiscutable.

À la toute fin du roman, les deux femmes se retrouvent dans l’hôtel abandonné, dans des circonstances dramatiques, qui seules leur permettront de se parler enfin, de se retrouver et de comprendre que chacune n’a finalement plus que l’autre, avant le retournement final, dû à la voix narrative, venue d’outre-tombe, de L, une autre de ces femmes qui gravitaient autour de Bill Cosey.

Love, en apparence, ne semble pas s’attaquer à de grandes et tragiques questions, comme avait pu le faire Beloved. Il n’empêche que Toni Morrison nous plonge à la fois dans une réflexion sur l’histoire de la communauté afro-américaine qui est tout sauf conventionnelle, et dans un huis clos psychologique, qui lui permet une présentation extrêmement pénétrante des relations entre les femmes et l’homme, des relations des femmes entre elles, toujours en rivalité pour être l’élue de cet homme aux multiples facettes, qui sont autant de facettes imaginaires qu’elles ont elles-mêmes mises en place. De fait, Love est également bel et bien un roman qui parle d’amour, qui parle de l’amour.

Dans l'Ohio des années 20, deux petites filles noires s'inventent ensemble une vie meilleure. Mais l'âge venant, tandis que Nel se plie à son rôle de mère et d'épouse, Sula choisit de conquérir ailleurs sa liberté. Pour tous, elle devient la scandaleuse, la dévoyée. Et doit se défendre, quarante ans plus tard, contre une société soumise à la vérité des autres...

"Sula, c'est l'histoire d'une amitié féminine, puis d'un désamour ; le portrait d'une paria qui invente avant l'heure, et pour son seul usage, la liberté brûlante de la femme moderne."

Manuel Carcassonne - Le Figaro littéraire.

À la fin des années 70, dans l'Isle des Chevaliers aux Caraïbes, un milliardaire vit en bonne intelligence avec ses deux domestiques noirs et leur nièce, Jadine, une jeune mannequin épanouie et intégrée dans le monde des Blancs. L'arrivée d'un va-nu-pieds, Fils, incarnation d'un ange noir, bouleverse cet ordonnancement factice. Condamnée par le mensonge des apparences, Jadine va apprendre à renouer avec son héritage identitaire. À travers une histoire d'amour impossible, Toni Morrison dénonce une société oublieuse de ses racines et ouvre la voie à une mémoire collective qui comble autant qu'elle déchire.

Florens, a slave, lives and works on Jacob Vaark's rural New York farm. Lina, a Native American and fellow laborer on the Vaark farm, relates in a parallel narrative how she became one of a handful of survivors of a smallpox plague that destroyed her tribe. Vaark's wife Rebekka describes leaving England on a ship for the new world to be married to a man she has never seen. The deaths of their subsequent children are devastating, and Vaark accepts a young Florens from a debtor in the hopes that this new addition to the farm will help alleviate Rebekka's loneliness. Vaark, himself an orphan and poorhouse survivor, describes his journeys from New York to Maryland and Virginia, commenting on the role of religion in the culture of the different colonies, along with their attitudes toward slavery.

Bride est une femme magnifique. La noirceur de sa peau lui confère une beauté hors norme. Pourtant, elle a aussi été un choc à sa naissance pour ses parents. La jeune fille est prête à tout pour gagner l’amour de sa mère, même à commettre l’irréparable. Au fil des années, Bride connaît doutes, succès et atermoiements. Mais une fois délivrée du mensonge – à autrui ou à elle-même – et du fardeau de l’humiliation, elle saura se reconstruire et envisager l’avenir avec sérénité.

Dans son onzième roman, qui se déroule à l’époque actuelle, Toni Morrison décrit sans concession des personnages longtemps prisonniers de leurs souvenirs et de leurs traumatismes et signe une œuvre magistrale et puissante.

On le surnomme « Laitier » parce que sa mère a continué de lui donner le sein en cachette jusqu’à ses trois ou quatre ans. Son vrai nom, c’est Macon Mort, le même que son père. Il vit dans le Nord, dans la région des Grands Lacs. Mû par la recherche d’un trésor enfoui, dit-on, dans une grotte, Laitier entreprend un voyage vers le Sud, d’où est originaire sa famille. C’est là qu’il découvrira son histoire familiale, que seule une comptine chantée par les enfants d’un village a conservée. Une comptine racontant la légende de Salomon qui s’envola pour retourner en Afrique, et qui laissa tomber le bébé qu’il portait dans ses bras.

Publié en 1977 aux États-Unis et en 1996 en France.

Le Chant de Salomon est le troisième roman de Toni Morrison, et celui qui l’a solidement installée sur la scène littéraire américaine. Excellente introduction à son œuvre selon l’Académie suédoise, qui décerna à son autrice le prix Nobel en 1993, il est réédité augmenté d’une préface de Christiane Taubira.

« Depuis deux ans, le Louvre entretient avec Toni Morrison une relation d'amitié dont ce livre est le témoignage. Quand nous avons formulé puis développé l'idée d'inviter chaque année une personnalité extérieure au monde des musées, de travailler avec quelqu'un qui proposerait à nos visiteurs un regard transversal et différent sur nos collections, le nom de Toni Morrison s'est naturellement imposé à nous. Après le juriste Robert Badinter en 2005, avant le peintre Anselm Kiefer en 2007 et le musicien Pierre Boulez en 2008, nous sommes heureux d'accueillir, cette année, un écrivain de la stature de Toni Morrison. Qui mieux que cette femme, la première issue de la culture afro-américaine à recevoir le prix Nobel (en 1993), pouvait porter un regard nouveau et décapant sur notre musée ?e » (Henri Loyrette, président-directeur du Louvre)

Toni Morrison est née en 1931 à Lorain (Ohio). Après des études de lettres, elle enseigne aux universités de Texas Southern, Howard, Yale et Princeton. Après avoir travaillé comme éditrice chez Random House, elle obtient en 1988 le prix Pulitzer avec Beloved. Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 1993.

Avec L'œil le plus bleu, saisissant premier roman vibrant de douleur et de révolte, Toni Morrison marque son entrée en littérature. A Lorain, dans l'Ohio des années 40, Claudia et Pecola, deux fillettes noires, grandissent côte à côte. La première déteste les poupées blondes, modèles imposés de perfection qui lui rappellent combien sa haine est légitime. L'autre idolâtre Shirley Temple et rêve d'avoir les yeux bleus. Mais face à la dure réalité d'une Amérique Blanche, le rêve de beauté d'une petite fille est un leurre qui ne cède le pas qu'au fantasme et à la folie.

La guerre de Corée vient à peine de se terminer, et le jeune soldat Frank Money rentre aux Etats-Unis, traumatisé, en proie à une rage terrible qui s’exprime aussi bien physiquement que par des crises d’angoisse. Il est incapable de maintenir une quelconque relation avec sa fiancée rencontrée à son retour du front et un appel au secours de sa jeune soeur va le lancer sur les routes américaines pour une traversée transatlantique de Seattle à Atlanta, dans sa Géorgie natale. Il doit absolument rejoindre Atlanta et retrouver sa soeur, très gravement malade. Il va tout mettre en oeuvre pour la ramener dans la petite ville de Lotus, où ils ont passé leur enfance. Lieu tout autant fantasmé que détesté, Lotus cristallise les démons de Frank, de sa famille. Un rapport de haine et d’amour, de rancoeur pour cette ville qu’il a toujours voulu quitter et où il doit revenir. Ce voyage à travers les États-Unis pousse Frank Money à se replonger dans les souvenirs de son enfance et dans le traumatisme de la guerre ; plus il se rapproche de son but, plus il (re)découvre qui il est, mieux il apprend à laisser derrière lui les horreurs de la guerre afin de se reconstruire et d’aider sa soeur à faire de même.

Toni Morrison donna, à l'université Harvard, une série de conférences sur le roman américain, qui sont à l'origine de "Playing in the dark".

En analysant le rôle du personnage noir, et la place qui lui est réservée dans les œuvres de Melville, Twain, Willa Cather, Poe, Hemingway..., Toni Morrison apporte un éclairage nouveau et très personnel sur la fiction américaine, et, plus généralement, sur la manière dont s'est constituée, au fil de l'histoire littéraire, l'identité blanche américaine.

Elle reste ainsi, selon "Neewsweek", le dernier écrivain classique américain dans la tradition qui va de Poe à Faulkner.

Dans un recueil de textes préfacé par Ta-Nehisi Coates, le prix Nobel, Toni Morrison, revient sur les thèmes qui imprègnent son travail et dominent de plus en plus clairement la politique nationale et mondiale : la « race », la peur, les frontières, le mouvement de masse des populations, le désir d’appartenance. Qu’est-ce que la « race » et pourquoi est-ce si important ? Qu’est-ce qui motive la tendance de l’être humain à créer les Autres ? Pourquoi la présence de ces Autres nous fait-elle si peur ? Dans le cadre d’interventions à Harvard, faisant partie de la série des prestigieuses conférences « Norton Lectures », Toni Morrison réfléchit à ces questions – ainsi qu’à d’autres questions vitales – au sujet de l’identité. Dans sa quête de réponses, l’auteur se replonge dans ses propres souvenirs mais également dans l’histoire, la politique, et surtout la littérature qui joue un rôle important – notamment la littérature de William Faulkner, Flannery O’Connor et Joseph Conrad – dans la notion de « race » aux États-Unis, que ce soit de manière positive ou négative. L’auteur s’intéresse à ce que signifie être noir, à la notion de pureté des « races » et à la façon dont la littérature utilise la couleur de peau pour décrire un personnage ou faire avancer un récit. Élargissant la portée de son discours, Toni Morrison étudie également la mondialisation et le déplacement des populations à notre époque. « Toni Morrison retrace, à travers la littérature américaine, les modes de pensée et de comportement qui désignent, de manière subtile, qui trouve sa place et qui ne la trouve pas… L’Origine des autres associe l’éloquence caractéristique de Toni Morrison à la signification que revêt, de nos jours, l’expression citoyen de monde. » The New RepublicToni Morrison est née en 1931 dans l’Ohio dans une famille ouvrière de quatre enfants. Après avoir suivi des études de Lettres et enseigné, elle a travaillé comme éditrice chez Random House. En 1988, elle obtient le prix Pulitzer avec Beloved. Le prix Nobel de littérature lui est attribué en 1993. Aujourd’hui retraitée de l’université, Toni Morrison continue de s’entourer d’artistes contemporains – musiciens, plasticiens, metteurs en scène – avec qui elle collabore régulièrement.

Dans les années cinquante en Oklahoma, neuf familles descendantes d'esclaves, à la peau noir anthracite, ont fondé Ruby, une ville à l'écart du monde et des Blancs. Vingt-cinq ans plus tard, ses 650 habitants vivent en cercle fermé, sous l'autorité des Pères fondateurs qui imposent une loi puritaine. Le Paradis ? On pourrait le croire, mais l'enfer n'est pas loin. Les mâles imposent leur loi d’airain, le puritanisme fait rage, on se met à regarder d’un sale œil les métis qui n’ont pas la peau assez noire... Et puis, il y a ces étranges malédictions qui planent sur la ville : cinq « sorcières » un peu délurées mais inoffensives, qui squattent un ancien couvent, à 25 kilomètres de Ruby…

Une fable sur l’intolérance, un réquisitoire contre l’intégrisme racial.

La Source de l’amour-propre réunit une quarantaine de textes écrits par Toni Morrison au cours des dernières décennies, où se donne à lire, dans toute son évidence, sa généreuse intelligence.

Elle s’implique, débat, ou analyse des thèmes aussi variés que le rôle de l’artiste dans la société, la question de l’imagination en littérature, la présence des Afro-Américains dans la culture américaine ou encore les pouvoirs du langage. On retrouve dans ces essais ce qui fait également la puissance de ses romans : l’examen des dynamiques raciales et sociales, sa grande empathie, et son pragmatisme politique.

La Source de l’amour-propre est à la fois une porte d’entrée dans l’œuvre de Toni Morrison et une somme où se donne à lire l’acuité combative de son autrice. C’est aussi, dans un style dont la vigueur ne cesse de nous éblouir, un puissant appel à l’action, au rêve, à l’espoir.

L’aube du nouveau monde

Au XVIIe siècle, l’oppression et la fièvre s’abattent sur les terres vierges d’Amérique. Florens, enfant noire, est prise comme esclave chez un négociant où elle formera, avec Lina l’indienne et Sorrow l’adolescente blanche, un surprenant trio de domestiques. A l’aube du Nouveau Monde, les voix du passé et de l’enfance nouent le récit magistral des origines.

Twyla et Roberta avaient huit ans lorsqu'elles ont atterri dans la même chambre de l'orphelinat St. Bonaventure de Newburgh, au nord de New York. Quatre mois durant, elles sont restées inséparables - puis la vie les a éloignées. Des années plus tard, elles se recroisent trois fois de suite par hasard - dans un dîner, une épicerie, une manifestation.

Chacune, à l'occasion de ces retrouvailles inopinées, va se rendre compte à quel point elle est devenue étrangère à l'autre. Et pourtant, elles demeurent indéfectiblement liées par un événement terrible, remontant à leur enfance à l'orphelinat.

Twyla et Roberta ; l'une est noire ; l'autre est blanche ; mais laquelle ? Le lecteur ne le saura jamais - et c'est tout ce qui fait le vertige et la profondeur de cette histoire, que Toni Morrison a écrite « comme une expérience, dans l'idée d'eff acer toute trace de détermination raciale chez deux personnages pour qui la question de la race est déterminante ».

Un texte à la fois limpide et troublant, au coeur de problématiques qui agitent encore et toujours notre époque - la question raciale, l'identité, la violence, la diff érence, l'aliénation.

« Je l'ignore. J'ignore si l'oiseau que vous tenez est vivant ou mort, mais je suis sûre d'une chose : il est entre vos mains. Il est entre vos mains. »

Toni Morrison, née en 1931 dans une famille d'ouvriers afro-américains de l'Ohio, est écrivaine. Elle a reçu le prix Pulitzer en 1988 et le prix Nobel de littérature en 1993. L'Aube publie ici le magnifique texte qu'elle a alors prononcé à Stockholm, illustré par Pascal Lemaître, et traduit par Benoîte Dauvergne.

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