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Tony Perraut dévoile son personnage dans une prose poétique accompagnée de figure de style, nous emmenant sur un chemin inconnue de l’inconscient ou pas !
Le lecteur va voyager dans la psyché bienveillante et mélancolique du narrateur, les ressources de la langue sont exploitées afin de susciter en nous les émotions qui s’accentuent au fil des mots couchés sur le papier.
L’espace-temps est volontairement flou tournant autour des réflexions du protagoniste dont on ne connaît pas l’identité. C’est un jeune homme en souffrance psychologique, il est le narrateur et l’acteur principal de la nouvelle, prenant par moment de la distanciation avec lui-même, en se parlant à lui-même sous forme de tutoiement.
Je ne lis habituellement pas de nouvelle car j’ai besoin de m’approprier la structure, le cadre et les personnages d’un roman. Cependant je ne peux nier que Tony Perraut a du talent dans ce domaine, j’ai pris plaisir à découvrir ce petit texte qui m’a laissé perplexe dans le début et qui a réussi à me faire frissonner d’émotions sur la fin.
Sans jamais te retourner
La poupée aux yeux de verre
Il s’agit d’un thriller psychologique bien ficelé. Il est troublant, dérangeant et assez glauque. La plume de l’auteur est parfaite ; se plonger dans le sombre univers de « Le cri des papillons » fut une expérience unique et c’est pour cela qu’il est un coup de coeur. On découvre Myra Porter atteinte de schizophrénie avancée. Le début est perturbant et on est un peu perdu. On se pose beaucoup de questions sur le personnage, le lieu, si tout cela est vrai ou non. Il est assez difficile de se faire une idée précise et il faut continuer la lecture pour comprendre l’histoire et le trouble de Myra.
Le lecteur se retrouve dans la tête de Myra, dans son univers où elle s’échappe en se réfugiant dans la cave aux papillons. Myra ne fait pas la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Son monde inventé lui est si réel qu’elle s’y accroche corps et âme ; elle ne peut pas, ne veut pas, le quitter. Etre ainsi dans sa tête est…je ne sais pas comment l’expliquer. Le lecteur pourrait même penser que cet autre côté est le vrai tant la plume de l’auteur nous permet de plonger dedans.
Puis, il y a la Myra « éveillée » dans la réalité, mais les deux mondes se superposent et l’un est aussi réel que l’autre pour elle. Il n’y a pas de différence pour Myra. En fait, pour elle, il n’y a qu’un monde.
Ouais, c’est assez difficile de s’expliquer sans s’embrouiller XD Le mieux est de le lire pour comprendre et visualiser. Ce livre est puissant, angoissant et il est très difficile de s’en détacher : une fois commencé, on va jusqu’au bout.
J’ai été emportée par le récit, scotchée à l’histoire pour savoir si Myra s’en sortirait ou pas. Elle rêve de liberté, c’est touchant, et elle fait pitié. On a envie qu’elle quitte son enfer pour pouvoir réussir à construire une vie ailleurs. J’ai trouvé ce récit très dur, et je pense que les lecteurs doivent se préparer à pénétrer dans cet univers.
Vous avez la possibilité d’écouter de la musique, en thème avec les chapitres. Personnellement, je ne l’ai pas fait pendant ma lecture, car je préfère être au calme. Sinon, je reste concentrée sur la musique, lol, mais je suis sûr que cela peut plaire à beaucoup comme expérience ? N’hésitez pas à vous plonger dans « Le cri des papillons » si le genre vous intéresse, vous ne serez pas déçu.
Gros bisous les petites plume.
Le Cri des papillons
La poupée aux yeux de verre
La poupée aux yeux de verre
J'ai parfois eu du mal à m'y retrouver, entre les différentes versions, et à savoir où se tenait la réalité de l'histoire. Un bon livre, rythmé, qui se lit facilement et rapidement malgré son ambiance lugubre.
Le Cri des papillons
Bonne lecture et pensez à fermer les yeux de vos poupées avant d’aller vous coucher ! Belinda
La poupée aux yeux de verre
La poupée aux yeux de verre
Au final, c'est de l'horreur psychologique. On plonge dans l'histoire de deux jeunes filles qui étaient tenues captives par un père violents. Le tout arrosé de machiavélisme avec une poupée qui leur "dicte" leur conduite...
Un bon roman !
La poupée aux yeux de verre
Une histoire assez marquante , j'aurai aimé qu'elle dure plus longtemps , qu'on en sache plus sur l'histoire , que l'auteur aille encore plus loin dans le gore mais j'ai tout de même fortement apprécié cette histoire .
Cette poupée au yeux de verre m'a intrigué tout au long de l'histoire j'aimerai que l'auteur nous en dévoile plus dans un futur roman .
Une écriture fluide , l'auteur ne nous en dis pas trop nous laissant nous même agir sur notre imagination , chose que j’apprécie beaucoup .
Merci a Tony pour ce Service Presse et félicitation pour ce très beau roman qui mélange thriller et drame .
La poupée aux yeux de verre
Titre : VIVRE / MOURIR
Auteur : Matthieu E. / Tony Perraut
Parution : 30/06/2018 – Auto-Édition
23 pages
Une courte nouvelle écrite à 4 mains, 2 cœurs, et un amour/amitié, à la vie, à la mort...
En premier lieu, qu’est-ce qu’ami ? C'est une personne à notre écoute, par sa présence, son silence, sa complicité et il est notre complément, c'est comme se regarder dans un miroir, notre ami est notre propre reflet...
Cette amitié est construite sur la base d’une confiance réciproque et de respect.
Mais que se passe-t-il en nous quand un ami nous trahit ? Alors qu'il nous avait promis de nous aimer tel que nous sommes, de rester à nos côtés jour après jour, d’être toujours là pour nous, quoi qu'il arrive...
Il se passe une trahison violente qui atteint notre identité, un ami c’est notre alter ego, un regard qui nous réconforte et nous enrichit, cette amitié nous l’avons conquise et non reçue à la naissance.
Cette trahison est d’autant plus brutale, cruelle, emportée. C'est exactement ce qui se passe dans cette magnifique nouvelle entre Tony et Matthieu, une amitié hors du commun, intense qui les entraîne tous les 2 dans cette chute vertigineuse après la trahison de leurs amitiés.
Deux hommes hyper sensibles, des auteurs qui ont besoin de créer pour exister...
Un cri, un hurlement, un hymne à l’amitié, à la création, à l’amour, à la vie, à la mort...
À découvrir sans délai et à lire sans modération.
Résumé :
Il est vivre Je suis mourir.
Il est Matthieu E. Je suis Tony Perraut.
Une nouvelle écrite à deux où l'art est omniprésent, la mort, la vie, l'envie et cette amitié.
C'est un texte court, dur, douloureux. Nous allons danser, ensemble. Peindre, dans le noir.
Nous allons, ensemble, lecteurs, vivre une expérience de lecture unique.
Vivre/Mourir
Aujourd'hui je vais vous parler d'une lecture très émouvante, il s'agit d'une nouvelle de Tony Perraut « Sans jamais te retourner »
« Sans jamais te retourner » est donc une nouvelle d'une cinquantaine de pages, mais au contenu tellement déchirant. L'auteur joue sur notre sensibilité pendant tout le long de ce récit. Il nous propose un voyage terrifiant dans la vie d'une personne qui est à bout de force. Nous allons nous plonger dans le mental de ce personnage et souffrir avec lui.
L'histoire commence et, dès les premières lignes, dès les premiers mots posés, on sent que le côté émotionnel va être omniprésent. Une chasse à la vie poignante, sur un sujet sensible.
Le personnage va se réveiller un matin et entrevoir une journée bien particulière.
Il va nous raconter sa destinée dans un univers qui n'est pas le sien.
Toutes ces petites choses auxquelles nous ne prêtons pas attention ont, pour lui, en ce jour précis, une saveur bien singulière. Le déroulement d'une seule journée est-il si important ? Pour lui oui... !!
Il va retracer son chemin de vie sur cette portion de temps : cette forêt qu'il aimait tant, une visite à sa maman, ce trajet en bus...
Il sait que ce jour va être crucial pour lui et il nous fait vivre ces moments afin que, peut-être, nous apprenions à apprécier les choses simples de la vie.
En ce nouveau levé de soleil tout a une signification profonde pour lui... que ce soit une simple odeur, un goût, une vision ou un son. Tous ses sens sont à l'affût du moindre signe que lui évoque sa vie.
Je décide volontairement de ne rien dévoiler d'autres de cette histoire, elle est poignante, aussi je vous laisse maître d'en gérer les sentiments qui vont vous parcourir au long de votre lecture.
Tony à cette force d'écriture qui bouscule grands nombres de codes pour venir nous toucher en plein cœur.
L'intensité déchirante va monter crescendo. Un univers profond qui oscille entre le passé et le présent, entre le « je » et le « tu », ce qui est là encore un point fort de ce texte. L'écriture de l'auteur est magistrale, elle verse dans la sensibilité, les mots sont emplis d'émotions.
Je ressors de cette lecture bouleversée !! Car le sujet évoqué me touche personnellement par mon milieu professionnel. Je ne peux que me mettre à la place de cette personne, et de ses proches car je suis confrontée à cette dure réalité.
Un bouleversement émotionnel total pour moi qui m'a fait verser ma petite larme. Cette personne peut être n'importe laquelle d'entre nous. Ce texte et une vraie ode à la vie.
C'est court mais tellement intense !
Nous n'avons pas envie de nous retourner, nous ressentons juste le besoin d'avancer, de nous envoler très loin et très haut pour tenter de revivre différemment notre vie
.
L'espoir, la déchéance, l'agonie, l'acceptation, la mort et si tout était déjà tracé ? Et si tout simplement le commencement démarrait par la fin ? Et vous que feriez-vous si vous saviez que cette journée était votre dernière passée sur cette terre ? Tant de questions que vous allez vous poser.
Alors, si vous avez un petit coup de blues, je vous conseille cette nouvelle, qui vous fera à coup sûr, apprécier à nouveau la vie.
Un grand bravo à l'auteur pour la justesse et la beauté de ses mots qu'il a su si bien coucher sur le papier.
Résumé : Sans jamais te retourner, tu vas vivre cette journée. Tu vas tout donner, tout penser, tout imaginer. C'est dans cette forêt que tu vas comprendre la solitude. C'est dans ce bus que tu vas ouvrir ton ressenti. Mais tu connais l'issue de cette journée. Tu sais que demain tu ne verras pas le soleil se lever. Alors fonce gamin, va mourir.
Sans jamais te retourner
Titre : LE CRI DES PAPILLONS
Auteur : Tony Perraut
Parution : 09/11/2017 – Auto-Édition
363 pages.
Après avoir lu les deux premiers romans de Tony, j'ai le plaisir de l’avoir rencontré au Salon du livre de Paris où je me suis procuré son thriller « Le cri des papillons ».
Myra Porter a été diagnostiquée schizophrène et enfermée dans une cellule à l’âge de 8 ans ! Enfin je dis Myra, mais c'est plutôt le lecteur.
On déambule dans ses univers, faits de violence, de désordre, de haine où l’imagination de son cerveau fait que tout se mélange, se croise, s’entrecroise et se superpose.
Existe-t-il une lueur ou une porte pour accéder à l’espoir ?
Une porte pour se sortir de là, vivre, pouvoir aimer et être aimé, ressentir les choses normalement !!!
Myra se raccroche à la seule image positive qu’est le papillon !!
Mais est-ce suffisant pour qu’elle s’en sorte ?
Le lecteur est comme une souris prise dans un labyrinthe sans fin, on croit avoir trouvé le bon chemin, mais il y a toujours un mur, ce fameux mur qui nous fait changer de direction.
On court, court dans tous les sens, on se cogne la tête, on tombe, on repart, l’angoisse nous oppresse, on a peur, peur de sa propre image, d’un son, d’une ombre... notre imagination nous joue des tours !
Puis apparaissent par moments des papillons, qui après une lente évolution, de chenille dans son cocon, bien au chaud et en sécurité, déploie ses ailes pour prendre son envol...
Que de symboles représente le papillon, c'est le psyché, un changement, une chance, il repend le bonheur avec ses couleurs mais a aussi été l’esprit des morts…
Une écriture qui a monté en puissance, fluide, des mots et des phrases posés ici et là, qui nous interpellent, nous donnent à réfléchir.
Un roman psychologique noir, profond, intense qui vous fera descendre dans les bas-fonds inexpliqués du cerveau !
Ou est-ce un moyen de se protéger contre le monde extérieur ?
Vous pouvez aussi écouter la bande son avec votre smarphone.
A lire, à découvrir comme les autres romans de cet auteur.
Résumé :
Je suis Myra Porter, à l'âge de 8 ans j'ai été enfermée dans cette cellule suite à la découverte de ma schizophrénie précoce.
Quand la séquestration rime avec la maladie, la haine, la violence et le viol, je m'enferme dans mon monde, la cave aux papillons, un monde magique où la violence n'intervient qu'avec le cri, le cri des papillons.
« Un papillon ne crie pas, il souffre en silence. »
Le Cri des papillons
Je recommande vivement la lecture de cette nouvelle, j'ai passé un excellent moment de lecture.
Sans jamais te retourner
Comme je m'y attendais, la plume est extrêmement agréable. Les descriptions sont fluides, agréables et bien travaillées. Rien que dans la première partie, je me suis retrouvée dans ce personnage sans prénom ni nom. Les petits détails qui y sont donnés, ainsi que les descriptions si réelles qu'on pourrait toucher les objets aident à nous faire rentrer dans l'univers et dans la peau de ce personnage que l'on ne désigne que par un simple "tu". Ce personnage qu'on peut penser être nous. Et il y a ce personnage, désigné par "je", qui nous partage sa vie, ses pensées, ses émotions. Le tout avec un contrôle absolu de la part de l'auteur, avec une plume magnifique.
Puis, au fil de la lecture, on comprend. On comprend qui est le "je", qui est le "tu". L'auteur et le personnage finissent par fusionner pour ne parler que d'une seule voix, celles des parents. La fin m'a beaucoup émue, je trouve que c'était le meilleur moyen de faire passer un message. J'ai trouvé magnifique l'idée de garder une certaine nonchalance et un détachement alors que la fin est si crue et difficile. J'ai tout bonnement adoré la fin même si elle m'a brisée le coeur. L'auteur manie les mots avec passion et virtuosité. J'ai accroché du début à la fin. Si cette nouvelle n'est pas un coup de coeur, c'est parce qu'il y a un petit quelque chose, vers la fin, qui m'a gêné. Je ne saurais pas forcément dire quoi avec précision cependant.
Donc je conseille à tout le monde de lire cette nouvelle qui sort officiellement aujourd'hui !
Sans jamais te retourner