Commentaires sur ses livres

Pas autant aimé que "Changer l'eau des fleurs" qui reste pour moi une pépite, pas autant que "Les oubliés du dimanche" mais cela reste un bon livre mais différent.
Ce qui m'a gêné c'est la 1ere partie du livre qui est longue et n'en finit pas, j'avoue avoir lu en diagonale car ça me lassait.
La 2eme partie on rentre dans le vif des sujets, un vrai scénario, j'ai bien aimé.
Et comme d'habitude ses personnages sont attachants.

Après avoir adoré et dévoré le roman Trois de Valérie Perrin, je me faisais une joie de découvrir un autre de ses romans. Je me suis ainsi plongée avec beaucoup d’enthousiasme dans Les oubliés du dimanche et je n’ai malheureusement pas été transportée par ce roman. L’histoire avait pourtant tout pour me plaire puisque nous suivons Justine, une jeune femme aide-soignante, qui travaille dans une maison de retraite et qui va consigner l’histoire d’Hélène, une des pensionnaires, dans un carnet. Les oubliés du dimanche est un roman à double temporalité rempli de secrets et de mystères. Les chapitres sont courts et les pages défilent très vite. Bien que l’histoire soit touchante et qu’on ait envie de percer les secrets des personnages, aussi bien ceux d’Hélène que ceux de Justine et de son entourage, je n’ai cette fois-ci pas été séduite par la plume de l’autrice. Je suis restée en dehors de l’histoire et certains passages du roman ne m’ont pas plu. Cela a donc été une lecture mitigée à mon plus grand regret.

Mon livre préféré ❤️

Cette merveilleuse lecture m'a fait comprendre ce qu'est une histoire vraiment émouvante. La sensibilité de la plume de Valérie Perrin m'a fait pleurer et rire un nombre incalculable de fois. Ce chef-d'œuvre qu'est "Changer l'eau des fleurs" m'a ouvert les yeux sur la réalité de la vie : nous avons tous nos casseroles que nous traînons derrière nous tant bien que mal, certaines sont plus lourdes que d'autres mais nous devons continuer à avancer malgré tout plutôt que de désespérer dans notre coin car ce n'est pas ainsi que nous pourrons être heureux.
L'histoire de Violette m'a bouleversée, tant par son réalisme que par son incroyable profondeur. Ce livre m'a tellement plu que j'en suis venue à me dire qu'être garde-cimetière, ça pouvait être bien ! J'ai également eu la chance de pouvoir assister à la pièce éponyme, qui est selon moi une superbe adaptation de cette histoire.
"Changer l'eau des fleurs" est un roman exceptionnel que je recommande de tout cœur.

Changer l'eau des fleurs c'est la vie et la mort qui s'entremêlent dans une valse d'aurevoir. C'est la mort qui est bien souvent plus vivante que la vie. C'est la mort qui peut être une caresse, un baiser ou un vent violent. Et c'est la vie qui peut être un éclat de rire, un clin d'œil, un sourire ou une besogne. Les codes de la bienséance sont rompus, la réalité est exposée, la mort peut être douloureuse, triste, affreuse, tout autant que belle et merveilleuse. La mort peut être souhaitée, elle ne vient pas seulement briser, elle peut guider.
Changer l'eau des fleurs c'est des vies qui se tressent, qui s'effleurent et qui fusionnent. C'est la bonté de Violette, celle des fossoyeurs, de Sacha et de Julien. C'est l'apprentissage de la vie, des leçons qui s'enchaînent et c'est surtout l'impression de regarder une vaste peinture qui nous montre la vie, les erreurs à faire pour savoir, et celles à ne jamais faire pour ne pas savoir. C'est la recherche de l'inéluctable vérité à la mort de l'être aimé. C'est des pleurs, des rires et des surprises. C'est l'amour pour Léonine, et la rancœur envers Chantal. Et c'est surtout paradoxal. Paradoxalement, la beauté de la vie, n'a jamais été aussi forte que dans le cimetière de Brancion-en-Chalons. Paradoxalement Violette n'a jamais été aussi belle que lors de ses séances de jardinage où elle acceptait d'avoir tout perdu. Paradoxalement la vie a l'air souvent plus inerte que la mort.
Tout est fort, riche, les histoires des personnages, les bons dans le présent et les sauts dans le passé, le ruissellement des correspondances cachées, qui viennent se glisser dans le récit. L'amour d'Irène Fayolle et de Gabriel Prudent, la tromperie qu'on ne peut s'empêcher d'adorer.
J'ai voyagé à travers les lieux, les époques et surtout les personnes. À travers la palette d'émotions que nous offre l'autrice, à travers le deuil et l'amour interdit, à travers l'horreur de la vérité et l'insouciance de la vie.
Changer l'eau des fleurs c'est définitivement un voyage brûlant qui reste dans les yeux et un coup de cœur qui brûle l'estomac.

Addictif, intrigue parfaitement construite, les personnages sont intéressants !
J'ai adoré !!
J'ai découvert cette auteurs avec Changer l'eau des fleurs qui est un véritable chef-d'œuvre à mes yeux, et j'avoue que là j'étais sceptique au début, il m'a fallu combattre certains à prioris et finir les 100 premières pages pour accrocher et voilà !
Un agréable moment ^^

Ça va faire 6 mois que le livre trône sur ma table de nuit sans que me vienne l'envie d'en lire plus de 2 pages à la fois. Je crois donc qu'il va falloir me rendre à l'évidence : j'abandonne cette lecture à la moitié environ. Je pourrais me forcer un peu, l'écriture est quand même fluide, ce n'est en rien un livre compliqué à lire, si je me motivais je pourrais clairement le terminer rapidement. Mais rien n'y fait, ça ne m'intéresse absolument pas !

On suit une aide soignante en maison de retraite. Au début c'était un thème qui m'a plu, car touchant, et délivrant un message assez engagé. Mais passé quelques chapitres on tourne en rond. On redit encore et encore les mêmes choses sur le sujet. Et il en sera de même pour les autres thématiques, la vie sentimentale compliquée de la narratrice, sa famille particulière, le petit-fils de la résidente pour qui elle a le béguin : on tourne en rond sur tout. Cette histoire au présent est entrecoupée de passage au passé, mais les mêmes défauts mènent aux mêmes constatations. Par exemple, il y a un personnage vient d'une famille d'aveugles, un autre est illettré : c'est sans nul doute des thèmes forts et originaux... mais dont on ne fait rien de pertinent.

Puis vient enfin, cerise sur le gâteau, la balourdise d'y mêler la Seconde guerre mondiale. Je ne comprends vraiment pas ce que l'autrice a essayé de faire là. Enfin voilà quoi, TOUT a déjà été dit sur cette guerre, parfois avec beaucoup de talent, que ce soit de narration pour y créer l'émotion ou d'historien pour nous apprendre des pans de la guerre qu'on ne connaît pas déjà ; mais rien de ça ici. Je ne comprends pas ce qu'elle ambitionnait d'apporter de plus à ce sujet avec cette intrigue fade, attendue et déjà vue 1000 fois.

Roman sur l'enfance, l'adolescence, l'âge adulte
2 garçons, 1 fille qui connaîtront ensemble la complicité, les serments à la vie toujours, de leur enfance à l'âge adulte.
Passer du temps pendant cette lecture avec ces 3 principaux personnages a été très agréable.

J'en ai passé du temps avec Violette! 700 pages! Un roman morne où le sordide des relations humaines cotoie malheur et tristese.
Les relations hommes femmes sont toutes tordues, malsaines et perverses...tout le monde trompe tout le monde! Que c'est noir et désespérant.
Récit de la vie pourrie de Violette. Le livre est sensé parler de résilience...mais pas tant que ça.

J'ai eu envie de casser la gueule à beaucoup de personnages.

Par contre oui, c'est bien écrit. Monotone comme l'histoire, où il ne se passe pas grand chose

Certains paragraphes sont bien écrits avec une jolie moralité ou des vérités universelles, crues et dures.

Dans l’ensemble très bonne lecture, entre la vie actuelle de Violette, son passé pas toujours simple et l’énigme / l’enquête qu’on cherche à résoudre, ce livre est une belle découverte. Ce n’est pas un livre forcément très gai mais il est très bien écrit et en devient donc addictif.

Énorme coup de cœur pour ce livre que je ne me lasse pas de lire et relire.

"Comme on me dit tout le temps que quand un vieux meurt, c'est une bibliothèque qui brûle, je sauve quelques cendres".

Pas mal comme livre :)

Excellent récit sur la résilience suite aux chemins détournés et terribles que fait prendre la vie...

J ai tenu jusqu à environ le tiers du livre. J ai trouvé l écriture très pathétique, basé sur la plainte. Ca m a fait pensé aux pleureuses des églises. Entendre parler des décès et des personnes qui survivent aux défunts à longueur de pages, c est usant.
J ai vécu 27 ans à côté d un cimetière et jamais je n ai trouvé à me lamenter à ce point sur ces chers disparus.
Le fait est que cette autrice n est pas faite pour moi.
Je viens changer de livre et c est une bouffée d air frais.

Roman très bien construit, je me suis profondément attaché aux personnages et j'ai adorer suivre leur parcours, leur passage de l'enfance à la vie adulte. C'est un sans faute !