Commentaires sur ses livres

L'univers est intéressant, les Ayakashi, les différents clan dont ceux qui utilisent une sorte de magie.. c'est intéressant mais très mal introduit, on nous montre tout les personnages, les régions et les clans trop vite, on a pas le temps d'assimiler qui est qui, ce qui fait un ensemble un peu fouillis.
Le découpage des cases aurait pu également être mieux à certains passages.

Stray Dog Tome 2 – VanRah (Française, 1987) – 2016 – Glénat
C’est… « Bien » eihn … Mais c’est pas « très » bien non-plus… Y a de l’humour. De l’humour autour du gag où Toru refuse de se faire caresser comme un chien (mais quel doux pelage !). Des « sale cleb » des « sacs à puce » des « je peux me débrouiller toute seule » suivi de désillusion…
Toru à promis à son scientifique de père Senri Aokidso, de protéger sa fille Tsubaki (Aki) Aokideso au péril de sa vie.
« La bête » est un Karat (démon) si puissance qu’il lui faut un « gentil maître » avec une conscience comme garde-fou…
A l'instar du Tome 1, il y a beaucoup de dialogues et peu d’action. Moi je lis ça pour me vider la tête mais si c’est comme ça je ne pense pas lire le T3 à moins que la fin soit géniale.
En plus chaque manga est très long (plus de 300 pages).
Je vois bien vaguement le délire héroïque surpuissant qui tente de se tisser je dirais « à la One Punch Man » mais ça ne prend pas. Comme dit au début c’est juste « bien », pas génial non plus…
Après on a un délire « à la Végéta » Force + Force = + de Force …
Toru et Aki ont l’air de bien s’aimer. Les personnages sont pas du tout sexués, alors que moi, j’ai envie d’en lire un peu pour une fois x-) La dernière occurrence où j’ai aimé un manga avec des passages séduisants c’était Witche’s War (Qui est un bien meilleur manga !).
Le charisme des personnages n’est pas à mon goût. Faut dire ça a été écrit entre 2013 et 2016, les standards de qualité ont évolués depuis ; ) Pas forcément en les additionnant, mais en les regardant sous un angle différent. (NB: Une fois cette Lecture terminée, je revois un peu mon avis à la hausse).
Même Tokyo Ghoul, qui a à peu près le même âge, est bien meilleur. (Faut dire que Tokyo Ghoul, il est haut dans le panier ;) !!) Après, Stray Dog à l’avantage d’être Français, par contre. Ce qui veut dire pas de Traduction, Texte Brut, Sans perte "in translation"...
Bon, rendons à César… Il y a enfin de l’action ! Je reporte donc mon jugement au prochain Tome.
Enfin, la thématique du « garde du corps » est développé, vous savez ce concept vieux comme le monde où un gentil monstre protège une jolie demoiselle sans défense. Je ne crois pas que ce soit sexiste, mais pas non-plus très Féministe.
Smile. J’entends presque les répliques Japonaises en Lisant. L’auteure bien que Française ayant donné des prénoms Japonais à ses personnages.
Le concept « One punch Man » commence à marcher un peu mieux à la fin du tome. J’adore. Il y a un passage qui me fait penser à « Pirates des Caraïbes 3 » ou comme je l’appelle « Jack Sparrow et d’autres Pirates… » Si ce n’est que Jack laisse de la place aux autres personnages x-) … Eh oui on tire sur toutes les ambulances ici ! « Monsieur quels sont les ordres ? – Dites vous… Que c’est de bonne guerre…) Bam ! Bam ! Explosion ! Explosion !(Ok Explosion j’étais pas obligé !).
Eh la bête du Gévaudan à cette taille là c’est pas 100 personnes qu’elle aurait tué mais plutôt 10 000 x-)… Même les pages sont pas assez grandes pour la représenter.
Si je devais noter uniquement la fin, je mettrais une meilleure note. Mais comme le début a été très long….
Pour « chercher la petite bête » (mais je n’en tiendrais pas compte sur ma note !) on invente un peu au fur et à mesure j’ai l’impression des règles comme dans je dirais… Death Note ! Au-delà, c’est carrément un épisode de Prison Break !
++
Phoenix

Stray Dog T1 – VanRah - Française, 1987 – 2013 – éd. Glénat
Ishtar est une ville SF où règne la corruption & le sang démoniaque. Un genre de Gotham Loup-Garou.
Chez les "Birds" on appelle "Karats" ce type de créatures mi démons mi loups. Ou juste « chien ». Pour le Vatican, on dit « Démons »
« le Maître ordonne, le chien obéit ! »
(Le maître est cruel)
Son proprio l'appelle juste « La Bête » et il a perdu son oeil droit pour l'asservir.
« Je ne veux plus tuer » s'exprime Kiba, à l'instar de Kenshin le Vagabond ! (Mais ça… C'est une autre historie…) Et cela tombe bien puisque son nouveau contrat avec Akasha lui permettra d'être pacifiste.
Toru (Kiba) est reconnu comme un Alpha noir aux yeux rouges. Race noble. Et la plus puissant qui soit.
Akasha aide Toru à retirer son collier pour le libérer.
Passer un contrat avec La Bête est synonyme de mort au terme de ce contrat. Qu'importe la volonté.
En effet, Toru n'est autre que la Bête du Gévaudan qui terrorisa la France (XVIIème S. 1757 - 1760)…
Un petit reproche : Trop de dialogues pas assez d'action.
Il y a un passage Très drôle vers la fin.
J'ai essayé de pas trop vous gâcher la surprise, j'ai lu deux fois ce manga il est fort bien !!; -) …
C'est clairement la métaphore de la domination, la libération (émancipation), « la belle et la bête »…
Phoenix
++

J'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain pour être honnête, car je n'avais pas le courage de relire les tomes précédents. Les rappels de l'histoire et des personnages sont cool, mais peut-être un chouïa trop brefs. Bon, une fois la confusion passée, j'ai pu replonger au cœur de la bataille. Le rythme est toujours un peu haché, puisque qu'au milieu du combat (qui dure déjà plusieurs tomes lol) on a des imports d'éléments de lore, des flashbacks, des explications sur les espèces et leurs pouvoirs… Autant, ça m'avait dérangée dans les tomes précédents, autant j'ai trouvé dans celui-ci que c'était plus maîtrisé et que ça facilitait la reprise de l'histoire. C'est toujours intéressant d'en apprendre plus sur les autres espèces de démons, sachant qu'on restait pas mal focalisé sur les loup-garou jusqu'ici. On a droit à un bon passage sur les Morrigans et pour Iruu également.
J'ai aussi qu'en termes de dessin, ça gagnait en clarté. C'est toujours un titre assez exigeant visuellement, car il y a pas beaucoup d'éléments qui se croisent (personnages, paysages, projections, beaucoup de bulles de texte), mais j'arrive mieux à lire les combats qu'auparavant. Graphiquement, l'une de mes attentes est encore que les personnages se distinguent mieux les uns des autres, car j'ai toujours du mal à bien les différencier parfois.

Toujours trop court hélas mais j'aime beaucoup cette version. En plus la touche vanrah nous change radicalement des mangas classiques. Le vocabulaire et le caractère des personnages me fait toujours sourire.

C'est frustrant ce petit format SNIF.
Ça va devenir intéressant, on sent que la tension monte.

Si petit, SNIF!
C'est plus un petit chapitre qu'un vrai tome, ce qui est bien. Dommage. On a peine le temps de se remettre dans le bain que c'est fini.
Malgré tout, cette version d'Alice à la sauce vanrah donne envie de savoir la suite!

Un second tome toujours aussi plaisant, et très riche en révélations sur certains personnages.

J'ai particulièrement aimé toute la première partie, centrée sur Senri et Kazuhiro.
Ces deux personnages sont de plus en plus attachant, alors qu'ils n'étaient que survolés dans la série principale.
L'exploration des autres familles de karats est très intéressante aussi, avec plein de détails permettant d'approfondir l'univers.

En ce qui concerne l'histoire, une bonne première moitié du livre se concentre sur les conséquences de la chute de l'immeuble, à la fin du 1er tome. Beaucoup de détails sont donnés au cours de cette partie, dont les révélations sur des personnages. On oscille entre flash back, discussions à l'hospital et action sur place.
Si j'ai apprécié d'apprendre tous ces détails, il faut bien avouer que ça n'avance pas bien vite.
La seconde partie se reconcentre sur le centre du combat, avec d'autres personnages... Et ici aussi, c'est très bavard en explications, avec quelques redondances sur le personnage de Red. Oui, deux personnages le découvrent, ainsi que sa nature. Mais toute cette découverte avait été exposée au lecteur dans le tome 1, avec un autre personnage... Certains détails sont donnés en plus, mais pour la majorité, c'est connu du lecteur.
Une partie que j'ai donc lu rapidement, tout en l'appréciant pour l'humour distillé et pour l'approfondissement de la psychologie des persos.

Les reproches faits sur le premier tome sont toujours présents ; un manga très bavard et parfois pas très clair. La faute aux bulles de dialogue, au fond, qui prennent beaucoup, beaucoup de place.

Au final, il n'y aura pas eu de vraie action dans ce tome, ou très peu. Un livre de transition donc, que j'ai pour autant vraiment apprécié, grâce aux détails donnés. Cet univers me plait énormément, et me donne envie d'y revenir malgré les défaut évoqués au-dessus.

Quel plaisir de retrouver les personnages de Stray Dog ! Avec une petite préférence pour Red.

Cette série annexe explore donc le passé de Stray Dog, avant la création du Bird. On découvre la situation très tendue entre karats et humains dans la cité d'Ishtar.
L'épisode qui est le centre du récit avait déjà été évoqué en flash back dans la série principale, mais de manière très rapide. Il n'y a donc pas de redite, plutôt des éclaircissements et des explications, qui permettent de mieux comprendre plusieurs personnages.

Côté dessin et dialogues, Vanrah reste fidèle à elle même ; un humour très incisif (et qui me plait beaucoup) dans les répliques entre personnage, des dessins très beaux, mais les cases sont parfois trop chargées. Entre les bulles de dialogues et les dessins parfois un peu fouillis, j'ai à plusieurs reprises abandonné l'idée de comprendre précisément l'action se déroulant sur la page. Au final, ce n'est pas gênant à la compréhension, même si je trouve ça dommage.
Les atouts comme les défauts de l'autrice restent les mêmes.

Par ailleurs, je ne conseillerais pas de commencer l'univers de Vanrah par ce volume. La nature des Karats est complexe, leurs pouvoirs aussi, sans parler de leurs relations avec les humains. Les explications présentent dans le tome 1 de Stray Dog ne sont ici pas reprises, ou vraiment à leur strict minimum.
Je conseillerais cette série à ceux ayant déjà lu la série principale, du moins les premiers tomes, et l'ayant bien sûr apprécié.

J'ai beaucoup aimé cet approfondissement de l'univers de Stray Dog, et j'y reviendrai prochainement !

Fin du premier arc de Stray Dog avec ce sixième tome.
Le background de certains personnages secondaires s'étoffe et l'auteur nous dévoile comment les clans fonctionnent face à une menace. Le comportement de Tarot est ainsi expliqué, tandis qu'Iruu et Toru ont une discussion sur les alphas et oméga.
J'ai hâte de découvrir le prochain cycle, avec l'arrivée des Morrigans et la suite de la traque de Kira par Toru.

C'est très intriguant de voir ce qu'il s'est passé avant Stray Dog (oeuvre qui suit cette série). Bon, je vois l'histoire avec moins de suspens du coup puisque je sais à peu près comment est-ce que les personnages principaux finissent...
Mais je suis quand même contente qu'une série entière soit dédiée à l'avant. Pour éviter surement le surplus de flash-back dans Stray Dog et aussi pour expliquer ce qui ne pouvait être expliqué.

On en apprend beaucoup sur les personnages, mais j'ai encore du mal à m'accrocher à l'histoire.
J'adore l'esthétique, j'adore le fait que cela se passe sous le Japon féodale.
Mais pour l'instant, j'attend que le manga prenne plus d'ampleur.

P.S : Yue est badass xD

Encore une fois c'est un tome d'introduction, donc le tout peut sembler assez long et flou quand on ne connaît pas l'univers ou les personnages. Malgré le fait que l'on commence sur une scène d'action.
Une autre note, tout d'abord, j'adore la miko et également les recherches faites pour le contexte de ce manga!

C'est officiel, les combats du manga sont loin des combats classiques dans le même domaine. La créativité et l'originalité sont stupéfiantes et la fin en beauté qui nous laisse encore une fois en haleine pour le prochain tome!

J'adorerai voir le manga adapté en animé, il serait juste magnifique!

On en apprends tellement sur le monde et Toru. Finir le tome sur un moment de suspens nous garde vraiment en haleine pour le prochain tome.

Ma seule critique : les dessins peuvent paraître chargés quelque fois, il y a beaucoup à voir sur une page. Et les textes peuvent être assez long pour un manga.

Mais en général, on s'attache vite aux personnages, on veut en apprendre plus sur ce qu'il se passe, sur Toru et les autres. Et les petites piques envoyées entre personnages lors de moments assez lourds permet d'alléger l'atmosphère.