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Ce furent toutefois des moments agréables notamment pour approcher le mode de vie de ces ultra riches aux manies insoupçonnées. Le côté domestique en est parfois même souvent trop oublié.
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C'est "Le journal d'une femme de chambre" transposé au XXIème siècle : Françoise, modeste épouse d'un restaurateur qui a fait faillite, devient gouvernante "chez les riches". Attention, pas de simples bourgeois, mais des aristocrates renommés, des magnats de la finance, des multimillionnaires, un prince du pétrole et j'en passe...
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Ce n'est ni drôle, ni sympathique. L'auteur n'a pas l'air d'avoir aimé son métier. C'en est presque démoralisant.
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Veronique Mougin m a littéralement happé dans l histoire de ce jeune Tomi, jeune juif hongrois, dont la destinée va le mener aux portes de l enfer ... histoire d autant plus touchante car inspirée de faits réels ...
« Où passe l aiguille » donc, un titre qui interroge et dont on comprend tout à fait le sens une fois le livre refermé ... titre qui fait bien entendu référence à la couture mais aussi au fil de la vie ...
Ainsi, tout au long du récit, nous suivons le fil de Tomi, un fil emmêlé, torturé, torsadé mais qui ne rompt jamais ... Tomi ! un personnage auquel Je me suis attaché très vite. l'auteure lui donne la parole et quel délice : l écriture est belle, ponctuée tout au long du récit de métaphores et expressions empruntées à la couture .. le fil conducteur (vous noterez le jeu de mot :) !). Tomi donc nous conte, avec ses mots et son humour aussi .. humour léger au début et nettement plus noir par la suite mais qui subsiste tout de même ...
Son histoire nous mène dans les profondeurs de l horreur de la guerre et l enfer des camps où l humanité est réduite au néant ... des passages de lecture difficiles émotionnellement parlant ...
Merci Véronique ! Merci pour votre Tomi : un exemple de pugnacité et de persévérance ... le fil de la vie tout à la fois fragile et inflexible ...
Où passe l'aiguille
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J'ai beaucoup apprécié lire le point de vue de Françoise sur les riches familles pour lesquelles elle travaille. C'est assez rigolo et franchement intéressant de voir ce qu'il se passe derrière les murs de ces demeures.
Ce livre m'a plu, en particulier les petites leçons placées en cours de lecture.
Je suis juste désolée que la vie soit comme ça pour tant de personnes... à cause d'autres personnes.
Recommandable si vous aimez vous aérer un petit peu l'esprit sur un ton léger et apprendre un peu de vocabulaire en chemin!
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Les enfants ne répondent que rarement domestique. On peut les comprendre, il y a plus glamour. Ceci dit, la vie n'est pas toujours charmante, ni sexy. Il faut bien gagner sa pitance et on prend ce qui se présente faute de mieux quelques fois. Cette voie, pas choisie de gaité de cœur, réserve bien des surprises, pas toujours agréables (rarement même).
Expériences véridiques, nous voilà plongé dans le parcours professionnel de notre narratrice qui a évidemment changé toutes les identités pour plus de discrétion. On sourit souvent devant des situations plus ou moins dingues, mais on n'envie guère les protagonistes, surtout Françoise.
Le style est agréable, on découvre cet envers du décors des riches maisonnées. Ce n'est pas si glorieux. Les ors, les nantis, les manies, les peurs, les méchancetés, tout, vous saurez presque tout.
Au final, je suis bien dans ma petite vie.
Un livre instructif, mais qui ne dévoile pas grand chose. Tout juste, on peut penser que le temps s'est figé pour certaines professions. Rien ne semble avoir beaucoup évolué dans ces corps de métier tournés vers le bien-être de nos élites sociales.
Alors certes, on n'est pas dans du Zola, mais se maintenir la tête droite, hors de l'eau dans ce panier de crabes, faut le faire, avoir les reins solides et les épaules larges.
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Où passe l'aiguille
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J'avais apprécié que l'auteure retranscrive ce mélange de force, de liberté, de ténacité et de courage à travers sa plume (à travers la voix de Tomi), nous permettant de lire un roman-témoignage à la fois fluide et "digérable", ne tombant pas dans la surenchère... Ainsi, je n'avais pas versé de larmes, ni été pétrifiée d'effroi, ce qui n'est pas simple en ce qui concerne la shoah.
Où passe l'aiguille
Je m’y suis plongée les yeux fermés et c’est l’histoire d’une mère que j’ai découvert. Jo Picassiette, femme bourrue qui ne mâche pas ses mots et qui porte un amour infini à son fils Charly mais également à sa ferme, ses animaux et la nature. Une mère aussi originale qu’attendrissante.
Avec elle s’est un village aussi, celui du Chandoiseau et de ses habitants loufoques et hauts en couleurs. Une belle panoplie de protagonistes qui nous font rire simplement par leur manière d’être et leurs réparties.
Charly, après avoir été le fils parfait est devenu le fils indigne qui a écrit un livre dans lequel il dépeint de manière pas vraiment gratifiante les habitants du petit village. Charly qui abandonne son « Y » est devenu l’ennemi au succès grandissant.
Un ouvrage qui nous parle de littérature et des mères d’écrivains. Sorte d’hommage à celles qui savent soutenir tout aussi bien qu’elles savent prendre peur et s’éloigner de leur chère progéniture.
Un livre tendre, drôle, totalement rocambolesque et insolite dans certaines situations.
Un fils à maman
Ça fleure bon l’air pur de nos campagnes, ça caquette pas mal aussi !
Faut dire que la rumeur court, v’là-t’y pas que le petiot Charly il aurait des envies de prendre la poudre d’escampette ... une histoire de roman ! Pfff quelle drôle d’idée !
Enfin allez ! Te fais pas prier ! Monte crévindiou que je te raconte !
Alors voilà, à la ferme des Picassiette, l’ambiance tourne au vinaigre ... Charly, jusqu’ici enfant modèle à sa maman, se sent pousser des ailes, il tient mordicus à quitter le nid pour voler vers un rêve fou : éditer un roman !
Et attend, le pire : son roman est autobiographique ! Et vas-y que je te balance tous les ragots du hameau, que je te décortique les vices des villageois y compris ceux de ma maman-poule !
Ah oui, je peux t’assurer qu’il prend de sacré risque là le mioche ! S’attaquer à la Bogue, fallait oser !
Heu ... comment dire ... c’est pas qu’elle soit foncièrement méchante Jo mais faut pas trop la titiller non plus, elle est sanguine la daronne.
Mais c’est-y vrai ce mensonge, tu doutes encore sur le dernier Veronique Mougin ?! Bon allez ok je te rajoute une p’tite couche !
PRIMO : c’est le parfait élixir anti-morosité ! Le sourire tu auras je t’assure ! Des joutes verbales truculentes et une galerie de personnages brossée avec un humour délicieusement grinçant.
DEUXIO : Derrière la comédie se tisse de belles réflexions :
Sur l’amour maternel qui parfois comme le lierre, étreint un peu trop au risque de devenir étouffant.
Dame nature est, elle aussi, au cœur de l’histoire, omniprésente. A travers le regard de Jo, elle devient personnage à part entière et ouvre la question sur la nécessité, dans ce monde archi-connecté, d’un retour à l’essentiel ...
TERTIO : La divine plume de l’auteure !!! Elle m’avait émue aux larmes avec l’histoire bouleversante de Tomi (« Où passe l’aiguille) ... et me voilà de nouveau conquise dans sa version comédie : enjouée, tendre et adorablement amère parfois.
Alors convaincu j’espère ?!
Un fils à maman
Le résumé laissait présager un récit bien plus humoristique alors qu'en réalité il s'agit plutôt d'une relation d'événements assez neutre, bien qu'assez manichéenne : la pauvre et gentille gouvernante au prise avec les riches et méchants patrons. Un ou deux chapitres écrits de cette façon, d'accord. Tout un livre sur le même ton, ça finit par lasser.
Au final, j'ai bien plus apprécié les petits extraits d'autres romans placés au début de chaque chapitre.
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