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Victor Margueritte, né à Blida (Algérie) le 1er décembre 1866 et mort à Monestier (Allier) le 23 mars 1942, est un romancier et auteur dramatique français.
Frère de Paul Margueritte, il s'engagea en 1886 dans les Spahis, avant d'entrer en 1891 à l'École militaire de Saumur où il devint lieutenant de dragons. En 1896, il donna sa démission pour se consacrer à la littérature.
Il se montra préoccupé des questions sociales et fut un ardent défenseur de l'émancipation de la femme ainsi que du rapprochement des peuples. Il collabora notamment à La Revue contemporaine d'Édouard Rod. Il soutint des opinions sociales de plus en plus avancées et collabora aux journaux et périodiques dans la mouvance internationale et communiste. La publication en 1922 de La Garçonne, considéré à l'époque comme choquant, lui valut de se faire retirer sa Légion d'honneur.
De 1896 à 1908, il collabora à toutes les œuvres de son frère Paul qui parallèlement publiait des ouvrages sous son seul nom.
Victor Margueritte fut un hôte assidu de Sainte-Maxime, dans le Var. Vers 1920, il acheta une vaste propriété qui partait de la mer et montait au sommet de la colline de Meinier, magnifiquement exposée au midi et ancien oppidum ligure. Il la baptisa « La Madrague » en souvenir des pêches au thon qui se pratiquaient devant la propriété quelques années auparavant. Le cadre, les plantations, la vue, les meubles : tout y était admirable et réalisé avec un goût exquis. L’écrivain résida dans son belvédère avec son épouse jusqu’en 1938. Les Maximois qui le connurent le décrivaient comme un homme portant beau, toujours impeccablement habillé et qui fut fortement affecté par cette affaire de Légion d’honneur retirée.
Biographie
Victor Margueritte, né à Blida (Algérie) le 1er décembre 1866 et mort à Monestier (Allier) le 23 mars 1942, est un romancier et auteur dramatique français.
Frère de Paul Margueritte, il s'engagea en 1886 dans les Spahis, avant d'entrer en 1891 à l'École militaire de Saumur où il devint lieutenant de dragons. En 1896, il donna sa démission pour se consacrer à la littérature.
Il se montra préoccupé des questions sociales et fut un ardent défenseur de l'émancipation de la femme ainsi que du rapprochement des peuples. Il collabora notamment à La Revue contemporaine d'Édouard Rod. Il soutint des opinions sociales de plus en plus avancées et collabora aux journaux et périodiques dans la mouvance internationale et communiste. La publication en 1922 de La Garçonne, considéré à l'époque comme choquant, lui valut de se faire retirer sa Légion d'honneur.
De 1896 à 1908, il collabora à toutes les œuvres de son frère Paul qui parallèlement publiait des ouvrages sous son seul nom.
Victor Margueritte fut un hôte assidu de Sainte-Maxime, dans le Var. Vers 1920, il acheta une vaste propriété qui partait de la mer et montait au sommet de la colline de Meinier, magnifiquement exposée au midi et ancien oppidum ligure. Il la baptisa « La Madrague » en souvenir des pêches au thon qui se pratiquaient devant la propriété quelques années auparavant. Le cadre, les plantations, la vue, les meubles : tout y était admirable et réalisé avec un goût exquis. L’écrivain résida dans son belvédère avec son épouse jusqu’en 1938. Les Maximois qui le connurent le décrivaient comme un homme portant beau, toujours impeccablement habillé et qui fut fortement affecté par cette affaire de Légion d’honneur retirée.
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