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Tous les livres de Vita Sackville-West

La romancière anglaise Vita Sackville-West (1892-1962) inspira à Virginia Woolf le personnage androgyne d'Orlando. Mais elle eut aussi un mari écrivain et diplomate, Harold Nicolson, et c'est avec lui qu'au milieu des années 1920 elle décida de suivre, au sud-ouest d'Ispahan, une ancienne piste de montagne fréquentée par les caravanes et empruntée jadis par Alexandre le Grand pour gagner l'Inde. A dos d'âne et en voiture, le truculent périple du couple sera émaillé de scènes de ménage, Harold ne perdant pas une occasion d'accabler de reproches cette épouse qui l'a emmené se perdre au milieu des nomades.

Lorsque le narrateur apprend, à Londres, la mort de son oncle Noble Godavary, il n'entretient plus que des liens très distants avec ses racines. Pour l'enterrement et l'ouverture du testament, il retrouve La Grange, le cottage familial où repose son oncle, les autres membres de la famille et surtout sa cousine Paola...

« Plusieurs lettres venaient de Londres - il était donc à Londres au mois d'août ? Pourquoi ? Était-il malheureux à ce point ? Elle en fut soulagée quelques instants... Il avait dû venir à Londres à cause d'elle. Elle en éprouva comme une vengeance. Le contenu de ces lettres la tourmentait et pourtant elle aurait bien voulu le connaître. Elle hésita encore, le coupe-papier à la main. Elle avait eu le courage de n'en ouvrir aucune. Tout d'abord elle s'y était refusée de peur que ses supplications ne fissent fléchir sa résolution. À présent, elle craignait de les ouvrir, de peur d'y trouver des supplications moins ferventes qu'elle ne l'eût espéré. Si elle y avait décelé la moindre réticence, elle aurait cru pouvoir en mourir. Non, non. Elle écarta la pile de lettres, et lança le coupe-papier à travers la chambre, comme s'il se fût agi d'un poignard. » Evelyn Jarrold, dont le mari a été tué au combat, est une parfaite représentante de la haute bourgeoisie oisive. Sophistiquée, exigeante, sensible et impulsive, elle tombe amoureuse de Miles Vane-Merrick, un député réformiste, de quinze ans plus jeune quelle. Mais Miles, même s'il l'aime sincèrement, se sent avant tout porté vers ses ambitions et « l'ivresse du moment ». À l'intérieur du même monde, ils subissent des influences contradictoires. Qui, dans cette relation complexe, pourra rester fidèle à l'autre ? Est-il seulement possible de céder à ses désirs ?

« En un éclair lady Slane sentit que le puzzle éclaté de ses souvenirs venait de se reconstituer [...]. Elle se retrouva sur la terrasse de la villa indienne désertée [...]. Elle appuyait ses bras sur le parapet brûlant, faisant pivoter lentement son ombrelle. En fait, elle se tenait ainsi pour dissimuler son trouble car elle venait de se retrouver à l’écart de tous avec ce jeune homme à ses côtés.» Le jour même de la mort de son mari Henry Holland, comte de Slane, lady Slane décide de vivre enfin sa vie. Elle a quatre-vingt-huit ans. Lady Slane surprend alors son entourage en se retirant à Hampstead. Dans sa nouvelle demeure, toute passion abolie par l’âge et le choix du détachement, lady Slane se sent libre enfin de se souvenir et de rêver…

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Ses enfants croient Lady Slane, qui a toujours été une femme soumise et aimable, "brisée" par la mort de son mari, un ancien vice-roi des Indes. Mais brusquement, repoussant sa famille dont elle déjoue les plans, la respectable vieille dame se retire avec sa gouvernante dans une petite maison d'Hampstead. Elle s'y replie dans un monde de délicatesse, de tendresse, de sensations, songeant à la carrière d'artiste qu'elle n'a pu entreprendre, refusant toutes visites exceptées celles de quelques personnages un brin excentriques. L'un d'entre eux, un très vieux collectionneur d'art célibataire, FitzGeorge, qu'elle a brièvement connu dans sa jeunesse, sera le complice de ses derniers jours, l'amant de cœur qu'elle eût souhaité avoir.

« Margaret prétend qu'elle veut épouser un peintre, dit Sylvia, en regardant sa fille avec compassion. — Quoi ! s'écria la duchesse, un peintre ? Quel peintre ? A-t-on jamais entendu chose pareille ? La fille de lady Roehampton épouser un peintre ? Mais non, mais non... Vous épouserez Tony Wexford, et nous verrons après ce qu'on pourra faire pour le peintre », ajouta-t-elle, en lançant à Sylvia un coup d'œil rapide. Dans cette chronique grinçante de l'aristocratie anglaise du début du XXe siècle, Vita Sackville-West fait craquer sous les passions le vernis des bonnes manières.

C’est au cours d’un dîner, en 1922, que Virginia Woolf rencontra Vita Sackville-West, qui allait être, jusqu’à sa mort, une des personnes les plus importantes de sa vie. En lisant leur correspondance, qui se poursuivit sur plus de dix-huit ans, on ne peut douter de la profondeur de la passion indestructible qui lia ces deux femmes exceptionnelles. Vita-Sackville West excellait dans l’art de la correspondance, que ce soit pour dépeindre les jardins anglais, les montagnes de la Perse ou les déserts de l’Arizona. Ses lettres nous transportent dans une époque où Gide et Proust choquaient, où un procès en obscénité était intenté à une romancière accusée de saphisme. Virginia Woolf, pour sa part, se débattait sans cesse dans les affres de l’enfantement de « sa » vérité de l’écriture. À travers cette correspondance, c’est un nouvel aspect de son fascinant et multiple visage que nous apprenons à connaître.

"- Vous pouvez m'épouser si vous le souhaitez. Mais je vous préviens, vous ne savez rien de moi et vous ne serez peut-être pas très satisfait de ce que vous apprendrez. - Je ne crois pas être amoureux de vous. IL ne s'agit pas de ce qu'on peut appeler l'amour... Vous me faites peur et je sais que nous courons au-devant de tous les dangers. Mais je sais aussi que vous m'avez réveillé, et que je me sens vivant depuis que je vous ai rencontrée. En fait, je suis convaincu que vous êtes faite pour moi. [...] Voilà ce dont je suis sûr : je vous veux pour moi seul." Lorsque Venn propose à Shirin de l'épouser, il ne l'a vue qu'une fois, une décennie plus tôt. Elle avait seize ans. C'était à Port-Breton, où Shirin allait en vacances. De la côte, elle pouvait contempler la petite île de Storn, qui la fascinait - elle lui vouait même un culte secret. Mais jamais elle n'avait imaginé s'y rendre, jusqu'à sa rencontre avec l'héritier de Storn : Venn Le Breton, qui l'emmena découvrir l'île. Dix ans plus tard, Verni ignore que c'est de Storn dont Shirin est tombée amoureuse. Devenu son mari, il fera tout pour la plier à sa domination perverse et repousser Cristina, l'amie intime de Shirin venue partager leur huis clos au château de STorn.

À l'instigation de Rose, sa femme, Walter Mortibois invite son frère, sa belle-soeur, son beau-frère et leur fils, ainsi qu'une excentrique lady, à passer le week-end dans leur splendide demeure d'Anstey. Toutefois, il leur préfère la compagnie de Svend, son berger allemand adoré... Rien d'étonnant chez cet esthète d'une froideur de glace, qui, depuis des décennies, ignore jusqu'à sa propre femme - malgré les efforts désespérés de Rose, obstinément amoureuse. Ce n'est pas l'irruption d'invités engoncés dans leurs petits égoïsmes qui risque d'y changer grand-chose ! Jusqu'à ce que, brusquement, un double drame vienne brouiller les cartes et (enfin) réchauffer les coeurs.

Recueil de six nouvelles, composées entre 1922 et 1932, explorant avec une cruauté lucide les différentes facettes de l'infidélité amoureuse.

Editions le Livre de Poche:

Adorable village de la campagne anglaise, Westease est bien tranquille... trop, peut-être ? Lorsque Roger Liddiard, jeune et brillant romancier, s'y arrête au volant de sa Jaguar, il tombe sous le charme et décide de s'y installer. Ses journées sont rythmées par l’écriture et ses rencontres avec son étrange voisinage : le Professeur, un vieux gentleman solitaire, le peintre Wyldbore Ryan, aussi cynique que capricieux, le révérend Gatacre et sa fille Mary. Mais voici que Gatacre est retrouvé mort et sa fille semble être l’assassin… Liddiard brûle de résoudre l'enquête… sans savoir à quel point sa propre responsabilité – et ses sentiments pour la belle Mary - pourraient être engagés.

Un délicieux polar à la saveur britannique. Delphine Peras, L’Express.

Un journaliste connu, Edmund Carr, apprend qu'il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Célibataire, il décide de prendre ses dernières vacances en s'embarquant sur un bateau qui va faire le tour du monde. A bord, il sait qu'il retrouvera une jeune veuve, Laura, dont il est secrètement épris. Singulière croisière : celle d'une tendre passion qui ne peut se déclarer, en même temps qu'exploration de l'univers des sentiments par un esprit lucide, délicat, sensible, mais qui ne veut, ni ne peut voir que l'amour qu'il éprouve pour Laura est partagé.

Edmund a choisi de se préparer à la mort en apprenant l'amour. Il ne s'agit pas des élans que jadis il avait connus au cours de sa carrière, mais d'une union en quelque sorte mystique, idéale.

" Une croisière autour du monde aux côtés de la femme qu'il aime. C'est ainsi qu'Edmund Carr, journaliste d'une cinquantaine d'années, a choisi de passer les derniers mois qu'il lui reste à vivre. Il a délibérément caché à Laura, la jeune veuve dont il est épris, la nature de ses sentiments et le mal qui l'accable. Au fil des jours, Edmund sent la passion grandir en lui, et avec elle, la jalousie. Pourquoi Laura passe-t-elle autant de temps avec le séduisant colonel Dalrymple ? Que faisait-il au sortir de sa cabine en pleine nuit ? Huis-clos amoureux dans l'univers confiné d'un paquebot de luxe, La Traversée amoureuse confirme le talent d'observatrice de Vita Sackville-West et son incroyable modernité. "

Peut-on tomber amoureux d'un lieu? Quand Peregrine Chase hérite du domaine de Blackboys dans la campagne anglaise, il n'a qu'un désir: le vendre, éponger ses dettes et retourner à sa vie de citadin. Mais alors qu'il découvre la vaste demeure, les rosiers et les paons majestueux qui peuplent les alentours, un sentiment de plénitude l'envahit, jusqu'à l'obséder.

Roman psychologique à la prose enchanteresse, L'Héritier est une ode à la beauté qui nous entoure.

À Hérakleion, une île grecque bercée par les mondanités, l’hégémonie d’un petit groupe de diplomates est contestée. Julian, jeune héritier de la famille Davenant, restera-t-il fidèle aux intérêts des siens ? Ou bien se ralliera-t-il aux habitants de l’île voisine, déterminés à acquérir leur indépendance ? Sans oublier qu’Eve, son impitoyable amante, pourrait bien jouer un rôle décisif et troubler certaines alliances.

Au moyen d’un jeu de miroir subtil, les îles fantasmées par l’auteure, abritant une nature superbe, deviennent le lieu de l’amour interdit entre Vita Sackville-West et Violet Trefusis : Vita sous les traits de Julian, Violet sous ceux d’Eve. Déclaration d’amour cryptée, Le Défi a ébranlé les conventions sociales de l’aristocratie britannique du début du XXe siècle. Écrit en 1918-1919, ce roman à clef n’a été publié en Angleterre qu’en 1973, après un demi-siècle de censure. Une merveilleuse ode à l’amour libre.

(Source: Éditions Autrement)

L'écriture romanesque n'empêcha pas Virginia Woolf d'écrire de nombreux articles ou brefs essais, comme autant de variations autour de ses grands thèmes. Cette édition réunit cinq de ces textes. Articles théoriques, conférence ou recherches stylistiques, Woolf y aborde, d'une plume superbe, des thèmes variés - du temps de la lecture au sens de la fiction moderne -, flâne dans Londres en hiver ou se prononce sur le travail des femmes. "Les livres de notre enfance, que nous subtilisions à une étagère de la bibliothèque censée...

Quand Virginia Woolf, aussi fascinante et au venin aussi meurtrier que cette horreur, la vipère du Gabon (Bitis gabonica) la mord au cœur en lui disant qu'elle « écrit de l'extérieur », sous-entendu qu'il vaudrait mieux qu'elle fasse autre chose, Vita Sackville-West aurait pu répondre qu'elle, Virginia, ne connaissait rien au jardinage, occupation aussi meurtrière si on la conçoit comme un des Beaux-Arts. Elle ne le fit pas, sans doute parce qu'elle était trop blessée, trop généreuse et – même si c’est démodé – trop bien élevée pour faire ce genre de répartie.

Il suffit de lire ce petit livre, musical comme un jardin anglais, pour retrouver à la fois l’artiste et la jardinière, c’est-à-dire aussi bien des images de rêve que des conseils pratiques à toutes celles (tous ceux) qui ont, ou qui désirent avoir la main verte.

Rimbaud le savait : « La main d’un maître anime le clavecin des prés »

" C'est en Egypte qu'Arthur Lomax contracta l'habitude qui, à la suite d'expériences diverses, le conduisit finalement à l'échafaud. En Egypte, la plupart des touristes portent des lunettes bleues. Arthur Lomax suivait cette mode aussi incongrue que prudente. En compagnie de trois personnes qu'il connaissait à peine, mais à l'intimité desquelles il avait été forcé par les exigences du yachting - balloté sur un âne, ses longues jambes pendantes, assorti d'un costume de toile blanche, casque colonial sur la tête, lunettes bleues sur le nez -, il contemplait le Sphinx. Mais Lomax s'intéressait moins au Sphinx qu'au phénomène produit par les lunettes qu'il portait. En fait, il avait déjà classé le Sphinx comme une chose complètement surfaite. Pourtant, comme il arrive souvent, déçu de ce côté-là, il avait été, de façon imprévue, richement récompensé d'un autre. Le monde était changé pour lui et, s'il avait pu le savoir, son avenir entier modifié par ces deux cercles de verre teinté. "

1942 : Le IIIe Reich a gagné la guerre en Europe et signé un traité de paix avec les États-Unis. Dans un hôtel au bord du Grand Canyon navigue une foule d'exilés européens ayant fui le conflit et des soldats de l'armée américaine stationnés sur une base toute proche. Ce petit microcosme se croise au fil de discussions futiles, comme si, dans cet écrin de nature sauvage, le vacarme du monde, sa dévastation, ne le concernait pas. Mais on ne fait pas la paix avec les monstres. Et le retour de la guerre est inéluctable.

Publié en 1942 et inédit en France, Grand Canyon est la toute première dystopie sur le second conflit mondial. Mettant en scène des personnages qui espèrent voir l'apocalypse s'éloigner d'elle-même, le texte résonne étrangement avec le monde contemporain et nos comportements face aux crises.

Interdite de littérature par son amante Virginia Woolf, Vita Sackville-West (1892-1962) prend en un éclair conscience des trésors qu'elle possède : un mari et un jardin. Son mari, le diplomate Harold Nicolson, conçoit l'architecture et dessine les plans de ce qui deviendra le somptueux jardin de Sissinghurst dans le Kent, que Vita, aristocrate anglaise exubérante, transgressant sans vegrogne les règles de l'art des jardins, transforme à quatre mains : elle fait surgir de terre une mosaïque de couleurs, une jungle asymétrique, une orgie dans l'aurore ou le soleil couchant, mais aussi...un extraordinaire jardin blanc. Attention, prévient-elle "j'aime la couleur, qui me met en joie, mais j'ai une prédilection pour le blanc. Les ombres d'un vert glacé que la blancheur peut prendre sous certains éclairages, au crépuscule ou au clair de lune, surtout au clair de lune, peut-être, font du jardin un rêve, une vision irréelle, et l'on sait cependant qu'il ne l'est pas le moins du monde puisque il a été planté exprès. " Ce journal, qui n'est pas sans évoquer, mais en plus féminin et en plus anglais, L'année du jardinier de Karel Čapek, est un superbe traité d'horticulture. Les conseils pratiques, organisés par saison, raviront tous les amoureux de jardins...et de littérature. Les jardins de Sissinghurst sont aujourd'hui les plus visités d'Angleterre. Les planches anatomiques des fleurs qui illustrent ce livre sont de Arthur Harry Church (1865-1937), célèbre botaniste britannique. Les aquarelles du jardin sont de Xavier Carteret. Traduit de l'anglais et préfacé par Patrick Reumaux.

En mars 1920, Vita Sackville-West prit l’étrange décision d’interdire à son éditeur de mettre en librairie son deuxième roman. « Ceux des îles », qui avait déjà été imprimé et dont on achevait alors le brochage.

Cette initiative n’était pas le fruit d’un doute sur la qualité de son œuvre, dont elle était très fière, mais le résultat de la pression de sa famille et de son entourage. En effet, derrière les personnages de Julian et Eve, héros de ce roman, ce sont Vita et Violet trefusis qui se dessinent avec une netteté qui sembla alors scandaleuse. La liaison entre les deux femmes était alors à son acmé et Vita avait d’ailleurs utilisé des passages entiers de leur correspondance dans ce livre.

Édité à un petit nombre d’exemplaires aux États-Unis, « ceux des îles » n’a paru en Angleterre qu’en 1974, à l’initiative de Nigel Nicolson, le fils cadet de la romancière, qui en écrit la préface.

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