Vladimir Jankélévitch
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Note moyenne : 6.38/10Nombre d'évaluations : 26
0 Citations 10 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Livre assez simple à lire. Les idées de l'auteur ne sont pas compliquées à comprendre. De plus, il se lit extrêmement vite!
C'est le meilleur des bouquins de philo que j'ai eu à lire pour la classe prépa (comparé avec Dissertation sur les passions de Hume, et Discours de la servitude volontaire de La Boétie).
Afficher en entierUn excellent livre, très intéressant, que j'ai beaucoup apprécié ! Notamment je pense parce qu'il m'a surpris sur la multitude de choses que l'ont peut trouver à dire sur l'aventure, qui est un sujet de réflexion bien plus intéressant que ce que je pensais au départ. L'auteur offre en effet plusieurs pistes de réflexion sur le sujet, et explique de manière assez claire ses idées. Bref un livre agréablement instructif qui de plus, se lit assez vite.
Afficher en entierUn livre qui se lit facilement et assez rapidement. C'était une agréable lecture par moment un peu ennuyeuse malgré tout, mais qui laisse le lecteur dans une profonde réflexion. Quand on se pose la question "qu'est-ce que l'aventure?", beaucoup de choses qui semblent dérisoires, nous échappent. C'est pourquoi je félicite l'auteur pour sa philosophie très pédagogique. Elle peut enseigner à tout le monde en quoi notre vie est une véritable aventure.
Afficher en entierC'est un livre qui se lit assez facilement et qui nous permet d'en apprendre plus sur le concept même de l'aventure. Les différentes distinctions faites sont assez intéressantes et les exemples abordés par l'auteur sont clairs et simples.
En somme, un bon livre de philosophie, pour ceux qui n'en sont pas vraiment fans, comme moi xD
Afficher en entierLivre que je redoutais de commencer vu mon attache à la philosophie mais finalement c'était plutôt facile à lire. L'auteur nous explique son point de vue sur l'aventure (et je dois avouer que je ne suis pas toujours d'accord) donc cela m'a permis de réfléchir !
Afficher en entierLivre intéressant, simple à lire et assez compréhensible pour les néophytes. Cependant certaines idées sont naïves et cloisonnées dans des stéréotypes dépassés (aventure amoureuse entre autre). De plus les notions abordées dans le livre ne suivent pas les définitions que Jankélévitch leur donne laissant penser à un manque de rigueur.
(Lu pour le programme de français de prépa scientifique 2018)
Afficher en entierUne pensée très intéressante sur la mort. Mais nous ne vivons plus tout à fait à la même époque que celle décrite entre ces lignes. Bien des choses ont changé, rendant cette réflexion quelque peu désuète, malheureusement.
Afficher en entierUn livre de philosophie que j'ai dû lire pour mes cours. J'ai eu beaucoup de mal à le lire, il est très long. Néanmoins cela reste un bon livre de philosophie.
Afficher en entierOu puis-je lire un chapitre de l'ironie de Jankélévitch?
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Vladimir Jankélévitch
et autres évènements
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Editeurs
Flammarion : 7 livres
Seuil : 5 livres
Albin Michel : 2 livres
L'Herne : 2 livres
Presses Universitaires de France - PUF : 1 livre
Liana LEVI : 1 livre
Gallimard : 1 livre
Points : 1 livre
Biographie
Nationalité : France
Né(e) à : Bourges , le 31/08/1903
Mort(e) à : Paris , le 06/06/1985
Philosophe et musicologue français
Vladimir Jankélévitch est né dans une famille d'intellectuels russes. Son père médecin, Samuel, fut l'un des premiers traducteurs de Sigmund Freud en France; il traduisit également des œuvres de Hegel et Schelling ; il publia des articles dans les revues de philosophie.
Les Jankélévitch fuient les pogroms antisémites dans leur pays et s'installent en France. Vladimir entre en 1922 à l'École normale supérieure où il étudie la philosophie ; il y a pour maître Léon Brunschvicg (1869-1944). En 1923, il rencontre Henri Bergson avec qui il entretiendra une correspondance.
Reçu premier à l’agrégation en 1926, Jankélévitch part pour l'Institut français de Prague l'année suivante. Il y enseigne jusqu'en 1932 et y rédige une thèse sur Schelling. De retour en France, il enseigne au Lycée Malherbe (Caen), puis au Lycée du Parc (Lyon) et enfin à l'université de Toulouse, ainsi qu'à Lille.
Sous le régime de Vichy, il est déchu en même temps de la nationalité française et de son poste d'enseignant.
En 1941, il s'engage alors dans la Résistance. Sa sœur Ida épousa le poète Jean Cassou. Durant l'occupation, Vladimir Jankélevitch réussit à faire venir toute sa famille à Toulouse, où Jean Cassou devint commissaire de la République. Il reçut l'aide du recteur de l'Institut catholique de Toulouse, Mgr Bruno de Solages, ainsi que des Francs-Maçons, notamment la famille de Henri Caillavet.
Il retrouve en octobre 1947 son poste de professeur à la Faculté de Lille. De 1951 à 1979, il est titulaire de la chaire de philosophie morale à la Sorbonne. Il est fait docteur honoris causa de l'Université libre de Bruxelles en 1965.
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