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Toutes les séries de William Irish

2 livres
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L'oeuvre de William Irish est indéniablement une des plus grandes et des plus originales de la littérature policière moderne. Une des causes essentielles de sa réussite est qu'il a compris que le secret du suspense réside autant dans la facilité d'identification au héros que dans le judicieux emploi de quelques formules qui ont fait leurs preuves. L'anxiété, l'angoisse, l'émotion véritables ne peuvent naître que si le lecteur se sent suffisamment proche de la victime, et s'il peut sans grand mal être heureux, souffrir, trembler, pour elle et avec elle!

L'originalité et la solidité de construction de ses intrigues, les qualités de sensibilité et d'émotion de ses personnages, la force dramatique et la puissance d'envoûtement de ses récits sont telles que William Irish a pris place parmi les plus grands noms de la littérature policière.Il s'est vu décerner successivement les titres de roi du thriller, de maître du récit de suspense, d'Alfred Hitchcock du detective-novel.

Ce premier tome contient treize nouvelles.

Tous les livres de William Irish

Quand elle décide de rendre visite à la maîtresse de son mari, Alberta ignore qu'elle va découvrir un cadavre. Elle ignore aussi qu'à cet instant précis, commence un dramatique compte à rebours.

Car l'homme inculpé du crime et condamné à mort, c'est Kirk, son époux. Et Alberta n'a que deux mois pour prouver son innocence. Deux mois au cours desquels elle va hanter les quartiers les plus sordides du Low East End de New York.

Dans ce monde inquiétant, peuplé de déchets humains, se cache l'assassin. Pour l'identifier, elle possède deux indices : une boîte d'allumettes et un carnet d'adresses. Le nom du meurtrier, elle le sait, commence par la lettre M... Ils sont quatre. Mais lequel est le coupable?

Elle sait que ce n'est pas elle. Mais elle sait aussi que si ce n'est pas elle, ce ne peut être que lui. Mais lui sait que ce n'est pas lui. Et qu'alors, ce ne peut être qu'elle.

Abandonnée par l'homme qui l'a séduite, Helen, enceinte, fuit New-York. Dans le train, elle sympathise avec un couple de jeunes mariés. La jeune femme, Patricia, est elle aussi enceinte. Dans les toilettes, elle confie son alliance à Helen. Mais brusquement, le train déraille. Lorsqu'Helen se réveille, dans une jolie chambre d’hôpital, elle comprend que l'alliance l'a fait prendre pour Patricia, morte dans l'accident...

Comment rêver d'une autre vie jusqu'à prendre la place d'une autre, comment tomber amoureuse, comment finir dans une impasse sans solution.

Durant la petite fête organisée pour célébrer ses fiançailles, Kenneth Bliss chute du dix-septième étage et s'écrase sur le pavé new-yorkais. Tous les participants s'interrogent pour savoir ce qu'a pu devenir la jeune blonde vêtue de noir qui bavardait avec la victime peu avant le drame. Le plus acharné à la retrouver reste l'inspecteur Wanger qui la soupçonne d'avoir poussé Kenneth. Mais les mois passent et la femme mystérieuse demeure introuvable. Jusqu'au jour où Wanger flaire de nouveau sa piste lorsqu'on retrouve un certain Mitchell, pensionné de l'armée, empoisonné au cyanure dans sa chambre. Le témoignage de la maîtresse de la victime semble corroborer ses soupçons, même si elle déclare avoir croisé une grande rousse qui avait un accent étranger. Pourtant, l'inspecteur n'est pas au bout de sa quête et il faudra encore que deux meurtres soient commis pour lui permettre d'entrevoir enfin une parcelle de vérité dans cette affaire.

La Nouvelle-Orléans était un vrai paradis." En cette année 1880, Louis Durand, marchand de café prospère, en est fermement convaincu. Il est sur le point d'accueillir sa fiancée Julia Russell avec laquelle il a entretenu une riche correspondance grâce à une petite annonce parue dans un journal de Saint-Louis. L'heure de faire véritablement connaissance est enfin arrivée et Louis est impatient de rencontrer celle qui sera sa future épouse. Si la photo de Julia révélait une personne d'aspect quelque peu sévère et terne, les échanges épistoliers l'ont convaincu qu'il avait affaire à une femme sérieuse, cultivée et désireuse de fonder un foyer. Enfin, Louis sait parfaitement qu'à l'approche de la quarantaine, il ne peut guère faire le difficile.

Lorsque le City of New Orleans débarque ses passagers, la déception est grande : point de Julia. Mais quand une époustouflante beauté lui déclare être celle qu'il attend, Louis est prêt à croire toutes les explications. Elles ont l'air si vraies et susurrées avec tant d'innocence ! Comment une telle femme a-t-elle pu tomber amoureux d'un simple mais riche négociant comme lui ? Louis le saura très vite dès lors qu'il dévalera une vertigineuse descente aux enfers.

Une chance sur mille d'en réchapper. Quatre heures pour se libérer. ELLE n'a pas le courage de partir sans lui. LUI ne peut quitter New York tant qu'il n'a pas retrouvé l'auteur d'un crime dont toutes les circonstances concourent à le charger. Les jeux semblent faits. La nécessité absolue de gagner l'aube de vitesse, s'ils veulent continuer à vivre, lance les deux jeunes gens dans une série d'aventures à vous glacer le sang...

Buddy aime bien raconter des histoires.

Pourtant, cette fois, Buddy n'invente rien : il a vu ses voisins tuer un homme, et devient alors un témoin gênant... Par un grand maître du suspense, auteur de Fenêtre sur cour, La Sirène du Mississipi et La Mariée était en noir.

Comme le souligne François Truffaut dans la préface de cet ouvrage, "Irish est moins un romancier de la Série Noire qu'un écrivain de la Série blême, c'est-à-dire un artiste de la peur. On rencontre peu de gangsters dans ses livres, ou alors ils occupent l'arrière-plan de l'intrigue, généralement centrée sur un homme ou une femme ordinaire à qui il arrive quelque chose d'extraordinaire. L'amour tient une grande place dans les histoires d'Irish, un amour total et exclusif, irremplaçable lorsqu'il est brisé. Héros et héroïne, le personnage principal d'un roman de William Irish est le plus souvent un être têtu, idéaliste, animé par une idée fixe."

Les 6 nouvelles qui forment "La Toile de l'araignée" sont typiques du talent de William Irish, maître de l'angoisse et un des plus grands auteurs de suspense.

Qu’elle est belle! Du satin, blanc comme la neige fraichement tombée. Un voile de tulle, léger comme un brouillard. Un bouquet de fleurs d’oranger, un diadème de perles…

Qui pourra deviner que cette radieuse et sereine jeune fille qui s’avance vers l’autel va vivre auprès de celui qu’elle a choisi des jours de cauchemar, où l’amour fera bientôt place au doute, à l’angoisse, à l’horreur ?

Dans l'atmosphère chaude et lourde d'une petite ville du Panama, la mort rôde...

Une mort singulière qui pour la circonstance a revêtu l'apparence d'un jaguar que l'on croyait apprivoisé mais qui s'est échappé, au grand dam de sa jolie propriétaire, la chanteuse de music-hall Kiki Walker.

La chasse à l'animal s'engage donc au milieu d'une population terrifiée. Population qui craint surtout pour ses femmes et ses filles les plus ravissantes, car, étonnamment, l'animal en folie semble s'attaquer avec une prédilection particulière, et beaucoup de sauvagerie, aux représentantes du sexe faible.

Chasse à l'animal donc, mais qui n'ira pas sans révélations surprenantes !

Maître incontesté du suspense, William Irish a campé ici dans un décor étouffant une de ses plus magistrales intrigues.

Trois longues nouvelles inédites de William Irish. Voilà de quoi réjouir les inconditionnels de l'auteur. Dans Le mystère de la chambre 813, une chambre d'hôtel « maudite », des suicides inexplicables, un mystère en chambre close, sont les ingrédients d'un suspense fantastico-policier un peu à la manière de John Dickson Carr. Et pour le pire..., a connu, en langue américaine, plusieurs versions (dont une fut traduite en français) mais celle qui paraît ici n'a jamais été traduite et son dénouement est totalement opposé à la version connue en France. Quant à Jane Brown, il s'agit d'un court roman qui représente l'une des rares incursions de Irish dans les domaines du fantastique et de la science-fiction. Bien qu'on y retrouve tous les ingrédients des « pulps » de l'époque, ils ne sont jamais utilisés de façon conventionnelle et le sens inné du suspense de Irish, sa précision maniaque du petit détail, confèrent à cette œuvre un ton inimitable.

Pourquoi l'homme aux yeux gris poursuivait-il Frank Townsend ? Pourquoi avait-on enfoncé sa porte au milieu de la nuit ? Pourquoi la jeune fille inconnue pleurait-elle en le voyant ? Le danger, Frank voyait le danger partout. Mais quel crime avait-il pu commettre pour être en danger ?

Replongeant dans la brume d'où il était sorti, il va rechercher la solution de l'énigme dans cette impasse grouillante de la grande ville qui s'appelle Tyllary Street. Tous les lecteurs de William Irish, devinent le parti que ce maître du "suspense" et de l'angoisse peut tirer d'un thème aussi étrange.

Ces 8 nouvelles nous plongent dans l'univers angoissant de william Irish.

Elle ne fut tout d'abord qu'une silhouette lointaine s'avançant vers lui. L'instant d'après, c'était une jeune fille. Puis il vit qu'elle était jolie et habillée impeccablement. Ses yeux demandaient "vous êtes seul ?". Son sourire vague indiquait: "alors, dites-le moi". Les regards échangés avaient semblé faire jaillir une étincelle entre eux. A partir d'une rencontre dans la rue, Wade et Bernice sont entraînés dans la passion d'un amour vraiment fou qui les mènera au meurtre et à la désolation.

Pour le N° 50 de la collection "Rivages/Noir", nous avons tenu à choisir un auteur prestigieux de l'âge d'or du roman noir : William Irish.

Cinq nouvelles inédites : une panthère échappée dans les rues d'une ville ; un homme malade qui s'accuse d'un crime qu'il na pas commis pour que sa femme touche une récompense ; une manucure maladroite qui tue son client ; un personnage mystérieux qui recueille les kleptomanes pour les faire travailler à son compte ; un homme qui sort de prison et valse avec le fantôme de sa fiancée morte. Mélodrame, violence, désespoir : tout l'art de Irish, concentré dans cinq de ses meilleures nouvelles.

On ne présente plus William Irish, alias George Hopley, de son vrai nom Cornell Woolrich (1903-1968). On peut seulement rappeler qu'à côté de vingt romans inoubliables, il nous a laissé quelque 250 nouvelles qui lui ont justement valu d'être surnommé l'Edgar Poe du XXe siècle. Avec Irish Murder, "Grands détectives" entame la publication d'une série de volumes consacrés aux nouvelles essentielles de William Irish.

Présentation de l'éditeur

Cinq romans et quatorze nouvelles parmi les plus représentatives de cet orfèvre de la peur William Irish occupe une place à part parmi les écrivains de romans policiers. Maître du suspense et de l'angoisse, il est le peintre de l'inquiétude, de la névrose, de la sournoiserie du destin qui broie les êtres - ou les sauve. Désormais classique, son oeuvre a inspiré des cinéastes tels qu'Alfred Hitchcock (Pénètre sur cour) ou François Truffaut (La mariée était en noir, La Sirène du Mississippi) qui ont toujours revendiqué leur dette envers son génie.

Biographie de l'auteur

De son vrai nom Cornell Woolrich, William Irish (1903-1968) débute en littérature dans les années 1920 avec des romans influencés par Francis Scott Fitzgerald avant de se tourner vers la fiction policière et les pulps; s'éloignant de la brutalité des récits de l'école hard-boiled de Black Mark, il crée un nouveau genre, le suspense, à la violence plus intérieure. Il a publié plus de trois cent cinquante nouvelles et une quinzaine de romans, qui inspireront les cinéastes : Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock), La mariée était en noir et La Sirène du Mississippi (François Truffaut), Lady Fantôme (Robert Siodmak) ou j'ai épousé une ombre (Robin Davis) sont des classiques de l'écran.

Présentation de l'éditeur

William Irish (1903-1968) occupe une place à par parmi les écrivains de romans policiers. Maître du suspense et de l'angoisse, il est le peintre de l'inquiétude de la névrose, de la sournoiserie du destin qui broie le

êtres - ou les sauve. Désormais classique, son œuvre a inspiré des cinéastes tels que Hitchcock (Fenêtre sur cour) ou Truffaut (La Mariée était en noir, La Sirène d

Mississippi) qui ont toujours revendiqué leur dette son génie

" L'œuvre de William Irish donne l'impression d s'écouler entre chien et loup, de dégager cette poésie un peu désespérée qui s'attache aux heures blafardes et d'arborer la couleur des cauchemars. C'est sans doute pour cela qu'on a surnommé son auteur l'Edga

Poe du XXe siècle. " (Jacques Baudou

C'était le 150è jour avant la date fixée pour son exécution. Il était entré par hasard dans un bar aux lumières tamisées. Elle était seule, vêtue de noir, d'apparence discrète.

Et pourtant, elle portait un chapeau qui frappait par sa forme et sa couleur, un chapeau qui semblait dire : "Quand j'ai ce chapeau, prenez garde : je suis prête à toutes les audaces."

Elle n'avait pas de projets pour la soirée et avait accepté de l'accompagner au spectacle. Comme deux amis de rencontre, sans échanger ni noms, ni adresses, ni détails personnels.

Plus tard, de retour chez lui, il trouvait sa femme morte, assassinée, entourée de trois policiers. Son alibi était un fantôme.

Le scénario organisé par son avocat et celui de sa femme écoeure Duane mais, l'adultère étant le seul motif de divorce admis à New York, il a accepté de se laisser surprendre dans un hôtel en compagnie d'une inconnue. Il en sortira menacé d'une inculpation pour meurtre.Les affres de ce brave homme pris au piège du sordide puis du tragique de la vie font tout l'attrait et le suspense de "Divorce à l'américaine", la première des six nouvelles contenues dans ce recueil auquel elle donne son titre.

C'est par honnêteté aussi et à cause d'un bouquet de roses de trop que Dick Walsh devient "Un détective amateur" et se lance dans une enquête où l'humour ne le cède à la gravité qu'à l'instant du dénouement. Un humour franc, bien différent de l'humour amer qui s'exhale soudain à la fin de "Lorsque l'amour s'en va".

William Irish a le double talent de tisser des intrigues ingénieuses et d'y impliquer des gens qui ont la densité du réel, même quand ils sont victimes de l'inexplicable comme le milliardaire promis à mourir "Dans la gueule du lion", des gens soumis à la fatalité, celle des étoiles ou celle de la justice qui arme de patience et d'astuce les policiers jusqu'à ce qu'ils découvrent la preuve cherchée - "Une seule goutte de sang", par exemple. Car il n'y a pas de crime parfait, ainsi que le démontre "Il ne faut qu'un instant pour mourir", mais il y a de parfaits créateurs de suspense et Irish en est un.

Les huit nouvelles qui composent ce recueil sont typiques du talent de William Irish, maître de l'angoisse qui fut un des plus grands auteurs de suspense et un des meilleurs représentants du "roman noir". Vachardes, astucieuses, insolites, toutes ont au moins un point commune: l'Humour triomphal.

Une baignoire remplie de sang... un amnésique injustement accusé d'un assassinat... une étrange demeure où la mort rôde dans des passages secrets... un détective déguisé en gigolo... le meurtre d'une actrice... un suicide raté...

Tels sont certains des ingrédients qui composent ce volume de six textes inédits de William Irish, "l'Edgar Poe" du XXè siècle.

Considéré par François Truffaut comme "un artiste de la peur"; William Irish a inspiré plusieurs dizaines d'adaptations au cinéma. Il a été tiré de son oeuvre des films aussi célèbres que "Fenêtre sur cour", "La Sirène du Mississippi", "La mariée était en noir" ou "J'ai épousé une ombre".

Brune ravageuse ou blonde peroxydée, danseuse de cabaret louche ou bourgeoise grand teint, victime tremblante ou furie écumante... Des femmes, encore et toujours des femmes. Et des histoires d'amour rien moins que roses. Car avec ces créatures-là, c'est à la vie à la mort.

A la mort plutôt...

Cinq nouvelles d'un maître du suspense.

Le hasard fait souvent mal les choses. Bien des accusés le sont à tort et bien des meurtres n'ont pas été voulus. Dans ce recueil, William Irish a le sens des coïncidences qui mènent à la mort. Mort soupçonnée comme dans "Meurtre au snack" et "L'Inspecteur n'aime pas se presser", mort camouflée en vie dans "Danse macabre."

Ces nouvelles ont pour décor l'hôtel minable, le dancing populaire, l'arrière-salle du commissariat. Pour époque, les années noires. Pour thème, l'amour, le malheureux traqué par des puissances qui lui échappent.

La première nouvelle, "Du crépuscule à l'aube", qui donne son titre au recueil, nous en apprend davantage sur l'angoisse des années 30 que des volumes entiers d'histoire sociale. Celle intitulée "Danse macabre" est la vision fantastique d'une réalité sordide.

Désespérance, extrême solitude et quelques lueurs de tendresse humaine, telle est l'atmosphère des nouvelles de William Irish, l'un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

On ne présente plus William Irish, alias George Hopley, de son vrai nom Cornell Woolrich (1903-1968). On peut seulement rappeler qu'à côté de vingt romans inoubliables, il nous a laissé quelque 250 nouvelles qui lui ont justement valu d'être surnommé l'Edgar Poe du )0(e siècle. Avec Irish Blues, "Grands détectives" poursuit la publication d'une série de volumes consacrés aux nouvelles essentielles de William Irish.

Le stylo

Une incroyable histoire Saint-Louis Blues

La boucle d'oreille

Cendrillon et les gangsters La seule issue

Double programme

Si le mort pouvait parler La mort entre deux danse

On ne présente plus William Irish, alias George Hopley, de son vrai nom Cornelle Woolrich (1903-1968).

On peut seulement rappeler qu'à côté de vingt romans inoubliables, il nous a laissé quelque 250 nouvelles qui lui ont justement valu d'être surnommé l'Edgar Poe du XXe siècle.

Avec Irish Bar, "Grand détectives" poursuit la publication d'une série de volumes consacrés aux nouvelles essentielles du William Irish.

Manège à trois

Des yeux qui hurlent

Charlie ne rentre pas ce soir

Crains la femme avant le serpent

Histoire policière

Parions une vie !

"Qu'ils soient fauchés, minables ou puissants, les personnages d'Irish sont tous victimes d'une passion qui les amène à découvrir que la vie est plutôt horrible, mais qu'il faut s'en accommoder par humour ou par dignité. Pourtant on se sent bien dans cette atmosphère glauque. Peut-être parce que l'auteur, loin de juger ses créatures, s'identifie complètement à elles. Il sait que, comme ses héros, il peut tomber amoureux d'une vamp dans un milk-bar, trouver un cadavre en se promenant dans un musée ou se laisser berner d'une manière éhontée simplement parce qu'il aime. Tout cela finira mal, bien sûr. Mais n'est-ce pas l'issue de toute vie?" (Commentaire de Jean-Pierre Enard, du journal VSD).

"Irish Detective" contient sept nouvelles écrites par William Irish,reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

Cet ouvrage contient sept des meilleures nouvelles écrites par William Irish, reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

Cet ouvrage contient neuf des meilleures nouvelles écrites par William Irish, reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

« L'oeuvre de William Irish (1903-1968) pourrait servir d'illustration au fameux titre de Cioran : "De l'inconvénient d'être né". Rien ne s'arrange jamais vraiment, tout peut recommencer demain. La seule vérité c'est la solitude absolue des êtres, que l'on a rarement décrite avec autant de puissance.»

D.F. Recatala, Le Polar

Anthologie étable par Jean-Claude Zylberstein.

« Il existe chez 10/18 une collection qui s'appelle "Grands détectives". Ladite collection ne se contente pas d'offrir ces "polars" de vacances plus ou moins bien ficelés, mais de vrais grands textes, psychologiques, astucieux, humoristiques et tout, qui font les beaux chemins de traverse de la littérature. Or, voilà que "Grands détectives" nous propose une fabuleuse série de William Irish. Et ceux qui eurent une jour l'idée de le baptiser l'Edgar Poe du XXe siècle eurent bien raison de lui accrocher une appellation de première qualité : ses petits récits sont extraordinaires.»

Danièle Brison

"Dernières Nouvelles d'Alsace", 1986

Cet ouvrage contient sept des meilleures nouvelles écrites par William Irish, reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

Cet ouvrage contient cinq des meilleures nouvelles écrites par William Irish, reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

"Larry était parti pour une lune de miel en bateau après avoir épousé Mitty, une ravissante jeune fille au charme exotique. Bloqué sous les tropiques, il s'aperçoit qu'un démon est caché dans cette femme.

Quel dialecte étrange Mitty murmure-t-elle dans son sommeil?

De quel rite barbare est-elle l'esclave?"

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'William Irish (1903 - 1968) surnommé "l'Edgar Poe du 20ème siècle" est l'auteur de romans célèbres adaptés au cinéma: "Fenêtre sur Cour" (Alfred Hitchcock), "La Mariée Était en Noir" (François Truffaut).

Michel Lebrun: "Ahurissant récit d'aventures exotiques mêlées de fantastique, où l'on retrouve les influences de Rider Haggard" - L'année du polar 88, éditions Ramsay."

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Cet ouvrage contient sept des meilleures nouvelles écrites par William Irish, reconnu comme un des plus grands auteurs de suspense de la littérature policière.

Il vit d'abord Vilma : c'était la brune. Puis il vit Gilda : c'était la blonde. Au milieu d'un tableau vivant formé par cinq ou six nymphes, Gilda, c'était l'attraction principale. Etait-elle aussi nue qu'elle le paraissait ? Là n'était pas la question car elle savait déchaîner l'enthousiasme sans lever le petit doigt ...

Une jeune femme, seule, dépressive, range sa chambre et tombe par hasard - mais est-ce réellement un hasard ? - sur le seul objet que lui a légué son défunt père : un revolver. Elle le manipule, le tourne, le retourne puis, mue par une impulsion subite, le colle contre sa tempe. Et presse la détente. Rien ne se produit. Folle de joie d'avoir survécu, la jeune femme jette l'arme sur une table proche. Rate son but. Le revolver tombe à terre. Et le coup part... Soudain, par la fenêtre ouverte, un gémissement attire l'attention de la jeune femme : une passante gît à terre sur le trottoir, mortellement blessée. Par elle.

Ce n'était plus une coïncidence. Tous les crimes avaient eu lieu un 31 mai. Une mort atroce pour ces Jeunes femmes, mais ce n'était rien comparé à l'indicible douleur d'un père, d'un amant, d'un mari. Près du cadavre, on trouvait un mot qui disait: "Maintenant, tu sais ce que l'on ressent". Celui qu'on a cent fois nommé le "maître du suspense" est aussi celui du cauchemar et de la peur. Dans ses histoires lancinantes et funèbres, c'est la mort et elle seule qui règle les rares instants de bonheur et résout les peines de cœur. Hitchcock disait de ses romans: "Si vous n'éprouvez pas une terreur délicieuse en lisant cela, pincez-vous, vous êtes probablement déjà mort".

Ce nom était dans une annonce dans le journal : le journal était dans une poubelle, dans le parc. Et moi, j'étais dans le parc, en train de vadrouiller.

Ce qui n'arrangeait pas les choses, c'est que j'étais alors beaucoup trop jeune pour ne pas me rebiffer. Les vieux sont résignés. Je ne l'étais pas. J'avais le sentiment que tout cela n'était pas juste, je me sentais tellement amer que j'étais mûr pour accueillir le hasard. Et le hasard, avec des voies détournées, se mit à l'oeuvre.

William Irish (1903-1968) est l'un des grands maîtres du suspense. Cultivant les atmosphères étranges et inquiétantes, il est considéré comme le Edgard Poe du 20 ème siècle. Ses œuvres ont été souvent adaptés au cinéma et à la télévision.

Ce livre contient :

- Si je devais mourir avant de m'éveiller (If I Should Die Before I Wake)

- Le locataire d'en haut (The man upstairs), La boucle d'oreille (The earring),

- Crains la femme avant le serpent (A Death Is Caused),

- Entre les mots (Murder Obliquely)

- Le Ruban bleu (The Blue Ribbon)

(Source : Wikipedia)

Entre le crépuscule et les premières lueurs de l'aube, cinq hommes et une femme vont jouer leurs vies contre la chance qui les trahit, contre le destin qui les accables, contre leurs semblables qui les ont déjà condamnés.

Dans la solitude hostile de la nuit new-yorkaise et dans la banlieu de Chicago, à Hollywood comme à Montrèal, à Brooklyn comme à Zacamoras, six pièges identiques se sont rrefermés sur six victimes innocentes. Six "faux coupables" doivent, avant le lever du jour, retrouver les autres des crimes dont on les accuses avant qu'il ne soit trop tard. Une course desespérée contre la mort, un suspense haletant conduit par l'un des mîtres du roman noir américain.

(Presses Pocket, 1976)

Debout sur le parapet, prête à sauter dans le vide, elle avait rejeté la tête en arrière et, de la main, s'abritait les yeux, comme pour se protéger des étoiles. Elle était jeune, belle, riche, et elle voulait mourir... Tout avait pourtant commencé de façon si banale : une goutte de consommé répandue sur une robe de bal ; un regard furtif... et les forces maléfiques s'étaient déchaînées contre Jeanne, la poussant vers l'angoisse et vers la mort.

Né à New-York, William Irish (1903-1968) a travaillé à Hollywood comme scénariste et publié d'innombrables nouvelles dans des pulps, avant de devenir l'une des figures les plus emblématiques du roman noir moderne.

Ève et Scott, amoureux en fuite, se promènent dans la jungle urbaine de la Havane. Ils n'y sont jamais allés et pourtant la mort guette l'un d'eux...

Dans UNE INCROYABLE HISTOIRE, se souvenant de l'enseignement d'Henry James, l'auteur donne un tour d'écrou à notre émotion en mettant un enfant face à des criminels. Si vous avez vu le film qu'on en tira, vous retrouverez, à la lecture de cette nouvelle, l'angoisse qui vous étreignit dans la salle obscure, sinon vous n'aurez aucune peine à imaginer ces saisissantes images grâce à l'évocatrice précision d'Irish.

Dans ST. LOUIS BLUES, conté avec le concours de deux sens seulement, l'ouïe et le toucher, nous nous trouvons littéralement dans la peau d'une aveugle, et cela rend encore plus bouleversante cette pathétique histoire.

Quant à l'héroïne de ce petit chef-d'œuvre que William Irish intitula LA BOUCLE D'OREILLE et dont nous avons la joie de vous offrir ici la première traduction intégrale, n'est-ce pas la " Mme de... " du roman policier.

Avec LE STYLO, une sorte de vertige nous saisit, analogue à celui que l'on éprouve lorsqu'on voit quelqu'un jouer imprudemment avec une arme chargée.

Quant au RUBAN BLEU, c'est certainement une des plus émouvantes qu'ait écrites Irish, mais l'émotion qu'elle suscite vient uniquement du coeur.

QUINTE A LA MORT vous procurera une soirée d'émotions qui ne seront jamais vulgaires. Mais si vous pouvez lire UNE INCROYABLE HISTOIRE avec indifférence, sans que rien s'émeuve en vous, alors n'allez pas plus loin : ce livre n'est pas pour vous.

Le silence. Le silence tapit autour d'elle comme une bête prête à bondir. Le silence vibrant comme un tambour mais qui se prolonge tellement qu'il finit presque par engendrer l'espoir. Puis un bruit léger, à peine audible... le glissement d'une fenêtre à guillotine que l'on referme.

Sans vouloir aucunement rivaliser avec Stendhal, c'est de l'Amour que traite William Irish dans ce recueil de nouvelles où s'affirme une fois de plus d'éclatante façon cette science du suspense qui l'a rendu mondialement célèbre. Amour filial aussi bien que paternel, amour d'un chien pour son maître, amour du jeu, amour de rencontre et même amour qui n'ose pas dire son nom, amour aveugle ou désespérément lucide mais par-dessus tout, pour aussi paradoxal que cela puisse paraître dans un livre jalonné de cadavres, amour de la Vie !

- Dans ton métier, ce n'est pas ce que tu fais pendant tes heures de travail qui compte, c'est la façon dont tu emploies tes loisirs. T. V. et bière, bière et T. V. ; tu ne penses pas à autre chose quand tu as fini de travailler. Pourquoi ne cherches-tu pas plutôt à enrichir ton esprit ?

- De quelle façon ?

- En allant dans un musée, de temps à autre. Notre ville est pleine de musées, Dieu sait ! Regarde les oeuvres d'art, les statues... Lis un livre !

Je souris.

- Tu as parlé de statues, j'irai donc voir des statues, déclarai-je en prenant mon chapeau.

Dans le métro, il me vint une idée. Au lieu de procéder par le détail en allant voir un tas de petites statues, pourquoi ne pas en mettre un bon coup en commençant par une grande ? Ça me ferait gagner du temps et j'imaginais la tête de Mary-Anne lorsqu'en rentrant je lui dirais :

- Tu vas être contente : j'ai été voir une statue, la statue de la Liberté, et je l'ai même examinée sous tous les angles !

Les yeux du flic se révulsent. J'en vois le blanc dans l'obscurité ; il tousse et je reçois son haleine au visage, toute tiède. Et le voilà qui s'abat sur moi de toute sa hauteur, lentement, paresseusement. Je fais un écart et il tombe avec un choc mou, oscille un instant soue l'effet de la chute, puis il reste là sans mouvement.

Mais le couteau a été retiré de son corps depuis un moment déjà, et sa pointe est appuyée maintenant contre ma hanche. Là où se tenait le flic un seconde auparavant, maintenant il y a "lui". Nous voilà donc seuls, tous les deux.

Il prononce d'une voix froide, tout à fait calme :

— Essaye voir de gueuler, et je t'envoie lui tente compagnie...

Puis il pousse le flic avec son pied et le corps dégringole jusqu'au bas des marches et roule dans le passage.

"De même qu'il y a du Raymond Queneau chez David Goodis, il y a du Cocteau chez Irish, et c'est ce mélange de violence folklorique américaine, d'odeur d'hôpital et de prose poétique à la française qui nous émeute tant". François Truffaut, (février 1980)

Meurtre à la seconde, c'est la réunion des cinq plus épouvantables nouvelles qu'ait écrites William Irish. Le lecteur, tournant les pages d'un doigt tremblant, reste haletant, suspendu - oui, c'est bien de suspense qu'il s'agit, car ce mot, tant décrié, trouve dans ce volume passionnant sa signification parfaite.

- Sais-tu où je t'emmène ? ajouta Wash Gordon. Dans un ranch... pour fumer de l'herbe !

- Un ranch ? Fumer de l'herbe ? répéta Turner sans comprendre.

Les trois autres échangèrent des regards de commisération, avec l'air de se dire : " Non, quel corniaud! Il ne connaît vraiment rien à rien ! "

- La marihuana. Un ranch, c'est l'endroit où on la fume.

Le sergent de semaine, qui somnolait derrière le bureau, leva les yeux. Le détective désoeuvré, qui feuilletait un magazine tout en se balançant sur les pieds arrière de sa chaise, redressa la tête. Et quand le visiteur s'arrêta sous le plafonnier, comme sous un projecteur, la stupeur leur fit fermer les yeux et ouvrir la bouche. Un planton qui s'en revenait de boire un verre d'eau s'immobilisa aussi en voyant qui était là. Puis, se rapprochant du détective, il lui chuchota derrière le dos de sa main :

- C'est Eddie Bloch, n'est-ce pas ?

Le détective ne se donna même pas la peine de répondre, tellement la chose était évidente. Tous trois demeurèrent tournés vers l'homme figé sous le plafonnier, le regardant avec intérêt, respect et presque admiration.

Alors Tomiko se mit à courir, telle une possédée, vola hors de la maison, bondit dans la voiture sans même se donner le temps de refermer la portière. La clef de contact était bien là... Tomiko actionna le starter : le moteur tourna une ou deux fois, puis s'arrêta.

- Viens, mon chou, dit Lyons en la saisissant à deux bras et la tirant hors de la voiture. Je m'en vais commencer par te gratifier d'une séance d'amour comme aucune femme n'en a encore connu depuis l'invention des lits. Ça, c'est parce que je t'aime. Et ensuite, je te tuerai, parce qu'il se trouve aussi que je te hais !

Je m'étais traîné sur le parquet jusqu'au placard dont j'avais désespérément refermé la porte sur ce qu'il contenait. Je l'avais fermée à double tour et j'avais mis la clef dans ma poche, puis j'avais dressé une barricade en empilant contre le placard, une table, une chaise, tout ce que j'avais pu trouver. Après ç'avait été la fuite, une fuite éperdue à travers le dédale des rues, me cachant dans des embrasures de porte, tournant furtivement au coin des murs... Une fuite qui semblait se prolonger Interminablement... Mais je fuyais quoi ? Je fuyais où ?

Il était maintenant seul dans la maison avec le cadavre d'une femme assassinée, mais cela ne l'effrayait pas. Ce qui le tourmentait, c'était comment emmener ce cadavre, alors que leur maison était environnée d'autres villas. Pourtant, il lui fallait la sortir de là et la couper en morceaux pour la fourrer dans une valise était d'autant moins envisageable qu'elle avait un rendez-vous, où il lui fallait arriver intacte pour se faire assassiner. Bien qu'elle fût déjà on ne peut plus morte, son assassinat ne serait perpétré que dans plusieurs heures et loin du bungalow. Pour les détails, on allait voir. Ce qui importait avant tout, c'était de lui faire quitter cette maison où aucun meurtre n'avait été commis, pour lui faire rejoindre son assassin, lequel ignorait tout du rôle qu'il allait jouer à son insu.

Rien n'attise plus la haine que la réussite d'un rival. On garde une dent contre le dentiste... et l'on s'en sert pour monter un affreux traquenard que l'on espère bien fatal. Ou tel Nick Demetrios on paie un homme de main qui se chargera de supprimer le restaurateur concurrent en imaginant une histoire de pneu à plat. Ou l'on voue au feu celle qui vous a supplantée sur l'écran comme l'héroïne de Bout d'essai...

C'est compter sans le grain de sable jeté dans les machinations les mieux montées par cet élément indéfinissable qui s'incarne dans un ami fidèle ou un policier astucieux, manifestation peut-être de l'ironie du sort qui admet parfois que tous les coups sont permis, mais seul le résultat compte pour cette force obscure qui se rit des hommes.

Il y a de l'humour noir dans sa façon de conclure drôlement fortiches, ces Américains mais plus de gaieté dans la course de la pomme qui finit sous le pas d'un cheval. L'Idole aux fesses d'argile appartient comme La Honte à un autre registre. Par contre, le destin se fait complice de La Lune de Montezuma et régit la vie d'une autre plus encore que l'argent, cause première de l'épouvante qui règne dans Et soudain plus d'Alice.

Onze nouvelles de « détection » plaisantes ou poignantes mais, toujours diverses et divertissantes.

WILLIAM IRISH s'est vu décerner successivement les titres de roi du thriller, mettre du récit de suspense, Alfred Hitchcock du détective-novel, surnoms qui en disent long, à la fois sur le succès de son oeuvre et sur le genre dans lequel elle s'est principalement illustrée.

Cette oeuvre est indéniablement une des plus grandes et des plus originales de la littérature policière moderne.

La solidité de construction de ses intrigues, les qualités de sensibilité et de ses personnages, la force dramatique et la puissance d'envoûtement de ses récit sont telles que, pour note part, nous n'hésitons pas faire nôtre ce jugement des l'excellent critique, traducteur et auteur policier M.B Endrèbe : a parmi les auteurs de nouvelles policières, le plus grand depuis Gilbert-Keith Chesterton est sans contredit William Irish. »

Source : Pocket

Le nom du meurtrier commence par un « M ». Dans la vie malfaisante de Mie tant d'hommes ont joué le rôle de victime qu'il s'en trouve quatre dont le nom a cette lettre pour initiale.

Guidée par ce douteux fil d'Ariane, Ange va, pour sauver la vie de son mari, risquer la sienne dans des bas-fonds élégants et sordides où sa pureté sèmera le désespoir et la mort.

Source : J'ai Lu

Pourquoi l'homme aux yeux gris poursuivait-il Franck Townsend ? Pourquoi avait-on enfoncé sa porte au milieu de la nuit ? Pourquoi la jeune fille inconnue pleurait-elle en le voyant ? Quel crime avait-il pu commettre pour être ainsi en danger ?

Le rideau noir de l'amnésie va-t-il enfin se lever? Angoissant, haletant, voici le moins connu des chefs d'oeuvre de l'auteur de La Mariée était en noir, celui que François Truffaut appelait l'artiste de la peur

Horreur ! Le cran de sûreté était encore mis, sans doute ! Elle le poussa trois ou quatre fois de l'ongle de son pouce. Il n'était pas mis, il était en position de tir. Elle se rappela l'avoir enlevé dans l'escalier.

Il y avait six balles dans le chargeur, lui avait dit Prescott. Six coups, en cas de besoin. La détente fut pressée cinq fois, et cinq fois fit entendre un bruit de métal frappant du métal et rien d'autre. L'arme était vide.

Il devait savoir que le pistolet était vide, cet inconnu à la porte. Il avait dû pénétrer au cours de la journée, dans cette maison même, à un moment où elle n'était pas là, et l'avait vidé, puis remis sous l'oreiller.

Susan eut un cri de désespoir, auquel se mêla un éclat de rire sinistre.

Elle lui lança le pistolet à la tête pour l'écarter, mais il ne fut même pas touché. La vitre endommagée fut frappée à un nouvel endroit, l'arme passa au travers et plongea dans la nuit.

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