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William Riley Burnett

Auteur

30 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

William Burnett est né le 25 novembre 1899 à Springfield (Ohio). Polars, westerns, nouvelles, pièces de théâtre, scénarios, Burnett touche à tous les styles. S’il est publié sur le tard, à 30 ans, ce n’est pas faute de noircir depuis sa plus tendre enfance des pages et des pages. Devenir écrivain, c’est l’ambition de toujours de William Burnett.

Il est l'auteur de 35 romans (dont 26 seront adaptés au cinéma). Il meurt le 25 avril 1982 à Santa Monica (Californie).

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.27/10
Nombre d'évaluations : 15

0 Citations 10 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de William Riley Burnett

Sortie France/Français : 2015-06-03

Sortie Poche France/Français : 2022-04-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par fanfan50 2014-01-28T10:02:03+01:00
Le capitaine Lightfoot

J'ai lu ce roman d'aventure d'une traite car c'est facile à lire et très mouvementé. Il y a beaucoup d'action, et des histoires d'amour et cela finit bien. Un bon roman à mettre dans les mains d'un jeune ado.

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Commentaire ajouté par mika1204 2016-02-08T08:59:33+01:00
Terreur apache

Un roman western de bonne qualité. Sympa pour se changer l'esprit et voyager quelques heures chez les cow-boys.

Beaucoup de grosses ficelles, des personnages très tranchés... mais au final un bon moment de lecture divertissant quand même.

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Commentaire ajouté par Donzearo 2017-09-01T15:36:55+02:00
Terreur apache

Une bande d'apaches irréductibles, ne voulant être cantonnés en réserve, sèment la terreur et les corps dans l'Ouest américain maintenant colonisé en quasi-totalité par « l' Homme blanc ». L'armée régulière dépassée, les hautes instances font alors appel à Walter Grein, éclaireur marginal, ingérable, mais connaissant sûrement mieux les apaches et cet Ouest hostile que les bureaucrates le gérant de loin. Grein, personnage rugueux mais respectant autant ses chevaux qu'il déteste les apaches, se lance alors à la poursuite de Toriano, chef de ces apaches insoumis, accompagné d'une équipe hétéroclite mêlant à la fois indiens, soldats et éclaireurs.

Mais ne vous y trompez pas. Ici pas de cavalcade et poursuite façon John Wayne. Pas de fusillade à tout va. L'ambiance est beaucoup plus posée, s'arrêtant sur les états d'âme de Grein, de son affection naissante pour la femme de son supérieur au désir d'une retraite bien paisible dans un Ouest tranquille tout en détaillant cette chasse à l'homme au travers de paysages époustouflants. Car William R. Burnett sait y faire. Son écriture est visuelle, précise dans le détail, nous sommes fatigués, usés par le soleil, nous sentons cette poussière qui les recouvre en fin de journée. Cette façon d'installer le décor ralentie le récit c'est certain, mais cette lenteur nous permet de nous poser, de presque nous asseoir avec Grein et son équipe pour observer, admirer la beauté des lieux traversés par les traqueurs. du bon western. Un vrai Western, qui ne se défile pas devant la question indienne de l'époque en nous donnant la vision des différents personnages. Un western sauvage, brûlant, violent et drôle.

En refermant ce livre je m'attendais tout simplement à voir devant moi Eddy Mitchell se retourner, me saluer et entonner de sa voix caverneuse « La dernière séance » avec au fond le rideau tombant sur l'écran. William R. Burnett venait de me propulser vingt-cinq ans en arrière. J'étais là, assis en chien de fusil la tête posée sur l'épaule de mon père dans notre vieux canapé familial en tissu marron usé, les yeux grands ouverts, émerveillé par cette histoire de cow-boys et d'indien.

Une bien belle idée que cette collection, avec ce titre que je ne peux que vous recommander.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-09-11T21:00:28+02:00
Terreur apache

S’ils eussent été plus, nous aurions eu des problèmes ! Enfin, les nouveaux habitants des États-Unis eussent eu des problèmes si les Apaches eurent été 200.000 au lieu de 6.000 (par un prompt renfort, ils auraient pu…).

Oui, si les terribles guerriers Apaches avaient été plus, sûr qu’ils auraient bouté les colons Blancs hors du territoire.

Ils étaient sans pitié, attaquaient par surprise, évitaient les batailles rangées et fichaient le camp aussi vite, après avoir pillé tout ce qui pouvait se voler. Des guerriers fantômes, presque.

Durant tout le récit, nous allons courir après ses fantômes, une petite trouve d’une vingtaine de jeunes guerriers qui ont rejoint Toriano et qui mettent cette partie de l’Arizona et de la frontière avec le Mexique à feu et à sang.

De vrais fantômes car jamais nous ne connaîtrons leur motivations ou leurs aspirations car jamais l’auteur ne leur donnera la parole. Nous suivrons le groupe constitué par Walter Grein, le chef des éclaireurs (bourru, ne souriant jamais et misanthrope) et ses hommes, des marginaux constitués d’un ancien soldat Sudiste alcoolo et d’éclaireurs Indiens, métissés ou que l’on a « civilisés » dans nos écoles de Blancs.

Grein a plus de respect pour ces hommes que pour les bureaucrates de Washington qui pensent beaucoup mais qui ne font pas grand-chose, à part pérorer sur des sujets qu’ils ne connaissent pas (c’est toujours le même de nos jours, dans tous les pays).

♫ Sous le soleil, exactement ♪ Oui, le soleil est implacable et la poursuite impitoyable car la politique et l’administration vont venir s’en mêler, sans oublier les braves gens qui pensent que l’on peut discuter avec Toriano.

Ben non, on ne discute pas, on ne montre pas ses faiblesses, on ne fait pas preuve d’indulgence, sinon, les Apaches se gausseront de vous et cela en sera fini pour vous. Walter Grein le sait, mais certains biens pensants de Washington ne veulent pas le croire, malgré les preuves sous leurs yeux. Ce sont des bureaucrates et ne connaissent rien à la réalité du terrain.

Ici, pas de duels, mais une poursuite, dans les montagnes, dans des reliefs accidentés, sous une chaleur d’enfer, avec des chevaux qui n’en peuvent plus, qui souffrent du manque de nourriture, d’eau et de fatigue et les hommes de même.

La mauvaise humeur gronde car le manque de sommeil (et de café chaud) aigri l’humeur de tous. L’auteur a réussi à nous décrire les paysages grandioses et le climat rude et dur. Non, on ne court pas, on se hâte lentement car la vitesse est impossible et il faut faire gaffe à ce qui pourrait surgir de partout.

Les personnages des poursuivants étaient bien détaillés, Walter Grein, le cynique, est capable de faire preuve de bons sentiments… Par contre, son caractère effronté lui jouera des tours, permetant à l’auteur de parler des différences de points de vues entre les habitants de l’Est, bien protégés, civilisés et ceux de l’Ouest, plus bruts de décoffrage et violents.

Dommage que ce roman, qui ne manque pas de rythme ni d’action, ne donne pas une place plus importantes aux Indiens rebelles, que l’on en sache un peu plus de leur mode de vie, de leur fuite, de leurs attaques.

Tout le récit est tourné vers les Blancs, qu’ils soient soldats, officiers, éclaireurs ou petites gens qui ont peur. Nous aurons juste l’intervention d’un Indien, mais un pacifiste, lui. Je saluerai quand même que l’auteur ne fait jamais preuve de manichéisme. Rendons à César ce qui est à César (Burnett a écrit "Little Caesar", au fait).

Un bon western, âpre, noir, sec, qui ne prend pas de pincettes et appelle un chien un chien, qui ne se voile pas la face et qui balance le politiquement correct aux cactus (pas d’orties dans le désert).

Mais il a manqué une petite touche Indienne dans le récit afin de mettre tout le monde à égalité et de donner la possibilité au lecteur d’avoir de l’empathie (ou pas) pour ces féroces guerriers qui ont semé la mort sur leur passage.

Pas de panique, on enfourche de nouveau son canasson et on poursuit son exploration du western en roman avec la collection L’Ouest, Le Vrai parce que ici, c’était pas du cinéma ! On pue le sueur, on sent pire qu’un chacal et on a mal son cul à force de chevaucher. La belle vie, en quelque sorte.

Pour se coucher moins con au soir : Le personnage de Walter Grein s’inspire en partie du célèbre chef des éclaireurs durant les guerres indiennes, Al Sieber.

Dutchy joue son propre rôle. Cet Indien extraordinaire fut le plus grand traqueur de tout le Sud-Ouest, autant parmi les Rouges que les Blancs. “Celui-qui-marche-dans-la-montagne” était surnommé Coyote Jaune par son propre peuple. Les Blancs l’appelaient Dutchy. C’était un génie.

Toriano fait revivre le grand chef de guerre apache Victorio. Les noms de lieux sont fictifs.

Transposé à l’écran (Le Sorcier du Rio Grande) et source d’inspiration du chef-d’oeuvre de Robert Aldrich (Fureur apache), ce dernier combat contre les Apaches s’appuie sur des faits historiques.

En fait la véritable adaptation cinématographique d’Adobe Walls titre V.O du roman), celle qui capture l’opacité, la narration au scalpel, le refus des clichés, s’intitule Ulzana’s Raid (Fureur apache), un des chefs-d’œuvre de Robert Aldrich et le plus grand western des années 1970 (et merdouille, je ne le possède pas).

Un film rendant palpable ce combat entre l’idéalisme et la réalité brute qui est au cœur des romans de Burnett, ce mélange de grâce épurée et de précision impitoyable, cette vision nette, décapante, qui nous fait regarder le monde autrement (putain, je le veux !).

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Commentaire ajouté par Sylvie-332 2020-11-03T16:10:13+01:00
Good-bye, Chicago

Il y a comme un parfum de Cinéma de Minuit dans cette nouvelle édition du roman de William R. Burnett (traduction de Rosine Fitzgerald, révisée par Marie-Caroline Aubert), et on s'attend à voir surgir James Cagney à chaque page. Une belle et bonne histoire de gangsters dans un Chicago éternellement noir et blanc dans notre imaginaire. Vous y trouverez de l'action et des coups de feu évidemment, du whiskey de contrebande et des femmes fatales, bien sûr, mais aussi une certaine nostalgie d'un monde qui n'existe plus, et n'a aucune chance d'exister à nouveau.

Si, comme moi, vous êtes amoureux, amoureuse, de la Série Noire, mettez une galette de jazz sur votre platine, et faites un détour par 1928, et vous verrez : la nostalgie a du bon.

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Commentaire ajouté par Gryfondor 2020-11-08T13:24:57+01:00
Terreur apache

Roman peu captivant où il ne se passe pas grand chose.

Il faut déjà une bonne moitié pour que l'on rentre dans le vif du sujet, et la seconde partie n'est guère plus intéressante, malgré l'action, rendue confuse par le style laborieux de l'auteur.

À ce titre, les dialogues sont insipides, parfois à la limite de la compréhension, surtout quand les apaches s'expriment dans une langue qui n'est naturellement pas la leur. Soit il s'agit d'un problème de traduction, soit c'est sacrément mal fichu.

Le scénario est certes classique pour un western mais n'en reste pas moins, s'il est bien traité, efficace, ce qui est très loin d'être le cas ici.

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Commentaire ajouté par monikaR 2021-09-11T19:50:54+02:00
Terreur apache

Un western qui donne à voir la nature superbe et arride. Les personnages de chair et d'os. Loin du politiquement correct, il faut espérer que La terreur apache ne fera pas des frais de la cancel culture.

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Commentaire ajouté par AshleyLlyred 2023-01-06T15:00:20+01:00
Terreur apache

a very funny book, très stéréotype mais très amusant. Un humour subtile à saisir et une histoire prenante même si au début il ets difficile de s'y plonger.

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Dédicaces de William Riley Burnett
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Editeurs

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Actes Sud : 6 livres

Rivages : 3 livres

Folies d'encre : 1 livre

McVeagh : 1 livre

Folio : 1 livre

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